Le Triomphe d'une Volonté....
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Le Triomphe d'une Volonté....
Je vais vous proposer une vision cauchemardesque d'un monde où l'Axe remporte la Seconde Guerre Mondiale. Bien sûr cela est complétement grotesque car jamais l'Allemagne et encore moins l'Italie n'ont eu les moyens de réaliser leurs ambitions. Il aura fallu un état-major déplorable à la tête de l'Armée Française pour que nous subissions une défaite aussi amère qu'inévitable vu les incapables qui commandaient nos troupes (Et pourtant le soldat français s'est battu avec une ardeur terrible), pour que nos réserves soient pillées (Comme l'ont été celles de la Tchécoslovaquie, de la Pologne, de la Belgique et des Pays-Bas, ainsi que de la Yougoslavie) pour que l'OKH envisage l'attaque sur la Russie. Mais déjà en Juillet 41' Hitler affirme à son état-major que le Reich ne pourra pas gagner militairement la guerre. Le Japon ? Enlisés en Chine, les nippons se sont déjà pris une branlée en Mongolie et en tentant d'envahir Vladivostok. Pearl Harbor et la Sphère de co-prospérité ? Une utopie indigne de cerveau rationnel. Comment peut-on envisager de gagner une guerre en espérant que l'adversaire la perde ? La perde sur un coup de dé ou par l'opération d'un saint-esprit. Dans tous les cas je finis sur une note où la mégalomanie des uns et des autres ne les épargne pas. Et puis je dois bien vous l'avouer : J'ai un énorme problème quant à la victoire de l'Allemagne. Cela me met mal à l'aise : Les camps de concentration où des millions personnes sont mortes assassinées par des salopards, et les "Unités de Réserve Mobiles de tueries" ss ou de la Heer qui ont criminellement rasées des villages et tuées des milliers d’innocents. Un régime basé sur la délation et la peur. Comment d'abjectes crétins peuvent-ils y voir une quelconque grandeur ?
Enfin, je me suis amusé en écrivant ce blasphème historique, j'espère qu'il vous fera sourire.
Enfin, je me suis amusé en écrivant ce blasphème historique, j'espère qu'il vous fera sourire.
Berold- Messages : 136
Date d'inscription : 28/08/2018
Age : 56
Localisation : Le Village
Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Histoire alternative. Le Triomphe de la Volonté.
Et si Hitler avait réussi son coup d’état en 1923 en Bavière….
La prise du contrôle de la Bavière par les nationaux-socialistes ouvre à ceux-ci plusieurs opportunités politiques dans les autres Lander. Hitler organise alors la mise en place de sa politique sociale aidé en cela par son ami le diplomate Max Erwin Von Scheubner-Ritter. Par leur force de persuasion ou par la voie des urnes les nazis finissent par s’imposer dans toutes les assemblées Allemandes. Partout ils éradiquent les mouvements communistes ou extrémistes gauchisants et obtiennent le soutient des affairistes.
Ernst Röhm, chef des “sections d’assaut“ du parti nazi, mène sur l’ensemble du Reich une véritable chasse aux soviets. Erich Von Ludendorff porté par les nationaux socialistes est élu président de la République aux cours d’élections anticipées qui rassurent les libéraux allemands, les capitalistes ainsi que les affairistes étrangers. L’image du général et sa stature militaire tranquillisent les classes moyennes et les bourgeois qui lui apportent tout leur soutien face aux marxistes et à l’effervescence chaotique de la rue.
Au printemps 1924 Ludendorff nomme, comme convenu avec les cadres du parti nazi, Adolf Hitler Chancelier du Reich. Celui-ci intelligemment s’empresse de signer un acte secret de neutralité avec la Russie Soviétique en cas de conflit entre celle-ci et les Puissances Occidentales qui voient dans le communisme la Némésis de la société occidentale.
En 1925, obséquieux, Hitler rassure les français et les anglais quant à ses intentions gouvernementales qu’il veut pacifiques : Le Chancelier s’empresse de ratifier le pacte de Locarno sans sourciller mais en lui apportant plusieurs modifications qui allège les dommages de guerre que doit rembourser l’Allemagne et d’adopte le “Plan Dawes“ contre l’hyperinflation, et fait entrer l’Allemagne dans la Société des Nations. Grace à cela la République de Weimar démontre toute l’ampleur de la vigueur économique Allemande et ses intentions de paix. La politique économique de la République Allemande se vassalise ainsi les masses salariales et rassure les investisseurs étrangers qui voient dans le nazisme un régime autoritaire certes, mais solide, et prompt à faire de l’Allemagne un barrage actif contre le communisme. Hitler justifie le non payement de l’intégralité la dette de guerre de 1914 à 1918 par le fait que l’Allemagne a besoin de son argent pour se reconstruire afin de jouer à plein son rôle d’état tampon contre le bolchevisme. Parallèlement à tout cela Hitler signe des accords secrets avec les Russes où l’armée de la Reichswehr va s’entrainer en territoire soviétique contre des denrées alimentaires et des matières premières usinées qui font défaut à la Russie des soviets. C’est en Ukraine que les allemands s’entrainent à des manœuvres de blindés où l’infanterie progresse sous la couverture des blindés. A la Heer, qui reçoit moult subsides qui lui font développer son armement et autres projets militaires, est associé la Luftwaffe renaissante. Tout cela dans le plus grand secret, et qui pourrait se douter qu’allemands et russes s’entraident ?
De 1924 à 1929 l’Allemagne connait un redressement économique fulgurant grâce aux capitaux étrangers et notamment Anglo-saxons qui investissent dans l’industrie Allemande qui est jugée plus fiable que la française ou l’anglaise. Hitler écrit Mein Kampf depuis la Villa du parti de Wansee. Le livre est diffusé dans tout le milieu élitiste germanique grâce à la Société de Thulé qui prône le Pangermanisme. Hitler y écrit clairement qu’il veut l’hégémonie de l’Allemagne sur l’Europe et une partie du Monde. Tout à chacun pourrait sans inquiéter, mais sa bonhommie et ses affirmations de paix devant les différents politiques occidentaux font que personne ne prête réellement attention à ses écrits jugés plus provocateurs populistes et peut-être rassurants pour le peuple Allemand. Ernst Röhm, qui représente l’aile gauche virulante du parti nazi, part en Amérique Latine où s’est établie une forte colonie Allemande.
Röhm qui prêche pour une révolution nationale et sociale totale fait peur aux grands bourgeois et aux libéraux. Hitler qui veut l’éloigner pour un temps lui confit alors la mission de monter dans le sous-continent latin des bases de renseignement aptes à favoriser l’implantation de l’idéal fasciste. Le chef des SA s’installe donc au Paraguay où le gouvernement local du président German Busch fait un pont d’or à l’envoyé du Reich. Plusieurs contrats sont passés avec l’Allemagne : des matières premières paraguayennes sont échangées contre de l’armement et la mise en place d’une structure d’encadrement de l’armée latine par les SA. En tant qu’ancien officier d’état major de la Reichswehr et du renseignement Röhm s’acquitte sans problème de sa tache. De plus, pour le flatter sans le vexer du fait de son éloignement, Hitler lui a présenté ce travail comme d’une importance extrême pour le rayonnement du Reich social.
Durant 1929, du fait de la crise mondiale et la fuite des capitaux américains, l'économie allemande plonge dans la récession : baisse de la production et des prix de vente dans l'industrie et l'agriculture. L’Etat voit donc ses recettes diminuer par la baisse de l'activité économique ainsi que par celle des gains des prélèvements fiscaux. Hitler suspend donc définitivement les versements du à la dette de guerre arguant que l’Allemagne n’a plus les moyens de payer tout en maintenant le niveau de vie de ses compatriotes. Il brandit le spectre d’une nouvelle révolution communiste en Allemagne. Face à ces difficultés, le gouvernement du Reich opte pour une politique de déflation et de restauration de l'équilibre budgétaire. Le gouvernement décide également de faire cesser les importations étrangères afin de limiter l'endettement extérieur. Hitler accuse les spéculateurs juifs et étrangers de tous les maux qui s’abattent sur l’Allemagne. Il réclame le pouvoir absolu pour lui permettre de sauver la République du désastre en instaurant le plein emploi. Lors d’un discours devant le Reichstag le 30 janvier 1933, Hitler accepte le poste de Führer du Peuple Allemand à condition de procéder à un référendum où il lui serait donné les pleins pouvoirs. Mais il n’en dit pas plus, ni n’en demande plus. Patient, il attend son heure car il ne veut pas de confrontation directe avec les socialistes allemands encore politiquement influents bien que minoritaires, mais ayant des appuis financiers puissants.
Dès le 4 février 1933, certains journaux ayant encore une certaine liberté d’opposition et de critique sont interdits afin de préserver la cohésion et l’union nationale face à la crise mondiale. Pour forcer les choses et imposer sa politique répressive et totalitariste Hitler fait instaurer un climat de peur.
Le 27 février 1933, le bâtiment du Reichstag est incendié par un chômeur communiste Néerlandais, manipulé par le contre-espionnage allemand. Le lendemain, un décret présidentiel, le “Reichstagsbrandverordnung“, restreint les libertés individuelles. Hitler accuse des terroristes communistes clandestins étrangés de cet incendie et les socialistes qui soutiennent le combat du prolétariat d’être des vecteurs de la délinquance ambiante.
Le 28 février 1933, le chancelier allemand fait suspendre la liberté d’opinion ce qui permet à la police dirigée par Hermann Goering d’appréhender de nombreux antinazis de tous bords. Le SD et la Gestapo du bras droit du Führer arrêtent de nombreux opposants politiques socialistes ce qui angoissent les élus centristes qui négocient leur “survie“ politique en adérants aux principes nationaux socialistes. Avec le climat de terreur à l’encontre des opposants au nazisme qui se met en place, le 23 mars 1933 la loi « sur la suppression de la misère du Peuple et du Reich » accorde enfin légitimement à Hitler les pleins pouvoirs pour une durée indéterminée par 441 voix contre 92 et ainsi le 12 novembre 1933 de nouvelles “ élections “ au Reichstag sont organisées sur une liste unique ne comportant que des candidats nazis qui sont élus avec 92 % de “ oui “. Hitler, toujours chancelier, supprime alors les Assemblées dans les Länder et dote l’Allemagne d’une administration centralisée.
Conformément à sa stratégie, le Führer accède au pouvoir par la voie légale, sur un programme démagogique et populiste, avec l’aide des partis politiques de la droite et du “ Zentrum “, comme rempart contre le chaos, l’anarchisme et le communisme. Le 15 Février 1933, Franklin Delano Roosevelt, président des Etats-Unis d’Amérique est assassiné à Miami par l’anarchiste Italien Joseph Zangara. Roosevelt succédait à Herbert Hoover qui n’avait pas su éviter la crise économique qui mine les Usa. Le Vice Président John “cactus“ Garner remplace alors Roosevelt à la tête de l’état, et met en place le système du New-Deal par dépit sans être vraiment convaincu du bienfondé du programme de son prédécesseur, mais sans autre alternative politique et économique.
Le 14 juillet 1933, le parti nationaliste devient le seul parti légal en Allemagne : son emblème et son idéologie sont présents partout. Hitler instaure une politique économique, raciale et discriminatoire portée par la certitude que le Peuple Allemand est fait pour diriger le Monde. Chaque allemand doit contribuer au développement du Reich et faire un effort de productivité qui booste le PIB. Le président Ludendorff meurt en 1937, et les élections présidentielles sont supprimées par les nationaux socialistes. Hitler cumule alors les deux fonctions : Président de la République et Chancelier sous le nom de Reichfürher. Près de 90 % des électeurs allemands approuvent ce bouleversement constitutionnel par référendum qui leurs apportent l’ordre et la sécurité.
Par le “Führerprinzip“, Hitler affirme n'être responsable de ses discisions devant personne. Dès lors, on parle de “Troisième Reich“, même si formellement la République de Weimar n'est pas abrogée par les nazis. Hitler sur l’insistance de l’Amiral Donitz lance le programme du “Plan Z“ afin de renforcer la flotte de guerre Allemande. Un porte-avions ainsi que plusieurs cuirassés de poche sont mis en chantier, officiellement de renforcer la Flotte Baltique pour faire face aux Russes. Les Anglais convaincus de la bonne foi d’Hitler laissent faire bien que Wilson Churchill journaliste, ancien militaire et homme politique avisé, s’inquiète de l’essor de la marine de guerre du Reich. Des transports de troupes pour des débarquements et des navires logistiques sont mis en œuvre pour soutenir les Battleships. Le tout dans le plus grand secret.
En 1934, un coup d’état militaire fomenté en sous-main par les nazis échoue en Autriche, les Italiens menacent d’intervenir pour préserver l’indépendance Autrichienne. Face à cette situation Hitler décide de s’allier le Duce : il multiplie les sommets politique avec les transalpins, leurs apporte une aide matérielle sur le plan militaire et les soutiens dans leur revendication quant à la conquête de l’Ethiopie. Les Etats-Unis pour leur part s’engagent par le vote de “l’acte de Neutralité“ à ne soutenir aucun belligérant dans un conflit venant à éclater et à ne pas fournir d’armes. Ils renforcent ainsi leur isolement tant politique que militaire qui comme le pense un grand nombre de sénateurs peut amener au redressement du pays qui ressent encore les effets de la crise mondiale. Dans le même temps Hitler signe un accord de paix avec la Pologne, acte qui rassure et enthousiasme les Franco-anglais, amuse les Russes et ouvre au Führer des perspectives diplomatiques inespérées dans ses revendications territoriales.
Le 30 Juin 1934, Hitler avec l’appui des Schutzstaffel, SS sous les ordres de Himmler, se débarrasse des dirigeants de la SA au cours de la “Nuit des longs Couteaux“. Röhm de retour en Allemagne et trop virulent avait fini par s’aliéner les militaires et la bourgeoisie. Il prônait une révolution sociale et radicale. Une ombre planait sur le parti. Röhm accusait Hitler de ne pas soutenir “les troupes armées progressives“ de son parti et de favoriser les capitalistes. Avec la mort de Röhm, Himmler prend alors un ascendant considérable dans le parti par la force armée politique qu’il dirige et qui élimine tous les opposants à son Führer. Il aime parader en faisant le paon et fait faire la coupe des uniformes de ses hommes par le couturier Hugo Boss. Le rendu est impeccable. En 1936, Hitler réinstaure le service national et l’armée allemande réoccupe la Rhénanie sans que ni la France ni l’Angleterre ne protestent. Par son jeu de dupe politique le Führer arrive à convaincre ses partenaires étrangers qu’il est le garant de la République et de l’ordre en Allemagne en alternant tour à tour les discours virulents où il se plaint de “l’étranglement“ de l’Allemagne sur le plan mondial par les capitalistes occidentaux et juifs, et des sommets européens où tout de miel il joue la carte du rempart contre le bolchevisme.
Et si Hitler avait réussi son coup d’état en 1923 en Bavière….
La prise du contrôle de la Bavière par les nationaux-socialistes ouvre à ceux-ci plusieurs opportunités politiques dans les autres Lander. Hitler organise alors la mise en place de sa politique sociale aidé en cela par son ami le diplomate Max Erwin Von Scheubner-Ritter. Par leur force de persuasion ou par la voie des urnes les nazis finissent par s’imposer dans toutes les assemblées Allemandes. Partout ils éradiquent les mouvements communistes ou extrémistes gauchisants et obtiennent le soutient des affairistes.
Ernst Röhm, chef des “sections d’assaut“ du parti nazi, mène sur l’ensemble du Reich une véritable chasse aux soviets. Erich Von Ludendorff porté par les nationaux socialistes est élu président de la République aux cours d’élections anticipées qui rassurent les libéraux allemands, les capitalistes ainsi que les affairistes étrangers. L’image du général et sa stature militaire tranquillisent les classes moyennes et les bourgeois qui lui apportent tout leur soutien face aux marxistes et à l’effervescence chaotique de la rue.
Au printemps 1924 Ludendorff nomme, comme convenu avec les cadres du parti nazi, Adolf Hitler Chancelier du Reich. Celui-ci intelligemment s’empresse de signer un acte secret de neutralité avec la Russie Soviétique en cas de conflit entre celle-ci et les Puissances Occidentales qui voient dans le communisme la Némésis de la société occidentale.
En 1925, obséquieux, Hitler rassure les français et les anglais quant à ses intentions gouvernementales qu’il veut pacifiques : Le Chancelier s’empresse de ratifier le pacte de Locarno sans sourciller mais en lui apportant plusieurs modifications qui allège les dommages de guerre que doit rembourser l’Allemagne et d’adopte le “Plan Dawes“ contre l’hyperinflation, et fait entrer l’Allemagne dans la Société des Nations. Grace à cela la République de Weimar démontre toute l’ampleur de la vigueur économique Allemande et ses intentions de paix. La politique économique de la République Allemande se vassalise ainsi les masses salariales et rassure les investisseurs étrangers qui voient dans le nazisme un régime autoritaire certes, mais solide, et prompt à faire de l’Allemagne un barrage actif contre le communisme. Hitler justifie le non payement de l’intégralité la dette de guerre de 1914 à 1918 par le fait que l’Allemagne a besoin de son argent pour se reconstruire afin de jouer à plein son rôle d’état tampon contre le bolchevisme. Parallèlement à tout cela Hitler signe des accords secrets avec les Russes où l’armée de la Reichswehr va s’entrainer en territoire soviétique contre des denrées alimentaires et des matières premières usinées qui font défaut à la Russie des soviets. C’est en Ukraine que les allemands s’entrainent à des manœuvres de blindés où l’infanterie progresse sous la couverture des blindés. A la Heer, qui reçoit moult subsides qui lui font développer son armement et autres projets militaires, est associé la Luftwaffe renaissante. Tout cela dans le plus grand secret, et qui pourrait se douter qu’allemands et russes s’entraident ?
De 1924 à 1929 l’Allemagne connait un redressement économique fulgurant grâce aux capitaux étrangers et notamment Anglo-saxons qui investissent dans l’industrie Allemande qui est jugée plus fiable que la française ou l’anglaise. Hitler écrit Mein Kampf depuis la Villa du parti de Wansee. Le livre est diffusé dans tout le milieu élitiste germanique grâce à la Société de Thulé qui prône le Pangermanisme. Hitler y écrit clairement qu’il veut l’hégémonie de l’Allemagne sur l’Europe et une partie du Monde. Tout à chacun pourrait sans inquiéter, mais sa bonhommie et ses affirmations de paix devant les différents politiques occidentaux font que personne ne prête réellement attention à ses écrits jugés plus provocateurs populistes et peut-être rassurants pour le peuple Allemand. Ernst Röhm, qui représente l’aile gauche virulante du parti nazi, part en Amérique Latine où s’est établie une forte colonie Allemande.
Röhm qui prêche pour une révolution nationale et sociale totale fait peur aux grands bourgeois et aux libéraux. Hitler qui veut l’éloigner pour un temps lui confit alors la mission de monter dans le sous-continent latin des bases de renseignement aptes à favoriser l’implantation de l’idéal fasciste. Le chef des SA s’installe donc au Paraguay où le gouvernement local du président German Busch fait un pont d’or à l’envoyé du Reich. Plusieurs contrats sont passés avec l’Allemagne : des matières premières paraguayennes sont échangées contre de l’armement et la mise en place d’une structure d’encadrement de l’armée latine par les SA. En tant qu’ancien officier d’état major de la Reichswehr et du renseignement Röhm s’acquitte sans problème de sa tache. De plus, pour le flatter sans le vexer du fait de son éloignement, Hitler lui a présenté ce travail comme d’une importance extrême pour le rayonnement du Reich social.
Durant 1929, du fait de la crise mondiale et la fuite des capitaux américains, l'économie allemande plonge dans la récession : baisse de la production et des prix de vente dans l'industrie et l'agriculture. L’Etat voit donc ses recettes diminuer par la baisse de l'activité économique ainsi que par celle des gains des prélèvements fiscaux. Hitler suspend donc définitivement les versements du à la dette de guerre arguant que l’Allemagne n’a plus les moyens de payer tout en maintenant le niveau de vie de ses compatriotes. Il brandit le spectre d’une nouvelle révolution communiste en Allemagne. Face à ces difficultés, le gouvernement du Reich opte pour une politique de déflation et de restauration de l'équilibre budgétaire. Le gouvernement décide également de faire cesser les importations étrangères afin de limiter l'endettement extérieur. Hitler accuse les spéculateurs juifs et étrangers de tous les maux qui s’abattent sur l’Allemagne. Il réclame le pouvoir absolu pour lui permettre de sauver la République du désastre en instaurant le plein emploi. Lors d’un discours devant le Reichstag le 30 janvier 1933, Hitler accepte le poste de Führer du Peuple Allemand à condition de procéder à un référendum où il lui serait donné les pleins pouvoirs. Mais il n’en dit pas plus, ni n’en demande plus. Patient, il attend son heure car il ne veut pas de confrontation directe avec les socialistes allemands encore politiquement influents bien que minoritaires, mais ayant des appuis financiers puissants.
Dès le 4 février 1933, certains journaux ayant encore une certaine liberté d’opposition et de critique sont interdits afin de préserver la cohésion et l’union nationale face à la crise mondiale. Pour forcer les choses et imposer sa politique répressive et totalitariste Hitler fait instaurer un climat de peur.
Le 27 février 1933, le bâtiment du Reichstag est incendié par un chômeur communiste Néerlandais, manipulé par le contre-espionnage allemand. Le lendemain, un décret présidentiel, le “Reichstagsbrandverordnung“, restreint les libertés individuelles. Hitler accuse des terroristes communistes clandestins étrangés de cet incendie et les socialistes qui soutiennent le combat du prolétariat d’être des vecteurs de la délinquance ambiante.
Le 28 février 1933, le chancelier allemand fait suspendre la liberté d’opinion ce qui permet à la police dirigée par Hermann Goering d’appréhender de nombreux antinazis de tous bords. Le SD et la Gestapo du bras droit du Führer arrêtent de nombreux opposants politiques socialistes ce qui angoissent les élus centristes qui négocient leur “survie“ politique en adérants aux principes nationaux socialistes. Avec le climat de terreur à l’encontre des opposants au nazisme qui se met en place, le 23 mars 1933 la loi « sur la suppression de la misère du Peuple et du Reich » accorde enfin légitimement à Hitler les pleins pouvoirs pour une durée indéterminée par 441 voix contre 92 et ainsi le 12 novembre 1933 de nouvelles “ élections “ au Reichstag sont organisées sur une liste unique ne comportant que des candidats nazis qui sont élus avec 92 % de “ oui “. Hitler, toujours chancelier, supprime alors les Assemblées dans les Länder et dote l’Allemagne d’une administration centralisée.
Conformément à sa stratégie, le Führer accède au pouvoir par la voie légale, sur un programme démagogique et populiste, avec l’aide des partis politiques de la droite et du “ Zentrum “, comme rempart contre le chaos, l’anarchisme et le communisme. Le 15 Février 1933, Franklin Delano Roosevelt, président des Etats-Unis d’Amérique est assassiné à Miami par l’anarchiste Italien Joseph Zangara. Roosevelt succédait à Herbert Hoover qui n’avait pas su éviter la crise économique qui mine les Usa. Le Vice Président John “cactus“ Garner remplace alors Roosevelt à la tête de l’état, et met en place le système du New-Deal par dépit sans être vraiment convaincu du bienfondé du programme de son prédécesseur, mais sans autre alternative politique et économique.
Le 14 juillet 1933, le parti nationaliste devient le seul parti légal en Allemagne : son emblème et son idéologie sont présents partout. Hitler instaure une politique économique, raciale et discriminatoire portée par la certitude que le Peuple Allemand est fait pour diriger le Monde. Chaque allemand doit contribuer au développement du Reich et faire un effort de productivité qui booste le PIB. Le président Ludendorff meurt en 1937, et les élections présidentielles sont supprimées par les nationaux socialistes. Hitler cumule alors les deux fonctions : Président de la République et Chancelier sous le nom de Reichfürher. Près de 90 % des électeurs allemands approuvent ce bouleversement constitutionnel par référendum qui leurs apportent l’ordre et la sécurité.
Par le “Führerprinzip“, Hitler affirme n'être responsable de ses discisions devant personne. Dès lors, on parle de “Troisième Reich“, même si formellement la République de Weimar n'est pas abrogée par les nazis. Hitler sur l’insistance de l’Amiral Donitz lance le programme du “Plan Z“ afin de renforcer la flotte de guerre Allemande. Un porte-avions ainsi que plusieurs cuirassés de poche sont mis en chantier, officiellement de renforcer la Flotte Baltique pour faire face aux Russes. Les Anglais convaincus de la bonne foi d’Hitler laissent faire bien que Wilson Churchill journaliste, ancien militaire et homme politique avisé, s’inquiète de l’essor de la marine de guerre du Reich. Des transports de troupes pour des débarquements et des navires logistiques sont mis en œuvre pour soutenir les Battleships. Le tout dans le plus grand secret.
En 1934, un coup d’état militaire fomenté en sous-main par les nazis échoue en Autriche, les Italiens menacent d’intervenir pour préserver l’indépendance Autrichienne. Face à cette situation Hitler décide de s’allier le Duce : il multiplie les sommets politique avec les transalpins, leurs apporte une aide matérielle sur le plan militaire et les soutiens dans leur revendication quant à la conquête de l’Ethiopie. Les Etats-Unis pour leur part s’engagent par le vote de “l’acte de Neutralité“ à ne soutenir aucun belligérant dans un conflit venant à éclater et à ne pas fournir d’armes. Ils renforcent ainsi leur isolement tant politique que militaire qui comme le pense un grand nombre de sénateurs peut amener au redressement du pays qui ressent encore les effets de la crise mondiale. Dans le même temps Hitler signe un accord de paix avec la Pologne, acte qui rassure et enthousiasme les Franco-anglais, amuse les Russes et ouvre au Führer des perspectives diplomatiques inespérées dans ses revendications territoriales.
Le 30 Juin 1934, Hitler avec l’appui des Schutzstaffel, SS sous les ordres de Himmler, se débarrasse des dirigeants de la SA au cours de la “Nuit des longs Couteaux“. Röhm de retour en Allemagne et trop virulent avait fini par s’aliéner les militaires et la bourgeoisie. Il prônait une révolution sociale et radicale. Une ombre planait sur le parti. Röhm accusait Hitler de ne pas soutenir “les troupes armées progressives“ de son parti et de favoriser les capitalistes. Avec la mort de Röhm, Himmler prend alors un ascendant considérable dans le parti par la force armée politique qu’il dirige et qui élimine tous les opposants à son Führer. Il aime parader en faisant le paon et fait faire la coupe des uniformes de ses hommes par le couturier Hugo Boss. Le rendu est impeccable. En 1936, Hitler réinstaure le service national et l’armée allemande réoccupe la Rhénanie sans que ni la France ni l’Angleterre ne protestent. Par son jeu de dupe politique le Führer arrive à convaincre ses partenaires étrangers qu’il est le garant de la République et de l’ordre en Allemagne en alternant tour à tour les discours virulents où il se plaint de “l’étranglement“ de l’Allemagne sur le plan mondial par les capitalistes occidentaux et juifs, et des sommets européens où tout de miel il joue la carte du rempart contre le bolchevisme.
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Dans le même temps Ribbentrop, le ministre des affaires étrangères du Reich, conclut secrètement des accords avec son homologue soviétique : Molotov, où l’Allemagne et l’Union Soviétique dans des spéculations fantasques se partagent l’Europe Centrale et de l’Est. Staline aveuglé exulte et un optimisme halluciné règne au Kremlin. Il est temps pour lui de procéder aux purges. Hitler satisfait tous ses interlocuteurs occidentaux et asiatiques. La signature du pacte anti-Kominterm avec le Japon et l’Italie vient renforcer sa position militaire. Le Japon entré dans l’ère “Showa“ adopte le concept d’Akke Ichi’u où il est défini que les nippons sont de race supérieure et doivent diriger l’Asie. L’expansionnisme japonais date de 1895, où l’Empereur fait appel à l’architecte naval Français Gautier pour construire une flotte de Guerre. Les futurs officiers sont formés en Grande Bretagne. Le Japon préfère jouer la carte de l’Angleterre face aux Usa. Les anglais pensent avoir ainsi un droit de regard sur la flotte nippone. Cette même flotte servira à défaire les russes du Tsar, à couvrir l’invasion du continent Asiatique et à s’emparer des possessions allemandes dans le Pacifique. Choses qui déplaisent fortement aux militaires américains qui entendent régir la politique asiatique. Aux Etats-Unis, le Républicain Landon est élu président face à un Garner qui n’a pas su sortir son pays de l’impasse économique. Landon ancre encore plus son pays dans l’isolationnisme. Le nombre d’adhérents au Ku Klux Klan du Grand Cyclope Stevenson se monte alors à 30 000 personnes dans les états du Sud soumis à des contraintes économiques et à une récession dont personne ne voit le bout. Sauf les spéculateurs et les affairistes qui s’enrichissent.
Mussolini qui doit beaucoup à Allemagne pour son soutien politique et militaire par des livraisons d’armes modernes dans sa conquête de l’Ethiopie devient l’allié privilégié d’Hitler, et le Duce ne s’oppose plus aux revendications Allemandes sur l’Autriche. Le Führer s’accorde même avec le premier ministre transalpin sur l’agrandissement en Europe Balkanique de “l’Empire Italien“.
Pendant la guerre du “Chaco“ de 1936 déclenchée par les Usa pour faire main-basse sur le pétrole Sud-américain et opposant la Bolivie et le Paraguay, le Reich fournit un soutien logistique conséquent au général paraguayen Rafael Franco qui repousse les Boliviens soutenus par la société Standard Oïl Américaine. L’aide militaire extérieure Allemande soutient aussi en Espagne le général nationaliste Francisco Franco y Bahamonde qui s’oppose aux marxistes. La “Légion Condor“ regroupant des régiments d’infanterie, des blindés et de l’aviation prend part aux combats aux côtés de troupes Italiennes contre les “Brigades Internationales“ et met ainsi en pratique la proto-blitzkrieg qui, pour Hitler et le maréchal Keitel, doit servir de modèle d’action militaire pour les conflits à venir. De nouvelles armes sont testées durant le conflit.
Durant le mois de Mai 1937, commence la Guerre Sino-japonaise : prise Pékin le 7 Juillet. Les Japonais conquièrent de vastes territoires, occupent les villes et massacrent sans vergogne des milliers de Chinois.
En Angleterre, Édouard VIII critiqué et moralement rejeté par l’opinion publique abdique par dépit afin de pouvoir se marier avec une américaine divorcée et pronazi. Cependant, l’ex roi Édouard devenu duc de Windsor reste très lié au milieu des affaires et ses relations le mettent bientôt en contact avec un affairiste franco-américain : Charles Bedaux. Cet homme est lié depuis des années avec les autorités allemandes : celles du Kaiser, puis celles de “l'ordre nouveau“. En dehors de ses affaires il fait aussi de l'espionnage pour les services du Reich. En Europe un ordre nouveau est en marche et le duc Édouard se laisse séduire par ce milieu, et toute la rancœur bouillonnante qui l'habite le fait déborder d'énergie pour retrouver sa place parmi l'élite mondiale. Lui, le dévoué, en avance moralement sur son temps va montrer à tous ces conservateurs coincés ce qu'est un homme éclairé du 20ème siècle. C'est dans ce contexte que par ses relations Charles Bedaux fait rencontrer Édouard à Goering, puis à Hitler. Berchtesgaden est un lieu de villégiature et de réflexion fort appréciable et l'hôte est tout à l'écoute de son royal invité. Le duc joue dans la cour des grands pour refaire le monde et il s'y plait. Il a une place, un rang correspondant à sa stature, son ambition. Le duc embrasse sans fêlures les idées politiques du Reich. Il va devenir un ardent disciple du führer et pour sa cause un espion. Hitler ne cache rien au duc de Windsor : l'Allemagne va faire la guerre à l'Europe et infliger une défaite aux forces du Commonwealth sans pour autant humilier le royaume uni. Cela entrainera la déposition du placide roi George et la restauration d’Édouard. De son côté le duc s'engage à tout faire diplomatiquement pour qu'une fois la défaite survenue pour les alliés, l'Angleterre amorce des négociations de paix. Ce "contrat politique" est connu sous le nom de : Protocole de Windsor. En Angleterre plusieurs contacts sont noués entre l’ambassadeur du Reich et Joseph Kennedy ambassadeur des Usa qui voit dans la réussite des dictatures européennes un modèle pour sortir son pays de la crise économique.
A cette époque l’aviateur Charles Lindbergh est en Angleterre pour échapper à l’effervescence aux Usa qui entoure encore l’enlèvement et le meurtre de son enfant. Il noue des relations amicales avec Hermann Goring qui le décore de la médaille de l’aviation allemande et lui distille tous les bienfondés du fascisme. Durant cette période les scientifiques allemands arrivent à “briser“ en deux un atome d’Uranium en le bombardant avec des neutrons. La conception d’une bombe atomique leurs parait envisageable. Hitler donne son accord pour le développement du “Projet Walhalla“. Les scientifiques Hahn et Heisenberg, Carl Friedrich Von Weizsäcker, Erich Bagge, Walther Gerlach, Max Von Laue ainsi que Carl Wirtz se mettent au travail pour créer une “bombe de désagrégation“ : la Bombe Atomique.
Durant Juin 1938 ont lieu les accords de Munich. Hitler face à ses interlocuteurs revendique le droit pour tous les allemands à appartenir à une seule et même entité : le Reich. Déjà en février 1938 Hitler a imposé au gouvernement de Vienne le nazi Arthur Seyss-Inquart comme ministre de l'Intérieur en Autriche. Le 11 mars, à force de corruption, passe-droits et intimidation, Seyss-Inquart prend la tête du gouvernement autrichien et fait immédiatement appel aux troupes allemandes pour renforcer le maintien de l’ordre. Elles entrent en Autriche le lendemain. Le 10 avril suivant un référendum ratifie l'Anschluss à une majorité de plus de 99 % des voix.
L'Autriche devient alors une province du Reich Allemand. Ainsi, les accords de Munich ratifient-ils simplement l’Anschluss de l’Autriche et l’annexion des Sudètes. La France et L’Angleterre y voient la paix préservée en Europe. Pour le Führer c’est le début de la mise en place de ses armées et de ses pions afin d’en finir avec les ennemis du Reich. Ainsi, début septembre 1939, les Allemands envahissent-ils la Tchécoslovaquie et mettent en place un protectorat sur la Bohême-Moravie. Français et Anglais impuissants militairement et dépassés politiquement ne peuvent réagir pris de vitesse. L’arsenal Tchèque tombe entre les mains de la Wehrmacht. La Slovaquie devient indépendante et vassale du Reich. Hitler, ne voyant plus de limite à ses ambitions, demande alors à la Pologne de lui céder le territoire baltique qui sépare l’Allemagne de la Prusse.
