[JEU] L'élan de l'aigle, Diplomaties et évenements

Gazette de Vienne

La France agresse l'Empire

Ce matin, l'ambassadeur de l'Empire de France à porté la déclaration de guerre à notre Empire

Poursuivant des raisons hégémonique sur l'Empire, la France n'a par ailleurs aucune raison de cette attaque, devant ainsi un Empire Belliqueux et sans foi.

L'Empire appel donc tout les peuples voulant combatte Napoléon à s'unir dans une nouvelle coalition.

((Phil, j'aimerais si possible une réponse à mes demandes d'action envoyé en MP ))

la voix Imperial:

LA GUERRE :

aujourd'hui suite au refus de la part de l'empereur autrichien de libérer les peuple allemand et italien de son joug la france a déclarer la guerre a l'empire autrichien. les grande armée francaise diriger par notre glorieux Empereur Napoléon Ier vont obtenir la victoire pour la fierté et la grandeur de la France

La Voix du Tsar:

Messieurs les nobles, nous avons appris que la France avait déclaré la guerre à l'Autriche. Nous avons envoyé des hommes a celle-ci pour se défendre mais nous ne nous mêlerons pas directement de cette affaire.
Des choses bien plus importantes nous attendent! Et celle-ci préconisent que nous ne sous occupions pas du Corse.
Ayez confiance en moi et vive la Russie!

Maraud a écrit:La Voix du Tsar:

Messieurs les nobles, nous avons appris que la France avait déclaré la guerre à l'Autriche. Nous avons envoyé des hommes a celle-ci pour se défendre mais nous ne nous mêlerons pas directement de cette affaire.
Des choses bien plus importantes nous attendent! Et celle-ci préconisent que nous ne sous occupions pas du Corse.
Ayez confiance en moi et vive la Russie!

Noblesse russe:

Réponse officielle: Bien votre majesté

Réponse officieuse: (Les grognements deviennent assourdissants)

Vous pourriez faire moins de bruits avec vos dents s'ils vous plait?

Ambassadeur d'Autriche a Saint Petersbourg

Messieurs qui grincer des dents, si vous le désirez, l'Armée Impériale cherche des volontaires pour la guerre à venir.

Les actes de bravoures seront bien sur généreusement récompensé

De: napoléon 1er
a: duc de baviere

Spoiler:

(Déplacement des rapports écris par LARS, qui avait d'abord été placé dans le thread de discussion)

Guerre Ottomano-Saoud : En attendant la décision

La campagne ottomane en Arabie se poursuit par un revers, avec la prise de la ville de Médine et de ses alentours, faisant que le "serviteur des deux villes saintes" n'en occupe plus qu'une, la garnison de la Mecque, grâce à l'arrivée de renforts ottomans, renforce ces défenses, ce qui obligent les séouds à annuler leur attaque contre la ville.
Les ottomans continuent à renforcer leurs positions stratégiques et à accumuler des renforts, tandis que les séouds font reposer leurs forces, pour, qui sait, retenter une attaque plus soutenue de la Mecque dans l'année à venir.

Situation en Russie : Mort au tyran!

La tension monte en Russie, outre le ressenti anti-français qui va crescendo avec l'attaque de la France contre l'Empire d'Autriche et une haine de plus en plus tenace contre ce "nouveau régime" qu'est le régime napoléonien en France, les réformes du tsar Alexandre, ses tentatives de purges contre les mécontents de la noblesse et sa personnalité mégalomane sont mal accueillies par la population.
Mais c'est surtout le scandale dû à la fuite d'informations (surement liée à l'absence de quelques ministres en visite en Lituanie) concernant le plan d'invasion russe de la Prusse dès l'entrée en guerre de celle-ci aux côtés des autrichiens qui choque au plus au point le peuple russe et sa noblesse, sur lesquels une campagne de propagande visant à diaboliser les prussiens n'a eu aucun effet, ainsi que les cours étrangères et bien sur tout particulièrement la Prusse.
L'agitation chez les moujiki pourrait bien dégénérer en guerre civile, tandis qu'au sein de la noblesse, on songe sérieusement à organiser un coup d'état.
Mais le regrettable accident mortel du tsar Alexandre I pourrait éviter ceci de se produire, en effet, le tsar est malheureusement décédé à la suite d'une malencontreuse chute de l'étage du palais Alexandre.
On ne sait pas, malgré la présence du conseil des ministres dans la pièce où le tsar se tenait à la fenêtre,  si il s'agit d'un accident ou d'un assassinat à l'heure actuelle. Mais un refroidissement des relations entre le tsar et ses services secrets à la suite du scandale prussien pourrait corroborer cette dernière hypothèse.
La situation explosive en Russie fait que le frère de Alexandre, Constantin, refuse la couronne de tsar de Russie, qui revient donc au plus jeune frère Nicolas, qui Nicolas I Romanov, tsar de Russie.
Le tsar âgé de 10 ans, le pays est pris en main par un conseil de régence promettant de gouverner dans la  "tradition de Pierre et Catherine".
L'agitation a atteint les troupes russes situées le long de la frontière russo-prussienne, où ordres et contre-ordres se succèdent, semant la confusion parmi elles qui ne peuvent donc mener aucune action offensive contre la Prusse tant que le conseil de régence n'aura pas stabilisé la situation à l'intérieur de la Russie et n'aura pas clairement établie sa position vis-à-vis de la Prusse et de la France.

