Le triomphe des justes

Le triomphe des justes

La Révolution blanche initiée par le Chah et les lourdes transformations économiques mais aussi sociétales n’avaient pas fait que des heureux au sein de l’Empire iranien.

Et notamment les religieux, mécontents de la libéralisation des mœurs dans le pays…

Un des opposants les plus virulents du Chah était l’Ayatollah Rouhollah Khomeini, exilé en Irak.

C’est d’ailleurs en l’attaquant que la presse officiel alluma l’incendie qui conduisit à la chute de Mohammad Reza Pahlavi.

Entre temps, un homme était bien décidé à enrayer, du moins en partie et conformément à ses intérêts et à ceux de son pays, qui étaient souvent très proches, la marche de l’histoire cependant...

L’homme était assis dans son fauteuil de velours dont les accoudoirs étaient parés de dorures et dans un style qui soulignait son ancienneté.

Ce luxe assez ostentatoire, signe manifeste d’une certaine pompe, soulignait également son importance aux yeux de ceux qui lui faisaient face.

Néanmoins, pour le moment, il regardait simplement et sans exprimer la moindre émotion le journal de 20 heures de La Première, anciennement Radio Bordeaux.

Roger Gicquet, le présentateur vedette, traitait en cet instant des évènements dramatiques et cruciaux qui se déroulaient en Iran sur son ton habituel qui faisait tellement frémir les ménagères françaises...

Gicquet annonçait que la veille, 8 septembre 1978, un massacre, qui sera d’ailleurs bientôt surnommé le « vendredi noir », s’était déroulé lors d’une énième manifestation à Téhéran.

L’opposition islamiste dont l’influence était grandissante annonçait le massacre de « milliers de manifestants pacifiques » avec en toile de fond, une vidéo de l’ayatollah Khomeini, réfugié en Irak.

On était plus proche en réalité d’une centaine de morts dans les 2 camps, policiers et manifestants armés, selon les rapports du Deuxième bureau que l’homme bien adossé avait consulté…

S’ensuivit l’image de son principal adversaire exprimant sa sympathie pour les opposants au « Roi des rois ».

L’homme eut cette phrase fugace dans son esprit qui le fit, chose rare, légèrement sourire.

« Celui-là a le monopole de la bêtise ».

Le sujet terminé, celui-ci éteignit sa télévision. Les autres sujets de l’actualité internationale ne l’intéressaient pas pour le moment…

Et que dire des balivernes et des « chiens écrasés » qui faisaient office de sujets importants sur la Première !

À peine l’écran de nouveau éteint, l’homme appuya sur le bouton de son interphone et demanda :

« Faîtes entrer MM. Bourges et Couve de Murville ! » Ordonna-t-il avec son ton froid coutumier.

Les ministre de la défense et des affaires étrangères de la république française pénétrèrent l’instant d’après dans le bureau et serrèrent la main de l’homme au profil d’aigle successivement.

Celui-ci leur fit alors signe de s’asseoir et leur expliqua de suite la mission qu’il leur confie.

« Couvre de Murville, via notre ambassade à Bagdad, prenez contact avec ce Saddam Hussein pour qu’il mette hors d’état de nuire l’Ayatollah. Je sais, par vos rapports, que cela ne pourra que satisfaire cet homme, à la fois sanguinaire et fervent laïc...

Quant à vous, Bourges, il me faut votre meilleur officier. Cette situation internationale est explosive et, surtout, totalement contraire à nos intérêts.

Votre agent doit se rendre en Iran pour y rencontrer secrètement les meneurs de l’opposition démocratique et laïque (Pour une raison qui lui était propre, l’homme mystérieux refusait d’utiliser le terme de républicaine pour désigner cette opposition, ce qu’avait déjà noté certains ministres sans oser le lui faire remarquer) et les encourager à ne jamais se compromettre avec le régime impérial finissant et à jouer à fond la carte de la chute de la monarchie.