A Varsovie, le gouvernement polonais émet un refus catégorique. Pour le Führer c’est le prétexte pour en finir avec les slaves. L’Allemagne est militairement prête pour en découdre avec tous ses ennemis. De son côté le général Espagnol Franco en finit avec les marxistes et prend définitivement le pouvoir en Espagne. Forte de son expérience dans la guerre Ibérique, la Wehrmacht se prépare au combat. A l’autre bout de la planète le Japon adopte la loi de mobilisation nationale pour gonfler son armée et opte pour le financement illimité de l’armement. Déjà se dessine dans le gouvernement de Fumimaro Konoe l’ambition de créer une sphère de coprospérité Asiatique dirigée par le Japon. Pour les nippons le seul obstacle à la réussite de leur entreprise se révèle être les Usa qui depuis 1925 ne voient pas d’un bon œil l’implantation des nippons dans le Pacifique. Ainsi, l’amirauté et les généraux établissent un plan d’action en cas de conflit ouvert avec les Etats-Unis.
Le 1er septembre 1939 commence l’invasion de la Pologne par les 3, 4, 8, 9 et 14èmes armées de la Heer : c’est le Plan Blanc et la mise en œuvre de la Blitzkrieg. Les russes, selon les accords Molotov-Ribbentrop, envahissent la Pologne Orientale, la Bessarabie, les Pays Baltes et la Carélie Finlandaise.
En moins d’un mois il ne reste rien des forces armées de Varsovie. Hitler entrevoit alors l’opportunité d’attaquer tout de suite les Puissances Occidentales qui lui déclarent la guerre selon les accords passés avec la Pologne, mais qui ne sont pas encore en état de mobilisation générale. Les généraux de la Wehrmacht s’affolent de cette situation. Pour eux il est trop tôt pour lancer une offensive à l’Ouest, et de plus un avion de reconnaissance allemand avec tous les plans d’invasion de la France a du se poser en Belgique. Ses occupants sont tombés entre les mains des gendarmes belges.
Pour le Führer c’est une raison de plus pour ne pas perdre de temps. Les troupes de la Heer passent en moins de quinze jours de Chełm à la ligne Siegfried. Hitler veut porter la guerre en terre Française et y retrancher son armée pour attendre la contre-attaque des Alliés. Le 3 octobre 1939, Hitler ordonne l’invasion de la France et du Benelux par la Wehrmacht. Bien que le Plan d’invasion du général Von Manstein soit connu des alliés occidentaux, Hitler le maintient. Le Plan Orange porte en lui plus que les promesses escomptées : le 14 octobre lors de la bataille de Sedan, les régiments de panzers percent la ligne de front allié et bousculent sans relâche les troupes françaises. Celles-ci se trouvent tournées par un “coup de faucille“.
La bataille de Dunkerque du 28 octobre au 4 novembre voit l’encerclement total du gros des divisions françaises et anglaises qui n’ont pu évacuer face à leur poursuite par les Panzers de Guderian : La Panzerwaffe, soutenue par l’aviation, selon le plan du général Von Manstein écrase toute résistance adverse.
Hitler n’arrête pas l’offensive de la Heer dans le Pas-de-Calais pour ménager l’Angleterre : le BEF est annihilé sur les plages du Nord de la France où sont capturés les généraux Montgomery et Alexander. En moins de trois semaines le Benelux est conquis. Le 22 novembre 1939, la France vaincue signe l’armistice et le maréchal Pétain sauveur de la Nation devient le chef de l’état. La France est coupée en deux, et occupée dans sa partie nord et sur son littoral atlantique.
Le 29 novembre 1939 marque le début à proprement dit de la bataille aérienne d’Angleterre. La Luftwaffe concentre ses attaques sur les stations radars et les terrains d’aviation anglais. Les britanniques bombardent la Ruhr en représailles pour contrecarrer et affecter l’industrie Allemande. C’est une mauvaise tactique coûte la vie à des centaines d’aviateurs anglais qui sont confrontés à la supériorité de la Luftwaffe qui avec ses avions modernes surclasse ses adversaires. Celle-ci multiplie les sorties pour éradiquer toute menace et par l’attrition en défaveur des britanniques prend l’accensant sur la Royal Air force. En Sibérie, les japonais décident depuis la Manchourie d’agrandir leur sphère économique continentale et attaquent les Soviétiques pour prendre le contrôle de la Mongolie et du port militaire de Vladivostok. Les nippons sont dès les premiers combats repoussés sans ménagement par l’armée blindée du général Joukov.
L’armée d’invasion japonaise finit par se débander. Les diplomates de l’Empereur n’ont d’autre solution que de signer la paix avec les Russes. Le Japon quitte alors le pacte anti-Kominterm afin d’éviter un désastre si les Soviétiques avaient la mauvaise idée de poursuivre leur contre-attaque en Chine occupée. Les militaires Japonais ivres de rage face à ce camouflet et afin de ne pas perdre la main pensent déjà à conquérir le Pacifique afin de redorer leur blason. L’Amiral Yamamoto mobilise la Flotte Impériale. Le 9 avril 1940, commence les invasions allemandes de la Norvège, de l’archipel du Spitsberg et du Danemark pour s’assurer des côtes atlantiques. La Bataille d’Angleterre s’intensifie. La Luftwaffe surclasse la Royale Air Force et reste la maitresse des airs. Les bombardiers allemands attaquent les ports de guerre anglais pour former un blocus économique de la Grande Bretagne.
Mussolini qui doit beaucoup à Allemagne pour son soutien politique et militaire par des livraisons d’armes modernes dans sa conquête de l’Ethiopie devient l’allié privilégié d’Hitler, et le Duce ne s’oppose plus aux revendications Allemandes sur l’Autriche. Le Führer s’accorde même avec le premier ministre transalpin sur l’agrandissement en Europe Balkanique de “l’Empire Italien“.
Pendant la guerre du “Chaco“ de 1936 déclenchée par les Usa pour faire main-basse sur le pétrole Sud-américain et opposant la Bolivie et le Paraguay, le Reich fournit un soutien logistique conséquent au général paraguayen Rafael Franco qui repousse les Boliviens soutenus par la société Standard Oïl Américaine. L’aide militaire extérieure Allemande soutient aussi en Espagne le général nationaliste Francisco Franco y Bahamonde qui s’oppose aux marxistes. La “Légion Condor“ regroupant des régiments d’infanterie, des blindés et de l’aviation prend part aux combats aux côtés de troupes Italiennes contre les “Brigades Internationales“ et met ainsi en pratique la proto-blitzkrieg qui, pour Hitler et le maréchal Keitel, doit servir de modèle d’action militaire pour les conflits à venir. De nouvelles armes sont testées durant le conflit.
Durant le mois de Mai 1937, commence la Guerre Sino-japonaise : prise Pékin le 7 Juillet. Les Japonais conquièrent de vastes territoires, occupent les villes et massacrent sans vergogne des milliers de Chinois.
En Angleterre, Édouard VIII critiqué et moralement rejeté par l’opinion publique abdique par dépit afin de pouvoir se marier avec une américaine divorcée et pronazi. Cependant, l’ex roi Édouard devenu duc de Windsor reste très lié au milieu des affaires et ses relations le mettent bientôt en contact avec un affairiste franco-américain : Charles Bedaux. Cet homme est lié depuis des années avec les autorités allemandes : celles du Kaiser, puis celles de “l'ordre nouveau“. En dehors de ses affaires il fait aussi de l'espionnage pour les services du Reich. En Europe un ordre nouveau est en marche et le duc Édouard se laisse séduire par ce milieu, et toute la rancœur bouillonnante qui l'habite le fait déborder d'énergie pour retrouver sa place parmi l'élite mondiale. Lui, le dévoué, en avance moralement sur son temps va montrer à tous ces conservateurs coincés ce qu'est un homme éclairé du 20ème siècle. C'est dans ce contexte que par ses relations Charles Bedaux fait rencontrer Édouard à Goering, puis à Hitler. Berchtesgaden est un lieu de villégiature et de réflexion fort appréciable et l'hôte est tout à l'écoute de son royal invité. Le duc joue dans la cour des grands pour refaire le monde et il s'y plait. Il a une place, un rang correspondant à sa stature, son ambition. Le duc embrasse sans fêlures les idées politiques du Reich. Il va devenir un ardent disciple du führer et pour sa cause un espion. Hitler ne cache rien au duc de Windsor : l'Allemagne va faire la guerre à l'Europe et infliger une défaite aux forces du Commonwealth sans pour autant humilier le royaume uni. Cela entrainera la déposition du placide roi George et la restauration d’Édouard. De son côté le duc s'engage à tout faire diplomatiquement pour qu'une fois la défaite survenue pour les alliés, l'Angleterre amorce des négociations de paix. Ce "contrat politique" est connu sous le nom de : Protocole de Windsor. En Angleterre plusieurs contacts sont noués entre l’ambassadeur du Reich et Joseph Kennedy ambassadeur des Usa qui voit dans la réussite des dictatures européennes un modèle pour sortir son pays de la crise économique.
A cette époque l’aviateur Charles Lindbergh est en Angleterre pour échapper à l’effervescence aux Usa qui entoure encore l’enlèvement et le meurtre de son enfant. Il noue des relations amicales avec Hermann Goring qui le décore de la médaille de l’aviation allemande et lui distille tous les bienfondés du fascisme. Durant cette période les scientifiques allemands arrivent à “briser“ en deux un atome d’Uranium en le bombardant avec des neutrons. La conception d’une bombe atomique leurs parait envisageable. Hitler donne son accord pour le développement du “Projet Walhalla“. Les scientifiques Hahn et Heisenberg, Carl Friedrich Von Weizsäcker, Erich Bagge, Walther Gerlach, Max Von Laue ainsi que Carl Wirtz se mettent au travail pour créer une “bombe de désagrégation“ : la Bombe Atomique.
Durant Juin 1938 ont lieu les accords de Munich. Hitler face à ses interlocuteurs revendique le droit pour tous les allemands à appartenir à une seule et même entité : le Reich. Déjà en février 1938 Hitler a imposé au gouvernement de Vienne le nazi Arthur Seyss-Inquart comme ministre de l'Intérieur en Autriche. Le 11 mars, à force de corruption, passe-droits et intimidation, Seyss-Inquart prend la tête du gouvernement autrichien et fait immédiatement appel aux troupes allemandes pour renforcer le maintien de l’ordre. Elles entrent en Autriche le lendemain. Le 10 avril suivant un référendum ratifie l'Anschluss à une majorité de plus de 99 % des voix.
L'Autriche devient alors une province du Reich Allemand. Ainsi, les accords de Munich ratifient-ils simplement l’Anschluss de l’Autriche et l’annexion des Sudètes. La France et L’Angleterre y voient la paix préservée en Europe. Pour le Führer c’est le début de la mise en place de ses armées et de ses pions afin d’en finir avec les ennemis du Reich. Ainsi, début septembre 1939, les Allemands envahissent-ils la Tchécoslovaquie et mettent en place un protectorat sur la Bohême-Moravie. Français et Anglais impuissants militairement et dépassés politiquement ne peuvent réagir pris de vitesse. L’arsenal Tchèque tombe entre les mains de la Wehrmacht. La Slovaquie devient indépendante et vassale du Reich. Hitler, ne voyant plus de limite à ses ambitions, demande alors à la Pologne de lui céder le territoire baltique qui sépare l’Allemagne de la Prusse.
A Varsovie, le gouvernement polonais émet un refus catégorique. Pour le Führer c’est le prétexte pour en finir avec les slaves. L’Allemagne est militairement prête pour en découdre avec tous ses ennemis. De son côté le général Espagnol Franco en finit avec les marxistes et prend définitivement le pouvoir en Espagne. Forte de son expérience dans la guerre Ibérique, la Wehrmacht se prépare au combat. A l’autre bout de la planète le Japon adopte la loi de mobilisation nationale pour gonfler son armée et opte pour le financement illimité de l’armement. Déjà se dessine dans le gouvernement de Fumimaro Konoe l’ambition de créer une sphère de coprospérité Asiatique dirigée par le Japon. Pour les nippons le seul obstacle à la réussite de leur entreprise se révèle être les Usa qui depuis 1925 ne voient pas d’un bon œil l’implantation des nippons dans le Pacifique. Ainsi, l’amirauté et les généraux établissent un plan d’action en cas de conflit ouvert avec les Etats-Unis.
Le 1er septembre 1939 commence l’invasion de la Pologne par les 3, 4, 8, 9 et 14èmes armées de la Heer : c’est le Plan Blanc et la mise en œuvre de la Blitzkrieg. Les russes, selon les accords Molotov-Ribbentrop, envahissent la Pologne Orientale, la Bessarabie, les Pays Baltes et la Carélie Finlandaise.
En moins d’un mois il ne reste rien des forces armées de Varsovie. Hitler entrevoit alors l’opportunité d’attaquer tout de suite les Puissances Occidentales qui lui déclarent la guerre selon les accords passés avec la Pologne, mais qui ne sont pas encore en état de mobilisation générale. Les généraux de la Wehrmacht s’affolent de cette situation. Pour eux il est trop tôt pour lancer une offensive à l’Ouest, et de plus un avion de reconnaissance allemand avec tous les plans d’invasion de la France a du se poser en Belgique. Ses occupants sont tombés entre les mains des gendarmes belges.
Pour le Führer c’est une raison de plus pour ne pas perdre de temps. Les troupes de la Heer passent en moins de quinze jours de Chełm à la ligne Siegfried. Hitler veut porter la guerre en terre Française et y retrancher son armée pour attendre la contre-attaque des Alliés. Le 3 octobre 1939, Hitler ordonne l’invasion de la France et du Benelux par la Wehrmacht. Bien que le Plan d’invasion du général Von Manstein soit connu des alliés occidentaux, Hitler le maintient. Le Plan Orange porte en lui plus que les promesses escomptées : le 14 octobre lors de la bataille de Sedan, les régiments de panzers percent la ligne de front allié et bousculent sans relâche les troupes françaises. Celles-ci se trouvent tournées par un “coup de faucille“.
La bataille de Dunkerque du 28 octobre au 4 novembre voit l’encerclement total du gros des divisions françaises et anglaises qui n’ont pu évacuer face à leur poursuite par les Panzers de Guderian : La Panzerwaffe, soutenue par l’aviation, selon le plan du général Von Manstein écrase toute résistance adverse.
Hitler n’arrête pas l’offensive de la Heer dans le Pas-de-Calais pour ménager l’Angleterre : le BEF est annihilé sur les plages du Nord de la France où sont capturés les généraux Montgomery et Alexander. En moins de trois semaines le Benelux est conquis. Le 22 novembre 1939, la France vaincue signe l’armistice et le maréchal Pétain sauveur de la Nation devient le chef de l’état. La France est coupée en deux, et occupée dans sa partie nord et sur son littoral atlantique.
Le 29 novembre 1939 marque le début à proprement dit de la bataille aérienne d’Angleterre. La Luftwaffe concentre ses attaques sur les stations radars et les terrains d’aviation anglais. Les britanniques bombardent la Ruhr en représailles pour contrecarrer et affecter l’industrie Allemande. C’est une mauvaise tactique coûte la vie à des centaines d’aviateurs anglais qui sont confrontés à la supériorité de la Luftwaffe qui avec ses avions modernes surclasse ses adversaires. Celle-ci multiplie les sorties pour éradiquer toute menace et par l’attrition en défaveur des britanniques prend l’accensant sur la Royal Air force. En Sibérie, les japonais décident depuis la Manchourie d’agrandir leur sphère économique continentale et attaquent les Soviétiques pour prendre le contrôle de la Mongolie et du port militaire de Vladivostok. Les nippons sont dès les premiers combats repoussés sans ménagement par l’armée blindée du général Joukov.
L’armée d’invasion japonaise finit par se débander. Les diplomates de l’Empereur n’ont d’autre solution que de signer la paix avec les Russes. Le Japon quitte alors le pacte anti-Kominterm afin d’éviter un désastre si les Soviétiques avaient la mauvaise idée de poursuivre leur contre-attaque en Chine occupée. Les militaires Japonais ivres de rage face à ce camouflet et afin de ne pas perdre la main pensent déjà à conquérir le Pacifique afin de redorer leur blason. L’Amiral Yamamoto mobilise la Flotte Impériale. Le 9 avril 1940, commence les invasions allemandes de la Norvège, de l’archipel du Spitsberg et du Danemark pour s’assurer des côtes atlantiques. La Bataille d’Angleterre s’intensifie. La Luftwaffe surclasse la Royale Air Force et reste la maitresse des airs. Les bombardiers allemands attaquent les ports de guerre anglais pour former un blocus économique de la Grande Bretagne.
Berold- Messages : 136
Date d'inscription : 28/08/2018
Age : 56
Localisation : Le Village
Re: Le Triomphe d'une Volonté....
La Royale Navy prise à partie est obligée de s’éloigner de la Manche et se regroupe à Scapa Flow. De nombreux navires de guerre britanniques sont coulés par la Luftflotte qui opère depuis Narvik. Le manque de réalisme des Anglais les amène à entreprendre des actes irraisonnés. La marine de guerre anglaise attaque la flotte française à Mer el Kébir : l’Amirauté anglaise pense que la flotte française stationnée en Méditerranée va tombée aux mains des allemands et décide de la détruire. L’émotion dans l’hexagone est immense. L’acte est sans fondement et réveille le vieil antagonisme Franco-anglais. L’amiral Darlan invite Pétain à la collaboration avec l’Allemagne pour venger l’affront.
Aux Etats-Unis, Wendell Willkie est élu président. Avec le soutien de Charles Lindbergh, il impose l’acte “d’América First“ et renforce celui de “Neutrality Acte“. Les frontières Us sont bouclées par l’armée et l’isolationnisme à outrance devient le let motif qui doit protéger les États-Unis de toute implication dans le conflit opposant le Reich aux Alliés. Les services secrets du Reich établissent néanmoins plusieurs contacts avec l’autorité mexicaine pro-allemande du général Nicolas Rodriguez C. Celui-ci a pris le pouvoir en 1938 grâce au soutien logistique de l’Abwehr et avec des fonts privés d’entrepreneurs américains qui voient dans le soutien qu’ils apportent aux régimes fascistes Sud Américains un bon moyen de faire du bisness. Le Mexique devient un partenaire privilégié du Reich. Déjà la majeure partie de l’économie du sous continent Latin est infiltré par des entreprises Allemandes. Le Mexique n’échappe pas à la règle en ce qui concerne le pétrole et son Président-Général est tout de miel avec le Reich qui paye le précieux fluide un prix d’or. Les italiens sont aussi fortement implantés au Mexique et bénéficient contre la fourniture de matériel militaire des matières premières du pays. L’Or Noir mexicain est exporté vers l’Allemagne par cargos et comme à son habitude le Reich promet un soutien logistique et industriel à son partenaire contre son obédience. Plusieurs aérodromes secrets sont implantés dans la région de Monterey afin, le cas échéant, d’avoir un point d’appui militaire en cas de conflit ouvert avec les Usa. Repliés sur eux-mêmes, mais non naïfs, les américains avec leurs divisions d’infanterie N°36 et N°45 envahissent les provinces nord du Mexique qui sont mises sous protectorat pour sécuriser la frontière Sud. Pris au dépourvu le gouvernement mexicain ne peut que laisser faire. Dans le même temps, l’administration américaine renforce les contrôles de personnes pour éviter les infiltrations d’espions sur leur territoire et le gouvernement fait bloquer les fonts des belligérants de l’Axe afin, selon ses dires, de les forcer à arrêter la guerre sans pour autant entrer ouvertement en conflits avec eux. Mais la vraie raison est que les capitalistes américains sont financièrement en recul sur toute la planète, supplantés par l’Axe. Ils recherchent donc par des “prétextes humanitaires“ des mesures aptes à contrarier les intérêts allemands, italiens et surtout japonais en gelant leur argent là où ils le peuvent. Pour Washington, le Japon va poursuivre son expansion en Chine au détriment des Usa. Hitler et Mussolini protestent de cet état de fait, mais rien n’y fait.
Le Führer prend acte, et rumine déjà un plan pour isoler et affaiblir les Usa. Néanmoins, plusieurs industriels américains pro-fascistes soutiennent les actions du régime allemand. Un type de régime économique autoritaire qu’ils voudraient voir appliquer chez eux. Les États-Unis étant jugés trop endormis. Une guerre d’espions se met alors en place sur l’ensemble de la planète entre les services allemands et américains pour orienter la politique des pays du tiers monde aux ressources innombrables. Les militaires japonais, eux, se préparent à reprendre de l’influence auprès de l’Empereur en proposant une action fulgurante contre les intérêts américains en Asie et à projeter l’hégémonie de l’Empire sur l’ensemble du Pacifique.
Avec l’Angleterre sans couverture aérienne et disposant d’une armée diminuée, Hitler décide de ne pas ménager les britanniques et de tenter le tout pour le tout. En Mai 1940 se déroule l’Opération “Lion de Mer“ : invasion de l’Angleterre depuis Boulogne sur Mer, avec la 16ème armée du général Busch composée de 13 divisions d’infanterie et de 2 blindées à destination de Brighton et Folkestone. La 9ème armée du général Strauss composée de 8 divisions d’infanterie et de 2 blindées viendra en soutien depuis Fécamp et calera ses attaques sur Portsmouth et Plymouth.
L’attaque amphibie et le débarquement sur les plages du Sud de l’Angleterre est soutenue par la Luftwaffe omniprésente du Maréchal Goering, et des canons longue portée qui tirent depuis la France sur les côtes Anglaises afin de maintenir au loin les actions armées britanniques. Les petits ports anglais sont pris d’assaut par la 6ème armée de réserve du général Reichenau. Incapables de soutenir les combats dans la lande les Tommies se replient sur Londres qui encerclée subit un siège abominable. Les Junkers 87 “Stuka“ mitraillent tels des oiseaux de proie les civils qui fuient les combats. L’artillerie du Reich pilonne sans cesse la capitale Anglaise. En quatre semaines Londres est en ruines et l’Angleterre à genoux. La Famille Royale et le Premier Ministre Chamberlain fuient au Canada via le port de Bristol resté ouvert. Rudolf Hess, le dauphin du Führer, installe le siège de l’administration d’occupation allemande dans le palais de Birmingham et devient Reichskommissar d’Angleterre. Churchill, redevenu premier Lord de l’Amirauté, se réfugie aux Bahamas où il rejoint le Prince Edouard qui attend secrètement son heure pour revenir prendre le pouvoir en Angleterre. La Royal Navy trouve refuge dans les ports Canadiens. Le colonel De Gaulle, refugié aux Etats-Unis, organise depuis New-York un mouvement de dissidence qui encourage les français à entrer en résistance. Mais au-delà de l’Atlantique qui l’écoute.
L’US Navy patrouille dans l’Atlantique pour interdire toute pénétration d’une flotte hostile dans les eaux américaines. L’amiral Adler engage la flotte du Reich dans un blocus de l’Atlantique Nord et de la Mer Arctique. L’amiral Donitz lance ses meutes d’U-boots contre tous les navires qui croisent dans les eaux européennes et ses sous-marins poursuivent les navires de guerre Anglais jusque dans les ports québécois. Des commandos SS soutenus par des Brandebourgeois s’emparent du gouvernement de l’Islande et prennent le contrôle de l’île où sont encore retranchés 6 000 GIs. Les italiens entrent en Egypte pour en chasser les britanniques et attaque l’Afrique Orientale Anglaise.
La Finlande en guerre contre l’Urss pour le contrôle de la Carélie finit par être submergée par les soviétiques. Le maréchal Mannerheim signe la paix avec les soviets et leurs abandonne la ville de Vyborg, la Carélie et le Golf de Turku. Mais déjà les finlandais entament-ils des pourparlers avec le Reich. Au printemps 1940, les japonais du général Rikichi Ando envahissent le Sud-est Asiatique et prennent pieds au Viêt-Nam, au Siam ainsi qu’au Cambodge. Face à l’expansionnisme nippon, les Usa mettent en place un embargo sur les matières premières à destination du Japon, dont le pétrole, et mobilisent leur flotte dans le Pacifique sous les ordres de l’amiral Kimmel.
En Août 1940 a lieu la reddition officielle de l’Angleterre. Sir Oswald Mosley pronazi convaincu devient Lord-Protecteur d’Angleterre. Le général Fuller, nommé ministre de l’intérieur, et sa milice fasciste assurent l’ordre dans l’ensemble du Sud de l’île. L’Irlande, contrainte, devient un satellite du Reich et récupère de droit la région de Belfast. Lors des opérations “Green et Kathleen“, des commandos SS s’emparent de points sensibles et sécurisent le pays celtique. L’Ecosse et le Pays de Galles sont administrativement séparées de l’Angleterre et sont régis par le Reichskommissar Rudolph Hess, poulain du Führer. Les autorités allemandes espèrent ainsi favoriser un collaborationnisme “Celte“ local.
En Septembre 1940, les opérations allemandes : “Félix“ par mer, et “Isabella“ par terre ont lieu : prise de Gibraltar par une action combinée des troupes Allemandes, de bataillons espagnols et de la Marine italienne soutenue par l’aviation française depuis le Maroc, qui agit en représailles à l’agression de Mer El Kébir. Hitler redonne ce bout de terre aux Espagnols tout en y maintenant une garnison allemande pour en faire la garde de l’accès à la Mer Méditerranée. Le 28 Octobre 1940, l’Italie envahit la Grèce qui lui refuse la mise à disposition de ports de guerre pour attaquer les ports Egyptiens aux mains des anglais. Le prétexte est tout trouvé pour le Duce qui veut mener une guerre parallèle à l’Allemagne et agrandir son territoire au détriment d’un voisin moins puissant. Le 2 Mars 1941, La Roumanie, la Bulgarie et la Hongrie deviennent par voie diplomatique des états satellites de l’Allemagne.
Le 6 Avril 1941, l’Allemagne sans déclaration de guerre envahit la Yougoslavie restée neutre après la chute de l’Angleterre qui lui a interdit le libre passage de ses armées pour aller aider les italiens empêtrés dans le conflit qu’ils mènent face aux grecs. Les généraux serbes pro-Alliés ont déposés le régent : Paul, qui voulait faire allégeance au Reich. Bénéficiant de complicités au sein des populations croates, slovènes et bosniaques, les troupes allemandes en terminent avec l’armée de Belgrade en 11 jours et traversent les Balkans. Le 28 Avril 1941, prend fin à son tour la “Bataille de Grèce“ où les allemands venus en aide aux italiens, lors de “l’Opération Marita“, brisent la résistance des Hellènes soutenus par des éléments britanniques. L’état-major britannique préfère garder ses troupes en Egypte pour faire face aux italiens qui s’enfoncent dans le désert.
Les parachutistes du général Studen sautent ensuite sans problème sur Héraklion et la Canée pour prendre possession des ports de Crête qui servent d’entrée de jeu de bases à la flotte italienne et aux sous-marins allemands en opération dans la Méditerranée contre la Royale Navy de l’Amiral Somerville. L’opération des paras étant un plein succès elle conforte Hitler dans la mise en œuvre d’opérations aéroportées. Ainsi, le 20 Mai 1941, les parachutistes allemands du général Studen réitèrent leur exploit et envahissent l’île de Chypre au cours de “l’Opération Poséidon“. Dans la foulée les premiers éléments de la 90ème division légère allemande débarquent en Syrie le 28 Mai avec l’accord du gouvernement de Vichy de Pierre Laval pour prendre à revers les divisions britanniques stationnées en Égypte. Cette opération détourne aux yeux du monde entier, par son activité, la mise en place de l’invasion de la Russie Soviétique relative au “Plan 21“. Bien qu’averti d’une attaque probable Staline refuse de croire qu’Hitler va lancer son armée contre lui. Il en est conforté dans le fait que le 4 Avril 1941, deux divisions blindées Allemandes commandées par le général Rommel débarquent à Tobrouk pour soutenir l’offensive italienne du général Graziani contre les anglais retranché en Égypte. Dans le même temps les italiens prennent pieds sur l’île de Malte au cours de “l’Opération Hercules“, selon un plan japonais étudié à Tokyo et gracieusement donné au Duce. Les paras italiens sautent sur Lavalette et s’emparent du port militaire défendu par une division indienne. Une base aérienne y est tout de suite implantée par l’Axe pour surveiller la Méditerranée. Automne 1940, un coup d’état en Bolivie porte au pouvoir une junte militaire qui, secondée par la légation allemande du docteur Ernst Wendler et le Major Elias Belmonte, apporte tout son soutien officieux au Reich comme base arrière en Amérique Latine pour faire tomber tout le continent dans le giron allemand. La Paz devient un nid d’espions allemands qui infiltrent tous les gouvernements Sud-américains ainsi que les entreprises Latines noyautées par l’argent allemand qui sous couvert d’aider au développement garrote le pouvoir décisionnaire.
31 Mai-16 Juin 1941, “l’Opération Barbarossa“ débute : En ayant toujours recours à la Blitzkrieg, Hitler engage sans déclaration de guerre la Wehrmacht contre l’Urss. Comme écrit dans Mein Kampf, il veut en finir avec les slaves et créer pour les allemands un “Espace Vital“ économique. Par de larges mouvements tournant la Heer encercle des armées entières de soldats soviétiques. La Panzerwaffe fonce à travers les plaines russes et balaye les divisions rouges. Les purges de l’armée en 1937 ont laissé celle-ci aux mains d’officiers inexpérimentés et les commissaires politiques sont toujours prêts à faire fusiller tout contestataire. Des contre-attaques hasardeuses sont lancées de façons décousues contre les Landser. La prise de Minsk n’est qu’une formalité. Le maréchal Timochenko rassemble 6 armées soviétiques de fantassins et blindés pour stopper la Wehrmacht devant Smolensk : elles sont bousculées sans ménagement par les Panzers qui foncent sur Moscou.
Aux Etats-Unis, Wendell Willkie est élu président. Avec le soutien de Charles Lindbergh, il impose l’acte “d’América First“ et renforce celui de “Neutrality Acte“. Les frontières Us sont bouclées par l’armée et l’isolationnisme à outrance devient le let motif qui doit protéger les États-Unis de toute implication dans le conflit opposant le Reich aux Alliés. Les services secrets du Reich établissent néanmoins plusieurs contacts avec l’autorité mexicaine pro-allemande du général Nicolas Rodriguez C. Celui-ci a pris le pouvoir en 1938 grâce au soutien logistique de l’Abwehr et avec des fonts privés d’entrepreneurs américains qui voient dans le soutien qu’ils apportent aux régimes fascistes Sud Américains un bon moyen de faire du bisness. Le Mexique devient un partenaire privilégié du Reich. Déjà la majeure partie de l’économie du sous continent Latin est infiltré par des entreprises Allemandes. Le Mexique n’échappe pas à la règle en ce qui concerne le pétrole et son Président-Général est tout de miel avec le Reich qui paye le précieux fluide un prix d’or. Les italiens sont aussi fortement implantés au Mexique et bénéficient contre la fourniture de matériel militaire des matières premières du pays. L’Or Noir mexicain est exporté vers l’Allemagne par cargos et comme à son habitude le Reich promet un soutien logistique et industriel à son partenaire contre son obédience. Plusieurs aérodromes secrets sont implantés dans la région de Monterey afin, le cas échéant, d’avoir un point d’appui militaire en cas de conflit ouvert avec les Usa. Repliés sur eux-mêmes, mais non naïfs, les américains avec leurs divisions d’infanterie N°36 et N°45 envahissent les provinces nord du Mexique qui sont mises sous protectorat pour sécuriser la frontière Sud. Pris au dépourvu le gouvernement mexicain ne peut que laisser faire. Dans le même temps, l’administration américaine renforce les contrôles de personnes pour éviter les infiltrations d’espions sur leur territoire et le gouvernement fait bloquer les fonts des belligérants de l’Axe afin, selon ses dires, de les forcer à arrêter la guerre sans pour autant entrer ouvertement en conflits avec eux. Mais la vraie raison est que les capitalistes américains sont financièrement en recul sur toute la planète, supplantés par l’Axe. Ils recherchent donc par des “prétextes humanitaires“ des mesures aptes à contrarier les intérêts allemands, italiens et surtout japonais en gelant leur argent là où ils le peuvent. Pour Washington, le Japon va poursuivre son expansion en Chine au détriment des Usa. Hitler et Mussolini protestent de cet état de fait, mais rien n’y fait.
Le Führer prend acte, et rumine déjà un plan pour isoler et affaiblir les Usa. Néanmoins, plusieurs industriels américains pro-fascistes soutiennent les actions du régime allemand. Un type de régime économique autoritaire qu’ils voudraient voir appliquer chez eux. Les États-Unis étant jugés trop endormis. Une guerre d’espions se met alors en place sur l’ensemble de la planète entre les services allemands et américains pour orienter la politique des pays du tiers monde aux ressources innombrables. Les militaires japonais, eux, se préparent à reprendre de l’influence auprès de l’Empereur en proposant une action fulgurante contre les intérêts américains en Asie et à projeter l’hégémonie de l’Empire sur l’ensemble du Pacifique.
Avec l’Angleterre sans couverture aérienne et disposant d’une armée diminuée, Hitler décide de ne pas ménager les britanniques et de tenter le tout pour le tout. En Mai 1940 se déroule l’Opération “Lion de Mer“ : invasion de l’Angleterre depuis Boulogne sur Mer, avec la 16ème armée du général Busch composée de 13 divisions d’infanterie et de 2 blindées à destination de Brighton et Folkestone. La 9ème armée du général Strauss composée de 8 divisions d’infanterie et de 2 blindées viendra en soutien depuis Fécamp et calera ses attaques sur Portsmouth et Plymouth.
L’attaque amphibie et le débarquement sur les plages du Sud de l’Angleterre est soutenue par la Luftwaffe omniprésente du Maréchal Goering, et des canons longue portée qui tirent depuis la France sur les côtes Anglaises afin de maintenir au loin les actions armées britanniques. Les petits ports anglais sont pris d’assaut par la 6ème armée de réserve du général Reichenau. Incapables de soutenir les combats dans la lande les Tommies se replient sur Londres qui encerclée subit un siège abominable. Les Junkers 87 “Stuka“ mitraillent tels des oiseaux de proie les civils qui fuient les combats. L’artillerie du Reich pilonne sans cesse la capitale Anglaise. En quatre semaines Londres est en ruines et l’Angleterre à genoux. La Famille Royale et le Premier Ministre Chamberlain fuient au Canada via le port de Bristol resté ouvert. Rudolf Hess, le dauphin du Führer, installe le siège de l’administration d’occupation allemande dans le palais de Birmingham et devient Reichskommissar d’Angleterre. Churchill, redevenu premier Lord de l’Amirauté, se réfugie aux Bahamas où il rejoint le Prince Edouard qui attend secrètement son heure pour revenir prendre le pouvoir en Angleterre. La Royal Navy trouve refuge dans les ports Canadiens. Le colonel De Gaulle, refugié aux Etats-Unis, organise depuis New-York un mouvement de dissidence qui encourage les français à entrer en résistance. Mais au-delà de l’Atlantique qui l’écoute.
L’US Navy patrouille dans l’Atlantique pour interdire toute pénétration d’une flotte hostile dans les eaux américaines. L’amiral Adler engage la flotte du Reich dans un blocus de l’Atlantique Nord et de la Mer Arctique. L’amiral Donitz lance ses meutes d’U-boots contre tous les navires qui croisent dans les eaux européennes et ses sous-marins poursuivent les navires de guerre Anglais jusque dans les ports québécois. Des commandos SS soutenus par des Brandebourgeois s’emparent du gouvernement de l’Islande et prennent le contrôle de l’île où sont encore retranchés 6 000 GIs. Les italiens entrent en Egypte pour en chasser les britanniques et attaque l’Afrique Orientale Anglaise.