Campagne d'Italie (Guerre de la 3e coalition) : Évacuation

En Italie, l'armée française progresse sans rencontrer de véritable résistance.
En effet, l'armée autrichienne a préféré abandonner la Vénétie en sabotant les voies de communications et en fortifiant ses positions dans les Alpes et au Tyrol.
Les français, commandés par Davout, n'osent pas s'attaquer à ces positions pour éviter de subir des pertes élevées.
Pour le moment, autrichiens et français restent campés sur leurs positions, tandis que les français écrasent des embryons de révolte en Calabre.

Rapports de guerre de 1805- Amérique du Nord

Nouvelle-Espagne:


Le blocus britannique que subissait encore l'Espagne durant les premier mois de 1805 et les troubles qui agitèrent le pays par la suite réduirent l'immigration que le vice-roi avait cru attiré avec son édits à de négligeables quantités. Le salut face aux raids Apaches et aux empiétements étrangers devra venir d'autres quartiers.

Heureusement, le plan du vice-roi contenait un 2e volet, l'envoi de 5 000 soldats formés à l'européenne dans les provinces de la Nouvelle-Espagne les plus au Nord. Une partie de ces derniers établirent une garnison à San Francisco et passèrent le gros de l'année à éviter tout accrochages avec les colons américains d'Eftheriopolis, alors que ces derniers faisaient également de même. La distance entre les deux villes et la répugnance des deux camps à risquer de provoquer un incident lourd de conséquences permit d'éviter toute escarmouches.

Le reste des troupes envoyés vers le nord se dirigèrent vers le Texas pour combattre les Apaches. Elle y connurent un certain succès, construisant des forts et les utilisant comme base d'opérations contre les raideurs appaches dans les environs mais une telle approche risque de vite montrer ses limites vu que seul les environs des plus grands centres de populations peuvent être ainsi protéger.

Sud des États-Unis: Les premiers pas sur la piste des larmes:




Sur les ordre du président Jefferson lui-même les États-Unis posèrent à deux des ''Cinq nations civilisés'' un ultimatum: intégration complète dans la societé américaine ou réduction aux travaux forcés. Cet ultimatum fit perdre toute crédibilité aux tenants de la conciliation avec les États-Unis et mit au pouvoir les jusqu'auboutistes au sein des deux tributs visés: les Creeks et les Cherokees. Ces derniers choisirent une 3e option: la guerre à outrance. Les nouveaux chefs de ces tribus se rendirent toutefois rapidement compte que leurs territoires étaient trop étroitements integrés dans celui des États-Unis pour espérer pouvoir resister, ils choisirent donc l'exode. Sur de centaines de killomètres ces deux tribus marchèrent vers les territoires shawnees, la soif et la faim faisant des ravages et les forces américaines continuant à les harceler tout au long de la route.

Midwest américain: La naissance d'une rivalité


Commandés par Tecumseh et Blue Jacket les guerriers Shawnees se dispersèrent dans l'Ohio et l'Indiana, attaquant fermes et villages américains. Ces guerriers portèrent rapidement de rudes coups à la colonisation américaine du Midwest, tuant et pillant et se déplaçant souvent trop rapidement pour être prises au pièges par les garnisons.