D’importants fonds secrets lui seront confiés car, en plus de financer l’opposition, il doit aussi obtenir l’appui de l’armée au nouveau futur nouveau Régime post-monarchie. »

Hors, cela passera inévitablement par des dessous de table, il le savait…

Les ministres partis, le chef de l’État français se leva pour se diriger vers sa bibliothèque d’où il retira un exemplaire d’un livre sur la proclamation de la IIIème République française.

« Une lecture de circonstance » pensa-t-il.

Téhéran, 11 septembre 1978

Un Airbus A-300 en provenance de Paris atterrit à l’aéroport international Téhéran-Mehrabad.

Le passeport diplomatique des personnes affectées à l’ambassade de France en Iran leur permit de passer bien plus rapidement les contrôles qu’une foule d’autres voyageurs, bloqués des heures par les douaniers que la tension révolutionnaire avait rendu paranoïaques.

Parmi les 5 Français du groupe, l’un d’entre eux, l’agent du Deuxième bureau, transportait par sa valise diplomatique la somme de cinq millions de Francs en titres au porteur de la banque centrale américaine, idéal pour des opérations de financement discrètes et illicites à défaut d’être criminelles.

Largement de quoi aider l’agent « Baraka » à accomplir sa mission.

La nuit suivant son arrivée, celui-ci quitta discrètement l’ambassade avec les titres mais aussi des Riels iraniens, pour pouvoir vivre dans le pays.

Heureusement, la redoutable SAVAK avait désormais autre chose à faire que de surveiller l’ambassade de France et Baraka pu s’éclipser sans être remarqué, déguisé en employé iranien de la représentation diplomatique française.

Chaque jour Téhéran connaissait des manifestations monstres se muant la plupart du temps en émeutes violentes. Des fonctionnaires du palais impérial avaient été enlevé et retrouvé morts.

Baraka pu ainsi entreprendre sa mission en entrant en contact avec des hauts-gradés de l’armée iranienne ainsi qu’avec l’opposition modérée.

Il était temps, la nouvelle de l’exécution de Khomeini par l’Irak avait fait exploser la situation. Le gouvernement Charif-Emami ne contrôlait plus rien. Toute l’Iran accusait le Chah d’avoir fait exécuter un autre de ses opposants et on bravait désormais ouvertement le couvre-feu.

Heureusement, lorsque celui-ci démissionna, le Chah n’en était pas encore à tenter de s’ouvrir au Mouvement de libération de l'Iran de Mehdi Bazargan ni même au Front national de Chapour Bakhtiar, préférant nommer un militaire, Gholam Reza Azhari, pour tenter d’éteindre l’incendie.

Baraka pouvait donc continuer à arroser les militaires pour qu’ils se tiennent prêt à soutenir un État républicain modéré après l’inévitable chute du Régime et pousser Bazargan (qui finalement, il le senti, n’aurait jamais accepté de soutenir le Régime impérial quel qu’en fusse la façon) et Bakhtiar (qui au contraire, avoua qu’il aura accepté de collaborer avec Mohammad Reza Pahlavi pour mettre fin aux troubles et éviter surtout, un triomphe des religieux, désormais très improbable avec la perte de leur héraut…).

D’ailleurs, le nouveau chef du camp religieux, Mohammad Beheshti, n’avait pas le charisme de son défunt prédécesseur.

Au contraire, Bazargan et Bakhtiar unir leurs forces et lièrent leurs deux voix en publiant une proclamation appelant à la déchéance du Chah et à l’instauration d’une République en Iran !

Désormais, chaque soir, on entend scander sur les toits de Téhéran le cri de « Déchéance ! » tandis que l’armée, contrairement aux ordres reçus, ne s’en prend plus qu’aux opposants religieux ainsi qu’aux membres du Tudeh et de l’extrême gauche.

Le coup de grâce fut porté par la conférence de la Guadeloupe d’octobre, où les dirigeants français, britanniques (James Callaghan) et américains (Jimmy Carter) appelèrent à l’instauration d’un gouvernement issus des urnes en Iran.

Et lâchaient donc le Chah...