La Finlande en guerre contre l’Urss pour le contrôle de la Carélie finit par être submergée par les soviétiques. Le maréchal Mannerheim signe la paix avec les soviets et leurs abandonne la ville de Vyborg, la Carélie et le Golf de Turku. Mais déjà les finlandais entament-ils des pourparlers avec le Reich. Au printemps 1940, les japonais du général Rikichi Ando envahissent le Sud-est Asiatique et prennent pieds au Viêt-Nam, au Siam ainsi qu’au Cambodge. Face à l’expansionnisme nippon, les Usa mettent en place un embargo sur les matières premières à destination du Japon, dont le pétrole, et mobilisent leur flotte dans le Pacifique sous les ordres de l’amiral Kimmel.
En Août 1940 a lieu la reddition officielle de l’Angleterre. Sir Oswald Mosley pronazi convaincu devient Lord-Protecteur d’Angleterre. Le général Fuller, nommé ministre de l’intérieur, et sa milice fasciste assurent l’ordre dans l’ensemble du Sud de l’île. L’Irlande, contrainte, devient un satellite du Reich et récupère de droit la région de Belfast. Lors des opérations “Green et Kathleen“, des commandos SS s’emparent de points sensibles et sécurisent le pays celtique. L’Ecosse et le Pays de Galles sont administrativement séparées de l’Angleterre et sont régis par le Reichskommissar Rudolph Hess, poulain du Führer. Les autorités allemandes espèrent ainsi favoriser un collaborationnisme “Celte“ local.
En Septembre 1940, les opérations allemandes : “Félix“ par mer, et “Isabella“ par terre ont lieu : prise de Gibraltar par une action combinée des troupes Allemandes, de bataillons espagnols et de la Marine italienne soutenue par l’aviation française depuis le Maroc, qui agit en représailles à l’agression de Mer El Kébir. Hitler redonne ce bout de terre aux Espagnols tout en y maintenant une garnison allemande pour en faire la garde de l’accès à la Mer Méditerranée. Le 28 Octobre 1940, l’Italie envahit la Grèce qui lui refuse la mise à disposition de ports de guerre pour attaquer les ports Egyptiens aux mains des anglais. Le prétexte est tout trouvé pour le Duce qui veut mener une guerre parallèle à l’Allemagne et agrandir son territoire au détriment d’un voisin moins puissant. Le 2 Mars 1941, La Roumanie, la Bulgarie et la Hongrie deviennent par voie diplomatique des états satellites de l’Allemagne.
Le 6 Avril 1941, l’Allemagne sans déclaration de guerre envahit la Yougoslavie restée neutre après la chute de l’Angleterre qui lui a interdit le libre passage de ses armées pour aller aider les italiens empêtrés dans le conflit qu’ils mènent face aux grecs. Les généraux serbes pro-Alliés ont déposés le régent : Paul, qui voulait faire allégeance au Reich. Bénéficiant de complicités au sein des populations croates, slovènes et bosniaques, les troupes allemandes en terminent avec l’armée de Belgrade en 11 jours et traversent les Balkans. Le 28 Avril 1941, prend fin à son tour la “Bataille de Grèce“ où les allemands venus en aide aux italiens, lors de “l’Opération Marita“, brisent la résistance des Hellènes soutenus par des éléments britanniques. L’état-major britannique préfère garder ses troupes en Egypte pour faire face aux italiens qui s’enfoncent dans le désert.
Les parachutistes du général Studen sautent ensuite sans problème sur Héraklion et la Canée pour prendre possession des ports de Crête qui servent d’entrée de jeu de bases à la flotte italienne et aux sous-marins allemands en opération dans la Méditerranée contre la Royale Navy de l’Amiral Somerville. L’opération des paras étant un plein succès elle conforte Hitler dans la mise en œuvre d’opérations aéroportées. Ainsi, le 20 Mai 1941, les parachutistes allemands du général Studen réitèrent leur exploit et envahissent l’île de Chypre au cours de “l’Opération Poséidon“. Dans la foulée les premiers éléments de la 90ème division légère allemande débarquent en Syrie le 28 Mai avec l’accord du gouvernement de Vichy de Pierre Laval pour prendre à revers les divisions britanniques stationnées en Égypte. Cette opération détourne aux yeux du monde entier, par son activité, la mise en place de l’invasion de la Russie Soviétique relative au “Plan 21“. Bien qu’averti d’une attaque probable Staline refuse de croire qu’Hitler va lancer son armée contre lui. Il en est conforté dans le fait que le 4 Avril 1941, deux divisions blindées Allemandes commandées par le général Rommel débarquent à Tobrouk pour soutenir l’offensive italienne du général Graziani contre les anglais retranché en Égypte. Dans le même temps les italiens prennent pieds sur l’île de Malte au cours de “l’Opération Hercules“, selon un plan japonais étudié à Tokyo et gracieusement donné au Duce. Les paras italiens sautent sur Lavalette et s’emparent du port militaire défendu par une division indienne. Une base aérienne y est tout de suite implantée par l’Axe pour surveiller la Méditerranée. Automne 1940, un coup d’état en Bolivie porte au pouvoir une junte militaire qui, secondée par la légation allemande du docteur Ernst Wendler et le Major Elias Belmonte, apporte tout son soutien officieux au Reich comme base arrière en Amérique Latine pour faire tomber tout le continent dans le giron allemand. La Paz devient un nid d’espions allemands qui infiltrent tous les gouvernements Sud-américains ainsi que les entreprises Latines noyautées par l’argent allemand qui sous couvert d’aider au développement garrote le pouvoir décisionnaire.
31 Mai-16 Juin 1941, “l’Opération Barbarossa“ débute : En ayant toujours recours à la Blitzkrieg, Hitler engage sans déclaration de guerre la Wehrmacht contre l’Urss. Comme écrit dans Mein Kampf, il veut en finir avec les slaves et créer pour les allemands un “Espace Vital“ économique. Par de larges mouvements tournant la Heer encercle des armées entières de soldats soviétiques. La Panzerwaffe fonce à travers les plaines russes et balaye les divisions rouges. Les purges de l’armée en 1937 ont laissé celle-ci aux mains d’officiers inexpérimentés et les commissaires politiques sont toujours prêts à faire fusiller tout contestataire. Des contre-attaques hasardeuses sont lancées de façons décousues contre les Landser. La prise de Minsk n’est qu’une formalité. Le maréchal Timochenko rassemble 6 armées soviétiques de fantassins et blindés pour stopper la Wehrmacht devant Smolensk : elles sont bousculées sans ménagement par les Panzers qui foncent sur Moscou.
Berold- Messages : 136
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Le 22 Juin 1941, l’Asia Korps du général Kesselring enfin au complet : 90ème division et Paras du général Studen soutenus par la logistique vichyste attaquent la Palestine où sont retranchées des divisions australiennes aux ordres du général Gort. Le 26 juin 1941, la Finlande entre en guerre contre l’Urss aux côtés des Allemands pour reconquérir les terres perdues dans ce qu’ils appellent “la Guerre de Continuité“. Ils reprennent la ville de Vyborg, la Carélie, le Golf de Turku et campent aux bords du lac Ladoga. Un coup d’état Irakien pro-allemand fait tomber dans le giron du Reich tout le Moyen-Orient. Les allemands de l’Asia Korps foncent sur la Perse et le pétrole du Golfe. Le 30 juillet 1941, les forces du Reich envahissent la péninsule arabique. Himmler rencontre le Grand Mufti de Jérusalem et lui assure que le Reich mettra tout en œuvre pour que les musulmans débarrassés des occidentaux soient fédérés en une entité dont il aura la souveraineté. Une “Légion Arabe“ est constituée et est engagée dans les batailles du désert contre les britanniques. Les compagnies pétrolières américaines se retrouvent spoliées de leurs “biens“ et en appelle au gouvernement de Washington. Le Président des Etats-Unis indique au Führer sa désapprobation quand à la conduite de la guerre et des répercutions économiques qu’il en coûte aux Usa. La missive reste lettre morte et le Führer demande que ses avoirs gelés sur le sol américain lui soient rendus. Hitler invite simplement l’amiral Donitz à renforcer le blocus de l’Atlantique Nord au cas où la Navy tenterait un coup de force en direction de l’Angleterre.
En Juillet 1941, l’Espagne devient un satellite actif du Reich et Franco envoie la “Division Bleue“ combattre les communistes en Russie du Nord. Entre le 4 et le 27 août 1941 ont lieu les prises de Kiev, Belgorod et de Koursk : Toute l’Ukraine dont le général Boudienny avait la responsabilité est aux mains des allemands. Ceux-ci capturent 885 chars et 3 700 canons. En Biélorussie, comme dans les Pays Baltes, les armées du Reich apparaissent comme des forces de libération. Les SS y mettent en place le dogme politique de l’épuration ethnique avec le concours de supplétifs locaux. Les soviétiques contre-attaquent depuis Rostov sous les ordres du général Yérémenko, le seul général qui est la confiance de Staline. Malheureusement pour Moscou, le général soviétique se révèle incompétent et les assauts Russes tournent au désastre. Les unités d’infanterie subissent 80% de pertes et les blindées 95%. Plus de 90 000 chars russes sont détruits.
En France, les collaborationnistes exaltés obtiennent des autorités d’occupation allemandes le droit de former la “Légion des volontaires français contre le Bolchevisme“. Cette formation militaire ira combattre le communisme en Russie aux côtés de d’autres troupes européennes de pays alliés ou occupés par l’Allemagne. Les Légions SS flamandes, néerlandaises et finlandaises considérées comme germaniques, et celles liées à la Heer comme les espagnoles, les wallonnes et les croates, et donc la française. Lors de l’opération “Tannebaum“ en Août 1941, la 2ème division de montagne allemande envahit la Suisse qui est incorporée au Reich. Noyauté par les SS, l’Helvétie succombe en trois jours à l’invasion, et ses dirigeants sont déportés.
9-18 Septembre 1941, Opération Typhon : les généraux Guderian, Von Kleist, Hoth, Leeb, Bock, Stulpnagel et Von Rundstedt font converger leurs armées sur la capitale soviétique. Les divisions blindées du Heergruppe Mit foncent dans la plaine russe. Le général Vlassov et le 47ème corps blindé soviétique sont défaits et capturés. Depuis Toula et Kimry, Moscou est encerclée. Déjà les troupes du Reich atteignent les faubourgs de la ville et les combats de rues montent en intensité. Staline rejette sur ses généraux et agents du renseignement le désastre en cours. Plusieurs militaires de hauts rangs sont fusillés pour trahison dont Joukov. Forts de leur expérience lors du siège de Londres, les allemands annihilent consciencieusement toute résistance dans l’agglomération. La panique est générale dans la cité russe en état de siège. Les officiers de la Stavka se rendent compte que tout est perdu : Ils éliminent Staline afin de pouvoir négocier avec les allemands. Les français de la LVF sont les premiers à atteindre la Place Rouge par -40°. L’ombre Napoléon plane sur eux.
Des attaques soviétiques pour dégager la ville se multiplient sans coordination stratégiques avec tout ce que la mobilisation parvient à rendre disponible. Elles sont vouées à l’échec. La prise de Moscou est définitive le 20 Septembre. Le général Koniev avec ses troupes sibériennes prennent position dans l’Oural en vue d’une éventuelle nouvelle contre-offensive. Mais sans l’aide Américaine du Lend-Lease l’Armée Rouge se retrouve sans munition. 300 sites industriels de production militaire sont tombés entre les mains des allemands avant d’avoir pu être délocalisées. De son côté le général Vlassov, capturé et retourné par le Reich, appelle à la collaboration des russes nationalistes avec les allemands. Avec les revers soviétiques, les stratèges japonais établissent de nouveaux plans pour envahir et annexer la Sibérie Orientale vidée de troupes. Entre les 12 et 20 Septembre 1941, les divisions de la 11ème armée de Von Manstein prennent le contrôle de Rostov sur le Don et s’élancent vers le Caucase pour y capturer les puits de pétrole de Maïkop. Le 2 novembre l’état major du Groupe d’Armées A entre dans Stravropol, et dans le Caucase la croix gammée flotte sur l’Elbrouz. La Campagne contre les soviétiques a couté 550 000 morts aux allemands.
Entre le 23 Octobre et le 3 Novembre, l’Africa Korps du général Rommel avec la 5ème armée de Panzer percent le front Britannique en Egypte à El Alamein où le général français Leclerc est tué au milieu de ses hommes : les “Français Libres“, alors qu’il défendait la gare de chemin de fer conduisant à Alexandrie. Au Caire, la panique s’empare des autorités britanniques : l’administration évacue vers l’Inde. Les dernières forces anglaises se retranchent dans le nord du Soudan. Le 27 octobre 1941, deux navires de guerre américains, les destroyers Kearney et Reuben, sont délibérément torpillés par un U-boot allemand alors qu’ils croisaient dans les eaux européennes. L’amirauté Us a voulu tester le blocus allemand. L’acte reste sans suite, l’opinion américaine étant ouvertement contre l’entrée en guerre de leur pays.
Néanmoins, les militaires américains envisagent un débarquement de troupes en Afrique de l’Ouest afin d’y implanter un “Pont“ et de s’emparer des ressources en matières premières avant qu’elles ne tombent aux mains des allemands. Sur le territoire d’Afrique du Nord, l’Armee Africa roule à tombereaux ouverts depuis la Cyrénaïque vers Alexandrie et le Caire. L’Armée Italienne du général Ruspoli bouscule les restes de la 8ème armée britannique du général Wavell.
Le 6 Novembre, aux confins de la Mer Baltique, les troupes allemandes du général Hoepner entrent dans Leningrad encerclé avec l’aide des divisions finlandaises et de troupes espagnoles. Là encore, c’est avec méthode que la résistance armée adverse est neutralisée avec l’aide d’éléments locaux anti-communistes qui éliminent les dignitaires de la ville, juifs pour la plupart, qui encouragent à la résistance.
Le 7 décembre 1941, sans déclaration de guerre préalable, les japonais attaquent Pearl Harbour. Pour les militaires nippons il est temps de lancer l’avènement de la Grande Sphère de Coprospérité qui doit redorer leur blason et assurer leur emprise politique sur le gouvernement de l’Empire. La 6ème flotte du vice-amiral Mitsumi Shimizu signale les mouvements de la Pacific Flotte Us basée à Hawaï. Trois attaques successives sous la conduite de l’Amiral Nagumo détruisent le port de guerre, les réserves de pétrole, les cuirassés, les destroyers, ainsi que les porte-avions sortis en mer et repérés. Le 9 décembre 1941, le Canal de Panama est endommagé par un sous-marin de poche japonais qui explose au milieu de l’une de ses écluses, et en endommage les structures bloquant le passage des navires de guerre entre l’Est et l’Ouest. Pris de court, le gouvernement américain reste un instant sans voix et l’affolement administratif cède bientôt la place à une colère générale où tout ce qui est asiatique est pris en chasse.
Le 11 décembre, selon les accords et traités passés avec le Japon, le Reich et l’Italie déclarent la guerre aux Usa. Sans retenue les U-boots en maraude coulent plusieurs navires américains dans le golf du Mexique. Des sous-marins japonais attaquent les ports militaires américains de la Côte Ouest et endommagent les infrastructures militaires des chantiers aéronavals. Des commandos allemands s’emparent des postes de contrôle du canal de Panama. Ces Brandebourgeois sont partis de la Colombie où le gouvernement pro-allemand leur a apporté toutes les facilités pour mener à bien leur opération. Les américains acculés sur tous les fronts mobilisent leurs troupes et envoient des régiments de Marines pour reprendre le Canal. Des combats laborieux se déroulent en jungle où les troupes américaines sont soutenues par l’US Air Force. Les soldats allemands solidement implantés, mais inférieurs en nombre, se replient en bon ordre sur Bogota. Des renforts américains de la 3ème armée du Général Patton débarquent en Colombie pour l’investir et plongent le pays dans la guerre. Les Boys se frottent à l’armée latine encadrée par des cadres de la Wehrmacht.
Entre Janvier et mai 1942, ont lieu les invasions japonaises, conduites par les généraux Homma et Terauchi, des Philippines, de la Birmanie, de la Malaisie, de l’Indonésie et de Ceylan pour la domination de l’Asie dans une Sphère Occidentale de Coprospérité. Le général Mac Arthur meure durant le siège de Corrégidor. Au mois de Mars 1942, plusieurs hydravions quadrimoteurs Kawanishi H8k1 bombardent Honolulu et Pearl Harbor afin de perturber les réparations des navires précédemment attaqués et causer de nouveaux dégâts au port militaire. Des sous-marins nippons aux ordres de Takeo Takagi maraudent dans les eaux américaines afin de perturber les renforts venus de la Côte Ouest.
La flotte anglaise de l’amiral Somerville passée dans l’Océan Indien, pour échapper aux avions torpilleurs italiens, est coulée lors de la “Bataille du Golf du Bengale“ par la Flotte de l’amiral Yamashita qui tout en sécurisant par la mer l’invasion de la Birmanie a repéré les britanniques au large de Ceylan.
Le 27 Mai 1942, Reinhardt Heydrich, Reichskommissar de Bohême-Moravie, est assassiné à Prague par des agents britanniques. Cet attentat donne lieu à une répression sanglante par les SS à l’encontre de toute contestation en Europe Centrale : 2 millions de personnes suspectes ou considérées comme telles sont déportées et mises à mort dans des camps de concentration pour trouble de l’ordre public. Afin de palier au manque de main-d’œuvre dans le Reich, Berlin impose le STO à l’ensemble des pays qu’elle occupe. Certains jeunes décident de prendre le maquis pour ne pas partir, mais les réseaux de résistance sans soutien logistique n’offrent qu’un pis allé illusoire à toute forme de contestation. Plusieurs réseaux de résistance sont démantelés et leurs membres, communistes, libéraux ou gaullistes, sont passés par les armes après avoir été jugés par des cours martiales fantoches.
28 Avril-11 Mai 1942 : Bataille de la Mer de Corail. Sans couverture aérienne, du au manque des porte-avions détruits précédemment, la flotte américaine du Pacifique Sud est coulée au large de l’Australie. L’Amiral Yamamoto ne veut pas perdre de temps et souhaite porter la guerre au plus loin de l’Archipel-Mère du Soleil Levant. Il veut établir des bases de défenses sur tous les atolls existants de la Polynésie française et la Micronésie. Il charge l’amiral Inoue de cela.
Du 3 au 7 juin, se déroule la bataille de Midway où les nouvelles unités navales de la flotte américaine sont envoyées par le fond : aucun des Catalina Us ne détecte pas la flotte japonaise qui avec ses 4 principaux porte-avions surclasse l’Us Navy. L’amiral Nimitz commandant lui-même l’escadre américaine coule avec son navire amiral. L’atoll de Midway est occupé et dans le même temps les japonais de l’amiral Kakura débarquent dans les Aléoutiennes à Attu et Kiska.
Le 7 Août 1942, les troupes de la Marine Impériale sous la conduite de l’amiral Ozawa et couvertes par la 6ème Division de Croiseurs Lourds de l’amiral Aritomo Goto débarquent à Guadalcanal et rendent opérationnel le terrain d’aviation de l’île afin de projeter des attaques sur l’Australie et le Pacifique Sud. L’amiral Inoue s’empare de Port Moresby lors de l’Opération
En Juillet 1941, l’Espagne devient un satellite actif du Reich et Franco envoie la “Division Bleue“ combattre les communistes en Russie du Nord. Entre le 4 et le 27 août 1941 ont lieu les prises de Kiev, Belgorod et de Koursk : Toute l’Ukraine dont le général Boudienny avait la responsabilité est aux mains des allemands. Ceux-ci capturent 885 chars et 3 700 canons. En Biélorussie, comme dans les Pays Baltes, les armées du Reich apparaissent comme des forces de libération. Les SS y mettent en place le dogme politique de l’épuration ethnique avec le concours de supplétifs locaux. Les soviétiques contre-attaquent depuis Rostov sous les ordres du général Yérémenko, le seul général qui est la confiance de Staline. Malheureusement pour Moscou, le général soviétique se révèle incompétent et les assauts Russes tournent au désastre. Les unités d’infanterie subissent 80% de pertes et les blindées 95%. Plus de 90 000 chars russes sont détruits.
En France, les collaborationnistes exaltés obtiennent des autorités d’occupation allemandes le droit de former la “Légion des volontaires français contre le Bolchevisme“. Cette formation militaire ira combattre le communisme en Russie aux côtés de d’autres troupes européennes de pays alliés ou occupés par l’Allemagne. Les Légions SS flamandes, néerlandaises et finlandaises considérées comme germaniques, et celles liées à la Heer comme les espagnoles, les wallonnes et les croates, et donc la française. Lors de l’opération “Tannebaum“ en Août 1941, la 2ème division de montagne allemande envahit la Suisse qui est incorporée au Reich. Noyauté par les SS, l’Helvétie succombe en trois jours à l’invasion, et ses dirigeants sont déportés.
9-18 Septembre 1941, Opération Typhon : les généraux Guderian, Von Kleist, Hoth, Leeb, Bock, Stulpnagel et Von Rundstedt font converger leurs armées sur la capitale soviétique. Les divisions blindées du Heergruppe Mit foncent dans la plaine russe. Le général Vlassov et le 47ème corps blindé soviétique sont défaits et capturés. Depuis Toula et Kimry, Moscou est encerclée. Déjà les troupes du Reich atteignent les faubourgs de la ville et les combats de rues montent en intensité. Staline rejette sur ses généraux et agents du renseignement le désastre en cours. Plusieurs militaires de hauts rangs sont fusillés pour trahison dont Joukov. Forts de leur expérience lors du siège de Londres, les allemands annihilent consciencieusement toute résistance dans l’agglomération. La panique est générale dans la cité russe en état de siège. Les officiers de la Stavka se rendent compte que tout est perdu : Ils éliminent Staline afin de pouvoir négocier avec les allemands. Les français de la LVF sont les premiers à atteindre la Place Rouge par -40°. L’ombre Napoléon plane sur eux.
Des attaques soviétiques pour dégager la ville se multiplient sans coordination stratégiques avec tout ce que la mobilisation parvient à rendre disponible. Elles sont vouées à l’échec. La prise de Moscou est définitive le 20 Septembre. Le général Koniev avec ses troupes sibériennes prennent position dans l’Oural en vue d’une éventuelle nouvelle contre-offensive. Mais sans l’aide Américaine du Lend-Lease l’Armée Rouge se retrouve sans munition. 300 sites industriels de production militaire sont tombés entre les mains des allemands avant d’avoir pu être délocalisées. De son côté le général Vlassov, capturé et retourné par le Reich, appelle à la collaboration des russes nationalistes avec les allemands. Avec les revers soviétiques, les stratèges japonais établissent de nouveaux plans pour envahir et annexer la Sibérie Orientale vidée de troupes. Entre les 12 et 20 Septembre 1941, les divisions de la 11ème armée de Von Manstein prennent le contrôle de Rostov sur le Don et s’élancent vers le Caucase pour y capturer les puits de pétrole de Maïkop. Le 2 novembre l’état major du Groupe d’Armées A entre dans Stravropol, et dans le Caucase la croix gammée flotte sur l’Elbrouz. La Campagne contre les soviétiques a couté 550 000 morts aux allemands.
Entre le 23 Octobre et le 3 Novembre, l’Africa Korps du général Rommel avec la 5ème armée de Panzer percent le front Britannique en Egypte à El Alamein où le général français Leclerc est tué au milieu de ses hommes : les “Français Libres“, alors qu’il défendait la gare de chemin de fer conduisant à Alexandrie. Au Caire, la panique s’empare des autorités britanniques : l’administration évacue vers l’Inde. Les dernières forces anglaises se retranchent dans le nord du Soudan. Le 27 octobre 1941, deux navires de guerre américains, les destroyers Kearney et Reuben, sont délibérément torpillés par un U-boot allemand alors qu’ils croisaient dans les eaux européennes. L’amirauté Us a voulu tester le blocus allemand. L’acte reste sans suite, l’opinion américaine étant ouvertement contre l’entrée en guerre de leur pays.
Néanmoins, les militaires américains envisagent un débarquement de troupes en Afrique de l’Ouest afin d’y implanter un “Pont“ et de s’emparer des ressources en matières premières avant qu’elles ne tombent aux mains des allemands. Sur le territoire d’Afrique du Nord, l’Armee Africa roule à tombereaux ouverts depuis la Cyrénaïque vers Alexandrie et le Caire. L’Armée Italienne du général Ruspoli bouscule les restes de la 8ème armée britannique du général Wavell.
Le 6 Novembre, aux confins de la Mer Baltique, les troupes allemandes du général Hoepner entrent dans Leningrad encerclé avec l’aide des divisions finlandaises et de troupes espagnoles. Là encore, c’est avec méthode que la résistance armée adverse est neutralisée avec l’aide d’éléments locaux anti-communistes qui éliminent les dignitaires de la ville, juifs pour la plupart, qui encouragent à la résistance.
Le 7 décembre 1941, sans déclaration de guerre préalable, les japonais attaquent Pearl Harbour. Pour les militaires nippons il est temps de lancer l’avènement de la Grande Sphère de Coprospérité qui doit redorer leur blason et assurer leur emprise politique sur le gouvernement de l’Empire. La 6ème flotte du vice-amiral Mitsumi Shimizu signale les mouvements de la Pacific Flotte Us basée à Hawaï. Trois attaques successives sous la conduite de l’Amiral Nagumo détruisent le port de guerre, les réserves de pétrole, les cuirassés, les destroyers, ainsi que les porte-avions sortis en mer et repérés. Le 9 décembre 1941, le Canal de Panama est endommagé par un sous-marin de poche japonais qui explose au milieu de l’une de ses écluses, et en endommage les structures bloquant le passage des navires de guerre entre l’Est et l’Ouest. Pris de court, le gouvernement américain reste un instant sans voix et l’affolement administratif cède bientôt la place à une colère générale où tout ce qui est asiatique est pris en chasse.
Le 11 décembre, selon les accords et traités passés avec le Japon, le Reich et l’Italie déclarent la guerre aux Usa. Sans retenue les U-boots en maraude coulent plusieurs navires américains dans le golf du Mexique. Des sous-marins japonais attaquent les ports militaires américains de la Côte Ouest et endommagent les infrastructures militaires des chantiers aéronavals. Des commandos allemands s’emparent des postes de contrôle du canal de Panama. Ces Brandebourgeois sont partis de la Colombie où le gouvernement pro-allemand leur a apporté toutes les facilités pour mener à bien leur opération. Les américains acculés sur tous les fronts mobilisent leurs troupes et envoient des régiments de Marines pour reprendre le Canal. Des combats laborieux se déroulent en jungle où les troupes américaines sont soutenues par l’US Air Force. Les soldats allemands solidement implantés, mais inférieurs en nombre, se replient en bon ordre sur Bogota. Des renforts américains de la 3ème armée du Général Patton débarquent en Colombie pour l’investir et plongent le pays dans la guerre. Les Boys se frottent à l’armée latine encadrée par des cadres de la Wehrmacht.
Entre Janvier et mai 1942, ont lieu les invasions japonaises, conduites par les généraux Homma et Terauchi, des Philippines, de la Birmanie, de la Malaisie, de l’Indonésie et de Ceylan pour la domination de l’Asie dans une Sphère Occidentale de Coprospérité. Le général Mac Arthur meure durant le siège de Corrégidor. Au mois de Mars 1942, plusieurs hydravions quadrimoteurs Kawanishi H8k1 bombardent Honolulu et Pearl Harbor afin de perturber les réparations des navires précédemment attaqués et causer de nouveaux dégâts au port militaire. Des sous-marins nippons aux ordres de Takeo Takagi maraudent dans les eaux américaines afin de perturber les renforts venus de la Côte Ouest.
La flotte anglaise de l’amiral Somerville passée dans l’Océan Indien, pour échapper aux avions torpilleurs italiens, est coulée lors de la “Bataille du Golf du Bengale“ par la Flotte de l’amiral Yamashita qui tout en sécurisant par la mer l’invasion de la Birmanie a repéré les britanniques au large de Ceylan.
Le 27 Mai 1942, Reinhardt Heydrich, Reichskommissar de Bohême-Moravie, est assassiné à Prague par des agents britanniques. Cet attentat donne lieu à une répression sanglante par les SS à l’encontre de toute contestation en Europe Centrale : 2 millions de personnes suspectes ou considérées comme telles sont déportées et mises à mort dans des camps de concentration pour trouble de l’ordre public. Afin de palier au manque de main-d’œuvre dans le Reich, Berlin impose le STO à l’ensemble des pays qu’elle occupe. Certains jeunes décident de prendre le maquis pour ne pas partir, mais les réseaux de résistance sans soutien logistique n’offrent qu’un pis allé illusoire à toute forme de contestation. Plusieurs réseaux de résistance sont démantelés et leurs membres, communistes, libéraux ou gaullistes, sont passés par les armes après avoir été jugés par des cours martiales fantoches.
28 Avril-11 Mai 1942 : Bataille de la Mer de Corail. Sans couverture aérienne, du au manque des porte-avions détruits précédemment, la flotte américaine du Pacifique Sud est coulée au large de l’Australie. L’Amiral Yamamoto ne veut pas perdre de temps et souhaite porter la guerre au plus loin de l’Archipel-Mère du Soleil Levant. Il veut établir des bases de défenses sur tous les atolls existants de la Polynésie française et la Micronésie. Il charge l’amiral Inoue de cela.
Du 3 au 7 juin, se déroule la bataille de Midway où les nouvelles unités navales de la flotte américaine sont envoyées par le fond : aucun des Catalina Us ne détecte pas la flotte japonaise qui avec ses 4 principaux porte-avions surclasse l’Us Navy. L’amiral Nimitz commandant lui-même l’escadre américaine coule avec son navire amiral. L’atoll de Midway est occupé et dans le même temps les japonais de l’amiral Kakura débarquent dans les Aléoutiennes à Attu et Kiska.
Le 7 Août 1942, les troupes de la Marine Impériale sous la conduite de l’amiral Ozawa et couvertes par la 6ème Division de Croiseurs Lourds de l’amiral Aritomo Goto débarquent à Guadalcanal et rendent opérationnel le terrain d’aviation de l’île afin de projeter des attaques sur l’Australie et le Pacifique Sud. L’amiral Inoue s’empare de Port Moresby lors de l’Opération
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Le 24 Août, l’amiral Kondo s’empare des îles Salomon et coule la Task Force de l’amiral Fletcher qui sombre avec son navire de commandement.
Le 12 Septembre 1942, le général japonais Hyukatake lance une attaque nocturne amphibie sur la Nouvelle Calédonie et prend possession de Nouméa. Toute une série de combats navals autour de Guadalcanal finissent d’envoyer par le fond les restes de l’US Navy, ce qui permet aux nippons de constituer une ligne de défense imperméable pour s’opposer à une quelconque attaque américaine. L’Australie jusque là épargnée subit des bombardements menés depuis l’Indonésie et la base aéronavale de Rabaul.
Les allemands du général Von Kleist et les roumains du général Constantinescu s’emparent de Sébastopol et de la Crimée le 3 Juillet 1942 après de terribles bombardements d’artillerie lourde. Une contre-attaque amphibie soviétique venue de Crimée est repoussée le lendemain. Le 9 Août, les champs pétrolifères de Maïkop sont atteints, et la 6ème armée allemande du général Paulus entre dans Stalingrad en ruines le 23 Août 1942. Celle-ci est rebaptisée Hitlerstadt.
Le 23 Novembre 1942, le maréchal Von Manstein lance l’opération “Tempête D’Automne“ pour s’emparer d’Astrakhan sur la Mer Caspienne. Entre Novembre et Décembre 1942, les soviétiques du général Volkhov lancent plusieurs attaques sur le Fleuve Chir et le Don au cours de l’opération “Saturne“.
Les allemands installés sur des positions solides résistent. Hitler s’appuie sur ses alliés hongrois, roumains et italiens pour repousser les attaques soviétiques. Pour marquer leur contribution dans la lutte contre le bolchevisme, les italiens du général Messe, avec leurs maigres moyens, lancent une offensive en profondeur contre la ville d’Ufa : 400 cavaliers transalpins chargent les sibériens du général Timochenko retranchés dans la cité, aux pieds des monts Hercyniens. Au prix de pertes raisonnées Messe vient à bout de la résistance russe et poursuit son offensive sur la ville de Perm.
En Octobre 1942, les allemands qui ont envahi le Caucase prennent pieds en Afghanistan où la “Sturmbrigade Wallonie“ de Léon Degrelle entrent dans Kaboul. Depuis Moscou, la Luftwaffe lance plusieurs raids d’escadrilles de Junker 89 “Uralbomber“ sur les foyers de résistance russes en Sibérie. Des villages entiers disparaissent sous les bombes ou sont gazés par des obus spéciaux.
Le 7 décembre 1942, les italiens et les allemands du général Rommel entrent dans le Caire. Pour l’occasion Mussolini monté sur un cheval blanc, et convié pour la parade, célèbre la conquête de l’Egypte. Les troupes allemandes du général Von Armin et les italiens de “l’Armee Africa“ sous les ordres du général Badoglio s’engagent alors dans la conquête de l’Afrique Orientale et la libération des ex-colonies allemandes.
En Espagne, le général Franco meure dans un accident de voiture. Un attentat dissimulé de la ss imputé à un obscure terroriste républicain qui est très vite éliminé et où toute enquête fait disparaitre aussitôt les preuves quelles qu’elles soient. L’élimination de Franco a été voulue par Hitler qui jugeait son homologue espagnol peut coopératif avec le Reich.
Le “Caudillo“ est remplacé à la tête de l’état ibérique par le général Augustin Munoz Grandes, ancien commandant de la Division Azul, et très apprécié par le Führer. Munoz Grandes est Generalleutnant de la Heer et Hitler l’a décoré lui-même de la croix de chevalier. C’est le général espagnol, Generalmajor de la Heer, Emilio Estéban-Infantes qui le remplace à la tête de “la division bleue“ et qui réordonne administrativement l’armée espagnole.
En Allemagne, les SS débloquent d’importants crédits pour le “projet Walhalla“ et le développement d’une bombe atomique. Dans le même laps de temps Werner Von Braun et Hermann Oberth font voler le premier V2 susceptible de transporter une charge explosive à même de bombarder la lointaine Oural où sont retranchées les dernières troupes de l’Armée rouge. Le 1er Janvier 1943, la 6ème armée du général Paulus atteint Omsk en Sibérie Centrale. Cette cité marque la fin de l’avance allemande en Asie, selon les accords secrets concernant l’occupation du territoire soviétique conclus entre allemands et japonais. Le 8 Janvier, ce qui reste des institutions soviétiques se rendent au général Von Manstein lors de l’opération “Citadelle“ aux confins de la Sibérie. Le 10 Janvier coïncide avec la prise du port de Mourmansk par la 19ème armée allemande du général Falkenhorst et les troupes Finnoises de l’Arctique lors de l’opération “Koltso“. La Baltique et la Carélie sont sécurisées.
L’Afrique du Sud est sollicitée par les services secrets de l’Abwehr pour sortir de la Guerre : une place de choix sera réservée aux afrikaners pour la domination du Sud du continent africain.