Au milieu de la panique un homme se montra à la hauteur de la situation: William Henry Harrison. L'auteur de ce traité de Greenville qui avait cedé une bonne partie de l'Ohio aux États-Unis et dont l'acception britannique du refus des américains de l'abroger avait tant fait pour refroidir les relations avec les Shawnees. Harrison sentit son sang bouillir à la vue d'une fiasco semblant être en préparation et rassemblant une colone forte de quelque milliers de miliciens et s'enfonça dans le territoire Shawnee en direction du maillon faible de la confédération amérindiennes: Typecannoe.

L'approche d'Harrison provoqua de violents débat dans le village-capitale, les plus raisonables des amérindiens voulant abandonner ce dernier mais les voix voulant combattre (menés par les réfugiés Creeks et Cherokees et par le frère de Tecumseh surnomé le prophète qui promettait le soutien des esprits et donc la victoire) prévalurent. Disposant d'une puissance de feu fortement inférieur à celle des forces américaines les amérindiens subirent une claire défaite. Ainsi finirent les opération militaire dans le Midwest américain en 1805, les deux camps ayant remportés de significatifs succès mais sortant également passablement amochée de l'année. D'un conflit entre différentes culture la guerre entre les États-Unis et la Confédération du Nord-Ouest prenait de plus en plus l'aspect d'un conflit de perssonalités: Tecumseh, grand chef des amérindiens du Nord-Ouest contre William Henry Harrison, gouverneur du territoire de l'Indiana.

Colonisation russe: La marche vers le Sud

Les colons russes se dirigeant vers l'Oregon n'atteignirent jamais ce territoire, préferant tout simplement étendre un peut vers le sud les colonies russes, fondant nottament la ville d'Alexandrograd (OTL Île de Graham).

Les colons envoyés vers les îles Hawaii semblèrent tout d'abord connaitre plus de succès: repoussant les indigènes hostiles vers les hautes terres et commençant à batir leurs colonies. Malheureusement, les colons russes avaient compté sans un adversaire que tout ceux qui opérait à cette latitude avaient appris à connaitre et à detester: la malaria. Cette dernière fit des ravages dans les rangs des colons et, accompagner comme elle finit par l'être par une contreoffensive des indigènes, força les survivants à rembarquer.

De: Shogun Tokugawa
A: Ministre de la guerre du Shogunat

Spoiler:

Thomas a écrit:De: Shogun Tokugawa
A: Ministre de la guerre du Shogunat

Spoiler:

Nous aurons déja besoin d'un an ne serait-ce que pour construire les premières calles sèches et quai adapté à ce type de navires. En adition, nous avons remarqué qu'à Nagasaki (le seul port ou les européens ont le droit de commercer) les barbares semblent avoir une grande expertise dans le domaine. Peut-être devrons nous nous adrésser à l'une de leurs nations pour nous aider?

De: Shogun Tokugawa
A: Conseil de régence impériale de Russie

Spoiler:

De: Conseil de Régence
A: Shogun Tokugawa

Spoiler:

Maraud a écrit:De: Conseil de Régence
A: Shogun Tokugawa

Spoiler:

De: Shogun Tokugawa
A: Conseil de Régence

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De François d'Autriche

A Conseil de Régence de toute les Russies

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De: Conseil de régence
A: François d'Autriche

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De: Conseil de Régence
A: Représentant Prusse

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De: Conseil de Régence de Russie
A: Réunion de Ministre

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de: calife selim lll 
a: roi du Yémen 

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de: calife selim lll 
a:roi d'oman

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Rapports de guerre de 1805- Europe Partie II

Guerre de la 3e coalition- Allemagne: Vive L'Empereur!





Si les dernières opérations de la Guerre de la Première coalition et celles de la Guerre de la Deuxième coalition avait rompu avec la tradition en voyant l'Italie joué le rôle de théatre décisif celle de la 3e coalition sembla plutôt renouer avec cette dernière en voyant les regards et les plus puissantes armées des grandes puissances se portaient vers l'Allemagne.

