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Tout commence à Presbourg : une autre Europe napoléonienne

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Tout commence à Presbourg : une autre Europe napoléonienne - Page 5 Empty Re: Tout commence à Presbourg : une autre Europe napoléonienne

Message par DemetriosPoliorcète Mer 1 Fév - 15:59

Chapitre 29 : la rupture de l’Alliance

« La bataille de Carélie est perdue. La question est de savoir s’il y aura une bataille de Saint-Pétersbourg »

Lettre d’un officier russe à sa femme, 11 mai 1908


L’entrée en guerre des Etats-Unis avait été une source d’inquiétude pour les puissances Alliées, mais n’avait pas entamé leur détermination, pas plus que l’entrée en guerre, en février, de la Roumélie, qui avait annoncé vouloir « libérer nos frères Slaves des Habsbourg dégénérés et des barbares Varègues ». Les états-majors de la Prusse, de la Russie et de l’Autriche avaient décidé de frapper un grand coup avant que l’essentiel des troupes américaines ne parvienne en Europe.

Au cours de ce qui reste la première opération de désinformation massive de l’histoire contemporaine, des troupes avaient été le plus discrètement possible ramenées des autres fronts vers la Suisse et l’Istrie, pour une offensive massive contre l’Italie. L’opération, déclenchée le 19 mars, fut un réel succès, les troupes italiennes refluant en désordre vers la plaine du Pô, les puissances atlantiques (comme on les appelait désormais) devant faire parvenir en urgence du renfort pour éviter la chute de Milan.

C’est dans l’euphorie de ce succès que les dirigeants russes reçurent une proposition de règlement des différents frontaliers russo-suédois. Tout en étant nettement à l’avantage de Stockholm, le règlement n’apparaissait pas comme totalement inacceptable. Si beaucoup de membres de la Douma s’étaient déclarés prêts à faire des concessions pour garder la Suède hors de la guerre, le gouvernement russe adressa une fin de non-recevoir, entraînant l’entrée en guerre de la Suède.

Persuadée de pouvoir rapidement venir à bout des troupes suédoises et s’emparer de la Finlande, les forces russes passèrent les premières à l’offensive, mais celle-ci fut rapidement stoppée. Début mai, le terrain conquis en Carélie avait été entièrement repris par les troupes suédoises et les renforts envoyés par les puissances atlantiques. Pétersbourg était directement menacée ; l’affaire suédoise avait brisé le consensus politique en Russie risquait d’apporter la guerre sur le territoire national.

Le 15 mai 1908, l’armée russe retirait entre un tiers et la moitié de ses forces en Europe de l’ouest ; les historiens débattent encore pour savoir s’il s’agissait d’un abandon des alliés ou d’une surestimation des défenses. Le 20 juin, les troupes franco-anglo-américaines enfonçaient le front badois tandis que, plus au nord, le Rhin était franchi en plusieurs points. Le reflux des Alliés permit une libération rapide des Etats d’Allemagne du sud. Continuant sur leur lancée, les troupes françaises prirent Prague le 17 juillet. Se considérant trahie par son allié russe, l’Autriche demanda et obtint une paix séparée. Après la chute de Hanovre et l’invasion de la Saxe, Berlin, aux prises avec des mutineries, demanda à son tour la paix et retira toutes ses troupes de la rive gauche de l’Elbe. Immédiatement, un gouvernement provisoire dominé par les socialistes s’établit et convoqua de nouvelles élections, abandonnant le principe des classes censitaires. Restait la Russie.

Tout commence à Presbourg : une autre Europe napoléonienne - Page 5 2560px-General_gouraud_french_army_world_war_i_machinegun_marne_1918

Soldats français en Allemagne du Nord, 1908

En Extrême-Orient, les troupes chinoises, appuyées par les troupes coloniales françaises de Corée puis par un corps expéditionnaire japonais (le Japon était entré en guerre peu après les Etats-Unis), avaient fini par faire refluer l’armée russe. L’Alaska était tombé aux mains des Britanniques. En Iran, l’Armée Nationale, formée par les Britanniques et les Français, avait repris Téhéran puis Tabriz.

A Saint-Pétersbourg, certains prônaient une guerre de défense nationale à outrance, jusqu’à obtenir au moins le respect de l’intégrité territoriale. On pourrait se permettre de perdre Pétersbourg et se replier sur Moscou, menant une politique de la terre brûlée. Du côté des puissances atlantiques, on envisageait un débarquement en Crimée pour ouvrir un nouveau front.