Le 2 Janvier 1943, les troupes japonaises de l’amiral Kurita bordées par la “Flotte Combinée“ commencent l’invasion de l’archipel d’Hawaï avec les fusillés marins de la 3ème force spéciale japonaise de débarquement.
Le 6 Janvier, la “Flotte Combinée“ de l’amiral Nagano met à mal le ravitaillement américain de l’Archipel par le détachement naval spécial de l’Amiral Théobald déjà gêné par les sous-marins de l’Empire. L’Abwehr met à la disposition des japonais tous les renseignements glanés par l’espion “Cicéron“ en poste aux Etats-Unis. Celui-ci véritable “Œil de Berlin“ a réussi à s’introduire dans l’administration américaine et est au fait de tous les mouvements militaires des Alliés. Le 13 Janvier 1943, les nippons s’emparent de Pearl Harbour et d’Honolulu après un assaut amphibie à la poussée irrésistible où les forces Us sont bousculées avec la plus extrême violence. La plupart des militaires américains et les civils locaux sont fusillés sur place après leur capture.
Le 9 Février 1943, les dernières troupes américaines qui résistaient encore sur l’île d’Oahu évacuent l’archipel Hawaïen. Le 2 Mars 1943, la “Flotte Mobile“ de l’amiral Yamashina met en place un blocus à l’encontre de la côte Ouest américaine : tous les navires marchands sont coulés. La 6ème flotte de sous-marins du vice amiral Shimizu s’en prend à toute embarcation non identifiée. Le I-17 bombarde la raffinerie d’Elwood. Des hydravions porteurs de bombes incendiaires procèdent à la mise à feu des forêts avoisinantes de Los Angeles et de Port Orford. Des sous-marins océaniques de type B1 porte-avions lancent leurs appareils sur plusieurs villes de l’Oregon. L’Us Air Force déploie alors 2 000 avions de combats pour sécuriser le ciel américain de la Californie.
Le 7 avril 1943, les japonais aux ordres de l’amiral Jojima déclenche l’opération “I“ : une attaque aéronavale simultanée de 180 avions contre San Francisco. Ce raid rend inutilisable le port de guerre américain, les aérodromes militaires ainsi que les appareils Us au sol, et répand la terreur parmi la population. Le 13 avril, Los Angeles subit la même attaque de la part de la flotte de l’Amiral Omori. Le 27 Octobre, des éléments de marines japonais sous les ordres de l’amiral Nagumo se joignent aux allemands qui combattent les 30 000 GIs qui montent la gardent dans l’Isthme de Panama. Les troupes débarquées de la Garde Impériale contrôlent rapidement toute la périphérie de La Palma après de multiples combats contre des forces Us mal coordonnées. Le général Patton est tué au volant de sa jeep lors une embuscade.
Le 18 avril 1943, alors qu’il est fièrement mais naïvement en tournée d’inspection et de reconnaissance de la côte Ouest américaine, l’avion de l’amiral Yamamoto est abattu par une escadrille de “Corsair“ en maraude. A Tokyo c’est la stupeur. L’amiral Nagumo le remplace à la planification des opérations militaires selon la volonté de l’Empereur et sur les suggestions du très pressant général Sanada. A Hawaï, nouveau quartier-général de Yamashita, l’amiral décide qu’il faut en finir avec les américains et les forcer à arrêter la guerre. L’Empereur l’autorise à mener une attaque amphibie ciblée sur les Usa afin d’inciter le gouvernement des Usa à reconnaitre la suprématie du Japon sur le Pacifique. Du 12 au 29 Mai 1943, 12 000 “Marines Japonais“ débarquent de part et d’autre de San Diégo depuis Honolulu, et se retranchent dans la ville après de durs combats contre les troupes de la 5ème division blindée et de la 7ème division d’infanterie du général Hodge. Six hydravions ayant décollés des sous-marins géants I-4000 et I-4001 bombardent la ville et sa périphérie. Du 21 Juin au 27 Août 1943, la “Flotte Combinée“ de l’amiral Nagumo harcèle toutes les installations militaires américaines de la côte Ouest par d’incessants raids aériens menés par plus de 200 appareils. Les dégâts causés aux infrastructures navales et routières sont considérables. Le 22 Septembre 1943, des sapeurs épaulés par des commandos nippons établissent des aérodromes et des têtes de ponts sur l’île de Vancouver. L’aviation américaine tente tant bien que mal d’assurer une couverture aux troupes au sol canadiennes qui résistent, mais les vétérans de l’aéronavale nippone étrillent les novices américains.
Aux Usa, la mobilisation armée devient générale pour repousser l’attaque ennemie et préserver le sol national. Plus de 5 millions d’hommes sont appelés sous les drapeaux. Les civils non enrégimentés se regroupent en milices civiles armées pour faire face à l’invasion. Les généraux Marshall à l’Ouest et Eisenhower à l’Est réorganisent l’Us Army avec 73 divisions de combats mises sur pieds. Mais les GIs manquent d’expérience et les japonais déclenchent alors l’opération “Vent de Guerre“, où des milliers de ballons gonflés à l’hydrogène et porteurs d’une bombe individuelle de faible puissance sont largués dans le ciel américain afin de détruire au hasard l’ennemi où qu’il soit. Les résultats sont peu probants. Ces ballons porteurs de bombes, ou Fusen Bakudan, ne sont armés que d’une improbable charge anti personnelle.
Durant le mois d’Avril 1943, Le général Haushofer, un proche d’Hitler, organise l'expédition “Condor“ pour trouver au Tibet un passage vers un monde souterrain : une Terre Creuse où devraient vivre des hommes supérieurs à l'homo sapiens. Ces hommes supérieurs seraient partis, il y a des milliers d'années du désert de Gobie pour trouver refuge sous terre, dans la chaîne montagneuse de l’Himalaya, face à une terrible catastrophe : le déluge, une météorite géante ? Plusieurs expéditions officielles avaient déjà eu lieu au Tibet dans les années 1930 sous la direction d’Ernst Schäfer, un explorateur, directeur de l'institut “Sven Hedin“, pour rassembler des données contenues dans des livres sur la population locale et ses pratiques culturelles. Cette expédition est régie par l'Ahnenerbe, une société sectaire et élitiste de recherche fondée sur l'héritage des ancêtres bien sûr chapeautée par Himmler : Grand ordonnateur de toute la mystique du 3ème Reich, qui veut rompre avec l'église chrétienne découlant du judaïsme. Pour Haushofer le monde est lui-même une terre creuse et nous vivons sur sa croute intérieure. En son centre luit une boule de feu qui nous maintient par pression sur la paroi interne et un espace fantôme contenu autour de la Lune crée la nuit en passant devant le Soleil. Militairement la théorie de la “Terre Creuse“ se traduit par plusieurs applications très concrètes : En 1942, le docteur Hans Fishar, avec un commandement SS, alla installer sur l'île de Rügen des radars dans le but de détecter les mouvements de la flotte anglaise ancrée au Canada : la réflexion des ondes radar sur la paroi rocheuse aurait ainsi localisé les navires britanniques. Sans conséquences. L'expédition fut jumelée avec la recherche d'un passage souterrain en Islande. Plusieurs autres expéditions secrètes suivirent celle de Rügen pour trouver le passage dont parle Jules Verne dans son “Voyage au Centre de la Terre“. Haushofer n’obtient pas les résultats escomptés mais continue ses recherches dans l’Himalaya avec des fonts privés et les deniers SS d’Himmler. Dans le reste de l’Europe l’institut archéologique Rosenberg sous la houlette d’Hans Reinerth, et l’Institut Scientifique de la SS d’Herbert Jan-khun fouillent et retournent chaque site historique pour y trouver des traces de la colonisation antique, voir préhistorique, aryenne et valider l’idée que le “Pangermanisme“ est l’avenir indiscutable du continent. Donc du Monde.
Le 12 Septembre 1942, le général japonais Hyukatake lance une attaque nocturne amphibie sur la Nouvelle Calédonie et prend possession de Nouméa. Toute une série de combats navals autour de Guadalcanal finissent d’envoyer par le fond les restes de l’US Navy, ce qui permet aux nippons de constituer une ligne de défense imperméable pour s’opposer à une quelconque attaque américaine. L’Australie jusque là épargnée subit des bombardements menés depuis l’Indonésie et la base aéronavale de Rabaul.
Les allemands du général Von Kleist et les roumains du général Constantinescu s’emparent de Sébastopol et de la Crimée le 3 Juillet 1942 après de terribles bombardements d’artillerie lourde. Une contre-attaque amphibie soviétique venue de Crimée est repoussée le lendemain. Le 9 Août, les champs pétrolifères de Maïkop sont atteints, et la 6ème armée allemande du général Paulus entre dans Stalingrad en ruines le 23 Août 1942. Celle-ci est rebaptisée Hitlerstadt.
Le 23 Novembre 1942, le maréchal Von Manstein lance l’opération “Tempête D’Automne“ pour s’emparer d’Astrakhan sur la Mer Caspienne. Entre Novembre et Décembre 1942, les soviétiques du général Volkhov lancent plusieurs attaques sur le Fleuve Chir et le Don au cours de l’opération “Saturne“.
Les allemands installés sur des positions solides résistent. Hitler s’appuie sur ses alliés hongrois, roumains et italiens pour repousser les attaques soviétiques. Pour marquer leur contribution dans la lutte contre le bolchevisme, les italiens du général Messe, avec leurs maigres moyens, lancent une offensive en profondeur contre la ville d’Ufa : 400 cavaliers transalpins chargent les sibériens du général Timochenko retranchés dans la cité, aux pieds des monts Hercyniens. Au prix de pertes raisonnées Messe vient à bout de la résistance russe et poursuit son offensive sur la ville de Perm.
En Octobre 1942, les allemands qui ont envahi le Caucase prennent pieds en Afghanistan où la “Sturmbrigade Wallonie“ de Léon Degrelle entrent dans Kaboul. Depuis Moscou, la Luftwaffe lance plusieurs raids d’escadrilles de Junker 89 “Uralbomber“ sur les foyers de résistance russes en Sibérie. Des villages entiers disparaissent sous les bombes ou sont gazés par des obus spéciaux.
Le 7 décembre 1942, les italiens et les allemands du général Rommel entrent dans le Caire. Pour l’occasion Mussolini monté sur un cheval blanc, et convié pour la parade, célèbre la conquête de l’Egypte. Les troupes allemandes du général Von Armin et les italiens de “l’Armee Africa“ sous les ordres du général Badoglio s’engagent alors dans la conquête de l’Afrique Orientale et la libération des ex-colonies allemandes.
En Espagne, le général Franco meure dans un accident de voiture. Un attentat dissimulé de la ss imputé à un obscure terroriste républicain qui est très vite éliminé et où toute enquête fait disparaitre aussitôt les preuves quelles qu’elles soient. L’élimination de Franco a été voulue par Hitler qui jugeait son homologue espagnol peut coopératif avec le Reich.
Le “Caudillo“ est remplacé à la tête de l’état ibérique par le général Augustin Munoz Grandes, ancien commandant de la Division Azul, et très apprécié par le Führer. Munoz Grandes est Generalleutnant de la Heer et Hitler l’a décoré lui-même de la croix de chevalier. C’est le général espagnol, Generalmajor de la Heer, Emilio Estéban-Infantes qui le remplace à la tête de “la division bleue“ et qui réordonne administrativement l’armée espagnole.
En Allemagne, les SS débloquent d’importants crédits pour le “projet Walhalla“ et le développement d’une bombe atomique. Dans le même laps de temps Werner Von Braun et Hermann Oberth font voler le premier V2 susceptible de transporter une charge explosive à même de bombarder la lointaine Oural où sont retranchées les dernières troupes de l’Armée rouge. Le 1er Janvier 1943, la 6ème armée du général Paulus atteint Omsk en Sibérie Centrale. Cette cité marque la fin de l’avance allemande en Asie, selon les accords secrets concernant l’occupation du territoire soviétique conclus entre allemands et japonais. Le 8 Janvier, ce qui reste des institutions soviétiques se rendent au général Von Manstein lors de l’opération “Citadelle“ aux confins de la Sibérie. Le 10 Janvier coïncide avec la prise du port de Mourmansk par la 19ème armée allemande du général Falkenhorst et les troupes Finnoises de l’Arctique lors de l’opération “Koltso“. La Baltique et la Carélie sont sécurisées.
L’Afrique du Sud est sollicitée par les services secrets de l’Abwehr pour sortir de la Guerre : une place de choix sera réservée aux afrikaners pour la domination du Sud du continent africain.
Le 2 Janvier 1943, les troupes japonaises de l’amiral Kurita bordées par la “Flotte Combinée“ commencent l’invasion de l’archipel d’Hawaï avec les fusillés marins de la 3ème force spéciale japonaise de débarquement.
Le 6 Janvier, la “Flotte Combinée“ de l’amiral Nagano met à mal le ravitaillement américain de l’Archipel par le détachement naval spécial de l’Amiral Théobald déjà gêné par les sous-marins de l’Empire. L’Abwehr met à la disposition des japonais tous les renseignements glanés par l’espion “Cicéron“ en poste aux Etats-Unis. Celui-ci véritable “Œil de Berlin“ a réussi à s’introduire dans l’administration américaine et est au fait de tous les mouvements militaires des Alliés. Le 13 Janvier 1943, les nippons s’emparent de Pearl Harbour et d’Honolulu après un assaut amphibie à la poussée irrésistible où les forces Us sont bousculées avec la plus extrême violence. La plupart des militaires américains et les civils locaux sont fusillés sur place après leur capture.
Le 9 Février 1943, les dernières troupes américaines qui résistaient encore sur l’île d’Oahu évacuent l’archipel Hawaïen. Le 2 Mars 1943, la “Flotte Mobile“ de l’amiral Yamashina met en place un blocus à l’encontre de la côte Ouest américaine : tous les navires marchands sont coulés. La 6ème flotte de sous-marins du vice amiral Shimizu s’en prend à toute embarcation non identifiée. Le I-17 bombarde la raffinerie d’Elwood. Des hydravions porteurs de bombes incendiaires procèdent à la mise à feu des forêts avoisinantes de Los Angeles et de Port Orford. Des sous-marins océaniques de type B1 porte-avions lancent leurs appareils sur plusieurs villes de l’Oregon. L’Us Air Force déploie alors 2 000 avions de combats pour sécuriser le ciel américain de la Californie.
Le 7 avril 1943, les japonais aux ordres de l’amiral Jojima déclenche l’opération “I“ : une attaque aéronavale simultanée de 180 avions contre San Francisco. Ce raid rend inutilisable le port de guerre américain, les aérodromes militaires ainsi que les appareils Us au sol, et répand la terreur parmi la population. Le 13 avril, Los Angeles subit la même attaque de la part de la flotte de l’Amiral Omori. Le 27 Octobre, des éléments de marines japonais sous les ordres de l’amiral Nagumo se joignent aux allemands qui combattent les 30 000 GIs qui montent la gardent dans l’Isthme de Panama. Les troupes débarquées de la Garde Impériale contrôlent rapidement toute la périphérie de La Palma après de multiples combats contre des forces Us mal coordonnées. Le général Patton est tué au volant de sa jeep lors une embuscade.
Le 18 avril 1943, alors qu’il est fièrement mais naïvement en tournée d’inspection et de reconnaissance de la côte Ouest américaine, l’avion de l’amiral Yamamoto est abattu par une escadrille de “Corsair“ en maraude. A Tokyo c’est la stupeur. L’amiral Nagumo le remplace à la planification des opérations militaires selon la volonté de l’Empereur et sur les suggestions du très pressant général Sanada. A Hawaï, nouveau quartier-général de Yamashita, l’amiral décide qu’il faut en finir avec les américains et les forcer à arrêter la guerre. L’Empereur l’autorise à mener une attaque amphibie ciblée sur les Usa afin d’inciter le gouvernement des Usa à reconnaitre la suprématie du Japon sur le Pacifique. Du 12 au 29 Mai 1943, 12 000 “Marines Japonais“ débarquent de part et d’autre de San Diégo depuis Honolulu, et se retranchent dans la ville après de durs combats contre les troupes de la 5ème division blindée et de la 7ème division d’infanterie du général Hodge. Six hydravions ayant décollés des sous-marins géants I-4000 et I-4001 bombardent la ville et sa périphérie. Du 21 Juin au 27 Août 1943, la “Flotte Combinée“ de l’amiral Nagumo harcèle toutes les installations militaires américaines de la côte Ouest par d’incessants raids aériens menés par plus de 200 appareils. Les dégâts causés aux infrastructures navales et routières sont considérables. Le 22 Septembre 1943, des sapeurs épaulés par des commandos nippons établissent des aérodromes et des têtes de ponts sur l’île de Vancouver. L’aviation américaine tente tant bien que mal d’assurer une couverture aux troupes au sol canadiennes qui résistent, mais les vétérans de l’aéronavale nippone étrillent les novices américains.
Aux Usa, la mobilisation armée devient générale pour repousser l’attaque ennemie et préserver le sol national. Plus de 5 millions d’hommes sont appelés sous les drapeaux. Les civils non enrégimentés se regroupent en milices civiles armées pour faire face à l’invasion. Les généraux Marshall à l’Ouest et Eisenhower à l’Est réorganisent l’Us Army avec 73 divisions de combats mises sur pieds. Mais les GIs manquent d’expérience et les japonais déclenchent alors l’opération “Vent de Guerre“, où des milliers de ballons gonflés à l’hydrogène et porteurs d’une bombe individuelle de faible puissance sont largués dans le ciel américain afin de détruire au hasard l’ennemi où qu’il soit. Les résultats sont peu probants. Ces ballons porteurs de bombes, ou Fusen Bakudan, ne sont armés que d’une improbable charge anti personnelle.
Durant le mois d’Avril 1943, Le général Haushofer, un proche d’Hitler, organise l'expédition “Condor“ pour trouver au Tibet un passage vers un monde souterrain : une Terre Creuse où devraient vivre des hommes supérieurs à l'homo sapiens. Ces hommes supérieurs seraient partis, il y a des milliers d'années du désert de Gobie pour trouver refuge sous terre, dans la chaîne montagneuse de l’Himalaya, face à une terrible catastrophe : le déluge, une météorite géante ? Plusieurs expéditions officielles avaient déjà eu lieu au Tibet dans les années 1930 sous la direction d’Ernst Schäfer, un explorateur, directeur de l'institut “Sven Hedin“, pour rassembler des données contenues dans des livres sur la population locale et ses pratiques culturelles. Cette expédition est régie par l'Ahnenerbe, une société sectaire et élitiste de recherche fondée sur l'héritage des ancêtres bien sûr chapeautée par Himmler : Grand ordonnateur de toute la mystique du 3ème Reich, qui veut rompre avec l'église chrétienne découlant du judaïsme. Pour Haushofer le monde est lui-même une terre creuse et nous vivons sur sa croute intérieure. En son centre luit une boule de feu qui nous maintient par pression sur la paroi interne et un espace fantôme contenu autour de la Lune crée la nuit en passant devant le Soleil. Militairement la théorie de la “Terre Creuse“ se traduit par plusieurs applications très concrètes : En 1942, le docteur Hans Fishar, avec un commandement SS, alla installer sur l'île de Rügen des radars dans le but de détecter les mouvements de la flotte anglaise ancrée au Canada : la réflexion des ondes radar sur la paroi rocheuse aurait ainsi localisé les navires britanniques. Sans conséquences. L'expédition fut jumelée avec la recherche d'un passage souterrain en Islande. Plusieurs autres expéditions secrètes suivirent celle de Rügen pour trouver le passage dont parle Jules Verne dans son “Voyage au Centre de la Terre“. Haushofer n’obtient pas les résultats escomptés mais continue ses recherches dans l’Himalaya avec des fonts privés et les deniers SS d’Himmler. Dans le reste de l’Europe l’institut archéologique Rosenberg sous la houlette d’Hans Reinerth, et l’Institut Scientifique de la SS d’Herbert Jan-khun fouillent et retournent chaque site historique pour y trouver des traces de la colonisation antique, voir préhistorique, aryenne et valider l’idée que le “Pangermanisme“ est l’avenir indiscutable du continent. Donc du Monde.
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
La 6ème armée de réserve du général Reichenau débarque en Islande, éradique la présence américaine sur l’île au cours de “l’Opération Haudegen“, et sécurise ainsi l’Atlantique Nord pour couvrir les mouvements de l’Axe en Amérique Septentrionale, et une base allemande est établi au Groenland. L’Islande vassalisée devient le bastion-SS de l’Ordre Noir. En Allemagne, les SS rayonnent depuis le château de Wewelsburg. Assurément liés au Reich, Himmler et ses sbires mettent en place de nombreuses bases dans l’Arctique, au Kazakhstan, en Amérique Centrale et du Sud, ainsi qu’en Antarctique. Obnubilés par la mystique, ils recherchent la “Cité de l’Or“ et des traces d’êtres supérieurs dans les Andes et l’Amazonie. Le 3 Mai 1943, le colonel Juan Perón soutenu par l’armée et l’Abwehr prend le pouvoir en Argentine suite à un coup d’état et établi un gouvernement pro-allemand. Le bras droit de Perón, le colonel Gonzales, passe plusieurs accords commerciaux avec le Reich : denrées alimentaires et matières premières Argentines contre fournitures militaires allemandes. L’amiral Donitz obtient la possibilité de faire mouiller ses U-boots dans les ports et les anses de Patagonie afin de surprendre les navires marchands alliés qui croisent dans l’Atlantique Sud. “Inspirons nous d’Adolf Hitler dans la paix comme dans la guerre“ tel est l’adage de Perón. Von Ribbentrop, le ministre des affaires étrangères du Reich assure les colonels que l’Argentine aura une place de choix dans l’Amérique Latine d’après-guerre. Au Brésil le président Vargas reste rétif quand à un engagement de son pays aux côtés de l’Axe. Les Usa disposent de plusieurs bases sur la Côte Atlantique et les autorités brésiliennes craignent d’être dépassées par les évènements si les américains décident de renforcer leurs présences. Pourtant le Brésil a besoin de devises pour son développement et des financiers se laissent séduire. Ainsi, plusieurs accords diplomatiques qui semblent sans conséquence sont passés avec l’Allemagne, mais cela s’arrête là. Hitler voit dans le Brésil la “Nouvelle Allemagne Latine“ et demande à Himmler de préparer une prise de pouvoir dans ce pays par des sympathisants. 400 000 allemands y résident. Tous ne sont pas pronazis, mais dans cette importante minorité germanique qui vit au Brésil le Führer y voit l’opportunité de s’appuyer sur celle-ci pour fomenter un coup d’état. Dans les faits, les allemands ont besoin du sable des plages brésiliennes qui contient du Thurium pour la création de leur “bombe à désagrégation“. Une bombe atomique. Le 18 Mai 1943, l’Armee Africa aux ordres du général Von Armin vainc les régiments britanniques du général Gort en Tanzanie. Le 24 Juin 1943, avec la capitulation de 150 000 soldats africains et britanniques du général Wavell et la prise de Nairobi en Juillet. Les sud-africains sortent de la guerre en Août et signent des accords avec le Reich. Un gouvernement afrikaner pro-allemand est mis en place à Pretoria avec le soutien de l’Abwehr. L’Afrique du Sud forme alors l’Union Sud-africaine avec les Rhodésies du Nord et du Sud et la Zambie. L’Italie se taille un Empire Africain à la mesure de l’ambition du Duce : la Libye, l’Egypte, le Soudan, la bande d’Ouassou et le nord du Tchad, l’Uganda, Ruanda, Burundi, les Somalies, l’Abyssinie, l’Ethiopie et le Kenya. Le Tanganyika, l’île de Zanzibar, le Katanga, le Malawi, la Namibie, le Cameroun, le Togo et le Nigéria, ainsi que le Katanga riche en diamants forment l’Afrique Allemande. La Mauritanie revient à l’Espagne, l’alliée fidèle. Le Portugal conserve ses colonies en prêtant allégeance au Reich. Les restes du Congo Belge et des colonies anglaises sont rattachés à l’Afrique Française.
Pendant le mois de Juin 1943, la Reggia Aéronautica réussit un coup d’éclat lors de “l’Opération S“: le bombardier Piaggio P-23 R effectue un raid sur New-York, depuis Vigo en Espagne, en y larguant une bombe de 200 Kg. Le Duce exulte en prouvant à son superbe allié l’efficacité des “vols spéciaux“ italiens. Les allemands retiennent la leçon, et pensent déjà à des bombardiers à longue distance pouvant atteindre l’Amérique. La panique s’empare des civils américains de la côte Est qui se croyaient jusque là à l’abri de la guerre. Le gouvernement Us organise la protection de son littoral en y déployant des navires “gardes côtes“ susceptibles de détecter les attaques aériennes ennemies.
Le 6 Novembre 1943, un détachement de blindés de l’Asiakorps conduite depuis la Perse par le général Knobelsdorff atteint la frontière Indienne. Le Leader Indien Chandra Bose forme une “Armée de libération Indienne“ au Pakistan : L’Azad Hind, avec les prisonniers de guerre Indiens anciennement au service des Britanniques et capturés pendant la Campagne d’Egypte. Himmler présente à Hitler la “division Azad Hind“ comme une force d’appoint pour la Wehrmacht, mais pour le Führer les Indiens ne sont que des coulis juste aptes à servir comme porteurs dans l’armée du train, pas des combattants. Néanmoins le Reichfürher SS qui veut contrebalancer la Wehrmacht en alignant des effectifs conséquents enrôle à tour de bras tout ce qui veut se battre pour l’Ordre Noir. Ainsi, Himmler crée t-il moult brigades et divisions de troupes non germaniques mais qui par leur nombre assoient son ambitieuse prétention à peser de tout son poids dans les décisions du Reich. Et puis surtout, le maitre de la SS veut supplanter l’influence qu’a la Wehrmacht sur le Führer. Himmler veut qu’Hitler ne puisse compter que sur ses troupes qui lui sont entièrement dévouées et sûres. Des soldats-politiques qui voient dans le nazisme un idéal inébranlable.
Le 22 Novembre 1943, a lieu la Conférence du Caire présidée conjointement par Rudolph Hess et Benito Mussolini. Sont présents au “Palais l’Italia Magna“ : Von Ribbentrop pour l’Allemagne, l’évêque Titus pour la Slovénie, le comte Ciano pour l’Italie, l’amiral Horthy et Szalasi pour la Hongrie, Munoz Grandes pour l’Espagne, Quisling pour la Norvège, Hans Franck Reichskommissar pour la Pologne et la Galicie, Degrelle pour la Wallonie, le général Antonescu pour la Roumanie, Staf De Clerq pour la Flandre, Sir Oswald Mosley pour l’Angleterre, Ante Pavelic pour la Croatie, Arthur-Seyss-Inquart Reichskommissar et Anton Mussert pour les Pays-Bas et la Flandre, Milan Nedic pour la Serbie, Erich Koch Reichskommissar pour l’Ukraine, l'amiral Argyropoulos pour la Grèce.
Le général Russe Vlassov représente la Russie, le premier ministre Scavénius pour le Danemark, le maréchal Mannerheim pour la Finlande, Konrad Henlein délégué pour les Sudètes et la Bohême, Le général Von Hagen Reichskommissar pour les Pays Baltes, Boris III pour la Bulgarie et Laval pour la France signent des accords sur la partition de l’Europe, de l’Afrique et des différentes sphères d’influences Européennes dans le Monde. La conférence du Caire est l’occasion pour le Duce de parader et de fanfaronner à son aise et de montrer plans à l’appui l’étendue de son empire.
A la Conférence de Téhéran, le 28 Novembre 1943, Ribbentrop, le comte Ciano et le général Tojo pour le Japon signent des accords concernant les nouvelles zones d’influences politiques et économiques mondiales pour les trois nations dominantes. Les nippons entendent former plusieurs sphères de coprospérité sous leur contrôle : une dans l’Océan Indien, une dans le Pacifique Nord, une dans le Pacifique Sud et une sur le continent Asiatique. Le 30 Novembre 1943, les japonais effectuent un nouveau raid aérien meurtrier sur San Francisco et sa périphérie. Dans l’Océan Indien, ils débarquent en Inde via l’île de Ceylan. Les troupes du général Terauchi s’emparent de Calcutta : Gandhi proclame l’indépendance de l’Inde et appelle les indiens à se soulever contre ce qu’il reste de l’autorité anglaise. Etranglée économiquement par un blocus maritime et continental la Chine ne peut plus soutenir son effort de guerre. Kumming est prise par les japonais le 03 Décembre 1943. Shang Kai-Chek s’enfuit aux Etats-Unis via un hydravion Catalina. Un gouvernement chinois pronippon est de suite mis en place pour collaborer avec Tokyo. A l’Est de l’Europe, 12 millions de “personnes indésirables“ sont déportées et mises à mort : sur place par des “régiments de réserve“ de la Heer, et dans des “camps de la mort“ gérés par les SS sous la férule de Rudolph Hoss. Les camps de concentration rapportent 18 milliards de Reichsmarks à l’Ordre Noir. Une partie des fonts est investie dans le projet “Walhalla“. La Gestapo d’Heinrich Muller a des ramifications dans tous les pays d’Europe et ratisse tous les opposants au régime nazi. Un mécanisme de l’horreur nazi mis en place par Reinhardt Hendricks quand il supervisait le processus de déportation. A sa mort, Hans Frank a pris sa place et devenu gouverneur général des territoires annexés il fait régner la terreur à l’encontre des populations asservies de l’Europe de l’Est et des régions occidentales où une opposition armée tente de se maintenir. En France, la “division Brehmer“, aidé par des supplétifs français traque les résistants de tous bords dans le Sud Ouest et le Centre. Les différents régimes des pays alliés ou occupés par le Reich mettent au service des Allemands différentes formations paramilitaires afin de faire taire les revendications libertaires. A Vichy, le Secrétaire d’état Joseph Darnand met sur pieds la “Milice“. Elle est armée par la SS sous la condition que les cadres miliciens entrent dans l’Ordre Noir pour se vassaliser à l’Allemagne. La Milice traque alors les résistants, les appréhende et les met à mort sans autre jugement.
Durant la Campagne d’Hiver 1943-1944, le général Staube chargé des opérations en Sibérie Occidentale engage plusieurs batailles dans l’Oural avec la 1ère armée de Panzer et la division Herman Göring pour en finir avec les poches de résistance communiste du général Sokolov. L’amiral Donitz, qui remplace l’amiral Adler en désaccord avec le Führer quand à la suite de l’engagement de la Kriegsmarine dans le conflit, fait faire des raids à ses sous-marins dans les Caraïbes ainsi que dans le Golf du Mexique où croise la marine marchande américaine. Les restes de la flotte anglaise sont envoyés par le fond lors de la “Bataille Navale des Bahamas“. Le sous-marin U-511, prototype armé de râteliers lance-roquettes de type Nebelwerfer effectue un raid sur Norfolk en bombardant la ville américaine. Hitler en pleine euphorie décide alors détendre l’hégémonie allemande sur les pays Sud-américain. Le Reich en a les moyens matériels et le Führer ne veut surtout pas laisser les japonais s’emparer du sous-continent Latin. Ribbentrop prend plusieurs contacts avec des militaires d’Amérique Centrale dans l’éventualité d’un conflit ouvert sur le sol des Usa : des bases navales serviraient d’appui à l’Axe.
De leur côté les italiens en coordination avec la Kriegsmarine organisent un raid contre New-York : des sous-marins de poche, des hommes-grenouilles et des torpilles pilotées du Groupe Gamma font sauter 10 cargos dans la rade. Pour se démarquer des allemands et leurs prouver la compétence de leur matériel et de leurs pilotes, les transalpins mettent au point “l’opération S II“ : des hydravions Cant Z-511 traversent l’Atlantique et larguent dans la Baie d’Hudson des vedettes rapides lance-torpilles qui coulent 3 destroyers US. Une fois la mission effectuée les vedettes sont abandonnées, les marins récupérés par les hydravions ravitaillés par des cargos, et ceux-ci reprennent leur vol vers l’Argentine alliée. Les allemands qui ne veulent pas en rester là organisent “l’Opération Pastorius“ où 8 saboteurs font sauter les centrales électriques et les réservoirs d’eau alimentant New-York. La psychose devient totale chez les civils américains qui voient des espions partout et commencent à s’en prendre à la population immigrée Italienne de Little Italia et d’Harlem Italia pourtant opposée à Mussolini. Des bastions urbains sont établis et transformés en camps retranchés. A la fin de l’année 1943, la Turquie isolée devient un satellite du Reich par la force des choses. Les turcs jouent quand même sur la corde sensible en rappelant aux Allemands qu’ils étaient leurs alliés pendant la Grande Guerre. Hitler reste insensible. Mussolini, qui entend former un empire à l’image d’une Italie Antique, veut reprendre possession de Constantinople et implanter des bases italiennes à Smyrne et Bodrum. C’est chose faite lors de l’opération “Gertrude“ où des Brandebourgeois et des Bersaglieri s’emparent du gouvernement turc et mettent à sa place une junte militaire favorable aux prétentions de l’Axe. Les frontières turques sont redéfinies et le Duce obtient gain de cause. La Mer Egée est redevenue Romaine. Mussolini exulte. Le 2 Janvier 1944, plusieurs commandos SS débarquent à Cuba et s’emparent de la base Us de Guantanamo.
Pendant le mois de Juin 1943, la Reggia Aéronautica réussit un coup d’éclat lors de “l’Opération S“: le bombardier Piaggio P-23 R effectue un raid sur New-York, depuis Vigo en Espagne, en y larguant une bombe de 200 Kg. Le Duce exulte en prouvant à son superbe allié l’efficacité des “vols spéciaux“ italiens. Les allemands retiennent la leçon, et pensent déjà à des bombardiers à longue distance pouvant atteindre l’Amérique. La panique s’empare des civils américains de la côte Est qui se croyaient jusque là à l’abri de la guerre. Le gouvernement Us organise la protection de son littoral en y déployant des navires “gardes côtes“ susceptibles de détecter les attaques aériennes ennemies.
Le 6 Novembre 1943, un détachement de blindés de l’Asiakorps conduite depuis la Perse par le général Knobelsdorff atteint la frontière Indienne. Le Leader Indien Chandra Bose forme une “Armée de libération Indienne“ au Pakistan : L’Azad Hind, avec les prisonniers de guerre Indiens anciennement au service des Britanniques et capturés pendant la Campagne d’Egypte. Himmler présente à Hitler la “division Azad Hind“ comme une force d’appoint pour la Wehrmacht, mais pour le Führer les Indiens ne sont que des coulis juste aptes à servir comme porteurs dans l’armée du train, pas des combattants. Néanmoins le Reichfürher SS qui veut contrebalancer la Wehrmacht en alignant des effectifs conséquents enrôle à tour de bras tout ce qui veut se battre pour l’Ordre Noir. Ainsi, Himmler crée t-il moult brigades et divisions de troupes non germaniques mais qui par leur nombre assoient son ambitieuse prétention à peser de tout son poids dans les décisions du Reich. Et puis surtout, le maitre de la SS veut supplanter l’influence qu’a la Wehrmacht sur le Führer. Himmler veut qu’Hitler ne puisse compter que sur ses troupes qui lui sont entièrement dévouées et sûres. Des soldats-politiques qui voient dans le nazisme un idéal inébranlable.