Le 6 novembre 1978, Mohammad Reza Pahlavi quitta pour toujours son pays avec sa famille. Seul une poignée de fidèles lui firent leurs adieux tandis que du perchoir du Majlis, Bazargan proclame la République iranienne sous les acclamations des députés présents et des spectateurs venus en nombre.

Paris, le même jour.

François Mitterrand, président conservateur de la République française, était assis dans son fauteuil de velours dont les accoudoirs étaient parés de dorures et dans un style qui soulignait son ancienneté.

Ce luxe assez ostentatoire, signe manifeste d’une certaine pompe, soulignait également son importance aux yeux de ceux qui lui faisaient face.

Néanmoins, pour le moment, il regardait simplement et sans exprimer la moindre émotion le journal de 20 heures de La Première, anciennement Radio Bordeaux.

Roger Gicquet, le présentateur vedette, traitait en cet instant des évènements dramatiques et cruciaux qui se déroulaient en Iran sur son ton habituel qui faisait tellement frémir les ménagères françaises...

Gicquet annonçait que la République venait d’être proclamée en Iran et que le Chah s’était enfui et se dirigeait vers le Maroc, qui lui offrait l’exil.

Sur demande discrète de Paris comme le sait François Mitterrand.

« Quelle ironie... » pensait d'ailleurs le Président français.

L’opposition démocratique modérée qui venait donc de prendre le pouvoir annonçait l’instauration d’un gouvernement provisoire de l’Iran, présidé par Mehdi Bazargan avec Chapour Bakhtiar comme premier ministre, avec en toile de fond, une vidéo de la proclamation.

S’ensuivit l’image de son principal adversaire, le centriste Giscard d’Estaing, exprimant sa sympathie pour les opposants victorieux du « Roi des rois ».

L’homme eut cette phrase fugace, issue de la chanson de Jacques Dutronc, dans son esprit, ce qui le fit, chose rare, légèrement sourire.

« Il retourne encore sa veste celui-là ».

Le sujet terminé, celui-ci éteignit sa télévision avant de se diriger vers sa bibliothèque d’où il retira son exemplaire de 1898 des « Lettres Persanes ».

« Une lecture de circonstance » pensa-t-il.

Une tâche immense faisait face au duo Bazargan/Bakhtiar. Mettre fin aux troubles dans le pays, où des Komiteh révolutionnaires avaient succédé à l’autorité centrale défaillante. Il fallait aussi compter avec les Communistes du Tudeh, puissants, mais surtout avec les Religieux qui s’unirent au sein du Parti républicain islamique de Beheshti.

Heureusement, le désir sincère de liberté et de justice des Persans prévalu. Le gouvernement central mit fin rapidement aux excès des révolutionnaires de la 25ème heure, en mettant un terme aux exécutions sauvages, et en proclamant une amnistie quasi-générale, sauf envers les membres hauts-gradés de la SAVAK et ceux ayant commis des crimes de sang, qui eurent cependant droit à des procès équitables, contrairement à leurs victimes.

Du côté des urnes, ce même bon sens eut le dessus. Ce fut la coalition du Mouvement de libération de l’Iran et du Front national qui l’emporta, bien qu’ils dussent faire face à la puissance des Religieux à leur droite, et des Communistes à leur gauche.

Bien que Bazargan mène une force de droite modérée, et Bakhtiar une force de centre-gauche, ceux-ci ont l’intelligence de ne pas s’opposer tant que la situation ne sera pas stabilisée.

La promesse, tenue rapidement, de droits spéciaux pour les minorités nationales, notamment les Kurdes et les Arabes du Khouzistan, empêcha sans doute une révolte de celles-ci sans faire couler une seule goutte de sang iranien.

Hélas, l’enthousiasme démocratique des nouveaux meneurs de l’Iran irritait au plus haut point ses voisins arabes de l’ouest. En effet, ceux-ci multiplient les déclarations maladroites et irritantes pour leurs voisins au sujet de la propagation de la démocratie dans la région. À l’exception notable des Palestiniens. En effet, les nouveaux dirigeants ont dans l’une de ces déclarations, demandaient une solution juste et équitable au conflit Israélo-palestinien.