Mais la combattivité russe était bien plus émoussée que ce que croyaient les responsables des deux camps : à Saint-Pétersbourg comme à Moscou, les grèves et les actions de groupes d’extrême-gauche étaient redevenus monnaie courante, un climat pré-insurrectionnel s’installait. De peur de subir le même sort que son confrère prussien, obligé de fuir sa capitale, le Tsar se rallia aux partisans de la négociation. L’armistice fût signé le 14 septembre en Carélie.

La guerre quoi s’achevait avait été la plus meurtrière de l’histoire européenne : l’Empire français avait perdu près d’1 million 440 000 soldats, le Royaume-Uni 700 000, sans compter les Dominions. L’Allemagne du Sud avait perdu 600 000 combattants auxquels s’ajoutaient, en pertes directes et indirectes, presque le même nombre de civils, victimes des déplacements, des privations et des actions de contre-guérilla. Du côté des puissances alliées, plus d’un million de Nords-Allemands étaient morts, de même qu’un million de sujets de l’Empire d’Autriche. La Russie avait, de tous les belligérants, le bilan le plus lourd avec plus de deux millions et demie de morts.

Ces chiffres ne prenaient pas en compte les centaines de milliers de soldats mutilés, estropiés, défigurés ou rendus sourds par les combats, ni de l’ampleur du traumatisme de tous ceux qui revenaient du front. La joie de la victoire dans les capitales française et britannique n’était pas feinte, mais avait néanmoins un goût amer.

Dès le mois de novembre, la conférence réunissant les vainqueurs à Bruxelles pour préparer les négociations du futur congrès européen avaient tracé les grandes lignes de ce que devait être l’Europe d’après-guerre. L’Autriche serait ménagée pour maintenir la stabilité de l’Europe centrale, tandis que l’Allemagne serait remodelée, avec l’abandon par la Prusse de tous les territoires à l’ouest de l’Elbe, à l’exception de la ville de Magdebourg, permettant une extension vers l’Est du Grand Duché de Berg, et la création d’un Etat indépendant dans l’Altmark, qui pourrait prendre la forme d’une monarchie.

L’agitation sociale allait mettre ces plans à mal.
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Message par Collectionneur Mer 1 Fév - 16:26

Prolétaires de tout les pays, unissez-vous !
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Message par DemetriosPoliorcète Mer 1 Fév - 17:33

Collectionneur a écrit:Prolétaires de tout les pays, unissez-vous !

C'est inévitable... Mais le socialisme ne prendra pas tout à fait la même forme Wink
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Message par DemetriosPoliorcète Ven 3 Fév - 10:38

Chapitre 30 : la Prusse est rouge

« Nous proclamons, au nom de tous les travailleurs prussiens, l’abolition de tous les partis et syndicats, la fin des formes traditionnelles et bourgeoises de l’Etat, et l’instauration d’une démocratie totale en Prusse. Notre déclaration ne fait qu’entériner le processus déjà mis en œuvre par les masses révolutionnaires, son effet ne peut qu’être immédiat »

                                  Alfred Hirschhausen, 8 février 1909




Dans les mois qui avaient suivi l’armistice, un climat de désorganisation générale s’était abattu sur la Prusse, et s’exprimait à travers la démobilisation comme à travers les nouvelles élections, pour la première fois fondées sur le principe d’une homme-une voix. Début octobre, les résultats donnaient une majorité absolue aux socialistes et aux démocrates, mais plusieurs territoires, dans les bastions royalistes à l’Est du pays, n’ont pas voté. Si l’on a pas encore statué sur la nature du futur régime, la famille royale a préféré fuir vers le Danemark.

A la mi-décembre, alors que l’Europe prépare la conférence de paix, les troupes prussiennes non-encore démobilisées marchent sur Berlin, sous le commandement de généraux royalistes. Les quelques troupes conventionnelles qu’a pu rassembler le gouvernement socialiste sont rapidement balayées, et les royalistes entrent dans Potsdam, puis dans Berlin. Les vainqueurs de la guerre mondiale se réjouissent : il sera plus facile d’être intransigeant avec un régime issu d’un coup de force que face à un gouvernement élu.