Le 22 Novembre 1943, a lieu la Conférence du Caire présidée conjointement par Rudolph Hess et Benito Mussolini. Sont présents au “Palais l’Italia Magna“ : Von Ribbentrop pour l’Allemagne, l’évêque Titus pour la Slovénie, le comte Ciano pour l’Italie, l’amiral Horthy et Szalasi pour la Hongrie, Munoz Grandes pour l’Espagne, Quisling pour la Norvège, Hans Franck Reichskommissar pour la Pologne et la Galicie, Degrelle pour la Wallonie, le général Antonescu pour la Roumanie, Staf De Clerq pour la Flandre, Sir Oswald Mosley pour l’Angleterre, Ante Pavelic pour la Croatie, Arthur-Seyss-Inquart Reichskommissar et Anton Mussert pour les Pays-Bas et la Flandre, Milan Nedic pour la Serbie, Erich Koch Reichskommissar pour l’Ukraine, l'amiral Argyropoulos pour la Grèce.
Le général Russe Vlassov représente la Russie, le premier ministre Scavénius pour le Danemark, le maréchal Mannerheim pour la Finlande, Konrad Henlein délégué pour les Sudètes et la Bohême, Le général Von Hagen Reichskommissar pour les Pays Baltes, Boris III pour la Bulgarie et Laval pour la France signent des accords sur la partition de l’Europe, de l’Afrique et des différentes sphères d’influences Européennes dans le Monde. La conférence du Caire est l’occasion pour le Duce de parader et de fanfaronner à son aise et de montrer plans à l’appui l’étendue de son empire.
A la Conférence de Téhéran, le 28 Novembre 1943, Ribbentrop, le comte Ciano et le général Tojo pour le Japon signent des accords concernant les nouvelles zones d’influences politiques et économiques mondiales pour les trois nations dominantes. Les nippons entendent former plusieurs sphères de coprospérité sous leur contrôle : une dans l’Océan Indien, une dans le Pacifique Nord, une dans le Pacifique Sud et une sur le continent Asiatique. Le 30 Novembre 1943, les japonais effectuent un nouveau raid aérien meurtrier sur San Francisco et sa périphérie. Dans l’Océan Indien, ils débarquent en Inde via l’île de Ceylan. Les troupes du général Terauchi s’emparent de Calcutta : Gandhi proclame l’indépendance de l’Inde et appelle les indiens à se soulever contre ce qu’il reste de l’autorité anglaise. Etranglée économiquement par un blocus maritime et continental la Chine ne peut plus soutenir son effort de guerre. Kumming est prise par les japonais le 03 Décembre 1943. Shang Kai-Chek s’enfuit aux Etats-Unis via un hydravion Catalina. Un gouvernement chinois pronippon est de suite mis en place pour collaborer avec Tokyo. A l’Est de l’Europe, 12 millions de “personnes indésirables“ sont déportées et mises à mort : sur place par des “régiments de réserve“ de la Heer, et dans des “camps de la mort“ gérés par les SS sous la férule de Rudolph Hoss. Les camps de concentration rapportent 18 milliards de Reichsmarks à l’Ordre Noir. Une partie des fonts est investie dans le projet “Walhalla“. La Gestapo d’Heinrich Muller a des ramifications dans tous les pays d’Europe et ratisse tous les opposants au régime nazi. Un mécanisme de l’horreur nazi mis en place par Reinhardt Hendricks quand il supervisait le processus de déportation. A sa mort, Hans Frank a pris sa place et devenu gouverneur général des territoires annexés il fait régner la terreur à l’encontre des populations asservies de l’Europe de l’Est et des régions occidentales où une opposition armée tente de se maintenir. En France, la “division Brehmer“, aidé par des supplétifs français traque les résistants de tous bords dans le Sud Ouest et le Centre. Les différents régimes des pays alliés ou occupés par le Reich mettent au service des Allemands différentes formations paramilitaires afin de faire taire les revendications libertaires. A Vichy, le Secrétaire d’état Joseph Darnand met sur pieds la “Milice“. Elle est armée par la SS sous la condition que les cadres miliciens entrent dans l’Ordre Noir pour se vassaliser à l’Allemagne. La Milice traque alors les résistants, les appréhende et les met à mort sans autre jugement.
Durant la Campagne d’Hiver 1943-1944, le général Staube chargé des opérations en Sibérie Occidentale engage plusieurs batailles dans l’Oural avec la 1ère armée de Panzer et la division Herman Göring pour en finir avec les poches de résistance communiste du général Sokolov. L’amiral Donitz, qui remplace l’amiral Adler en désaccord avec le Führer quand à la suite de l’engagement de la Kriegsmarine dans le conflit, fait faire des raids à ses sous-marins dans les Caraïbes ainsi que dans le Golf du Mexique où croise la marine marchande américaine. Les restes de la flotte anglaise sont envoyés par le fond lors de la “Bataille Navale des Bahamas“. Le sous-marin U-511, prototype armé de râteliers lance-roquettes de type Nebelwerfer effectue un raid sur Norfolk en bombardant la ville américaine. Hitler en pleine euphorie décide alors détendre l’hégémonie allemande sur les pays Sud-américain. Le Reich en a les moyens matériels et le Führer ne veut surtout pas laisser les japonais s’emparer du sous-continent Latin. Ribbentrop prend plusieurs contacts avec des militaires d’Amérique Centrale dans l’éventualité d’un conflit ouvert sur le sol des Usa : des bases navales serviraient d’appui à l’Axe.
De leur côté les italiens en coordination avec la Kriegsmarine organisent un raid contre New-York : des sous-marins de poche, des hommes-grenouilles et des torpilles pilotées du Groupe Gamma font sauter 10 cargos dans la rade. Pour se démarquer des allemands et leurs prouver la compétence de leur matériel et de leurs pilotes, les transalpins mettent au point “l’opération S II“ : des hydravions Cant Z-511 traversent l’Atlantique et larguent dans la Baie d’Hudson des vedettes rapides lance-torpilles qui coulent 3 destroyers US. Une fois la mission effectuée les vedettes sont abandonnées, les marins récupérés par les hydravions ravitaillés par des cargos, et ceux-ci reprennent leur vol vers l’Argentine alliée. Les allemands qui ne veulent pas en rester là organisent “l’Opération Pastorius“ où 8 saboteurs font sauter les centrales électriques et les réservoirs d’eau alimentant New-York. La psychose devient totale chez les civils américains qui voient des espions partout et commencent à s’en prendre à la population immigrée Italienne de Little Italia et d’Harlem Italia pourtant opposée à Mussolini. Des bastions urbains sont établis et transformés en camps retranchés. A la fin de l’année 1943, la Turquie isolée devient un satellite du Reich par la force des choses. Les turcs jouent quand même sur la corde sensible en rappelant aux Allemands qu’ils étaient leurs alliés pendant la Grande Guerre. Hitler reste insensible. Mussolini, qui entend former un empire à l’image d’une Italie Antique, veut reprendre possession de Constantinople et implanter des bases italiennes à Smyrne et Bodrum. C’est chose faite lors de l’opération “Gertrude“ où des Brandebourgeois et des Bersaglieri s’emparent du gouvernement turc et mettent à sa place une junte militaire favorable aux prétentions de l’Axe. Les frontières turques sont redéfinies et le Duce obtient gain de cause. La Mer Egée est redevenue Romaine. Mussolini exulte. Le 2 Janvier 1944, plusieurs commandos SS débarquent à Cuba et s’emparent de la base Us de Guantanamo.
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
L’opération préparée par le général Heusinger, chef des opérations de la Heer, a été déclenchée depuis l’Archipel des Canaries. C’est un véritable “coup de poker“ auquel se livrent les allemands : Escorté par les navires : Tirpitz, l’Amiral Hipper, le Scharnhorst et le Bismarck, un convoi de transports de troupes a débarqué la division Gross Deutschland au Sud-est de la grande île caraïbe. La couverture aérienne a été assurée par les Me 262 du porte-avions Peter Strabber. Passée inaperçue la force d’invasion a été aidée dans son débarquement par des partisans locaux connus sous le nom de “Werewolf“. Ils ont préparé de longue date des sites prompts à accueillir les troupes de l’Axe. Une prise de contact avec le dictateur Fulgencio Batista y Zaldívar permet de s’assurer son soutien dans l’éventualité d’une attaque sur les Usa par l’Atlantic-Flotte du Reich. Le port de la Havane servira d’attache aux navires allemands. Comme Batista cherche à jouer sur les deux tableaux en informant les autorités américaines des préparatifs de l’Allemagne, l’Abwehr décide de lui forcer la main : le 5 Janvier, Porto Rico City tombe entre les mains de Brandebourgeois qui depuis Aguada lancent un appel à la révolte contre le colonialisme américain. Les 30 000 GIs en garnison sur l’île sont pris à parti par des latinos chauffés à blanc encadrés par des agents de l’Abwehr. Porto Rico s’embrase alors : Les allemands y entretiennent une guérilla qui harcelle les américains retranchés dans les villes et leurs casernes. Le 9 Janvier 1944, l’armée Kwantung qui opérait jusque là en Chine commence la conquête de la Sibérie Orientale et la prise de Vladivostok par les japonais est effective le 30 Janvier. Une attaque amphibie lancée depuis l’Archipel Japonais et soutenue par l’aviation enlève toute la côte au contrôle soviétique. Au Grand Quartier Général de Berlin, Hitler décide de porter la guerre sur le sol des Etats Unis d’Amérique. L’amiral Donitz, et les généraux Model et Rommel qui ont toute sa confiance sont convoqués au “Nid d’Aigle“ pour lui exposer des plans qui amèneraient les Usa à sortir de la guerre. Les militaires se rendent compte de l’état de stress du Führer : Hitler tremble, il est en tension perpétuelle. Ses gestes ne sont plus surs. Le docteur Morell le soigne pour la maladie de parkinson qui le diminue chaque jour un peu plus. Pour cacher sa déficience le Führer se lance devant ses séides dans de longs discours où il leurs expose ses vues pour un après-guerre radieux pour l’Allemagne. Des palabres qui n’en finissent pas au cours de repas végétariens pris au “Nid d’Aigle“ en compagnie de toute l’intelligentsia du Reich et d’artistes comme Arno Breker et Maria Schneider où la jeune Romie joue avec les enfants Goebbels et la fille d’Himmler. Hitler, qui se sent faiblir, a besoin de s’appuyer sur des hommes de confiance décide de confier la gestion et la supervision de l’Europe et de la Sibérie ainsi que les Terres Américaines à l’amiral Donitz, et l’Afrique, le Moyen-Orient et l’Asie au Maréchal Kesselring.
Le 20 janvier 1944, l’Atlantic-Flotte effectue un bombardement aéronaval des Bahamas depuis les porte-avions Elbe, York et Graff Zeppelin. Durant cette campagne navale des Caraïbes, le cuirassé allemand Scharnhorst envoie par le fond plusieurs navires de guerres américains croisant au large de la Côte Est. Les avions à réaction embarqués Messerschmitt 263 “Komet“ et 262 “Schwalbe“ surclassent les avions Alliés P-51 Mustang venus à leur rencontre. Le 22 Janvier, l’Amérika Korps d’Erwin Rommel, nouvellement promu maréchal du reich, débarque à la Havane. Les autorités Cubaines prises en défaut ne peuvent encore s’opposer à l’arrivée des forces du Reich de la division Muncheberg du général Harpe. Des missiles balistiques V2 et des aires de lancement pour les ailes volantes V1 sont mises en place au Nord de l’île. Le général allemand Walter Dornberger commence des tirs de “rockets“ contre les proches états du Sud des Usa, dès le 27 Janvier. Ils sont effectués depuis des sites établis à l’avance par des sympathisants locaux encadrés par des agents secrets SS-Brandebourgeois.
Le 30 Janvier 1944, les japonais, sur ordre du général Yamashita, amorcent un assaut général contre la Californie. Le projet est gigantesque. L’état major nippon au sommet de sa mégalomanie veut croire en son destin. Les divisions de la Garde Impériale du général Hata débarquées dans l’euphorie, exaltées et alcoolisées à outrance lancent des pointes depuis les plages de San Diego jusque sur Las Vegas et Phoenix. Mal organisées et sans l’expérience du combat les troupes Us des milices civiles sont bousculées et débordées par les vétérans de la “Guerre Chinoise“. Cependant le général Marshall et ses GIs résistent toujours dans San Francisco. Depuis des sous-marins de type Sen-Toku I-400, des hydravions embarqués Aichi M6a1 attaquent les villes côtières. Une nouvelle opération de ballons-bombes, “Fugo“, est lancée contre les états de l’Ouest. L’unité 731 commandée par le général Masaji Kitano a mis au point des ballons FU porteurs des germes et virus de la peste, du typhus, du choléra sous forme liquide et de la peste bovine. 9 300 Fusen Bakudan sont ainsi lâchés dans le ciel depuis Honolulu pour contaminer l’Amérique. La population civile Us en est terrorisée. Du 1er au 4 Février 1944, l’armée Kwantung, indépendante de ses mouvements lors de l’invasion de la Sibérie Soviétique par les japonais, atteint Pavlodar, limite de son avance en Asie Occidentale selon les accords passés avec l’Allemagne. La 12ème armée allemande du général Wenck les attend pour entériner les limites du partage et s’assurer de la nouvelle frontière du Grand Reich. Le 4 Février 1944, prise de Delhi par les japonais de la 15ème armée du général Ioda qui en terminent avec les forces britanniques présentes en Asie. Les prisonniers sont orientés vers les camps de concentration basés en Birmanie. Une scission a alors lieu entre musulmans et hindouistes : l’Inde devient politiquement pro-japonaise et le Pakistan pro-allemand.
L’Ordre Noir enrégimente les hommes par milliers dans des brigades d’assaut qui verseront leur sang à la place des régiments allemands tenus en réserve. Entre le 4 et le 24 Février, les nippons s’engagent dans l’opération “Ha-Go“ : une attaque amphibie de la 2ème armée du général Teshima est lancée contre la ville et l’île de Vancouver et le littoral de la Colombie Britannique.
Du 16 au 19 Février 1944, selon la volonté du Führer et sur ordre de Rommel toujours prompt à l’initiative, 10 divisions allemandes : Panzer Lehr sous le commandement du général Bayerlein, 2ème Panzer, 1ère SS, 2ème SS, 9ème SS, 12ème SS, 17ème SS, 3ème Fallchirm, 265 et 275 d’infanterie du Groupe d’Armée B débarquent sur les plages de Miami depuis l’île de Cuba : préparée dans le plus grand secret l’audacieuse “Opération Colombus“ n’est cependant pas passée inaperçue à Washington. L’avance est paralysée par un raid réactif et massif de la VIII Air Force qui opère depuis Charleston et qui mitraille les plages du débarquement.
Entre les 18 et 22 Février, les forces américaines : les 4, 8 et 9ème divisions d’infanterie Us et la 2ème division blindée, conduites par le général Eisenhower contre-attaquent sur toutes les têtes de pont de l’Axe. Le général américain peut compter sur les “Français Libres“ du général De Gaulle pour l’épauler. Les français conduit au combat par le général De Lattre se retranchent sur Augustine. Mais allemands comme nippons ne s’en laissent pas compter par les bleus de l’Us Army : le 1er Mars, les japonais brisent la ligne de défense américaine dans les Rocheuses et prennent la ville de Portland sur la côte Ouest. Le 8 Mars 1944, les villes de Raleigh et de Columbia occupées par la 30ème division Us subissent un bombardement par des missiles de type V2B longue portée tirés depuis Nassau dans l’archipel des Bahamas.
Le 15 Mars, le Capitole de Washington est bombardé par une escadrille d’Arados 234B qui, plus rapides que les intercepteurs alliés P-47, ont une impunité de mission sans limite. L’opération est jumelée avec un assaut de commandos SS aérotransportés par des Dornier do 24 sur la Maison Blanche, sans conséquence, mais la portée psychologique est énorme sur la population américaine qui ne se sent plus en sécurité. Le 18 Mars 1943, les troupes du maréchal Rommel occupent le Sud de la Floride où se déroulent des combats de guérilla dans la jungle et les marécages. Des troupes allemandes venues en renfort : 3 Panzer-divisions du général Von Schweppenburg sont ravitaillées par des hydravions Blohm und Voss 222A. Entre le 7 et le 18 Mars 1944, les soldats du 41ème régiment nippon débarquent au Pérou lors de l’opération “Hu-Go“ afin d’établir des bases d’appui en Amérique Latine où une importante communauté japonaise s’est installée et a noyauté l’économie locale et la politique du pays. Le 19 Mars 1944, une rencontre secrète à lieu à la Nouvelle Orléans entre des fonctionnaires de l‘administration allemande sous la conduite du colonel Kuban, des membres du Ku Klux Klan et des indépendantistes québécois : il y est clairement dit que l’avance des asiatiques en terre américaine est inéluctable. Les allemands proposent aux partisans du “White Power“ de créer un rempart face à cette menace : pour le direct après-guerre le Reich s’engage à reformer la Confédération Sudiste qui sera libre d’action en partenariat avec l’Allemagne et de lui attribuer un protectorat sur le Golfe du Mexique pour faire barrage aux asiatiques avec des moyens navals accrus.
Le Québec deviendra indépendant et les terres Acadiennes seront rendues aux francophones. Les états Nord américains de l’Est gérés chacun par un gouvernement propre seront rattachés administrativement aux états anglophones canadiens sous la férule de Fritz Kuhn leader nazi américain qui rassemble 25 000 sympathisants enrôlés dans la division SS “Hindenburg“ qui depuis Pittsburg entreprend une guérilla à l’encontre des forces fédérales. Le 24 Mars, mises au courant de cette entrevue, les autorités mexicaines entrent en pourparler avec Von Ribbentrop afin de se mettre sous la protection du Reich face à un nouveau morcèlement de leur pays et à la menace du Japon qui pèse sur le continent américain. Les mexicains ne veulent pas n’ont plus être écartés de tractations politiques pouvant les concernés et avantageant les “yankee“.
En Juillet 1944, Hitler en visite en Prusse Orientale échappe à un énième attentat perpétré par “le Cercle de Kreisau“. Le dixième depuis sa prise de pouvoir. Les auteurs de l’attentat sont arrêtés : Les Comtes Von Moltke et Stauffenberg. Ils sont exécutés avec leurs complices militaires et civils. Himmler se charge des bases œuvres. Hitler garde des séquelles de cette épreuve. Blessé dans sa chaire, il devient paranoïaque, hystérique et multiplie des colères homériques où il imagine être trahi par tous. Surtout les junkers. Les SS prennent de plus en plus de place dans les décisions opératives et administratives du Reich. En leur compagnie le Führer se sent en sécurité. Himmler Reichfürher SS exulte.
1er août-2 octobre 1944, durant la “Bataille Navale des Antilles“ le Président du Conseil Pierre Laval engage la flotte de guerre française contre des flottilles côtières alliées. Après accord du Reich a lieu un débarquement des forces du gouvernement de Vichy sous le commandement de Darnand. Ce dernier pour obtenir une reconnaissance politique et militaire qui lui faisait défaut a juré fidélité au Führer. Sturmbannführer dans la SS, il commande plusieurs bataillons de la Milice dans les Petites Antilles qui sont annexées à l’Empire Français. Il est accompagné par le colonel Von der Heyde qui supervise toute l’opération. Le 15 septembre, l’île de Saint Domingue, où stationnent quelques GIs, est attaquée par les espagnols du général Estéban-Infantes qui inclut de fait Haïti dans l’espace hispanique. Les troupes ibériques sont appuyées par les avions allemands Me 328 de la Luftflotte VI Atlantik qui sécurisent le ciel caraïbe.
Le 3 septembre 1944, des forces combinées de l’Axe alliant allemands de la 15ème armée du général Zangen, italiens de la 6ème armée du général Guzzoni, et des SS européens : Belges, espagnols et des éléments français de la 8ème brigade d’assaut Frankreich conduits par le Sturmbannführer Jacques Doriot, le tout sous les ordres du général Blumentrit, débarquent à Véra Cruz au Mexique depuis Cuba qui devient la plaque tournante de l’invasion des Usa. L’Europa Korps fonce alors sur Houston au Texas via Monterey au cours de “l’Opération Südwind“. L’armée mexicaine collabore d’entrée de jeu avec les allemands pour récupérer les territoires du nord mis sous protectorat Us dès le début du conflit.
Le 20 janvier 1944, l’Atlantic-Flotte effectue un bombardement aéronaval des Bahamas depuis les porte-avions Elbe, York et Graff Zeppelin. Durant cette campagne navale des Caraïbes, le cuirassé allemand Scharnhorst envoie par le fond plusieurs navires de guerres américains croisant au large de la Côte Est. Les avions à réaction embarqués Messerschmitt 263 “Komet“ et 262 “Schwalbe“ surclassent les avions Alliés P-51 Mustang venus à leur rencontre. Le 22 Janvier, l’Amérika Korps d’Erwin Rommel, nouvellement promu maréchal du reich, débarque à la Havane. Les autorités Cubaines prises en défaut ne peuvent encore s’opposer à l’arrivée des forces du Reich de la division Muncheberg du général Harpe. Des missiles balistiques V2 et des aires de lancement pour les ailes volantes V1 sont mises en place au Nord de l’île. Le général allemand Walter Dornberger commence des tirs de “rockets“ contre les proches états du Sud des Usa, dès le 27 Janvier. Ils sont effectués depuis des sites établis à l’avance par des sympathisants locaux encadrés par des agents secrets SS-Brandebourgeois.
Le 30 Janvier 1944, les japonais, sur ordre du général Yamashita, amorcent un assaut général contre la Californie. Le projet est gigantesque. L’état major nippon au sommet de sa mégalomanie veut croire en son destin. Les divisions de la Garde Impériale du général Hata débarquées dans l’euphorie, exaltées et alcoolisées à outrance lancent des pointes depuis les plages de San Diego jusque sur Las Vegas et Phoenix. Mal organisées et sans l’expérience du combat les troupes Us des milices civiles sont bousculées et débordées par les vétérans de la “Guerre Chinoise“. Cependant le général Marshall et ses GIs résistent toujours dans San Francisco. Depuis des sous-marins de type Sen-Toku I-400, des hydravions embarqués Aichi M6a1 attaquent les villes côtières. Une nouvelle opération de ballons-bombes, “Fugo“, est lancée contre les états de l’Ouest. L’unité 731 commandée par le général Masaji Kitano a mis au point des ballons FU porteurs des germes et virus de la peste, du typhus, du choléra sous forme liquide et de la peste bovine. 9 300 Fusen Bakudan sont ainsi lâchés dans le ciel depuis Honolulu pour contaminer l’Amérique. La population civile Us en est terrorisée. Du 1er au 4 Février 1944, l’armée Kwantung, indépendante de ses mouvements lors de l’invasion de la Sibérie Soviétique par les japonais, atteint Pavlodar, limite de son avance en Asie Occidentale selon les accords passés avec l’Allemagne. La 12ème armée allemande du général Wenck les attend pour entériner les limites du partage et s’assurer de la nouvelle frontière du Grand Reich. Le 4 Février 1944, prise de Delhi par les japonais de la 15ème armée du général Ioda qui en terminent avec les forces britanniques présentes en Asie. Les prisonniers sont orientés vers les camps de concentration basés en Birmanie. Une scission a alors lieu entre musulmans et hindouistes : l’Inde devient politiquement pro-japonaise et le Pakistan pro-allemand.
L’Ordre Noir enrégimente les hommes par milliers dans des brigades d’assaut qui verseront leur sang à la place des régiments allemands tenus en réserve. Entre le 4 et le 24 Février, les nippons s’engagent dans l’opération “Ha-Go“ : une attaque amphibie de la 2ème armée du général Teshima est lancée contre la ville et l’île de Vancouver et le littoral de la Colombie Britannique.
Du 16 au 19 Février 1944, selon la volonté du Führer et sur ordre de Rommel toujours prompt à l’initiative, 10 divisions allemandes : Panzer Lehr sous le commandement du général Bayerlein, 2ème Panzer, 1ère SS, 2ème SS, 9ème SS, 12ème SS, 17ème SS, 3ème Fallchirm, 265 et 275 d’infanterie du Groupe d’Armée B débarquent sur les plages de Miami depuis l’île de Cuba : préparée dans le plus grand secret l’audacieuse “Opération Colombus“ n’est cependant pas passée inaperçue à Washington. L’avance est paralysée par un raid réactif et massif de la VIII Air Force qui opère depuis Charleston et qui mitraille les plages du débarquement.
Entre les 18 et 22 Février, les forces américaines : les 4, 8 et 9ème divisions d’infanterie Us et la 2ème division blindée, conduites par le général Eisenhower contre-attaquent sur toutes les têtes de pont de l’Axe. Le général américain peut compter sur les “Français Libres“ du général De Gaulle pour l’épauler. Les français conduit au combat par le général De Lattre se retranchent sur Augustine. Mais allemands comme nippons ne s’en laissent pas compter par les bleus de l’Us Army : le 1er Mars, les japonais brisent la ligne de défense américaine dans les Rocheuses et prennent la ville de Portland sur la côte Ouest. Le 8 Mars 1944, les villes de Raleigh et de Columbia occupées par la 30ème division Us subissent un bombardement par des missiles de type V2B longue portée tirés depuis Nassau dans l’archipel des Bahamas.
Le 15 Mars, le Capitole de Washington est bombardé par une escadrille d’Arados 234B qui, plus rapides que les intercepteurs alliés P-47, ont une impunité de mission sans limite. L’opération est jumelée avec un assaut de commandos SS aérotransportés par des Dornier do 24 sur la Maison Blanche, sans conséquence, mais la portée psychologique est énorme sur la population américaine qui ne se sent plus en sécurité. Le 18 Mars 1943, les troupes du maréchal Rommel occupent le Sud de la Floride où se déroulent des combats de guérilla dans la jungle et les marécages. Des troupes allemandes venues en renfort : 3 Panzer-divisions du général Von Schweppenburg sont ravitaillées par des hydravions Blohm und Voss 222A. Entre le 7 et le 18 Mars 1944, les soldats du 41ème régiment nippon débarquent au Pérou lors de l’opération “Hu-Go“ afin d’établir des bases d’appui en Amérique Latine où une importante communauté japonaise s’est installée et a noyauté l’économie locale et la politique du pays. Le 19 Mars 1944, une rencontre secrète à lieu à la Nouvelle Orléans entre des fonctionnaires de l‘administration allemande sous la conduite du colonel Kuban, des membres du Ku Klux Klan et des indépendantistes québécois : il y est clairement dit que l’avance des asiatiques en terre américaine est inéluctable. Les allemands proposent aux partisans du “White Power“ de créer un rempart face à cette menace : pour le direct après-guerre le Reich s’engage à reformer la Confédération Sudiste qui sera libre d’action en partenariat avec l’Allemagne et de lui attribuer un protectorat sur le Golfe du Mexique pour faire barrage aux asiatiques avec des moyens navals accrus.
Le Québec deviendra indépendant et les terres Acadiennes seront rendues aux francophones. Les états Nord américains de l’Est gérés chacun par un gouvernement propre seront rattachés administrativement aux états anglophones canadiens sous la férule de Fritz Kuhn leader nazi américain qui rassemble 25 000 sympathisants enrôlés dans la division SS “Hindenburg“ qui depuis Pittsburg entreprend une guérilla à l’encontre des forces fédérales. Le 24 Mars, mises au courant de cette entrevue, les autorités mexicaines entrent en pourparler avec Von Ribbentrop afin de se mettre sous la protection du Reich face à un nouveau morcèlement de leur pays et à la menace du Japon qui pèse sur le continent américain. Les mexicains ne veulent pas n’ont plus être écartés de tractations politiques pouvant les concernés et avantageant les “yankee“.
En Juillet 1944, Hitler en visite en Prusse Orientale échappe à un énième attentat perpétré par “le Cercle de Kreisau“. Le dixième depuis sa prise de pouvoir. Les auteurs de l’attentat sont arrêtés : Les Comtes Von Moltke et Stauffenberg. Ils sont exécutés avec leurs complices militaires et civils. Himmler se charge des bases œuvres. Hitler garde des séquelles de cette épreuve. Blessé dans sa chaire, il devient paranoïaque, hystérique et multiplie des colères homériques où il imagine être trahi par tous. Surtout les junkers. Les SS prennent de plus en plus de place dans les décisions opératives et administratives du Reich. En leur compagnie le Führer se sent en sécurité. Himmler Reichfürher SS exulte.
1er août-2 octobre 1944, durant la “Bataille Navale des Antilles“ le Président du Conseil Pierre Laval engage la flotte de guerre française contre des flottilles côtières alliées. Après accord du Reich a lieu un débarquement des forces du gouvernement de Vichy sous le commandement de Darnand. Ce dernier pour obtenir une reconnaissance politique et militaire qui lui faisait défaut a juré fidélité au Führer. Sturmbannführer dans la SS, il commande plusieurs bataillons de la Milice dans les Petites Antilles qui sont annexées à l’Empire Français. Il est accompagné par le colonel Von der Heyde qui supervise toute l’opération. Le 15 septembre, l’île de Saint Domingue, où stationnent quelques GIs, est attaquée par les espagnols du général Estéban-Infantes qui inclut de fait Haïti dans l’espace hispanique. Les troupes ibériques sont appuyées par les avions allemands Me 328 de la Luftflotte VI Atlantik qui sécurisent le ciel caraïbe.
Le 3 septembre 1944, des forces combinées de l’Axe alliant allemands de la 15ème armée du général Zangen, italiens de la 6ème armée du général Guzzoni, et des SS européens : Belges, espagnols et des éléments français de la 8ème brigade d’assaut Frankreich conduits par le Sturmbannführer Jacques Doriot, le tout sous les ordres du général Blumentrit, débarquent à Véra Cruz au Mexique depuis Cuba qui devient la plaque tournante de l’invasion des Usa. L’Europa Korps fonce alors sur Houston au Texas via Monterey au cours de “l’Opération Südwind“. L’armée mexicaine collabore d’entrée de jeu avec les allemands pour récupérer les territoires du nord mis sous protectorat Us dès le début du conflit.
Berold- Messages : 136
Date d'inscription : 28/08/2018
Age : 56
Localisation : Le Village
Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Sur l’île de Porto Rico, les garnisons américaines sont sans cesse bombardées par des V2. Elles finissent par se rendre aux allemands qui les harcèlent. En Octobre 1944, a lieu l’explosion de la première bombe atomique allemande dans la périphérie du camp de Dachau : de faible puissance l’explosion tue 200 prisonniers de guerre russes servant de cobayes. En Novembre 1944, Les diplomates japonais conduits par le général Isama Cho proposent à l’Australie et à la Nouvelle-Zélande de sortir de la guerre et de s’inclure dans la Sphère de Coprospérité du Pacifique Sud. Les nippons promettent leurs protection. Les britanniques entrent en pourparler avec le gouvernement de Tokyo d’Hideki Tojo, premier ministre de l’Empire japonais. 17 janvier 1945, prise de Panama par l’armée colombienne avec des éléments de l’Axe : SS germaniques et des régiments espagnols. L’isthme de Panama est redonné à la Colombie. Il avait été détaché de la Colombie par les américains qui exploitaient le Canal d’où un sentiment de revanche de la part des Sud-américains qui ne font pas de quartier aux GIs prisonniers. Avec leurs incursions respectives en territoire américain, les nippons comme les allemands pensent déjà à définir leurs zones d’influence en Amérique. Cet état de fait n’inclut pas pour autant une quelconque coopération militaire entre les puissances fascistes. Allemands comme japonais se méfient les uns des autres et un racisme mutuel entretenu par l’idée qu’ils sont respectivement les meilleurs empêche toute action militaire concertée. Déjà l’Abwehr infiltre des agents asiatiques anti japonais au sein de l’administration de l’Empire du Soleil Levant. Si les camps de concentration et d’extermination font en Europe de l’Est plus de 12 millions de victimes à raison de 24 000 personnes par jour, les einsatzgruppen de la Heer tuent à elles seules 6 millions de personnes en les fusillant sur place entre 1941 et 1946 : résistants, libéraux, populations slaves, intellectuels, handicapés, juifs, officiers ennemis, tziganes, professeurs des écoles, membres de l’administration soviétique meurent sous les balles allemandes. Tous finissent par être tués, dénoncés par les supplétifs locaux de la SS. Les rares groupes de personnes qui ont réussi à s’échapper devant l’avance des forces du Reich s’installent en Sibérie Orientale et finalement à Vladivostok. Cette ville connait alors un essor démographique et économique sans précédant. De leur Côté les allemands, avec la complicité des français et des anglais, commencent à transformer les îles de Madagascar et de Sainte Hélène en de gigantesques camps de concentration où sont déportés les juifs du Maghreb et du Moyen-Orient, et toutes les personnes jugées indésirables ainsi que les repris de justice du Reich et de ses pays satellites. Ainsi, peu à peu, les camps de concentration européens sont-ils démembrés et disparaissent effaçant les preuves de l’abominable tuerie orchestrée par les allemands et leurs complices. Les îles concentrationnaires sont de vraies prisons à ciel ouvert. Ils sont appelés bagnes pour plus de convenance, mais n’en restent pas moins des mouroirs horribles où le docteur Eduard May met au point une arme biologique : Des moustiques porteurs de divers virus qui par leurs piqures inoculent aux déportés moult maladies, et les font mourir car laissés sans soins.
Entre les 04 et 11 février 1945 a lieu une nouvelle conférence : celle de Delhi, sur le partage du monde entre allemands et japonais qui y décident du sort du Monde de l’après guerre entre “Grandes Puissances“.
En Mars 1945, a lieu la seconde explosion de la bombe atomique allemande mise au point par le docteur Kurt Diebner. L’explosion a lieu non loin de la ville de Tchernobyl en Ukraine où 800 prisonniers de guerre soviétiques servant de cobayes sont tués. De leur côté les japonais s’essayent à la recherche atomique mais n’en sont qu’aux prémices. Les savants Sakae Shimizu et Yoshiari Uemura travaillent à Kyoto sur la séparation de l’atome. Ayant accumulés du retard par rapport aux allemands, les nippons préfèrent privilégier et orienter leurs études sur les armes bactériologiques. L’Unité Spéciale d’expérimentation Médicale 731 basée en Manchourie utilise tous les prisonniers de guerre qu’elle se fait “livrer“ pour tester ses “produits“. Le médecin-général Shiro Ishiï met au point de nouveaux Fusen Bakulen porteurs du virus de la peste alliés à une bombe anti personnelle. Durant “l’Opération PX“ 3 000 ballons s’envolent. Plusieurs d’entre eux tombent le 10 Mars 1945 sur le site d’Hanford où est produit le plutonium destiné à la bombe atomique américaine. Contaminé et en partie miné, l’endroit devient pour un temps inexploitable : le “projet Manhattan“ se trouve bloqué.