Saddam en particulier, déjà échaudé par l’autonomie accordé aux Kurdes, enrage des déclarations sincères mais inopportunes des dirigeants révolutionnaires.

S’estimant trompé par les Français, dont il a bien compris la duplicité, il cède aux sirènes de l’URSS, elle aussi insatisfaite du résultat de la Révolution iranienne, dont les dirigeants restent tout de même proches des Occidentaux, rejetant le Tudeh dans l’opposition légale désormais, à l’heure où l’Afghanistan socialisant depuis la Révolution de Saur et l’exécution du prince Daoud, s’étant enfoncé dans le chaos, l’armée rouge y a déployé sa XLème armée.

Or, avec le Pakistan islamiste de Muhammad Zia-ul-Haq, l’Iran est la seule porte d’entrée possible (et la plus logique) pour une aide venue d’Occident et des pays musulmans, qui ont dénoncé son intervention.

Promettant à Saddam une aide massive s’il intervient, celui qui se pose en leader du monde arabe (face à l’Égypte d’Amer) face aux menaces « sionistes » et désormais persanes, déclenche une attaque surprise sur l’Iran le 22 septembre 1980.

S’engageait un des conflits les plus meurtriers du XXème siècle...

Effectivement, cela rend caduc la première hypothèse sur un maintien d'un Iran impérial avec Reza II.

J'ajouterai qu'en dépit du grand intérêt que j'ai porté à l'excellent texte "Joli mois de Saur" de DemetriosPoliorcète, je n'ai pas pris l'hypothèque d'un sauvetage du Régime Daoud en Afghanistan.

Merci de ton retour.

En 1978 LFC, ils se sont relativement désengagés de la région mais sont présents en Guadeloupe.

Petit éclaircissement concernant ce Mitterrand de droite gaullienne.

https://forumuchronies.frenchboard.com/t628-ctc01-le-retour-du-general

Merci Demetrios !

Ma réflexion tourne en effet vers une guerre bien plus courte qu'IRL.

Une fois que Saddam aura compris qu'il ne gagnera pas, les Iraniens accepteront une offre de paix.

Rayan du Griffoul a écrit:Un trés beau récit
Je suppose que les USA vont soutenir à fond l'Iran

L'Iran démocratique n'est pas celle du Chah. Elle est plus indépendante vis à vis de Washington.

Thomas a écrit:

DemetriosPoliorcète a écrit:Inutile de préciser que ça emballe un passionné d'histoire iranienne comme moi!

Par contre, je pense que la guerre aurait été bien moins meurtrière sans Khomeini.

Sans la purge de l'armée iranienne et la volonté obsessionnelle de Khomeini de poursuivre jusqu'à Bagdad, ça se serait certainement terminé au bout de deux ans maximum.

Oui c'est vrai qu'entre les purges l'arrêt de la fourniture des pièces et matériels occidentaux l'armée iranienne a bien galéré OTL.

L'armée iranienne sera largement mieux équipée qu'IRL et également commandée par les officiers Chahistes ralliés et non purgés. Mais l'Irak sera soutenu massivement par l'URSS. Cela compensera malheureusement.

Note : Jimmy Carter remplace Agnew comme président US. En plus ça va dans le sens de l'abandon du Chah.

D'ailleurs, sans l'islamisme de la révolution iranienne IRL, quid du Hezbollah ? Quelle influence sur la guerre civile libanaise ?

Je dois vous avouer, je n'y connais pas grand chose à ce conflit.

En conséquence du "Triomphe des justes"...

Inspiré fortement du "joli mois de Saur" mais une issue proche pour l'Afghanistan ne peut que coller au monde de LFC


25 décembre 1991 : Le président Bakhtiar était inquiet. À peine le risque d’un effondrement du Régime Baassiste d’Irak s’était dissipé à l’ouest (et pourtant, seul le Miséricordieux savait à quel point il aurait aimé voir Saddam Hussein pendu pour ses innombrables crimes et au combien on lui avait reproché, dans son pays, sa neutralité dans la Guerre entre l’Irak et la Coalition occidentale) que l’horizon s’obscurcissait au nord et par conséquent à l’est pour la république iranienne.