Alors que les rebelles contrôlent le palais de Berlin et les principales administrations, ils se retrouvent pris à parti par les milices ouvrières formées dans les quartiers ouvriers de la capitale. Celles-ci se sont organisées autour de l’œuvre de Libération du Prolétariat d’Alfred Hirschhausen et de députés socialistes qui se sont radicalisés ; elles ont pu profiter du chaos de la démobilisation pour s’emparer de dépôts d’armes et rallier des combattants expérimentés. Pris au piège dans la ville, les royalistes se débandent.

Si le gouvernement socialiste est remis au pouvoir, il est désormais sous le contrôle étroit des Comités révolutionnaires, qui exercent la réalité du pouvoir à Berlin, puis bientôt dans la région industrielle de la Silésie. En janvier, le poids des révolutionnaires augmente encore après les succès militaires à Kolberg et Königsberg, contre les bastions conservateurs. A Berlin, on envisage plusieurs solutions pour le futur du pays : république parlementaire, création d’un Etat syndicaliste, parti unique. Mais Hirschhausen impose sa solution, la plus radicale qui soit : le 8 février, il proclame « l’abolition de tous les partis et syndicats, la fin des formes traditionnelles et bourgeoises de l’Etat ». Les administrations sont fermées, des comités de quartier ou de village formant la base d’une large fédération la plus décentralisée possible. Tous les aspects de la vie sociale sont régis par divers comités et conseils, selon une doctrine nommée « socialisme fédératif intégral ». Néanmoins, cette structure est flanquée, en parallèle, des comités révolutionnaires, structure descendante sous le contrôle d’un Comité révolutionnaire central, chargé de veiller à la défense de la révolution et de lutter contre les tentatives de déstabilisation des réactionnaires.  En février et mars, des milliers d’opposants sont passés par les armes, sans que l’on puisse clairement distinguer parmi eux ceux qui ont fait l’objet d’ordres du Comité centrales et ceux arrêtés et exécutés sur décision d’organes locaux. Dans le même temps, la déstabilisation totale de l’économie et de la société par l’abolition de l’Etat et la saisie des entreprises privées provoque le départ de dizaines de milliers de Prussiens vers la Pologne, la Bohème et, surtout, l’Altmark sous occupation anglaise.

Tout commence à Presbourg : une autre Europe napoléonienne - Page 5 2560px-National_Bolshevik_Party_flag.svg

Drapeau de la "Démocratie totale en Prusse". Le marteau et la faucille représentent les ouvriers, tandis que le cercle blanc est un symbole solaire sensé représenter l'Allemagne du nord.

L’accueil fait à ces réfugiés et la constitution de milices et d’organisations politiques, que ne peuvent empêcher les Britanniques, anticommunistes, convainc ces derniers de l’impossibilité de transformer ce territoire en un « Royaume de Saxe-Anhalt » indépendant, tant le patriotisme prussien y est, à cette occasion réaffirmé.

En avril 1909, la transition vers le système sans Etat voulu par Hirschhausen est un échec complet : la population s’est entièrement désolidarisée, les pénuries sont la norme et les comités révolutionnaires se comportent parfois en véritables pouvoirs féodaux. Certains d’entre eux ont par ailleurs laissé les administrations recommencer à fonctionner, ce que finit par autoriser officiellement le comité central. Au sein même de celui-ci, les critiques commencent à se faire entendre : il aurait fallu soit exporter la révolution, soit accepter une transition plus lente, sans abolir l’Etat et les syndicats. Hirschhausen reconnaît comme seul tort avoir cru que le reste de l’Europe se soulèverait d’elle-même et ne pas avoir compris la nécessité d’exporter la révolution, et se met en retrait. Mais il est trop tard : des groupes d’opposants ont d’ores et déjà repris le contrôle de l’essentiel des campagnes et des villes moyennes. Königsberg tombe aux mains des opposants le 11 avril, bientôt suivie de tout l’est du pays. La Silésir suit dans les jours suivants. Le 17, des troupes anticommunistes équipées par les Britanniques traversent l’Elbe et marchent sur Berlin. Le 19, un « Gouvernement unifié » voulu par Londres et Paris et rassemblant des royalistes jusqu’aux démocrates appelle les milices ouvrières à déposer les armes et promet une large amnistie. Berlin tombe presque sans combats : c’est la fin de la révolution prussienne. Si la plupart des membres du Comité central ont fui, Hirschhausen s’est laissé capturer et est fusillé peu après.