Du 8 au 17 Avril 1945 a lieu la “Bataille Navale de l’Atlantique Sud“ : les argentins débarquent aux îles Malouines ainsi qu’en Géorgie du Sud où ils neutralisent les quelques éléments britanniques et s’emparent des archipels anglais qui jouxtent l’Antarctique. Ils entrent ainsi activement dans la guerre aux côtés des allemands. Plusieurs accords diplomatiques sont passés entre le Reich et d’obscures commandants militaires carriéristes des différents pays de l’Amérique du Sud. Simultanément dans tout le sous-continent ont lieu des coups d’état orchestrés par l’Abwehr qui instaurent un nouvel ordre des choses : L’Argentine annexe le Paraguay, la Bolivie et l’Uruguay. Le 12 avril 1945, un commando SS Brandebourgeois infiltré à la Maison Blanche abat le président et plusieurs membres du gouvernement américain en pleine session lors d’une réunion de crise à Washington. Les généraux Eisenhower et De gaulle sont parmi les victimes. L’état américain laissé sans directoire sombre dans un capharnaüm indescriptible entre ceux qui veulent arrêter la guerre et ceux qui veulent continuer le combat. Le général Clark tente de rétablir une substantielle stabilité en Nouvelle Angleterre et sur la côte Est Atlantique en s’appuyant sur l’armée. Les militaires sous la conduite du général Bradley organisent des nids de résistance dans les massifs rocheux des Appalaches. Les combats se poursuivent dans les états du Sud où le général SS Steiner entame une percée vers l’Ouest et le Mississippi depuis Mobile où il a débarqué avec les divisions Frundsberg, Hohenstaufen et Reichfürher SS. Les allemands soutenus dans les airs par des avions BV-P 209 sont engagés contre les 32, 34, 38 et 43èmes divisions d’infanterie Us et la 3ème division blindée américaine.
Le 28 avril 1945, Mussolini déclare depuis Rome l’Empire Italien Universel qui inclut une grande partie de l’Afrique, une bonne partie des Balkans, dont l’Albanie et le Monténégro, la Grèce et l’autorité sur la Mer Méditerranée. Le 30 avril 1945, Hitler : hystérique, parkinsonien, soigné à la morphine et à l’héroïne par le docteur Morell, décide d’en finir avec les Usa. La planification du “Plan Noir“ de longue date établie prend tout son essor. Le Führer compte sur son “arme miraculeuse“ pour faire plier la junte militaire américaine qui régit les États-Unis et encourage la résistance armée des milices de citoyens. Selon la volonté d’un Führer halluciné et névrosé les monarchies doivent disparaitre : “Les monarques ne sont que des profiteurs qui par leur faiblesse empêchent le développement intellectuel et personnel de l’individu“. Hitler a toujours en tête la défaite de 1918 qui selon lui est due à l’incompétence du Kaiser et des Junkers. Ainsi donc, en s’appuyant sur les SS, Himmler fait tomber l’une après l’autre les têtes couronnées d’Europe. La création de la République Sociale de Bulgarie est la première de ses réalisations après l’arrestation de la famille royale. En Roumanie est créé une République du même type où la Garde d’Airain liée à la SS prend le pouvoir. La Création de la République Sociale de Hongrie par les Croix Fléchées liées à l’Ordre Noir se fait après la démission de l’amiral Horthy. Au Brésil, Beja Vargas, frère du président en place trop proche des Usa, prend le pouvoir et fait entrer son pays dans la guerre aux côtés des allemands. Le Chili cède le territoire d’Arica au nouvel état Argentin, et en contre partie annexe les terres antarctiques anglaises. La Colombie récupère officiellement le Panama et est fédérée par l’Allemagne avec le Venezuela et l’Equateur en l’état de Grande Colombie, encore autrement appelée “Nouvelle Espagne“. Les états d’Amérique Centrale sont regroupés en une Fédération Latine contrôlée par le Reich. Des bases navales allemandes sont ainsi ouvertes sur le Pacifique depuis le Guatemala, le Salvador et le Costa Rica. Les japonais y voient déjà une ingérence dans leur sphère d’influence océanique. Pour les allemands il est sûr que ces ports militaires, portes ouvertes sur le Pacifique, représentent des points d’appui et de pression pour le direct après-guerre.
Les autorités du Reich organisent l’exploitation des ressources des Pays du “Grand Est“ : une voie de chemin de fer relie Berlin à Moscou, via Kiev, et les terres arables sont distribuées aux vétérans de la Wehrmacht qui y prennent leur retraite, bien qu’étant toujours en état d’alerte. Ils doivent mettre en valeur les plaines russes avec une main d’œuvre locale réduite en servage. L’Etat Ukrainien est crée en ce sens. La Flandre Belge obtient son indépendance en faisant valoir sa différence “Germanique“ avec la Wallonie méridionale latine. Un gouvernement flamand lié à l’Ordre Noir y est établi. Tous les états périphériques du Reich sont régis par les SS et l’Organisation Todt. L’Afrique du Sud par sa vassalisation au Reich annexe avec l’accord de Berlin les Rhodésies pour les sécuriser, et de part ses racines hollandaises fait valoir sa “germanité“ à l’égale des flamands et autres populations nordiques.
Une base navale de sous-marins allemands est installée au Cap par la Kriegsmarine de l’amiral Donitz. Ceux-ci rayonnent dans l’Atlantique Sud et l’Océan Indien pour en sécuriser les eaux. Avec l’éclatement de la Belgique, Léon Degrelle, “le fils chéri du Führer“, obtient d’un Hitler atteint par la maladie de parkinson à son stade le plus avancé et devenant de plus en plus paranoïaque envers son entourage proche qu’une union douanière soit mise en place entre la Wallonie et la France en argumentant que son engagement personnel de SS, honnête et pur, et intellectuellement supérieur, prendra le dessus sur la déliquescence française et maintiendra les “latins“ dans l’obédience germanique. Degrelle entend surtout jouer, avec l’appui du Reich, un rôle important dans l’Europe Nouvelle et vise une place de choix dans la future entité francophone qui va se mettre en place. La Franche-Comté française dite “Zone Réservée“ reste administrativement gérée par les SS. Ils voient en cette région “Bourguignonne“ et “Lotharingienne“ une terre de mystères où perdurent des secrets qui s’ils sont découverts donneront à l’Ordre Noir des perspectives de puissances occultes encore inégalées. La magie régit le monde halluciné des SS. Ainsi, la Franche Comté, ou Comté Franc de Bourgogne, est le siège depuis Dôle d’où partent toutes les ramifications latines de la SS pour la France, la Belgique, la Suisse, l’Espagne, le Portugal, la Grèce et l’Italie.
La “Bourgogne“, terre mystique selon Himmler, doit devenir un sanctuaire SS au même titre que le territoire de Marienburg en Prusse, que l’Islande ou que le château de Wewelsburg près de la forêt de Paderborn qui est le site du “Soleil Noir“. On dit qu’il s’y pratique d’abominables expériences sous le couvert de la magie noire. Le 7 mai 1945, le Führer gâteux et dépendant aux stupéfiants, qui apaisent ses douleurs et son esprit malade, ordonne le bombardement atomique de New-York : un missile balistique de type V4 comportant une ogive atomique. Le “Missile New-York“, est tiré depuis l’Archipel des Bermudes et va s’écraser au cœur de la cité faisant 2 000 morts parmi les civils. Von Ribbentrop proposent l’armistice aux américains. Ceux-ci sous la conduite rigide du général Marshall refusent. Simultanément, Deux Horton 666 “Super-ailes-Volantes“ décollant de Cuba et 4 Fw 300 “Superforteresses“ partis d’Islande bombardent Chicago transformé en brasier durant la nuit.
Le 8 mai 1945 au matin, un nouveau missile V4 tombe sur Hartford et fait 1 500 victimes. Pour leur démonstration de force les allemands ont choisit des cibles des états du Nord afin de ne pas se mettre à dos les diplomates sudistes avec qui ils entament des pourparlers à Miami. Le maréchal Rommel compte sur la collaboration de ses interlocuteurs pour favoriser son opération de débarquement sur les arrières des troupes fédérales qui bloquent l’avancée de ses divisions en Floride. Plusieurs V2 sont tirés contre Washington depuis l’Océan Atlantique à partir de conteneurs submersibles tractés par des U-boots de type XXI du programme “Prüfstand XII“. Donitz est au sommet de sa gloire.
Le 8 Mai 1945 au soir : " Dring. Dring. " Le téléphone du bureau résonne dans la vaste pièce de la Maison de l'Amirauté.
Entre les 04 et 11 février 1945 a lieu une nouvelle conférence : celle de Delhi, sur le partage du monde entre allemands et japonais qui y décident du sort du Monde de l’après guerre entre “Grandes Puissances“.
En Mars 1945, a lieu la seconde explosion de la bombe atomique allemande mise au point par le docteur Kurt Diebner. L’explosion a lieu non loin de la ville de Tchernobyl en Ukraine où 800 prisonniers de guerre soviétiques servant de cobayes sont tués. De leur côté les japonais s’essayent à la recherche atomique mais n’en sont qu’aux prémices. Les savants Sakae Shimizu et Yoshiari Uemura travaillent à Kyoto sur la séparation de l’atome. Ayant accumulés du retard par rapport aux allemands, les nippons préfèrent privilégier et orienter leurs études sur les armes bactériologiques. L’Unité Spéciale d’expérimentation Médicale 731 basée en Manchourie utilise tous les prisonniers de guerre qu’elle se fait “livrer“ pour tester ses “produits“. Le médecin-général Shiro Ishiï met au point de nouveaux Fusen Bakulen porteurs du virus de la peste alliés à une bombe anti personnelle. Durant “l’Opération PX“ 3 000 ballons s’envolent. Plusieurs d’entre eux tombent le 10 Mars 1945 sur le site d’Hanford où est produit le plutonium destiné à la bombe atomique américaine. Contaminé et en partie miné, l’endroit devient pour un temps inexploitable : le “projet Manhattan“ se trouve bloqué.
Du 8 au 17 Avril 1945 a lieu la “Bataille Navale de l’Atlantique Sud“ : les argentins débarquent aux îles Malouines ainsi qu’en Géorgie du Sud où ils neutralisent les quelques éléments britanniques et s’emparent des archipels anglais qui jouxtent l’Antarctique. Ils entrent ainsi activement dans la guerre aux côtés des allemands. Plusieurs accords diplomatiques sont passés entre le Reich et d’obscures commandants militaires carriéristes des différents pays de l’Amérique du Sud. Simultanément dans tout le sous-continent ont lieu des coups d’état orchestrés par l’Abwehr qui instaurent un nouvel ordre des choses : L’Argentine annexe le Paraguay, la Bolivie et l’Uruguay. Le 12 avril 1945, un commando SS Brandebourgeois infiltré à la Maison Blanche abat le président et plusieurs membres du gouvernement américain en pleine session lors d’une réunion de crise à Washington. Les généraux Eisenhower et De gaulle sont parmi les victimes. L’état américain laissé sans directoire sombre dans un capharnaüm indescriptible entre ceux qui veulent arrêter la guerre et ceux qui veulent continuer le combat. Le général Clark tente de rétablir une substantielle stabilité en Nouvelle Angleterre et sur la côte Est Atlantique en s’appuyant sur l’armée. Les militaires sous la conduite du général Bradley organisent des nids de résistance dans les massifs rocheux des Appalaches. Les combats se poursuivent dans les états du Sud où le général SS Steiner entame une percée vers l’Ouest et le Mississippi depuis Mobile où il a débarqué avec les divisions Frundsberg, Hohenstaufen et Reichfürher SS. Les allemands soutenus dans les airs par des avions BV-P 209 sont engagés contre les 32, 34, 38 et 43èmes divisions d’infanterie Us et la 3ème division blindée américaine.
Le 28 avril 1945, Mussolini déclare depuis Rome l’Empire Italien Universel qui inclut une grande partie de l’Afrique, une bonne partie des Balkans, dont l’Albanie et le Monténégro, la Grèce et l’autorité sur la Mer Méditerranée. Le 30 avril 1945, Hitler : hystérique, parkinsonien, soigné à la morphine et à l’héroïne par le docteur Morell, décide d’en finir avec les Usa. La planification du “Plan Noir“ de longue date établie prend tout son essor. Le Führer compte sur son “arme miraculeuse“ pour faire plier la junte militaire américaine qui régit les États-Unis et encourage la résistance armée des milices de citoyens. Selon la volonté d’un Führer halluciné et névrosé les monarchies doivent disparaitre : “Les monarques ne sont que des profiteurs qui par leur faiblesse empêchent le développement intellectuel et personnel de l’individu“. Hitler a toujours en tête la défaite de 1918 qui selon lui est due à l’incompétence du Kaiser et des Junkers. Ainsi donc, en s’appuyant sur les SS, Himmler fait tomber l’une après l’autre les têtes couronnées d’Europe. La création de la République Sociale de Bulgarie est la première de ses réalisations après l’arrestation de la famille royale. En Roumanie est créé une République du même type où la Garde d’Airain liée à la SS prend le pouvoir. La Création de la République Sociale de Hongrie par les Croix Fléchées liées à l’Ordre Noir se fait après la démission de l’amiral Horthy. Au Brésil, Beja Vargas, frère du président en place trop proche des Usa, prend le pouvoir et fait entrer son pays dans la guerre aux côtés des allemands. Le Chili cède le territoire d’Arica au nouvel état Argentin, et en contre partie annexe les terres antarctiques anglaises. La Colombie récupère officiellement le Panama et est fédérée par l’Allemagne avec le Venezuela et l’Equateur en l’état de Grande Colombie, encore autrement appelée “Nouvelle Espagne“. Les états d’Amérique Centrale sont regroupés en une Fédération Latine contrôlée par le Reich. Des bases navales allemandes sont ainsi ouvertes sur le Pacifique depuis le Guatemala, le Salvador et le Costa Rica. Les japonais y voient déjà une ingérence dans leur sphère d’influence océanique. Pour les allemands il est sûr que ces ports militaires, portes ouvertes sur le Pacifique, représentent des points d’appui et de pression pour le direct après-guerre.
Les autorités du Reich organisent l’exploitation des ressources des Pays du “Grand Est“ : une voie de chemin de fer relie Berlin à Moscou, via Kiev, et les terres arables sont distribuées aux vétérans de la Wehrmacht qui y prennent leur retraite, bien qu’étant toujours en état d’alerte. Ils doivent mettre en valeur les plaines russes avec une main d’œuvre locale réduite en servage. L’Etat Ukrainien est crée en ce sens. La Flandre Belge obtient son indépendance en faisant valoir sa différence “Germanique“ avec la Wallonie méridionale latine. Un gouvernement flamand lié à l’Ordre Noir y est établi. Tous les états périphériques du Reich sont régis par les SS et l’Organisation Todt. L’Afrique du Sud par sa vassalisation au Reich annexe avec l’accord de Berlin les Rhodésies pour les sécuriser, et de part ses racines hollandaises fait valoir sa “germanité“ à l’égale des flamands et autres populations nordiques.
Une base navale de sous-marins allemands est installée au Cap par la Kriegsmarine de l’amiral Donitz. Ceux-ci rayonnent dans l’Atlantique Sud et l’Océan Indien pour en sécuriser les eaux. Avec l’éclatement de la Belgique, Léon Degrelle, “le fils chéri du Führer“, obtient d’un Hitler atteint par la maladie de parkinson à son stade le plus avancé et devenant de plus en plus paranoïaque envers son entourage proche qu’une union douanière soit mise en place entre la Wallonie et la France en argumentant que son engagement personnel de SS, honnête et pur, et intellectuellement supérieur, prendra le dessus sur la déliquescence française et maintiendra les “latins“ dans l’obédience germanique. Degrelle entend surtout jouer, avec l’appui du Reich, un rôle important dans l’Europe Nouvelle et vise une place de choix dans la future entité francophone qui va se mettre en place. La Franche-Comté française dite “Zone Réservée“ reste administrativement gérée par les SS. Ils voient en cette région “Bourguignonne“ et “Lotharingienne“ une terre de mystères où perdurent des secrets qui s’ils sont découverts donneront à l’Ordre Noir des perspectives de puissances occultes encore inégalées. La magie régit le monde halluciné des SS. Ainsi, la Franche Comté, ou Comté Franc de Bourgogne, est le siège depuis Dôle d’où partent toutes les ramifications latines de la SS pour la France, la Belgique, la Suisse, l’Espagne, le Portugal, la Grèce et l’Italie.
La “Bourgogne“, terre mystique selon Himmler, doit devenir un sanctuaire SS au même titre que le territoire de Marienburg en Prusse, que l’Islande ou que le château de Wewelsburg près de la forêt de Paderborn qui est le site du “Soleil Noir“. On dit qu’il s’y pratique d’abominables expériences sous le couvert de la magie noire. Le 7 mai 1945, le Führer gâteux et dépendant aux stupéfiants, qui apaisent ses douleurs et son esprit malade, ordonne le bombardement atomique de New-York : un missile balistique de type V4 comportant une ogive atomique. Le “Missile New-York“, est tiré depuis l’Archipel des Bermudes et va s’écraser au cœur de la cité faisant 2 000 morts parmi les civils. Von Ribbentrop proposent l’armistice aux américains. Ceux-ci sous la conduite rigide du général Marshall refusent. Simultanément, Deux Horton 666 “Super-ailes-Volantes“ décollant de Cuba et 4 Fw 300 “Superforteresses“ partis d’Islande bombardent Chicago transformé en brasier durant la nuit.
Le 8 mai 1945 au matin, un nouveau missile V4 tombe sur Hartford et fait 1 500 victimes. Pour leur démonstration de force les allemands ont choisit des cibles des états du Nord afin de ne pas se mettre à dos les diplomates sudistes avec qui ils entament des pourparlers à Miami. Le maréchal Rommel compte sur la collaboration de ses interlocuteurs pour favoriser son opération de débarquement sur les arrières des troupes fédérales qui bloquent l’avancée de ses divisions en Floride. Plusieurs V2 sont tirés contre Washington depuis l’Océan Atlantique à partir de conteneurs submersibles tractés par des U-boots de type XXI du programme “Prüfstand XII“. Donitz est au sommet de sa gloire.
Le 8 Mai 1945 au soir : " Dring. Dring. " Le téléphone du bureau résonne dans la vaste pièce de la Maison de l'Amirauté.
Berold- Messages : 136
Date d'inscription : 28/08/2018
Age : 56
Localisation : Le Village
Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Depuis la fenêtre de son salon de la Maison de la Kriegsmarine, l’amiral Donitz voit monter une fumée blanche dans le ciel. Elle provient du Reichstag, il sourit. Le téléphone sonne encore. L'Amiral décroche et écoute. Au Reichstag, Adolf Hitler qui donnait d’énièmes directives vient de mourir d'une crise cardiaque. Cette fois, le docteur Morell n'est pas arrivé à temps. Donitz repose doucement le combiné, et froidement déclare à son entourage :
- " Messieurs. Le Führer est mort. Sa maladie l'a emporté. Selon ses prérogatives et directives : Je suis le garant des institutions et du gouvernement. Je prends la destinée du Reich en mains. Messieurs les amiraux Otto Thedsen et Eberhardt Godt vous entrez dans la composition de mon cabinet rapproché, et devenez ministres dans le nouveau gouvernement de l’Allemagne. Amiral Bey veuillez suivre mes instructions.... Comme convenu. Et prévenir nos amis. "
La mort d’Adolf Hitler : Devenu épileptique et atteint de la maladie d’Alzheimer, quand il ne résidait pas à Berlin le Führer ne sortait plus de la demeure bavaroise où le docteur Morell le soignait. Sa disparition donne lieu à des scènes d’hystérie collective de la part de certains fanatiques nazis, mais l’ensemble de la population ressent comme un soulagement avec l’espérance de la fin du conflit et un retour à la paix. Bien que non vraiment explicité de façon formelle selon la volonté du Führer, c’est l’Amiral Karl Donitz qui commande et dirige les affaires européennes et succède au “Guide de la Révolution Sociale et Nationale Allemande“.
Donitz qui s’appuie sur l’armée s’empresse de rétablir le pouvoir des Junkers, des industriels et de la grande bourgeoisie sur l’ensemble du Reich. C’est un coup d’état conservateur où fort de ses appuis Donitz évince ses adversaires politiques. Il prend contact avec Louis-Ferdinand de Prusse, l’héritier impérial du Reich, pour obtenir le soutien de l’aristocratie allemande. L’Amiral, avec les généraux Keitel et Kesselring, était le seul à avoir la confiance absolu d’Hitler. L’appareil du parti parasité par une cour de profiteurs et la mystique fantaisiste des SS n’a amusé et servi les desseins du Führer que dans la mesure où il s’est servi d’eux pour éliminer ses opposants en les impliquant dans la plus abominable tuerie de l’humanité. L’Amiral, ambitieux et à l’éducation militaire éprouvée, a lui toujours gardé la tête sur les épaules en montrant à Hitler qu’il en avait percé la pensée. De plus ses U-boots se sont suivant ses plans toujours acquittés des missions les plus périlleuses. Donitz s’entoure alors rapidement de généraux de la Wehrmacht qui forment son gouvernement et crée une junte militaire d’où sont bien évidement exclus les SS. Décontenancés, sans la protection de leur “maître“, Göring, Bormann, Hess, ainsi qu’Himmler et ses subordonnés n’ont d’autre choix que d’abandonner leurs oripeaux et de rentrer dans le rang. Néanmoins, le Reichfürher entend mener à bien les opérations SS en cours afin de prouver sa valeur et de peser sur l’avenir du Reich. Donitz n’est pas encore en mesure de le réduire au silence.
Entre les 17 juillet et 2 août 1945, Rommel planifie les débarquements Axis de la 19ème armée du général Rasp et de la 1ère armée du général Fortsh sur Jacksonville, de la 11ème armée du général Hitzfed et la 12ème armée du général Wenck sur Savannah, et de la 14ème armée du général Blackowitz et la 7ème armée du général Felber sur Charleston. L’aviation embarquée du Reich couvre les débarquements qui ne rencontrent qu’une résistance de circonstance en terre confédérée. Durant le déroulement des opérations le maréchal Rommel est “suicidé“ par les SS. Ceux-ci ont démontré que le “Renard“ était à l’époque au courant des attentats à l’encontre du Führer. Cela ne lui est pas pardonné. D’autres opposants au nazisme comme l’amiral Canaris et le colonel Oster disparaissent sans laisser de traces. Himmler entend marquer les esprits et démontrer la puissance politique, militaire et policière de la SS avec laquelle il faut encore compter. Cela arrange bien les affaires de Donitz qui élimine ainsi de potentiels opposants qui pourraient lui contester sa main mise sur le peuple allemand dans ce qui ressemble plus à un “coup d’état“ de la part de l’Amiral qu’à une passation de pouvoir. Rommel est remplacé à la tête de l’état-major des forces germaniques en Amérique par le général SS Dietrich qui à la tête de son 1er corps SS entame une percée sur Richmond et la Virginie. Himmler y voit une victoire politique personnelle dans la course à l’influence.
Le lendemain du 15 Août 1945, Himmler énervé entre dans le bureau de Donitz. Le Reichfürher SS entend avoir maintenant un siège, un poste de qualité, dans le gouvernement du Reich. Partout les hommes du nouvel homme fort de l'Empire Allemand : L'Amiral, ont pris place à des postes clefs. Himmler veut sa part. Donitz le regarde avec dédain. Il ne craint pas Himmler. Hitler est mort, et personne ne le pleure outre mesure. Avec Donitz, qui les a assurés sur la continuité de l'ordre lors d'une radiodiffusion, les allemands ont toute confiance dans l'avenir. L'Amiral fédère toutes les tendances : Bourgeois, Junkers et simple quidam, ainsi que ses alliés. Hitler aura des funérailles grandioses, mais à l'égal d'un Cromwell sa disparition n'affecte vraiment personne. Il a fait son temps. Sa personne est liée à la guerre. Les allemands en ont assez. Seuls les SS se demandent de quoi leur avenir va être fait. Alors Donitz fait entrevoir à Himmler tout le mépris qu'il a vis à vis du fils de petits instituteurs bavarois qu'il est. De toute sa stature et le visage fermé Donitz renvoie le SS à sa misérable condition d'arriviste. Pour Himmler s'en est trop. Il sort du bureau de l'Amiral la rage au ventre. Il emprunte le couloir qui le conduit vers l'escalier où depuis le hall d'entrée de la Maison de l'Amirauté il va pouvoir donner ses ordres et fomenter un il ne sait encore quel complot contre le Marin. Avant qu'il n'ait pu hurler et invectiver ses sbires, Himmler reçoit un violent coup de crosse de luger dans la mâchoire. Deux hommes en gabardines l'entrainent à demi-conscient dans une Mercedes via une porte dérobée. Le Reichfürher des SS est retrouvé deux jours plus tard pendu dans la chambre d'un obscur hôtel souabe. Dans une lettre, Himmler déclare ne plus pouvoir vivre sans l'aura de son Führer adoré. On parlera du fait que le Reichfürher en dépression n’aura pas supporté la mort de son mentor. Qui s'en préoccupe ? Personne. Ou plutôt tout le monde. Ce suicide ne laisse pas le monde indifférent. C'est une délivrance. C’en est fini du régime de terreur de l’Ordre Noir. En fait, Donitz aura ordonné à l’Abwehr de l’éliminer froidement et de débarrasser ainsi le monde d’un infect et prétentieux personnage. C’en est définitivement fini de l’influence SS dans les affaires du Reich, et tout le monde applaudit silencieusement sa mort. Donitz fait aussitôt dissoudre les unités SS, et amalgame leurs soldats dans la Wehrmacht : Les régiments SS prennent des N° suivants à ceux déjà existants dans l'armée régulière. Les officiers gardent et voient leurs grades SS transformer en grades similaires de la Wehrmacht. Tout rentre rapidement dans l'ordre : Sepp Dietrich et Kurt Meyer sont confortés dans leurs affectations et commandements des troupes d’élite que représentent encore les anciennes troupes politiques combattantes. Paulus pour l’Amérique du Nord, Model pour l’Amérique Latine, Von Armin pour l’Afrique, Von Rundstedt pour le Reich et ses satellites d’Europe Centrale, Von Choltitz pour l’Europe Occidentale, et Von Manstein pour l’Asie prennent les rennes de la Heer. Guderian devient Inspecteur Général de la Panzerwaffe. Kesselring est promu Maréchal de l’Air et prend en main la Luftwaffe en remplacement d’un Goering relégué en Prusse. C'est bien dans la mentalité allemande qui ne conçoit pas la rébellion vis à vis de l'ordre établi. Tous les généraux prêtent serment de fidélité envers l’Amiral. Les éléments politiques tels que : Von Hagen qui dirigeait le “Parti“ est promu à l’Inspection Politique Générale du peuple allemand : Organisation qui doit encadrer l’idéologie et la pensée germanique. Goebbels est maintenu au ministère de l’information, et Ribbentrop à celui des affaires étrangères. Les derniers et irréductibles nazis sont envoyés sur l’île de Madagascar où survie le “Rêve de Fer“ du Führer. Ils y retrouvent Karl Hoecker, gouverneur de la grande île, et les autres troupes “Totenkoff“ qui sécurisent le camp de concentration insulaire. Débarrassé des éléments perturbateurs, l’Amiral a les mains libres pour œuvrer sereinement en faveur du Reich et à son avenir. Le capitaine Staub, l’ancien aide-de-camp d’Hitler, devient son attaché militaire aux armées. Hess, qui pressant le couperet, reste en Grande-Bretagne et devient ambassadeur du Reich auprès des Anglo-saxons.
Entre le 20 novembre et le 1er octobre 1945, les troupes fédérales américaines défendant la côte Sud-est, prises entre deux fronts sont obligées de refluer vers les monts Appalaches. Les régiments allemands engagés dans la “Bataille des Bayous“ sortent enfin de Floride. De son côté, l’Europa Korps atteint Dallas en étrillant les régiments de Texas Rangers venus à sa rencontre. Au Canada, des vedettes rapides allemandes remontent le fleuve Saint-Laurent et coulent des navires anglais à quai dans le port de Montréal. Le port d’Halifax en Nouvelle Ecosse est enlevé lors d’un d’assaut de nuit par des commandos SS qui le livrent à la Heer. Plusieurs kampfgruppen blindés sous les ordres des généraux Busch, Schultz et Woehle conduits par le général Model prennent ainsi pieds au Canada.
Les villes de Québec, Montréal et Ottawa sont conquises dans la foulée par une réédition de la Blitzkrieg avec des avions Henkel He 162 en soutien. Himmler et ses SS s’empressent alors de lever des supplétifs parmi la population francophone locale. Les Forces Canadiennes Loyalistes, elles, se regroupent à Sudbury. Rattrapées par les 2 et 3èmes corps de la 6ème armée SS du général Paul Hauser qui foncent plein Nord, elles y succombent au cours de la “Bataille des Grands Lacs“ et la bataille de la ville de Détroit. Des bases de V1, V2 et V3 sont aussitôt installées à Niagara Falls pour bombarder Buffalo et le Nord des Usa. Le 2 Février 1946, les japonais conquièrent enfin Vancouver. La résistance canadienne se solde par la mise en ruine de la cité. La Famille Royale d’Angleterre se rend aux japonais pour éviter de tomber aux mains des allemands. L’Empereur du Japon, au-delà d’un sentiment de supériorité monarchique, prend personnellement sous sa protection les souverains anglais à qui un palais est attribué dans l’île d’Honshu. Entre le 6 Février et le 3 Mars 1946, la “Bataille des Appalaches“ voit les dernières troupes fédérales américaines et alliées : 6ème division d’infanterie et 1ère division blindée Us, se rendre au général Sepp Dietrich.
Afin de faire fléchir la population nord américaine, le Reich décrète le bombardement systématique des villes “Yankee“. Une débauche de lancements de missiles balistiques de type V2 est alors entreprise. Ce régime de terreur acharné et sans concession conduit les militaires américains à cesser le combat. Des familles entières sont écrasées sous les bombes volantes à ogives nucléaires. Dans les états du Sud, la population afro-américaine est prise à parti par les “troupes de tueries mobiles SS“ qui suivent l’avancée des troupes de la Wehrmacht en terre américaine. Les einsatzgruppen sous la conduite du colonel Herber liquident systématiquement tous les “villages noirs“ qui se trouvent sur leur chemin. Les allemands bénéficient de la complicité d’éléments locaux qui guident les Axis dans leur opérations de “purification ethnique“. Plus de 2 millions de personnes disparaissent ainsi sur le sol américain entre le Mississippi, le Tennessee, la Louisiane et le Missouri. Les japonais instaurent à San Francisco une administration regroupant les états de Washington, de l’Oregon, et de la Californie où sont inclues la Colombie Britannique, l’Alberta et l’Alaska. Est ainsi créer “l’Union des Etats du Pacifique“. Les états de l’Arizona, du Colorado, de l’Idaho, de l’Uta, du Montana, du Wyoming et du Nevada sont unifiés en “Etats du Centre“ avec un gouvernement américain sous protectorat nippon. Dans le même temps l’Australie et la Nouvelle-Zélande livrées à elles-mêmes signent la paix avec le Japon. Elles acceptent de faire partie de la “Sphère de Coprospérité du Pacifique Sud“ dont font déjà partie le Pérou et la Polynésie. L’Australie devient le refuge des anglais et autres britanniques qui fuient de par le monde la terreur imposée par les nazis aux “gauchistes“, juifs et intellectuels. Les autorités nippones encouragent cet exode en promettant la sureté aux exilés.
- " Messieurs. Le Führer est mort. Sa maladie l'a emporté. Selon ses prérogatives et directives : Je suis le garant des institutions et du gouvernement. Je prends la destinée du Reich en mains. Messieurs les amiraux Otto Thedsen et Eberhardt Godt vous entrez dans la composition de mon cabinet rapproché, et devenez ministres dans le nouveau gouvernement de l’Allemagne. Amiral Bey veuillez suivre mes instructions.... Comme convenu. Et prévenir nos amis. "
La mort d’Adolf Hitler : Devenu épileptique et atteint de la maladie d’Alzheimer, quand il ne résidait pas à Berlin le Führer ne sortait plus de la demeure bavaroise où le docteur Morell le soignait. Sa disparition donne lieu à des scènes d’hystérie collective de la part de certains fanatiques nazis, mais l’ensemble de la population ressent comme un soulagement avec l’espérance de la fin du conflit et un retour à la paix. Bien que non vraiment explicité de façon formelle selon la volonté du Führer, c’est l’Amiral Karl Donitz qui commande et dirige les affaires européennes et succède au “Guide de la Révolution Sociale et Nationale Allemande“.
Donitz qui s’appuie sur l’armée s’empresse de rétablir le pouvoir des Junkers, des industriels et de la grande bourgeoisie sur l’ensemble du Reich. C’est un coup d’état conservateur où fort de ses appuis Donitz évince ses adversaires politiques. Il prend contact avec Louis-Ferdinand de Prusse, l’héritier impérial du Reich, pour obtenir le soutien de l’aristocratie allemande. L’Amiral, avec les généraux Keitel et Kesselring, était le seul à avoir la confiance absolu d’Hitler. L’appareil du parti parasité par une cour de profiteurs et la mystique fantaisiste des SS n’a amusé et servi les desseins du Führer que dans la mesure où il s’est servi d’eux pour éliminer ses opposants en les impliquant dans la plus abominable tuerie de l’humanité. L’Amiral, ambitieux et à l’éducation militaire éprouvée, a lui toujours gardé la tête sur les épaules en montrant à Hitler qu’il en avait percé la pensée. De plus ses U-boots se sont suivant ses plans toujours acquittés des missions les plus périlleuses. Donitz s’entoure alors rapidement de généraux de la Wehrmacht qui forment son gouvernement et crée une junte militaire d’où sont bien évidement exclus les SS. Décontenancés, sans la protection de leur “maître“, Göring, Bormann, Hess, ainsi qu’Himmler et ses subordonnés n’ont d’autre choix que d’abandonner leurs oripeaux et de rentrer dans le rang. Néanmoins, le Reichfürher entend mener à bien les opérations SS en cours afin de prouver sa valeur et de peser sur l’avenir du Reich. Donitz n’est pas encore en mesure de le réduire au silence.
Entre les 17 juillet et 2 août 1945, Rommel planifie les débarquements Axis de la 19ème armée du général Rasp et de la 1ère armée du général Fortsh sur Jacksonville, de la 11ème armée du général Hitzfed et la 12ème armée du général Wenck sur Savannah, et de la 14ème armée du général Blackowitz et la 7ème armée du général Felber sur Charleston. L’aviation embarquée du Reich couvre les débarquements qui ne rencontrent qu’une résistance de circonstance en terre confédérée. Durant le déroulement des opérations le maréchal Rommel est “suicidé“ par les SS. Ceux-ci ont démontré que le “Renard“ était à l’époque au courant des attentats à l’encontre du Führer. Cela ne lui est pas pardonné. D’autres opposants au nazisme comme l’amiral Canaris et le colonel Oster disparaissent sans laisser de traces. Himmler entend marquer les esprits et démontrer la puissance politique, militaire et policière de la SS avec laquelle il faut encore compter. Cela arrange bien les affaires de Donitz qui élimine ainsi de potentiels opposants qui pourraient lui contester sa main mise sur le peuple allemand dans ce qui ressemble plus à un “coup d’état“ de la part de l’Amiral qu’à une passation de pouvoir. Rommel est remplacé à la tête de l’état-major des forces germaniques en Amérique par le général SS Dietrich qui à la tête de son 1er corps SS entame une percée sur Richmond et la Virginie. Himmler y voit une victoire politique personnelle dans la course à l’influence.