L'année commença par une longue série de manœuvres en Bavière ou Napoléon et l'Armée d'Allemagne chercha à faire sa jonction avec ses alliés Bavarois et ou Charles de Hapsbourgs tentait d'écraser ces derniers avant que cette jonction ne se produisent et ou les deux adversaires tentèrent mutuellement de se déborder par le flancs, aboutissant ainsi à la Bataille d'Ingolstad. Commandés efficacement par l'Archiduc Charles, bénéficiant des réformes des dernières années et adoptant des tactiques strictement défensives l'armée autrichienne semblait bien tailler pour nulifier les avantages d'une force française forte en cavalerie et dépendant de sa mobilité pour remporter la victoire. Rien ne put toutefois faire face à la fureur des régiments de la Grande Armée et de leur brillant commandant: les colonnes françaises perforèrent les rangs autrichiens et les mirent en déroute. La victoire n'était toutefois pas sans ombrage pour Napoléon: bien que les pertes autrichiennes restait plus importantes celle de la France demeurait lourdes et, surtout, l'Armée d'Allemagne ne put exploiter sa victoire autant qu'elle l'aurait voulu car une menace importante se profilait sur son flanc nord. L'Armée d'Allemagne se mit donc en marche vers le Nord. Charles de Habsbourgs, pour sa part, retraita en bonne ordre vers la Bohème ou les réserves stratégiques autrichiennes  vinrent l'aider à regarnir ses rangs.

En effet, suite à l'assasinat du tsar et de l'éloignement de la menace d'une attaque russe la Prusse se sentit enfin libre d'engager le combat contre la France. Faisant sa jonction avec l'Armée du Nord Autrichienne et les troupes des princes allemands de la région l'armée prussienne constitua autour d'elle une immense armée allié de sorte que, lorsque les armées coalisés et françaises se rencontrèrent dans les plaines environnant le village de Stadthagen les premières possédait un avantage numérique de 2 à 1 et était sur de la victoire. Stadthagen passa à l'histoire comme la plus grande victoire remporté jusque la par Napoléon, face aux charges de la cavalerie de Murat et des coups de l'artillerie française la puissante armée craqua et se replia dans le désordre. Seul la menace d'une contre-attaque de l'armée de Bohème sur les arrières de l'Armée de l'Allemagne si elle s'enfonçait trop rapidement vers l'Est permis aux forces alliés de se reformer sur la rive Est de l'Elbe, la rive Ouest tombant aux mains des forces françaises.

Enfin, en Poméranie des troupes danoises débarquèrent pour se joindre aux forces russes mais en l'absence de ses dernières il durent rembarquer en face d'une contre-attaque prussien. En tout et pour tout, 1805 fut une année faste pour la France sur le front d'Allemagne mais les forces coalisés restent en état de combattre et redoutable.

Guerre de la 3e coalition- Espagne: Un aigle britannique?

Le Seigneur de Wellington à la Bataille de Valence

Rien n'allait plus pour le royaume d'Espagne. Autrefois superpuissance mondiale le royaume des Charles Quint et Philippe II n'était désormais plus qu'une puissance secondaire ballotté aux grès des courants la politique européenne. Se pencher sur le déclin économique, politique et militaire de l'Espagne ne serait toutefois pas suffisant pour comprendre la précarité de la paix et de l'unité qui régnait toujours sur cette dernière, c'est également sur les divisions internes qui agitait le royaume hispanique qu'il faut nous pencher.

Le faible roi Charles IV était, en effet, devenu extrêmement impopulaire, tout comme l'était la reine Marie-Louise de Parme qui gouvernait le royaume à sa place. Il était communément estimer, par les Espagnols, que la présente alliance avec la France n'avait d'autre but que de permettre la création d'une principauté pour Manuel Godoy, l'ambition et corrompu favori de Charles IV au dépens du Portugal. Un parti ce forma donc visant à remplacer Charles IV par son fils l'infant Ferdinand et à rejetter l'alliance avec la France au profit de la Grande-Bretagne. Jusque la le conflit entre père et fils n'avaient pas dépassé les mots mais en 1805 le conflit fit irruption au sein de la Péninsule hispanique elle-même avec l'arrivée à Lisbonne d'une armée britannique commandé par Arthur Wellesley, brillant officier c'étant distingué en Inde et visant ouvertement à attaquer l'Espagne. L'offensive espagnole contre Gibraltar fut ainsi annulé dans la précipitation pour faire face à la menace.

L'arrivée des forces britanniques sur le continent provoqua une vague d'arrestations de supporteurs de l'infant Ferdinand par les forces de police du roi. Ferdinand et le gros de ses supporteurs au sein de la noblesse et des cortès s'enfuirent vers l'Ouest, le Portugal et les forces britanniques. Triomphant sur le moment Charles IV et Godoy ne purent toutefois effacer les profondes divisions existant au sein de l'armée et de l'administration espagnole ainsi que leur propre impopularités auprès du peuple. Les forces de Wellesley, maintenu sous une strict discipline par leur commandant et payant tout ce qu'elle prenait généreusement et en Sterlings, furent donc bien accueilli par la population à mesure qu'elle s'enfonçaient vers Madrid.