Les élections organisées immédiatement donnent sans surprise une majorité absolue à la droite monarchiste, ouvrant la voie à un retour de roi. Une fois l’inquiétude née de la convulsion prussienne passée, l’Europe pouvait préparer la conférence de paix, qui allait se tenir à Bayreuth.


Dernière édition par DemetriosPoliorcète le Ven 3 Fév - 14:47, édité 1 fois
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Message par Thomas Ven 3 Fév - 10:55

Hirschhausen sera-t-il un martyr révolutionnaire inspirant un forte opposition au pouvoir qui serait contraint à des concessions ? Ou son échec cuisant va lui valoir l'oublie et l'échec définitif du communisme en Allemagne ?

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Message par DemetriosPoliorcète Ven 3 Fév - 10:58

Thomas a écrit:Hirschhausen sera-t-il un martyr révolutionnaire inspirant un forte opposition au pouvoir qui serait contraint à des concessions ? Ou son échec cuisant va lui valoir l'oublie et l'échec définitif du communisme en Allemagne ?

Le communisme va être impopulaire pour longtemps en Allemagne, mais ses successeurs vont réfléchir sur ses erreurs.
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Message par Collectionneur Ven 3 Fév - 12:23

Juste une lettre oublié :

Le 17, des troupes anticommunistes équipées par ...es Britanniques traversent l’Elbe et marchent sur Berlin.
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Message par DemetriosPoliorcète Ven 3 Fév - 14:46

Je pense que je vais achever ici le premier cycle et poster la suite sur un nouveau topic.

Je joins la liste mise à jour des souverains Bonaparte (avec une surprise qui va plaire à Emile dedans) :

Napoléon Ier

Epouse : Marie-Louise de Habsbourg-Lorraine
Enfants :
Napoléon François Charles Joseph Bonaparte (1811-1836), Prince de Constantinople
Marie-Thérèse Laëtitia (1814-1879), princesse de Parme
Caroline-Marie Louise Bonaparte (1816-1885), reine consort de Suède

Napoléon II

Epouse : Frédérique Sophie Dorothée Wilhelmine de Bavière

Enfants :
Marie-Victoire Caroline Louise (1830-1911), reine de Saxe
Laëtitia Wilhelmine Sophie (1830-1862)
Napoléon Charles Maximilien (1832-1868), Prince de Constantinople puis Empereur
Maximilien Louis Napoléon (1834-1919)

Napoléon III (1832-1919)

Epouse : Louise de Prusse

Enfants légitimes : Marie-Sophie Louise Frédérique Laëtitia
Enfants illégitime : Constantin Bonaparte, orientaliste et diplomate
Philippine Bonaparte
Pierre-Charles Bonaparte
Marie Bonaparte
Lucie Bonaparte

Maximilien Ier

Epouse : Cécile de Bade

Enfants :
Clothilde (1859-1976)
Léopold-Napoléon (1861-1924), Prince de Constantinople puis Empereur
Wilhelmine (1863-1965)
Alexandrine (1866-1912)
Louis-Maximilien (1869-1947)
Sophie Théodelane (1871-1939)

Napoléon IV (1861-1924)

Epouse : Kristin de Danemark-Norvège

Enfants :
Napoléon-Maximilien (1885-1941 ), Prince de Constantinople puis Empereur
Adolphine
Pierre-Léopold
Charles

Maximilien II (1885-1941)

Epouse : Charlotte du Royaume-Uni

Enfants :
Marie-Charlotte
Napoléon-Charles (1907-1977)
Guillaume-Napoléon (1916-1989)

Epouse : Paula Duarte

Enfants : Victoire

Napoléon V (1907-1977)

Epouse : Olga de Russie

Enfants : Aucun

Guillaume Ier (1916-1989)

Epouse : Isabelle du Rio de la Plata (Orléans)

Enfants :
Clothilde-Laëtitia
Isabelle
Amélie
Napoléon-Jean (1943-1972)

Clothilde Ière (1935-2017)


Epoux : Louis Bonaparte de Jaffna (branche illégitime des Bonaparte-Hollande)

Enfants :
Napoléon-Louis (1958-2001)
Jeanne
Maximilien

Napoléon-Louis Bonaparte (1958-2001)


Enfants :

Maximilien (1989- )
Charles
Alexandra
Marie-Laëtitia
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