Le lendemain du 15 Août 1945, Himmler énervé entre dans le bureau de Donitz. Le Reichfürher SS entend avoir maintenant un siège, un poste de qualité, dans le gouvernement du Reich. Partout les hommes du nouvel homme fort de l'Empire Allemand : L'Amiral, ont pris place à des postes clefs. Himmler veut sa part. Donitz le regarde avec dédain. Il ne craint pas Himmler. Hitler est mort, et personne ne le pleure outre mesure. Avec Donitz, qui les a assurés sur la continuité de l'ordre lors d'une radiodiffusion, les allemands ont toute confiance dans l'avenir. L'Amiral fédère toutes les tendances : Bourgeois, Junkers et simple quidam, ainsi que ses alliés. Hitler aura des funérailles grandioses, mais à l'égal d'un Cromwell sa disparition n'affecte vraiment personne. Il a fait son temps. Sa personne est liée à la guerre. Les allemands en ont assez. Seuls les SS se demandent de quoi leur avenir va être fait. Alors Donitz fait entrevoir à Himmler tout le mépris qu'il a vis à vis du fils de petits instituteurs bavarois qu'il est. De toute sa stature et le visage fermé Donitz renvoie le SS à sa misérable condition d'arriviste. Pour Himmler s'en est trop. Il sort du bureau de l'Amiral la rage au ventre. Il emprunte le couloir qui le conduit vers l'escalier où depuis le hall d'entrée de la Maison de l'Amirauté il va pouvoir donner ses ordres et fomenter un il ne sait encore quel complot contre le Marin. Avant qu'il n'ait pu hurler et invectiver ses sbires, Himmler reçoit un violent coup de crosse de luger dans la mâchoire. Deux hommes en gabardines l'entrainent à demi-conscient dans une Mercedes via une porte dérobée. Le Reichfürher des SS est retrouvé deux jours plus tard pendu dans la chambre d'un obscur hôtel souabe. Dans une lettre, Himmler déclare ne plus pouvoir vivre sans l'aura de son Führer adoré. On parlera du fait que le Reichfürher en dépression n’aura pas supporté la mort de son mentor. Qui s'en préoccupe ? Personne. Ou plutôt tout le monde. Ce suicide ne laisse pas le monde indifférent. C'est une délivrance. C’en est fini du régime de terreur de l’Ordre Noir. En fait, Donitz aura ordonné à l’Abwehr de l’éliminer froidement et de débarrasser ainsi le monde d’un infect et prétentieux personnage. C’en est définitivement fini de l’influence SS dans les affaires du Reich, et tout le monde applaudit silencieusement sa mort. Donitz fait aussitôt dissoudre les unités SS, et amalgame leurs soldats dans la Wehrmacht : Les régiments SS prennent des N° suivants à ceux déjà existants dans l'armée régulière. Les officiers gardent et voient leurs grades SS transformer en grades similaires de la Wehrmacht. Tout rentre rapidement dans l'ordre : Sepp Dietrich et Kurt Meyer sont confortés dans leurs affectations et commandements des troupes d’élite que représentent encore les anciennes troupes politiques combattantes. Paulus pour l’Amérique du Nord, Model pour l’Amérique Latine, Von Armin pour l’Afrique, Von Rundstedt pour le Reich et ses satellites d’Europe Centrale, Von Choltitz pour l’Europe Occidentale, et Von Manstein pour l’Asie prennent les rennes de la Heer. Guderian devient Inspecteur Général de la Panzerwaffe. Kesselring est promu Maréchal de l’Air et prend en main la Luftwaffe en remplacement d’un Goering relégué en Prusse. C'est bien dans la mentalité allemande qui ne conçoit pas la rébellion vis à vis de l'ordre établi. Tous les généraux prêtent serment de fidélité envers l’Amiral. Les éléments politiques tels que : Von Hagen qui dirigeait le “Parti“ est promu à l’Inspection Politique Générale du peuple allemand : Organisation qui doit encadrer l’idéologie et la pensée germanique. Goebbels est maintenu au ministère de l’information, et Ribbentrop à celui des affaires étrangères. Les derniers et irréductibles nazis sont envoyés sur l’île de Madagascar où survie le “Rêve de Fer“ du Führer. Ils y retrouvent Karl Hoecker, gouverneur de la grande île, et les autres troupes “Totenkoff“ qui sécurisent le camp de concentration insulaire. Débarrassé des éléments perturbateurs, l’Amiral a les mains libres pour œuvrer sereinement en faveur du Reich et à son avenir. Le capitaine Staub, l’ancien aide-de-camp d’Hitler, devient son attaché militaire aux armées. Hess, qui pressant le couperet, reste en Grande-Bretagne et devient ambassadeur du Reich auprès des Anglo-saxons.
Entre le 20 novembre et le 1er octobre 1945, les troupes fédérales américaines défendant la côte Sud-est, prises entre deux fronts sont obligées de refluer vers les monts Appalaches. Les régiments allemands engagés dans la “Bataille des Bayous“ sortent enfin de Floride. De son côté, l’Europa Korps atteint Dallas en étrillant les régiments de Texas Rangers venus à sa rencontre. Au Canada, des vedettes rapides allemandes remontent le fleuve Saint-Laurent et coulent des navires anglais à quai dans le port de Montréal. Le port d’Halifax en Nouvelle Ecosse est enlevé lors d’un d’assaut de nuit par des commandos SS qui le livrent à la Heer. Plusieurs kampfgruppen blindés sous les ordres des généraux Busch, Schultz et Woehle conduits par le général Model prennent ainsi pieds au Canada.
Les villes de Québec, Montréal et Ottawa sont conquises dans la foulée par une réédition de la Blitzkrieg avec des avions Henkel He 162 en soutien. Himmler et ses SS s’empressent alors de lever des supplétifs parmi la population francophone locale. Les Forces Canadiennes Loyalistes, elles, se regroupent à Sudbury. Rattrapées par les 2 et 3èmes corps de la 6ème armée SS du général Paul Hauser qui foncent plein Nord, elles y succombent au cours de la “Bataille des Grands Lacs“ et la bataille de la ville de Détroit. Des bases de V1, V2 et V3 sont aussitôt installées à Niagara Falls pour bombarder Buffalo et le Nord des Usa. Le 2 Février 1946, les japonais conquièrent enfin Vancouver. La résistance canadienne se solde par la mise en ruine de la cité. La Famille Royale d’Angleterre se rend aux japonais pour éviter de tomber aux mains des allemands. L’Empereur du Japon, au-delà d’un sentiment de supériorité monarchique, prend personnellement sous sa protection les souverains anglais à qui un palais est attribué dans l’île d’Honshu. Entre le 6 Février et le 3 Mars 1946, la “Bataille des Appalaches“ voit les dernières troupes fédérales américaines et alliées : 6ème division d’infanterie et 1ère division blindée Us, se rendre au général Sepp Dietrich.
Afin de faire fléchir la population nord américaine, le Reich décrète le bombardement systématique des villes “Yankee“. Une débauche de lancements de missiles balistiques de type V2 est alors entreprise. Ce régime de terreur acharné et sans concession conduit les militaires américains à cesser le combat. Des familles entières sont écrasées sous les bombes volantes à ogives nucléaires. Dans les états du Sud, la population afro-américaine est prise à parti par les “troupes de tueries mobiles SS“ qui suivent l’avancée des troupes de la Wehrmacht en terre américaine. Les einsatzgruppen sous la conduite du colonel Herber liquident systématiquement tous les “villages noirs“ qui se trouvent sur leur chemin. Les allemands bénéficient de la complicité d’éléments locaux qui guident les Axis dans leur opérations de “purification ethnique“. Plus de 2 millions de personnes disparaissent ainsi sur le sol américain entre le Mississippi, le Tennessee, la Louisiane et le Missouri. Les japonais instaurent à San Francisco une administration regroupant les états de Washington, de l’Oregon, et de la Californie où sont inclues la Colombie Britannique, l’Alberta et l’Alaska. Est ainsi créer “l’Union des Etats du Pacifique“. Les états de l’Arizona, du Colorado, de l’Idaho, de l’Uta, du Montana, du Wyoming et du Nevada sont unifiés en “Etats du Centre“ avec un gouvernement américain sous protectorat nippon. Dans le même temps l’Australie et la Nouvelle-Zélande livrées à elles-mêmes signent la paix avec le Japon. Elles acceptent de faire partie de la “Sphère de Coprospérité du Pacifique Sud“ dont font déjà partie le Pérou et la Polynésie. L’Australie devient le refuge des anglais et autres britanniques qui fuient de par le monde la terreur imposée par les nazis aux “gauchistes“, juifs et intellectuels. Les autorités nippones encouragent cet exode en promettant la sureté aux exilés.
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Les japonais récupèrent ainsi intelligemment un grand nombre de savants et d’ingénieurs industriels et militaires qu’ils invitent à travailler pour eux, et bien sur contre le Reich. Au Nord, la Sibérie Orientale joue le même rôle de terre d’accueil pour tous ceux qui fuient les tueries et les exactions des SS, et de la Wehrmacht. Récupérés dans les camps communistes sibériens où Staline les avait fait déportés les savants Glouchko et korolev se mettent ainsi au service des japonais : ils ont dans leurs projets la mise au point d’une fusée stratosphérique capable d’emporter une charge explosive de grande importance.
Le 17 Juin 1946, lors de la “Conférence d’Atlanta“, les allemands mettent en place une administration redécoupant le visage de l’Amérique : Est ainsi créée “l’Union Fédérale des Etats Nord Atlantiques“ (UNA) regroupant les états Nord américains et canadiens anglophones, en s’appuyant sur une forte population d’origine germanique concentrée autour de Saint-Louis. “La Confédération des Etats du Sud“ est reformée. Aux treize états originaux s’ajoutent le Missouri, l’Oklahoma et l’archipel des Bahamas. Le Québec devient indépendant et l’Acadie redevient francophone. Les espagnols annexent l’île de Saint-Domingue et la Jamaïque. Les Petites Antilles dans leur ensemble sont annexées à l’Empire Français auquel s’ajoutent le Suriname et le Guyana sur le continent américain. Les Bermudes et Porto Rico deviennent des bases aéronavales allemandes. Cuba recouvre sont entière indépendance dans le cadre d’une coopération avec le Reich, du fait de sa position centrale dans la Mer Caraïbe. La Havane devient le port principal de l’Axe dans l’Atlantique Nord.
Dans le même temps les japonais redessinent l’Asie : Le Viêt-Nam, le Laos, le Cambodge et la Malaisie sont rattachés au Royaume du Siam. L’Indonésie, l’île de Bornéo et l’Archipel des îles Philippines deviennent indépendantes, mais leurs gouvernements d’opérette sont à la solde des japonais. Leurs dirigeants acceptent de faire partie de la “Sphère de Coprospérité du Pacifique Centre“. L’île de la Nouvelle-Guinée-Papouasie est donnée en gestion administrative à l’Australie. Ce geste pouvant semblé incongru n’en est pas moins diplomatique et sa portée politique dépasse de loin une quelconque clémence. Les nippons s’assurent ainsi de l’alliance militaire et économique des australiens, des néo-zélandais et autres britanniques en leurs laissant les mains libres dans l’autogestion de leur espace vital au sein de la Sphère de Coprospérité où est incluse la Nouvelle Calédonie, le Pérou et la Polynésie. Port Moresby connait à son tour un essor économique en devenant la plaque tournante du commerce pour le Pacifique Sud. Le reste des archipels de l’Océan Pacifique est incorporé à l’Empire Du Soleil Levant où fleurissent des bases aéronavales éparses qui assurent l’emprise nippone sur le Monde Asiatique et sécurise le ciel asiatique. Les français de Polynésie qui refusent de collaborer avec les nippons sont spoliés de leurs biens et s’expatrient en Argentine. Les comptoirs européens d’Inde et de Chine sont restitués à leurs pays d’origine.
L’île de Ceylan devient indépendante et les japonais, en réponse à l’implantation de bases occidentales sur la côte Est-africaine, y construisent une immense base aéronavale couvrant tout l’Océan Indien d’où partent sous-marins qui maraudent jusqu’à la périphérie de l’Antarctique où les nippons établissent des bases. Léon Degrelle, ayant prêté serment d’allégeance envers l’amiral Donitz comme général de brigade dans la Wehrmacht, obtient finalement l’union de la Wallonie à la France et entre dans le gouvernement français comme secrétaire d’état délégué à la francophonie. Bien que ravis par le retour de “terres françaises“ au sein de la Nation, les collaborationnistes voient d’un mauvais œil la venue du chef rexiste dans “leur groupe“ où les tensions et les luttes d’influence sont déjà nombreuses. Degrelle affable obtient toute la sympathie d’un maréchal Pétain toujours en recherche d’un soutien flatteur envers sa personne. Mais au-delà de cela, les deux hommes ayant connus le feu se comprennent. Le regroupement national des peuples aboutit aussi à ce que la Suisse occupée, pays bancaire devenu inutile, soit partagée entre le Reich, l’Italie et la France en fonction des langues qui y sont parlées. L’Italie annexe aussi la Principauté de Monaco. Andorre reste partagée administrativement entre la France et l’Espagne. Si les départements du Nord de la France sont restitués au gouvernement français qui est autorisé à rejoindre Paris, l’Alsace et la Moselle pour sa partie allemande de la Lorraine, terres germaniques depuis toujours preuves archéologiques apportées par l’Office de Recherche Rosenberg à l’appui, sont annexées par le Grand Reich.
En Décembre 1946 : Allemands et japonais imposent au Monde leur autorité politique raciste et répressive. S’instaure alors une paix sous tension ou “Guerre Froide“ entre le Reich et l’Empire qui ferment les frontières de leurs sphères d’influences en dressant un “Rideau de Fer“ entre eux. En France lors de l’année 1951, la mort du Maréchal Pétain donne lieu à une cérémonie grandiose où sont exaltées les vertus moralistes et la gloire du passé. Face au déchirement des leaders des partis collaborationnistes, les allemands mettent en place un gouvernement de circonstance sous la présidence de l’état de Pierre Laval qui bénéficie de l’aide conjointe de l’ancien SS René Bousquet qui devient président du conseil, et de Maurice Papon fait ministre de l’intérieur. Paul Touvier devient chef de la Milice. Marcel Déat du RNP, Albert Beugras et Simon Sabiani du PPF trop conspirateurs sont exclus de toutes les affaires liées à la politique : Ils disparaissent dans un accident d’avion orchestré par l’Abwehr alors qu’ils étaient conviés au château de Sigmaringen en Allemagne pour un hypothétique concile avec les autorités du Reich. On leur y promettait moult honneurs. Leur leader charismatique : Jacques Doriot, lieutenant dans la SS, est mort en Amérique pendant la “Bataille des Appalaches“ mitraillé par un avion Us Tomahawk. Joseph Darnand, ancien SS lui aussi devenu capitaine dans la Heer, devient ministre de la guerre. Il obtient d’avoir un droit de regard sur l’engagement de français dans les différentes formations allemandes. Les autorités du Reich savent avec intelligence flatter l’ancien adjudant devenu officier, et lui font faire moult parades et passages en revues des troupes. L’amiral Darlan devient pour un temps ministre de la Marine et des territoires d’outre-mer. Léon Degrelle, en tant que général dans la Wehrmacht, devient ministre des affaires étrangères et le grand ordonnateur du renouveau politique pour les pays de langue française. Sous son secrétariat, la “Zone Réservée“ est finalement rendue à la France par le Reich, ceci afin d’assoir son charisme sur le gouvernement français en étant celui qui réunit les terres franques à l’Hexagone. Degrelle gagne énormément d’argent en tant qu’entrepreneur. Au service de l’Organisation du travail Todt, il construit des bunkers qui renforcent le mur de l’Atlantique depuis le Sénégal, la Mauritanie, le Maroc, Gibraltar, l’Espagne, la France jusqu’au Nord de la Norvège via le Benelux et le Reich. Le Traité de San Francisco a lieu entre le Japon et les pays asiatiques, ainsi que les états des Sphères de Coprospérité bordant l’Océan Pacifique dans la sphère de Coprospérité Japonaise : traité d’union militaire et économique en vu d’un conflit ouvert avec le Reich.
Les japonais exploitent l’Asie et l’Océanie à grande échelle : Pêche, pétrole, minerais et matières premières pour favoriser une production industrielle intensive et développer un armement de plus en plus performant pour sécuriser la partie du monde qui leurs est dévolue. Les services secrets nippons financent la révolte des Mau Mau au Kenya contre les italiens : Histoire de tester la réactivité de l’Axe. L’aviation royale italienne réagit alors prestement et gaze entièrement le territoire révolté, et décime 90% des insurgés. Les japonais réagissent aussi face à la persécution de certaines populations minoritaires par les allemands. Une chasse aux partisans pro-japonais a lieu dans les états de l’Est américain où certains “intellectuels rebelles“, des écrivains et autres penseurs mettent en valeur les préceptes du Ying et du Yang qui, selon eux, s’accordent pour faire tourner le Monde.L’Abwehr nettoie ces nids de dissidence. Bien que l’administration du Reich ne soit plus soumise à la politique raciale des nazis, il n’en reste pas moins que les allemands continuent à déplacer certains peuples avec la complicité des états satellites qui leurs sont soumis : Les déplacements de “personnes indésirables“ d’Amérique du Nord et du Moyen-Orient vers l’île de Madagascar se font dans des conditions épouvantables par bateaux depuis New-York ou Haïfa vers la grande île, et sont faits sous couvert de l’exploitation de terres vierges et de leurs mises en valeurs. 2 millions de personnes livrées à elles-mêmes sont ainsi réinstallées dans des “camps d’accueil“ où sévissent le typhus, la malaria et le choléra sous un climat humide et torride. Les gardiens de camps, anciens SS, sont évacués vers des bases de transit en Amérique du Sud, et c’est l’administration française qui reprend en main la gestion de Madagascar. Il n’en reste qu’autrement, tous les “indésirables“ y sont envoyés. Une filière de résistance en contact avec l’administration japonaise se met alors en place pour évacuer de l’île les déportés qui trouvent pour la plupart refuge en Australie. Là, un tri est fait par les nippons entre ceux qui peuvent servir les intérêts de l’Empire et ceux qui laissés pour compte iront peupler les îlots désertiques du Pacifique.
Ils seront présents pour juste y tenir une présence nippone de circonstance toujours plus enviable qu’une vie de servitude sous les tropiques. Les italiens comme les français ont décidé de ne pas déplacer les juifs d’Égypte ou du Maghreb. Les premiers car ils les ont toujours protégé, les seconds afin de ne pas dépeupler leur territoire et d’y maintenir une population de seconde catégorie certes, mais soumise à la politique protectrice et intéressée de l’Hexagone. Les autorités Confédérées des états Sudistes d’Amérique profitent de cette époque liée aux déplacements de populations pour “proposer“ aux afro-américains de rejoindre leur terre ancestrale : Le Libéria, qui voit ainsi sa démographie doubler. S’ouvre alors une période d’apaisement diplomatique et politique. Les relations entre le Japon et l’Allemagne sont finalement normalisées, afin que cessent les conflits et que la paix s’instaure selon les volontés de Donitz et de l’Empereur Hiro Hito.
Dans la même veine d’apaisement, après de longues discussions entre un Degrelle exalté par des diatribes historiques à n’en plus finir et un Amiral patient et amusé l’administration de l’Alsace et de la Moselle est rendue à la France : le gouvernement allemand comprend que pour normaliser ses relations avec une France devenue agricole à 80% seule compte pour elle le symbolisme de ses frontières. La paix en Europe est à ce prix, ce que n’avaient ni compris Bismarck ou Hitler. Dans l’hexagone apaisé qui s’assoupit doucement à l’ombre du Reichsous l’égide d’un Léon Degrelle omnipotant, tous les vieux collaborationnistes sont évincés du gouvernement français, et Maurice Papon : “l’Homme des Allemands“, est élu Secrétaire Général de la 4ème République Française. Son complice René Bousquet meure des suites d’une longue maladie. On en finit aussi avec les jeux de pouvoir : L’amiral Darlan est tué au cours d’un meeting politique par un activiste royaliste aux ordres d’un ancien aumôné de la France Libre. Le “Marin“ trop vieille France et ne travaillant que pour lui-même à la manière d’un Pétain est en fait éliminé au profit d’une jeune et nouvelle élite politique prête à tourner la page entre vichystes et anciens résistants. A son tour Maurice Papon est abattu par le fils d’un ancien des FFI. L’homme ne sera pas inquiété. Il débarrasse la France de ses vieux démons. Et c’est finalement le libéral et conservateur très “Vieille France“ Georges Pompidou qui accède à l’Elysée en tant que Président élu au suffrage universel direct de la 5ème République. Son oncle Frederic est un ancien lieutenant de la LVF. Ce dernier devenu diplomate à Berlin avait tôt fait de rassurer les autorités allemandes sur les intentions de paix de l’hexagone. La France se réforme alors intérieurement et accorde l’autonomie interne à la Tunisie et aux pays africains qui, une fois toute opposition anti-métropolitaine éliminée, deviennent indépendants au sein d’une “Union Française“ de circonstance avec des gouvernements fantoches qui répondent aux exigences de Paris. Le royaume du Maroc recouvre sa pleine indépendance en conservant son amitié à la France, mais en ayant des intérêts économique avec le Reich dont les ressortissants envahissent les plages en été.
Le 17 Juin 1946, lors de la “Conférence d’Atlanta“, les allemands mettent en place une administration redécoupant le visage de l’Amérique : Est ainsi créée “l’Union Fédérale des Etats Nord Atlantiques“ (UNA) regroupant les états Nord américains et canadiens anglophones, en s’appuyant sur une forte population d’origine germanique concentrée autour de Saint-Louis. “La Confédération des Etats du Sud“ est reformée. Aux treize états originaux s’ajoutent le Missouri, l’Oklahoma et l’archipel des Bahamas. Le Québec devient indépendant et l’Acadie redevient francophone. Les espagnols annexent l’île de Saint-Domingue et la Jamaïque. Les Petites Antilles dans leur ensemble sont annexées à l’Empire Français auquel s’ajoutent le Suriname et le Guyana sur le continent américain. Les Bermudes et Porto Rico deviennent des bases aéronavales allemandes. Cuba recouvre sont entière indépendance dans le cadre d’une coopération avec le Reich, du fait de sa position centrale dans la Mer Caraïbe. La Havane devient le port principal de l’Axe dans l’Atlantique Nord.
Dans le même temps les japonais redessinent l’Asie : Le Viêt-Nam, le Laos, le Cambodge et la Malaisie sont rattachés au Royaume du Siam. L’Indonésie, l’île de Bornéo et l’Archipel des îles Philippines deviennent indépendantes, mais leurs gouvernements d’opérette sont à la solde des japonais. Leurs dirigeants acceptent de faire partie de la “Sphère de Coprospérité du Pacifique Centre“. L’île de la Nouvelle-Guinée-Papouasie est donnée en gestion administrative à l’Australie. Ce geste pouvant semblé incongru n’en est pas moins diplomatique et sa portée politique dépasse de loin une quelconque clémence. Les nippons s’assurent ainsi de l’alliance militaire et économique des australiens, des néo-zélandais et autres britanniques en leurs laissant les mains libres dans l’autogestion de leur espace vital au sein de la Sphère de Coprospérité où est incluse la Nouvelle Calédonie, le Pérou et la Polynésie. Port Moresby connait à son tour un essor économique en devenant la plaque tournante du commerce pour le Pacifique Sud. Le reste des archipels de l’Océan Pacifique est incorporé à l’Empire Du Soleil Levant où fleurissent des bases aéronavales éparses qui assurent l’emprise nippone sur le Monde Asiatique et sécurise le ciel asiatique. Les français de Polynésie qui refusent de collaborer avec les nippons sont spoliés de leurs biens et s’expatrient en Argentine. Les comptoirs européens d’Inde et de Chine sont restitués à leurs pays d’origine.
L’île de Ceylan devient indépendante et les japonais, en réponse à l’implantation de bases occidentales sur la côte Est-africaine, y construisent une immense base aéronavale couvrant tout l’Océan Indien d’où partent sous-marins qui maraudent jusqu’à la périphérie de l’Antarctique où les nippons établissent des bases. Léon Degrelle, ayant prêté serment d’allégeance envers l’amiral Donitz comme général de brigade dans la Wehrmacht, obtient finalement l’union de la Wallonie à la France et entre dans le gouvernement français comme secrétaire d’état délégué à la francophonie. Bien que ravis par le retour de “terres françaises“ au sein de la Nation, les collaborationnistes voient d’un mauvais œil la venue du chef rexiste dans “leur groupe“ où les tensions et les luttes d’influence sont déjà nombreuses. Degrelle affable obtient toute la sympathie d’un maréchal Pétain toujours en recherche d’un soutien flatteur envers sa personne. Mais au-delà de cela, les deux hommes ayant connus le feu se comprennent. Le regroupement national des peuples aboutit aussi à ce que la Suisse occupée, pays bancaire devenu inutile, soit partagée entre le Reich, l’Italie et la France en fonction des langues qui y sont parlées. L’Italie annexe aussi la Principauté de Monaco. Andorre reste partagée administrativement entre la France et l’Espagne. Si les départements du Nord de la France sont restitués au gouvernement français qui est autorisé à rejoindre Paris, l’Alsace et la Moselle pour sa partie allemande de la Lorraine, terres germaniques depuis toujours preuves archéologiques apportées par l’Office de Recherche Rosenberg à l’appui, sont annexées par le Grand Reich.
En Décembre 1946 : Allemands et japonais imposent au Monde leur autorité politique raciste et répressive. S’instaure alors une paix sous tension ou “Guerre Froide“ entre le Reich et l’Empire qui ferment les frontières de leurs sphères d’influences en dressant un “Rideau de Fer“ entre eux. En France lors de l’année 1951, la mort du Maréchal Pétain donne lieu à une cérémonie grandiose où sont exaltées les vertus moralistes et la gloire du passé. Face au déchirement des leaders des partis collaborationnistes, les allemands mettent en place un gouvernement de circonstance sous la présidence de l’état de Pierre Laval qui bénéficie de l’aide conjointe de l’ancien SS René Bousquet qui devient président du conseil, et de Maurice Papon fait ministre de l’intérieur. Paul Touvier devient chef de la Milice. Marcel Déat du RNP, Albert Beugras et Simon Sabiani du PPF trop conspirateurs sont exclus de toutes les affaires liées à la politique : Ils disparaissent dans un accident d’avion orchestré par l’Abwehr alors qu’ils étaient conviés au château de Sigmaringen en Allemagne pour un hypothétique concile avec les autorités du Reich. On leur y promettait moult honneurs. Leur leader charismatique : Jacques Doriot, lieutenant dans la SS, est mort en Amérique pendant la “Bataille des Appalaches“ mitraillé par un avion Us Tomahawk. Joseph Darnand, ancien SS lui aussi devenu capitaine dans la Heer, devient ministre de la guerre. Il obtient d’avoir un droit de regard sur l’engagement de français dans les différentes formations allemandes. Les autorités du Reich savent avec intelligence flatter l’ancien adjudant devenu officier, et lui font faire moult parades et passages en revues des troupes. L’amiral Darlan devient pour un temps ministre de la Marine et des territoires d’outre-mer. Léon Degrelle, en tant que général dans la Wehrmacht, devient ministre des affaires étrangères et le grand ordonnateur du renouveau politique pour les pays de langue française. Sous son secrétariat, la “Zone Réservée“ est finalement rendue à la France par le Reich, ceci afin d’assoir son charisme sur le gouvernement français en étant celui qui réunit les terres franques à l’Hexagone. Degrelle gagne énormément d’argent en tant qu’entrepreneur. Au service de l’Organisation du travail Todt, il construit des bunkers qui renforcent le mur de l’Atlantique depuis le Sénégal, la Mauritanie, le Maroc, Gibraltar, l’Espagne, la France jusqu’au Nord de la Norvège via le Benelux et le Reich. Le Traité de San Francisco a lieu entre le Japon et les pays asiatiques, ainsi que les états des Sphères de Coprospérité bordant l’Océan Pacifique dans la sphère de Coprospérité Japonaise : traité d’union militaire et économique en vu d’un conflit ouvert avec le Reich.
Les japonais exploitent l’Asie et l’Océanie à grande échelle : Pêche, pétrole, minerais et matières premières pour favoriser une production industrielle intensive et développer un armement de plus en plus performant pour sécuriser la partie du monde qui leurs est dévolue. Les services secrets nippons financent la révolte des Mau Mau au Kenya contre les italiens : Histoire de tester la réactivité de l’Axe. L’aviation royale italienne réagit alors prestement et gaze entièrement le territoire révolté, et décime 90% des insurgés. Les japonais réagissent aussi face à la persécution de certaines populations minoritaires par les allemands. Une chasse aux partisans pro-japonais a lieu dans les états de l’Est américain où certains “intellectuels rebelles“, des écrivains et autres penseurs mettent en valeur les préceptes du Ying et du Yang qui, selon eux, s’accordent pour faire tourner le Monde.L’Abwehr nettoie ces nids de dissidence. Bien que l’administration du Reich ne soit plus soumise à la politique raciale des nazis, il n’en reste pas moins que les allemands continuent à déplacer certains peuples avec la complicité des états satellites qui leurs sont soumis : Les déplacements de “personnes indésirables“ d’Amérique du Nord et du Moyen-Orient vers l’île de Madagascar se font dans des conditions épouvantables par bateaux depuis New-York ou Haïfa vers la grande île, et sont faits sous couvert de l’exploitation de terres vierges et de leurs mises en valeurs. 2 millions de personnes livrées à elles-mêmes sont ainsi réinstallées dans des “camps d’accueil“ où sévissent le typhus, la malaria et le choléra sous un climat humide et torride. Les gardiens de camps, anciens SS, sont évacués vers des bases de transit en Amérique du Sud, et c’est l’administration française qui reprend en main la gestion de Madagascar. Il n’en reste qu’autrement, tous les “indésirables“ y sont envoyés. Une filière de résistance en contact avec l’administration japonaise se met alors en place pour évacuer de l’île les déportés qui trouvent pour la plupart refuge en Australie. Là, un tri est fait par les nippons entre ceux qui peuvent servir les intérêts de l’Empire et ceux qui laissés pour compte iront peupler les îlots désertiques du Pacifique.
Ils seront présents pour juste y tenir une présence nippone de circonstance toujours plus enviable qu’une vie de servitude sous les tropiques. Les italiens comme les français ont décidé de ne pas déplacer les juifs d’Égypte ou du Maghreb. Les premiers car ils les ont toujours protégé, les seconds afin de ne pas dépeupler leur territoire et d’y maintenir une population de seconde catégorie certes, mais soumise à la politique protectrice et intéressée de l’Hexagone. Les autorités Confédérées des états Sudistes d’Amérique profitent de cette époque liée aux déplacements de populations pour “proposer“ aux afro-américains de rejoindre leur terre ancestrale : Le Libéria, qui voit ainsi sa démographie doubler. S’ouvre alors une période d’apaisement diplomatique et politique. Les relations entre le Japon et l’Allemagne sont finalement normalisées, afin que cessent les conflits et que la paix s’instaure selon les volontés de Donitz et de l’Empereur Hiro Hito.
Dans la même veine d’apaisement, après de longues discussions entre un Degrelle exalté par des diatribes historiques à n’en plus finir et un Amiral patient et amusé l’administration de l’Alsace et de la Moselle est rendue à la France : le gouvernement allemand comprend que pour normaliser ses relations avec une France devenue agricole à 80% seule compte pour elle le symbolisme de ses frontières. La paix en Europe est à ce prix, ce que n’avaient ni compris Bismarck ou Hitler. Dans l’hexagone apaisé qui s’assoupit doucement à l’ombre du Reichsous l’égide d’un Léon Degrelle omnipotant, tous les vieux collaborationnistes sont évincés du gouvernement français, et Maurice Papon : “l’Homme des Allemands“, est élu Secrétaire Général de la 4ème République Française. Son complice René Bousquet meure des suites d’une longue maladie. On en finit aussi avec les jeux de pouvoir : L’amiral Darlan est tué au cours d’un meeting politique par un activiste royaliste aux ordres d’un ancien aumôné de la France Libre. Le “Marin“ trop vieille France et ne travaillant que pour lui-même à la manière d’un Pétain est en fait éliminé au profit d’une jeune et nouvelle élite politique prête à tourner la page entre vichystes et anciens résistants. A son tour Maurice Papon est abattu par le fils d’un ancien des FFI. L’homme ne sera pas inquiété. Il débarrasse la France de ses vieux démons. Et c’est finalement le libéral et conservateur très “Vieille France“ Georges Pompidou qui accède à l’Elysée en tant que Président élu au suffrage universel direct de la 5ème République. Son oncle Frederic est un ancien lieutenant de la LVF. Ce dernier devenu diplomate à Berlin avait tôt fait de rassurer les autorités allemandes sur les intentions de paix de l’hexagone. La France se réforme alors intérieurement et accorde l’autonomie interne à la Tunisie et aux pays africains qui, une fois toute opposition anti-métropolitaine éliminée, deviennent indépendants au sein d’une “Union Française“ de circonstance avec des gouvernements fantoches qui répondent aux exigences de Paris. Le royaume du Maroc recouvre sa pleine indépendance en conservant son amitié à la France, mais en ayant des intérêts économique avec le Reich dont les ressortissants envahissent les plages en été.
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En Europe du Nord, la famille royale de Suède est confortée dans ses fonctions, et au royaume sont annexées la Norvège et la Finlande pour former une Scandinavie unie et amie fidélisée au Reich. Outre-Atlantique, les allemands évacuent les Etats-Nord-Atlantique d’Amérique mais y gardent des bases navales pour sécuriser l’espace océanique. Joseph Kennedy est élu Président des Etats Fédéraux. En tant qu’ambassadeur américain en Angleterre pendant la guerre, il avait encouragé les Usa à collaborer avec l’Allemagne.
Charles Lindbergh très apprécié par le Reich devient son ministre des affaires étrangères. La Confédération Sudiste d’Amérique se donne le Grand Cyclope Stevenson du Klan comme président. Fritz Kuhn devient son ministre de l’intérieur. Les Monarchies Bulgares et Roumaines sont restaurées, et la gouvernance de la Grande-Hongrie rendue à l’amiral Horthy qui gouverne conjointement avec son fils. En Espagne, le Prince héritier Juan-Carlos monte sur le trône, selon la volonté de Munoz Grandes. Il accueille les ex-têtes couronnées allemandes et autrichiennes qui sont elles aussi autorisées à revenir vivre dans leurs châteaux au sein du Reich, et sous son règne l’Espagne devient une terre de liberté où convergent tous les libertaires qui se mettent sous la protection de la royauté restaurée. La Famille Royale Anglaise portée par Édouard VIII est autorisée à revenir à Londres mais sans pouvoir, et Lord Mosley et son fils régentent l’Angleterre tels des Lords Protecteurs Cromwelliens dans une parfaite continuité.