Les forces britanniques, renforcé par le gros de l'armée portugaise firent face à l'armée espagnole à la Bataille de Talavera et y remportèrent une éclatante victoire. Divisés, mal commandé, moins bien organisés que leurs adversaires et en sous-nombres les forces espagnoles furent rapidement mise en déroute. De retour à Madrid dans les fourgons des britanniques Ferdinand et ses partisans réunirent les cortès, votérent la destitution de Charles IV et la guerre contre la France.

Voyant la situation rapidement tourner au désastre André Massena, commandant de l'armée de France, passa les Pyrennées avec le gros de ces troupes. L'incursion des troupes françaises permit à Charles IV et Godoy de créer un gouvernement légitimiste en Navarre, Aragon et Catalogne alors que le centre et le Nord-Ouest de l'Espagne reconnaissait l'autorité de Ferdinand VI. La majeure part des forces armées espagnoles soutenant le second et une minorité significatives de ces dernières ainsi que le gros de la flotte espagnole soutenant le premier

Dans ces conditions, la collision entre les forces du nouvellement crée Seigneur de Wellington et celle sous le commandement de Masséna était inévitable. Elle se produisit dans les environs de Valence et, bien que les troupes françaises réussirent à se retirer en bonne ordre, les britanniques y remportèrent une claire victoire qui assura le main mise de Ferdinand VI sur l'Andalousie et la région de Valence. Bien que la fatigue de ces troupes après une longue année de campagne et la longueur de ses lignes de ravitaillement empêcha Wellington de poursuivre sa marche vers le Nord-Est et les Pyrennées la situation de Masséna reste précaire.

(Emile Olivier doit désormais choisir: Espagne de Charles IV ou Espagne de Ferdinand VI).


Nous sommes maintenant en 1806!

(SVP garder la discussion hors caractère dans le thead prévu à cet effet )

Maraud a écrit:
De: Conseil de Régence
A: Représentant Prusse

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De: Conseil de Régence de Russie
A: Réunion de Ministre

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Prusse:

Spoiler:

(Le gros du peuple n'est soit pas interressé ou n'a pas les moyens d'atteindre les colonies, les nobles refusent dans leurs écrasante majorité d'abandonner les palais de Saint-Petersbourg et Moscou pour les fortins de l'Alaska).

Ministres russes: Nous suggérons ''Ordre de Pierre et de Catherine'' pour les médailles quand au service secret le problème réside tout simplement dans l'absence d'une masse de candidats souhaitables hors de la noblesse, qui à ses intérêts et ses opinions politiques.

hannibale a écrit:de: calife selim lll 
a: roi du Yémen 

Spoiler:

de: calife selim lll 
a:roi d'oman

Spoiler:

Oman, Yemen: La guerre entre la porte et les séouds ne nous concernent pas.

De : Napoléon 1er
A : Robert Fulton (scientifique américain qui avait proposer a napoléon une machine a vapeur pour les bateau réside toujours en Europe)

Spoiler:

valtarius a écrit:De : Napoléon 1er
A : Robert Fulton (scientifique américain qui avait proposer a napoléon une machine a vapeur pour les bateau réside toujours en Europe)

Spoiler:

Votre majesté, votre offre est tentante et vous m'honorez par votre confience mais ayant pris service pour vos ennemis je ne peut, en mon homme et conscience commettre ce qui reviendrait à une désertion.

(En 1804 Fulton entra à l'embauche du Royaume-Uni et aucun des évenements de l'année ne justifie de changer ça. Par contre, OTL il quita Londres parce que les anglais n'avaient plus aucun intérêt pour lui vut que Trafalgar avait écarté toute menace d'invasion française. Ici la flotte française reste intacte et Fulton encore relativement écouté par les authorités britannique mais kudos, c'était une bonne idée )

Roi George III
A Duc de Wellington

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Roi George III
A François d'Autriche

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De George III
A Robert Fulton

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De George III
A Conseil de régences Russe

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De George III
A Prusse

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De George III
A Ferdinand VI

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De George III
A Shawnee

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Jolou a écrit:Roi George III
A Duc de Wellington

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De George III
A Robert Fulton

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De George III
A Prusse

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De George III
A Ferdinand VI

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Wellington:

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Fulton:

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Prusse:

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Ferdinand VI:

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De : Shawnee
A : Georges III

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