L’URSS venait de se dissoudre. Le Régime de Kaboul n’en avait par conséquent plus pour longtemps, privé qu’il sera très vite du soutien de Moscou.

Bakhtiar avait pris sa décision. Il fallait barrer la route à ces fous qui allaient inévitablement s’emparer de l’Afghanistan, ce qui réanimerait très vite l’opposition islamiste à la république démocratique et laïque que le peuple iranien avait réussi à mettre en place, une république sacrilège aux yeux de ces fanatiques... Non ! Cette république, qui avait tenu face aux débris du Khomeïnisme, au Tudeh et aux assauts barbares de Saddam, ne tomberait pas à cause des erreurs de l’Occident ! Cette Occident qui avaient, par anti-communisme, soutenue bien pire que les partisans de la faucille et du marteau dans l’ancienne Bactriane...

Il allait réunir les plus hauts gradés de l’armée et des services de renseignements iraniens, souvent d’anciens partisans du Chah et rallié par défaut à la République mais certainement encore plus haineux des fous de Dieu que le président lui-même.

Si Moscou n’allait plus équiper le Régime de Mohammad Nadjiboullah, c’est Téhéran qui le fera !

Cependant, des missiles et de l’essence pour l’aviation afghane ne suffirait pas pour rendre perenne la solution d’un Régime non issu des rangs des Moudjahidines. Il fallait aussi une solution politique apte à regrouper l’ensemble des Afghans derrière une bannière commune, un symbole d’unité légitime aux yeux de toutes les ethnies, de toutes les tendances non issus de l’Islamisme…

Par l’entremise de ses frères Français, le chef de l’État iranien entre en contact avec la personne qui incarne la solution à la fois voulue, souhaitable et désirée.

12 avril 1992 : Le président de la République d'Afghanistan, Mohammad Nadjiboullah, était en position de force pour annoncer la tenue d’élections libres et démocratiques dans les 3 mois. Une pluie de missiles et des violents bombardements aériens avaient en effet balayés l’offensive des Moudjahidines en direction de la capitale et tués leur principal meneur, Ahmed Chah Massoud.

Privés de leur héraut, vétéran du combat contre l’État afghan depuis le coup d’État progressiste du prince Daoud, donc bien avant l’intervention des Soviétiques dans le pays, les combattants insurgés se replient pour panser leurs plaies.

Le Loya Jirga élu en juillet voient toutes les forces vives du pays, de la gauche marxiste aux partis conservateurs non islamistes, ainsi que toutes les ethnies, y obtenir des représentants. L’assemblée nationale afghane établit une nouvelle constitution impliquant la restauration de la monarchie avec l’ex roi déchu Mohammad Zaher Shah à sa tête. Le pilier de l’unité afghane, promu par le dirigeant iranien, en qui il voit la seule évolution viable pour son voisin oriental, retrouve ainsi son trône, perdu en 1973.

Nadjiboullah était prêt à se retirer, conscient qu’il était d’avoir terminé sa mission. C’était sans compter sur la grandeur du roi qui dans un souci de concorde, le nomme premier ministre !

En dépit des immenses difficultés liées à la guerre et à ses conséquences économiques et humaines, l’Afghanistan monarchique continuera la politique des Communistes dans les domaines où elle était positive, comme le droit des femmes, leur accès à l’éducation et la santé mais en y adjuvant la démocratie et une ouverture aux Pachtounes, majoritaires dans le pays, recevant même des éloges des organisations internationales.

Merci de l'information !

Le drapeau de la république iranienne.


La constituante issue des élections post-révolutionnaires adopte un drapeau où l’emblème impérial Pahlavi est remplacé par le Faravahar, à la fois emblème zoroastrien, symbole de l'identité iranienne et de la grandeur du pays.

Vous avez raison. Surtout quand on voit les réactions au remplacement du calendrier musulman par le calendrier persan...

Un drapeau "neutre" finalement