Forts de leur main mise sur l’ensemble de la Méditerranée, Les Italiens chassent la population turque de l’île de Chypre et réclament le retour de l’ensemble de la côte Ouest de la Turquie au sein de l’Empire Transalpin. Déjà les armées du Duce sont prêtes à fondre sur Ankara. De leur côté les tyroliens du Sud demandent leur rattachement au Reich. Pour dénouer cette situation de crise l’amiral Donitz convoque les parties prenantes : Les territoires de Smyrne et de Bodrum déjà occupés par des bases italiennes sont cédés à l’Italie. En contrepartie, les allemands cèdent le vaste et désertique état du Kurdistan qui intègre la Turquie en dédommagement. Celle-ci contrainte et forcée ne peut s’opposer au traité mais exige que ses ressortissants ne soient pas chassés de chez eux. Victorieux diplomatiquement, Mussolini exulte et bombe le torse. Mais il n’entend rien céder aux allemands, ces gros lourdeaux, et leur tourne le dos en ce qui concerne le Tyrol. Le Duce a réussit son coup de force. A bord d’un avion de ligne, Mussolini se rend avec sa maitresse et le comte Ciano sur l’île de Chypre pour y parader. Ils sont accompagnés par le maréchal Goering sortit de sa retraite par le gouvernement du Reich qui croit remplir une importante mission diplomatique afin d’apaiser la tension entre allemands et transalpins. Martin Bormann qui régit le parti nazi et Rosenberg le grand ordonnateur du Pangermanisme sont du voyage. L’avion s’écrase à l’atterrissage sur le tarmac de Limassol. Tous ses occupants sont tués. L’Abwehr a éliminé le gêneur transalpin et les vieux partisans de feu le Führer. Les crashs d’avion sont sa marque de fabrique. Personne ne pleure réellement le Duce en Italie.
Pour les Italiques, le matamore n’aura été que le jouet d’Hitler. Le général Badoglio devient de fait le premier ministre du roi Victor-Emmanuel. S’en est fini du fascisme. Donitz a le sourire. Après des négociations pleines de bon sens, les villages tyroliens de langue germaniques sont inclus dans le Reich contre le payement de 2 millions de Reichsmarks Or par le gouvernement allemand pour compensation. Au sein de l’Allemagne, la Bohême-Moravie et la Pologne du Gouvernement Général deviennent des länder à part entière au sein du Reich.
En Amérique Latine, le général Pinochet soutenu par le Reich prend le pouvoir au Chili et instaure un gouvernement pro-allemand dans la continuité militaire des gouvernements précédents. L’Argentine des Généraux Péronistes reste fidèle à l’Allemagne. Elle est agrémentée de l’Uruguay, de la Bolivie et du Paraguay qui deviennent des provinces du nouvel grand état latin qui récupère une ouverture sur le Pacifique via l’ancien territoire annexé en son temps par le Chili lors de la Guerre du Salpêtre.
Les Etats Américains du Pacifique : Californie, Orégon, Washington, Colombie du Pacifique (ex-britannique) deviennent le premier pôle industriel et scientifique du monde et font de l’Empire Japonais, dont ils sont dans la Sphère de Coprospérité du Pacifique Nord, le cœur du développement informatique.
Dans le Reich, Donitz en finit une bonne fois pour toute avec les nazis : Il crée la République Fédérale d’Allemagne, et ferme définitivement les camps de concentration de Madagascar avec l’accord tacite des français, et de Sainte-Hélène avec les autorités anglaises. Les déportés encore vivants prennent le large et sont encouragés à quitter “la Zone Allemande“. L’Australie et la Nouvelle-Zélande sont plus que jamais des terres de refuges pour tous les libertaires de la “Zone Asie“ et du monde entier. Surtout pour les anciens ressortissants juifs américains qui sont accueillis avec bonheur par les autorités nippones qui récupèrent ainsi des ingénieurs et des intellectuels de haut niveau et de talents. Mais tous par peur ou pudeur ne parleront de leur passé. Selon la volonté de Donitz, les gardiens de camps ne rentrent pas en Europe. Ils sont acheminés avec femmes et enfants en Antarctique pour sécuriser cette terre que convoitent aussi les japonais. Les bases allemandes sont alors transformées en villes d’inspiration scandinaves. Et puis surtout, jugés comme des parias, il n’est pas question que les “agents totenkoff“ viennent entacher la nouvelle image du Fatherland. Une Allemagne nouvelle et propre. Et d’ailleurs, le général Ulrich de Maizière succède à l’Amiral comme étant l’homme du renouveau. Donitz reste néanmoins dans le conseil des Junkers que préside de Maizière secondé par Guderian toujours à l’Inspection de l’Arme Blindée, Hasso Von Manteuffel et Von Manstein. Le général Black, adjoint de Guderian pendant la guerre, devient ministre de la guerre et régit les forces armées qui sécurisent l’Espace Vital allemand de par le monde. Le Contre-amiral Bernard Rogge devient ministre de la Flotte de Guerre du Reich. Il a pour adjoint Otto Kretschmer qui supervise l’U-Flotte et ses innombrables submersibles.
Le Vice-amiral Frederick Ruge devient ministre des Affaires Etrangères. Le contre-amiral Walter Hennecke est délégué au Commerce Extérieur. Le Contre-amiral Eberhard Godt est nommé à la Culture. L’Amiral Théodor Hoffmann est en charge du ministère de l’Intérieur. Le Vice-amiral Manfred Nielson est en charge du Commandement Interallié avec les forces armées des pays inclus dans l’Espace Allemand : Europe et Afrique. Le Vice-amiral Friedrich Hüffmeier devient Inspecteur-Général des fortifications côtières du Reich. L’Amiral Wilhelm Marschall est nommé à l’Inspection de la Marine. L’Amiral Oskar Kummetz est ministre de l’Agriculture et des Finances.
Charles Lindbergh très apprécié par le Reich devient son ministre des affaires étrangères. La Confédération Sudiste d’Amérique se donne le Grand Cyclope Stevenson du Klan comme président. Fritz Kuhn devient son ministre de l’intérieur. Les Monarchies Bulgares et Roumaines sont restaurées, et la gouvernance de la Grande-Hongrie rendue à l’amiral Horthy qui gouverne conjointement avec son fils. En Espagne, le Prince héritier Juan-Carlos monte sur le trône, selon la volonté de Munoz Grandes. Il accueille les ex-têtes couronnées allemandes et autrichiennes qui sont elles aussi autorisées à revenir vivre dans leurs châteaux au sein du Reich, et sous son règne l’Espagne devient une terre de liberté où convergent tous les libertaires qui se mettent sous la protection de la royauté restaurée. La Famille Royale Anglaise portée par Édouard VIII est autorisée à revenir à Londres mais sans pouvoir, et Lord Mosley et son fils régentent l’Angleterre tels des Lords Protecteurs Cromwelliens dans une parfaite continuité.
Forts de leur main mise sur l’ensemble de la Méditerranée, Les Italiens chassent la population turque de l’île de Chypre et réclament le retour de l’ensemble de la côte Ouest de la Turquie au sein de l’Empire Transalpin. Déjà les armées du Duce sont prêtes à fondre sur Ankara. De leur côté les tyroliens du Sud demandent leur rattachement au Reich. Pour dénouer cette situation de crise l’amiral Donitz convoque les parties prenantes : Les territoires de Smyrne et de Bodrum déjà occupés par des bases italiennes sont cédés à l’Italie. En contrepartie, les allemands cèdent le vaste et désertique état du Kurdistan qui intègre la Turquie en dédommagement. Celle-ci contrainte et forcée ne peut s’opposer au traité mais exige que ses ressortissants ne soient pas chassés de chez eux. Victorieux diplomatiquement, Mussolini exulte et bombe le torse. Mais il n’entend rien céder aux allemands, ces gros lourdeaux, et leur tourne le dos en ce qui concerne le Tyrol. Le Duce a réussit son coup de force. A bord d’un avion de ligne, Mussolini se rend avec sa maitresse et le comte Ciano sur l’île de Chypre pour y parader. Ils sont accompagnés par le maréchal Goering sortit de sa retraite par le gouvernement du Reich qui croit remplir une importante mission diplomatique afin d’apaiser la tension entre allemands et transalpins. Martin Bormann qui régit le parti nazi et Rosenberg le grand ordonnateur du Pangermanisme sont du voyage. L’avion s’écrase à l’atterrissage sur le tarmac de Limassol. Tous ses occupants sont tués. L’Abwehr a éliminé le gêneur transalpin et les vieux partisans de feu le Führer. Les crashs d’avion sont sa marque de fabrique. Personne ne pleure réellement le Duce en Italie.
Pour les Italiques, le matamore n’aura été que le jouet d’Hitler. Le général Badoglio devient de fait le premier ministre du roi Victor-Emmanuel. S’en est fini du fascisme. Donitz a le sourire. Après des négociations pleines de bon sens, les villages tyroliens de langue germaniques sont inclus dans le Reich contre le payement de 2 millions de Reichsmarks Or par le gouvernement allemand pour compensation. Au sein de l’Allemagne, la Bohême-Moravie et la Pologne du Gouvernement Général deviennent des länder à part entière au sein du Reich.
En Amérique Latine, le général Pinochet soutenu par le Reich prend le pouvoir au Chili et instaure un gouvernement pro-allemand dans la continuité militaire des gouvernements précédents. L’Argentine des Généraux Péronistes reste fidèle à l’Allemagne. Elle est agrémentée de l’Uruguay, de la Bolivie et du Paraguay qui deviennent des provinces du nouvel grand état latin qui récupère une ouverture sur le Pacifique via l’ancien territoire annexé en son temps par le Chili lors de la Guerre du Salpêtre.
Les Etats Américains du Pacifique : Californie, Orégon, Washington, Colombie du Pacifique (ex-britannique) deviennent le premier pôle industriel et scientifique du monde et font de l’Empire Japonais, dont ils sont dans la Sphère de Coprospérité du Pacifique Nord, le cœur du développement informatique.
Dans le Reich, Donitz en finit une bonne fois pour toute avec les nazis : Il crée la République Fédérale d’Allemagne, et ferme définitivement les camps de concentration de Madagascar avec l’accord tacite des français, et de Sainte-Hélène avec les autorités anglaises. Les déportés encore vivants prennent le large et sont encouragés à quitter “la Zone Allemande“. L’Australie et la Nouvelle-Zélande sont plus que jamais des terres de refuges pour tous les libertaires de la “Zone Asie“ et du monde entier. Surtout pour les anciens ressortissants juifs américains qui sont accueillis avec bonheur par les autorités nippones qui récupèrent ainsi des ingénieurs et des intellectuels de haut niveau et de talents. Mais tous par peur ou pudeur ne parleront de leur passé. Selon la volonté de Donitz, les gardiens de camps ne rentrent pas en Europe. Ils sont acheminés avec femmes et enfants en Antarctique pour sécuriser cette terre que convoitent aussi les japonais. Les bases allemandes sont alors transformées en villes d’inspiration scandinaves. Et puis surtout, jugés comme des parias, il n’est pas question que les “agents totenkoff“ viennent entacher la nouvelle image du Fatherland. Une Allemagne nouvelle et propre. Et d’ailleurs, le général Ulrich de Maizière succède à l’Amiral comme étant l’homme du renouveau. Donitz reste néanmoins dans le conseil des Junkers que préside de Maizière secondé par Guderian toujours à l’Inspection de l’Arme Blindée, Hasso Von Manteuffel et Von Manstein. Le général Black, adjoint de Guderian pendant la guerre, devient ministre de la guerre et régit les forces armées qui sécurisent l’Espace Vital allemand de par le monde. Le Contre-amiral Bernard Rogge devient ministre de la Flotte de Guerre du Reich. Il a pour adjoint Otto Kretschmer qui supervise l’U-Flotte et ses innombrables submersibles.
Le Vice-amiral Frederick Ruge devient ministre des Affaires Etrangères. Le contre-amiral Walter Hennecke est délégué au Commerce Extérieur. Le Contre-amiral Eberhard Godt est nommé à la Culture. L’Amiral Théodor Hoffmann est en charge du ministère de l’Intérieur. Le Vice-amiral Manfred Nielson est en charge du Commandement Interallié avec les forces armées des pays inclus dans l’Espace Allemand : Europe et Afrique. Le Vice-amiral Friedrich Hüffmeier devient Inspecteur-Général des fortifications côtières du Reich. L’Amiral Wilhelm Marschall est nommé à l’Inspection de la Marine. L’Amiral Oskar Kummetz est ministre de l’Agriculture et des Finances.
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Et si les Allemands et les Japonais avaient décidé d’en finir les uns avec les autres pour la Domination du Monde ?
Dès la fin de la guerre contre les Alliés, allemands comme japonais mettent la main sur les savants des pays vaincus. Ainsi de nombreux ingénieurs russes passés en Sibérie Orientale aident-ils les nippons à mettre au point des chars plus performants que les tankettes et les chars moyens habituellement utilisées par les asiatiques. Des avions à réaction de type Kikka et Oka sont mis en chantier. Les nazis passent des accords avec les ingénieurs américains travaillant sur le “projet Manhattan“ afin de rendre plus performante leur bombe à “désagrégation“. Ils travaillent pour leur part sur un bombardier transocéanique à long rayon d’action pouvant atteindre l’Asie depuis l’Amérique, la Moscovie ou l’Afrique de l’Est.
La Wehrmacht refonde et réorganise ses unités et ses armées qu’elle implante de part le monde en comptant sur du matériel moderne. Une division d’infanterie allemande est composée de 24 000 hommes et une division blindée de 21 000 :
Le fantassin est casqué du Stahlhem 45 et est armé de fusils d’assaut de type Sturmgewehr 44 et 45, soutenu dans sa progression par des mitrailleuses lourdes de type MG 45.
Le Landser peut combattre les blindés avec des Panzerfaust 150M ou 250M, avec le missile Ruhrstahl X7 “Roträppchen“ ou encore avec le canon antichar Panzer-Wurfkanone PWK-8H-63 de calibre 81. Contre l’aviation le Landser dispose du Luftfaust, version AA du Faust.
La Panzerwaffe remplace peu à peu ses matériels anciens par des modèles plus modernes et performants :
Le Panzer V Panther est remplacé par le Pz E-50 dit Panther II, qui devient le char de combat de référence ou “Standardpanzer“ de toutes les divisions de la Heer avec son canon de 88.
Le Panther II est un char d’accompagnement pour le Panzer VIII “Maus“ dit char d’assaut qui doit tout emporter sur son passage avec son calibre de 150. Néanmoins, il doit être accompagné pour sa défense proche.
Le Panzer VI Tiger II est remplacé par le modèle E-75 dit Tiger III et son canon de 105. Le Tiger III est principalement employé dans les divisions de Panzer SS, il accompagne le Pz E-100 dit “Tiger-Maus“ qui dispose d’un calibre de 128 et équipe les bataillons lourds de la Waffen-SS.
Les bataillons de Panzerjäger de la Heer sont renforcés par le E-25 “Jaguar“ et son 75.
Le Pz E-100 dit “Krokodil“ et son canon de 170, le Jagdpanther II et son 128. Ils sont chargés de détruire les chars adverses.
La Flak dispose des Klakpanzer IV “Kubelblitz“ et Panzer 341 dit “Klakpanther Coelian“, et “Super Coelian“. Les Wind Kanone et Himmelfeger Kanone : canons à air pulsé, sont aussi mis en œuvre autour des villes. Leurs résultats restent toutefois aléatoires. L’artillerie automotrice est améliorée grâce au Geschûtzwagen VI “Grille 17“ qui équipe les divisions d’infantrie.
Le Sturmtiger ou Sturmmöser dit le “Destructeur“ est dédié au combat urbain avec son mortier de 380.
Le Wirbelring Kanone ou Vortex Kanone : canon annulaire à tourbillons tirant des boules de feu, est pensé pour éliminer des objectifs terrestres spécifiques comme des nids de mitrailleuses, des bunkers, des troupes isolées ou des pelotons de chars en mouvements lents.
Les Grenadiers et autres fantassins d’assaut disposent pour leurs déplacements des Schützenpanzerwagen “Katzchen“ et des différents modèles des Schwere Wehrmacht Schlepper.
Pour accompagner au plus près les bataillons de chars est développé le SdKfz 234/2 “Puma“ qui protège les Panzer de l’infanterie adverse.
La Luftwaffe est elle aussi repensée et obtient de nouveaux modèles d’avions :
La Chasse est équipée de Messerschmitt Bf 109 K-6, de Fw Ta 152 C-1/ R11, De Blohm und Voss Bv 155C, du Me 262 HG III, du Me P. 1101 V1, Me P.1112 S-1 “Shlageter“, du Focke-Wulf Ta 183 A-1 “Huckebein“, le Gotha Ho 229 V2, le He 161 et de Ju 237.
La plupart des appareils “Turbo-jets“ sont équipés du missile air-air “Ruhrstahl“ X-4.
La Chasse de Nuit est repensée avec les Arado Ar 234 P5, le Gotha P. 60 B ; le Gotha Ho 229 B “Nachtjäger“, le Me 262 B-2a et le Dornier Do P. 256/1.
Les Bombardiers en piqué : Henschel Hs 132, Bv 237 A-1, Bv P. 194.01-02, Bv P. 194.01-01, Fw 190 F-8 et le Hs 129 B-3 renforcent l’attaque au sol et le soutien aux Landser et Panzer.
Les Bombardiers Arado Ar 234 B-2, Junker Ju EF 132, Horten Ho XVIII B, Mistel 5 et les bombes volantes Blohm und Voss “Hagelkom“, Fw 300 A “Stratoforteresse“ et Hanschel He 293 A, Ju 390 et Me 264 participent à la terreur sur les champs de bataille, et dans le ciel des villes.
La reconnaissance est assurée par les appareils DFS 228 et Bv 238.
La Flak Sol-Air est assurée par les missiles Henschel Hs 117 et Rheintochter R3 contre les chasseurs ennemis, et les missiles Wasserfall et F55 “Feverlilie“ contre les bombardiers.
La Heer s’articule avec des troupes d’infanterie ou blindées ayant déjà l’habitude de combattre ensembles. Elle compte :
- 260 divisions d’infanterie portée. Elles se déplacent en camions.
- 6 divisions d’infanterie motorisées. Elles se déplacent en Zdkfz 250 /251.
- 13 divisions de réserves, directement sous les ordres de l’OKH.
- 16 divisions d’instruction, dont les divisions “Kurland“ et “Nord“.
- 7 divisions statiques de forteresses.
- 1 division anti-partisan.
- 9 divisions de montagne, dont les divisions “Steiermark“ et la “Ost“.
- 30 divisions de Grenadiers.
- 12 divisions de Panzergrenadier. Elles se déplacent en Zdkfz 250 / 251.
- 12 divisions de Chasseurs/Jäger, dont 1 division de Chasseurs des Alpes.
- 1 division de Chasseur à Ski.
- 4 divisions de Cavalerie, dont 2 de Cosaques.
- 5 divisions d’Artillerie, dont une automotrice.
- 99 divisions de Remplacement.
- 16 divisions de Sécurité, et la “Brigade Jesser“, stationnées en Allemagne.
- 59 divisions de Déploiement Spécial, stationnées dans le Grand Reich.
- 13 divisions de Parachutistes.
- 1 division d’Instruction et de Réserve Parachutiste.
- 31 divisions de Flak.
- 2 divisions de Projecteurs Anti-aériennes ou Flakschewefer.
- 1 division d’assaut, la 78ème Sturm division. Casernée en Prusse Orientale.
- 1 division d’assaut basée à Rhodes ou Sturm-division-Rhodos.
- Le Corps d’Armée Goering : Division Hermann Göring, La Panzer division Hermann Göring, la 1 Fallchirm division Hermann Göring, la 2 Fallchirm division Hermann Göring.
- 20 Luftwaffe Feld divisions. Troupes de sécurité des aérodromes.
- Les 19 et 20 Luftsturm divisions et la division “Meindl“ : Division d’assaut de la Luftwaffe.
- 55 divisions blindées composées de Panzers.
- La division Feldhernhalle des Stormtroopers (Anciens SA).
Dès la fin de la guerre contre les Alliés, allemands comme japonais mettent la main sur les savants des pays vaincus. Ainsi de nombreux ingénieurs russes passés en Sibérie Orientale aident-ils les nippons à mettre au point des chars plus performants que les tankettes et les chars moyens habituellement utilisées par les asiatiques. Des avions à réaction de type Kikka et Oka sont mis en chantier. Les nazis passent des accords avec les ingénieurs américains travaillant sur le “projet Manhattan“ afin de rendre plus performante leur bombe à “désagrégation“. Ils travaillent pour leur part sur un bombardier transocéanique à long rayon d’action pouvant atteindre l’Asie depuis l’Amérique, la Moscovie ou l’Afrique de l’Est.
La Wehrmacht refonde et réorganise ses unités et ses armées qu’elle implante de part le monde en comptant sur du matériel moderne. Une division d’infanterie allemande est composée de 24 000 hommes et une division blindée de 21 000 :
Le fantassin est casqué du Stahlhem 45 et est armé de fusils d’assaut de type Sturmgewehr 44 et 45, soutenu dans sa progression par des mitrailleuses lourdes de type MG 45.
Le Landser peut combattre les blindés avec des Panzerfaust 150M ou 250M, avec le missile Ruhrstahl X7 “Roträppchen“ ou encore avec le canon antichar Panzer-Wurfkanone PWK-8H-63 de calibre 81. Contre l’aviation le Landser dispose du Luftfaust, version AA du Faust.
La Panzerwaffe remplace peu à peu ses matériels anciens par des modèles plus modernes et performants :
Le Panzer V Panther est remplacé par le Pz E-50 dit Panther II, qui devient le char de combat de référence ou “Standardpanzer“ de toutes les divisions de la Heer avec son canon de 88.
Le Panther II est un char d’accompagnement pour le Panzer VIII “Maus“ dit char d’assaut qui doit tout emporter sur son passage avec son calibre de 150. Néanmoins, il doit être accompagné pour sa défense proche.
Le Panzer VI Tiger II est remplacé par le modèle E-75 dit Tiger III et son canon de 105. Le Tiger III est principalement employé dans les divisions de Panzer SS, il accompagne le Pz E-100 dit “Tiger-Maus“ qui dispose d’un calibre de 128 et équipe les bataillons lourds de la Waffen-SS.
Les bataillons de Panzerjäger de la Heer sont renforcés par le E-25 “Jaguar“ et son 75.
Le Pz E-100 dit “Krokodil“ et son canon de 170, le Jagdpanther II et son 128. Ils sont chargés de détruire les chars adverses.
La Flak dispose des Klakpanzer IV “Kubelblitz“ et Panzer 341 dit “Klakpanther Coelian“, et “Super Coelian“. Les Wind Kanone et Himmelfeger Kanone : canons à air pulsé, sont aussi mis en œuvre autour des villes. Leurs résultats restent toutefois aléatoires. L’artillerie automotrice est améliorée grâce au Geschûtzwagen VI “Grille 17“ qui équipe les divisions d’infantrie.
Le Sturmtiger ou Sturmmöser dit le “Destructeur“ est dédié au combat urbain avec son mortier de 380.
Le Wirbelring Kanone ou Vortex Kanone : canon annulaire à tourbillons tirant des boules de feu, est pensé pour éliminer des objectifs terrestres spécifiques comme des nids de mitrailleuses, des bunkers, des troupes isolées ou des pelotons de chars en mouvements lents.
Les Grenadiers et autres fantassins d’assaut disposent pour leurs déplacements des Schützenpanzerwagen “Katzchen“ et des différents modèles des Schwere Wehrmacht Schlepper.
Pour accompagner au plus près les bataillons de chars est développé le SdKfz 234/2 “Puma“ qui protège les Panzer de l’infanterie adverse.
La Luftwaffe est elle aussi repensée et obtient de nouveaux modèles d’avions :
La Chasse est équipée de Messerschmitt Bf 109 K-6, de Fw Ta 152 C-1/ R11, De Blohm und Voss Bv 155C, du Me 262 HG III, du Me P. 1101 V1, Me P.1112 S-1 “Shlageter“, du Focke-Wulf Ta 183 A-1 “Huckebein“, le Gotha Ho 229 V2, le He 161 et de Ju 237.
La plupart des appareils “Turbo-jets“ sont équipés du missile air-air “Ruhrstahl“ X-4.
La Chasse de Nuit est repensée avec les Arado Ar 234 P5, le Gotha P. 60 B ; le Gotha Ho 229 B “Nachtjäger“, le Me 262 B-2a et le Dornier Do P. 256/1.
Les Bombardiers en piqué : Henschel Hs 132, Bv 237 A-1, Bv P. 194.01-02, Bv P. 194.01-01, Fw 190 F-8 et le Hs 129 B-3 renforcent l’attaque au sol et le soutien aux Landser et Panzer.
Les Bombardiers Arado Ar 234 B-2, Junker Ju EF 132, Horten Ho XVIII B, Mistel 5 et les bombes volantes Blohm und Voss “Hagelkom“, Fw 300 A “Stratoforteresse“ et Hanschel He 293 A, Ju 390 et Me 264 participent à la terreur sur les champs de bataille, et dans le ciel des villes.
La reconnaissance est assurée par les appareils DFS 228 et Bv 238.
La Flak Sol-Air est assurée par les missiles Henschel Hs 117 et Rheintochter R3 contre les chasseurs ennemis, et les missiles Wasserfall et F55 “Feverlilie“ contre les bombardiers.
La Heer s’articule avec des troupes d’infanterie ou blindées ayant déjà l’habitude de combattre ensembles. Elle compte :
- 260 divisions d’infanterie portée. Elles se déplacent en camions.
- 6 divisions d’infanterie motorisées. Elles se déplacent en Zdkfz 250 /251.
- 13 divisions de réserves, directement sous les ordres de l’OKH.
- 16 divisions d’instruction, dont les divisions “Kurland“ et “Nord“.
- 7 divisions statiques de forteresses.
- 1 division anti-partisan.
- 9 divisions de montagne, dont les divisions “Steiermark“ et la “Ost“.
- 30 divisions de Grenadiers.
- 12 divisions de Panzergrenadier. Elles se déplacent en Zdkfz 250 / 251.
- 12 divisions de Chasseurs/Jäger, dont 1 division de Chasseurs des Alpes.
- 1 division de Chasseur à Ski.
- 4 divisions de Cavalerie, dont 2 de Cosaques.
- 5 divisions d’Artillerie, dont une automotrice.
- 99 divisions de Remplacement.
- 16 divisions de Sécurité, et la “Brigade Jesser“, stationnées en Allemagne.
- 59 divisions de Déploiement Spécial, stationnées dans le Grand Reich.
- 13 divisions de Parachutistes.
- 1 division d’Instruction et de Réserve Parachutiste.
- 31 divisions de Flak.
- 2 divisions de Projecteurs Anti-aériennes ou Flakschewefer.
- 1 division d’assaut, la 78ème Sturm division. Casernée en Prusse Orientale.
- 1 division d’assaut basée à Rhodes ou Sturm-division-Rhodos.
- Le Corps d’Armée Goering : Division Hermann Göring, La Panzer division Hermann Göring, la 1 Fallchirm division Hermann Göring, la 2 Fallchirm division Hermann Göring.
- 20 Luftwaffe Feld divisions. Troupes de sécurité des aérodromes.
- Les 19 et 20 Luftsturm divisions et la division “Meindl“ : Division d’assaut de la Luftwaffe.
- 55 divisions blindées composées de Panzers.
- La division Feldhernhalle des Stormtroopers (Anciens SA).
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Les divisions de la Heer qui composent les armées du Reich sont réparties dans les armées suivantes :
- Armée A : 1ère armée de Panzer, 17ème armée. Basée dans les états fédéraux d’Amérique du Nord. New-York.
- Armée B : 2ème armée, 2ème armée hongroise, 8ème armée italienne. Basée en Ukraine Orientale.
- Armée C : 5ème, 7ème, 8ème 10ème, 11ème, 12ème, 14ème armées. Basée en Europe Occidentale et Côte Atlantique.
- Armée D : 15ème et 19ème armées. Basée en Amérique Latine : Brésil.
- Armée E : 1ere et 2ème armées SS et 6ème armée de Panzer SS. Basée dans les Etats Fédéraux d’Amérique du Nord. Mississipi.
- Armée F : 2ème armée de Panzer, Corps de réserve de la Heer. Basée au Canada : Québec et Ontario.
- Armée G : 1ère armée, 1ère armée SS. Basée en Sibérie Occidentale.
- Armée H : 1ère armée de Fallchirm et 25ème armées. Basée dans les états de la Confédération d’Amérique.
- Armée Nord : 16ème et 18ème armées, 1ère armée de Montagne. Basée en Arctique Scandinave et Carélie.
- Armée Don et Crimée : 6ème armée SS, 4ème armée de Panzer, 3ème et 4ème armées roumaines.
- Armée Centre : 4ème et 9ème armées, 2ème armée SS. Basée en Russie Centrale.
- Armée d’Afrique : 1ère armée italienne, 5ème armée de Panzer et les 1ère, 2ème, 3ème, 4ème, 5ème, 8ème, 28ème, 90ème, 97ème, 99ème, 100ème, 101ème, 164ème et 999ème divisions légères. Le tout forme : l’Armee Africa.
- Armée Sud : 8ème armée, 2ème armée de Montagne, 1ère armée de Cavalerie. Basée dans le Caucase.
- Armée Ostmark : 1ère Feldhernhalle Panzer division, 2ème Feldhernhalle Panzer division, Grossdeutschland Panzer division. Basée en Biélorussie.
- Armée Galicie : 1ère armée de Panzer Hongroise, Brandenburg Panzerdivision. Basée en Pologne Sud.
- Armée Vistule : 9ème armée et 3ème armée de Panzer. Basée en Courlande et Prusse Orientale.
- Armée Berlin : Führer Panzergrenadier division, Führer Begleit Infanterie division, Kurmark Infanterie division. Basée à Berlin.
Les pilotes de chasse des différents pays alliés à l’Axe sont invités à servir dans la Luftwaffe, et les ingénieurs européens en aéronautique dans la NSKK Motorgruppe Luftwaffe. Les marins eux peuvent, s’ils le désirent, s’engager dans la Kriegsmarinewerftpolizei et la Kriegsmarine. Les industriels de la construction automobile et de l’armement (Ford, Renault, GM, etc.…) des pays satellites collaborent avec ceux du Reich (Opel, Porche, etc.…).
Sortent ainsi des chaines de production des engins modernes qui anticipent l’avenir. A cela s’ajoute des unités nationales attachées à la Heer que l’état major de la Wehrmacht tient à conserver indépendantes par rapport à la SS pour des raisons politiques et d’influence interne au sein du Reich :
La Légion des Volontaires Français (LVF) ou régiment n° 638 de la Heer. Des soldats français servent aussi dans la 21ème Panzer Division de la Heer armés avec du matériel provenant de l’Hexagone. Cette division prend le nom de Deutsche-franzosische division où servent officiers allemands et soldats français. la Phalange Africaine Française, ou Freiwilligen Franzosische Africa Régiment de la Heer. Cette unité de l’armée allemande est composée de ressortissants d’origine française ou arabe nés en Afrique du Nord voulant servir le Reich en Afrique. C’est un régiment d’assaut.
La Légion des Volontaires Belges ou régiment N° 373 de la Heer. Il en va de même pour les anglais et autres britanniques qui servent dans la 90ème Division Légère de la Heer qui opère en Afrique.
La Légion Indienne ou 950e régiment de la Heer. Un régiment d’assaut.
La Division Azul ou Division Bleue composée d’espagnols, 262e, 263e, 269e et 250e divisions d’infanterie de la Heer. Le 369ème régiment Croate de la Heer.
La Légion Verte des Volontaires Portugais compose n autre régiment d’assaut. La Brigade Nord Africaine de la Heer composée de maghrébins d’Algérie servant sous le casque allemand commandés par des officiers allemands. L’Armée Russe : Russkaïa Osvoboditelnaia Armiia Vlassov ou Armée Vlassov, KNOR, est composée par la 599ème brigade : les 600, 650 et 700èmes divisions de la Heer. Les russes de l’Armée Vlassov sécurisent la Sibérie et l’Oural, et la marine russe conserve 30 navires en tous genres, dont 9 sous-marins et 4 croiseurs légers qui opèrent en Mer Arctique.
La Légion Américaine Fédérale formée d’américains issus des états nordistes est composée de brigades d’infanterie motorisée et de cavalerie.
L’Armée du Brésil : Une division blindée et des divisions d’infanterie. L’Armée Grande Colombie : Des divisions d’infanterie portée.
L’Armée Chilienne sécurise la Côte Ouest Américaine avec des divisions d’infanterie motorisée et d’infanterie de Montagne.
L’Armée Mexicaine est formée de divisions d’infanterie mécanisée. Deux croiseurs et quelques destroyers forment sa marine.
L’Armée de la Confédération Américaine comprend des divisions blindées, de cavalerie et d’Infanterie portée. 1 porte-avions : le Robert E Lee, 2 cuirassés, 4 croiseurs, 20 destroyers, et 10 sous-marins forment la marine sudiste qui croise en Atlantique Sud et dans le Golf du Mexique.
L’Armée Grande Argentine dispose de divisions blindées, de cavalerie, de divisions d’infanterie mécanisée, d’infanterie de Montagne, et de divisions d’infanterie portée. 2 cuirassés forment l’ossature de la marine qui opère en Atlantique Sud.
Les armées alliées de l’Allemagne sécurisent l’Espace du Grand Reich et ses frontières :
L’Armée Nationale Française est composée de brigades motorisées et de divisions d’infanterie portée, de régiments “Sénégalais“ qui montent la garde dans les colonies africaines et en Syrie. Des régiments de “Tabors“ : Tirailleurs Algériens et Tunisiens sont prêts à être déployés pour des opérations extérieures. La Flotte Française et ses cuirassiers, croiseurs, ses sous-marins, avec son porte-avions : Béarn, ainsi que le porte-hydravions : Commandant Teste, des avisos, et des navires de logistique mouille dans la Mer Caraïbe. Un Corps aérien sécurise le ciel de l’Hexagone.
Les Anglais conservent des divisions d’infanterie portée et une division blindée de la Garde, ainsi qu’une centaine de navires légers dont des croiseurs, une poignée de destroyers, des vedettes rapides et quelques sous marins.
Les Espagnols : l’Armée Nationale est déployée au Sahara Occidental et dans les états caraïbes. Elle caserne aussi sur le continent Sud-Américain : En Grande Caraïbe ainsi qu’en Amérique Centrale où elle sert à maintenir l’ordre. La Marine Espagnole avec ses croiseurs et destroyers est stationnée aux Canaries et surveille l’Atlantique Centre.
L’Armée Italienne et l’aviation servent en Afrique et au Moyen-Orient, et sa Marine s’engage dans l’Océan Indien avec ses cuirassiers, croiseurs, sa multitudes de destroyers, ses sous-marins et ses porte-avions : Il Duce, Oriani, Falco, Folgore, Aquila équipés de Junker Ju 87B.
Les armées d’Europe Centrale : Roumaines, hongroises, slovaques, croates, slovènes et bulgares sont engagées en Asie Mineure et Sibérie. Les divisions blindées roumaines et hongroises renforcent leurs homologues d’infanterie. Des destroyers roumains patrouillent en Mer Noire. Les Corps nationaux aériens roumaines, bulgares et hongroises volent dans le ciel sud européen. L’Armée Portugaise et sa Marine de quelques destroyers sécurisent les colonies africaines ainsi que les côtes Angolaises et celles du Mozambique pour parer à tout soulèvement ou débarquement sur la côte Est Africaine.
Au Nord du continent américain, Les divisions d’infanterie portée Canadiennes Québécoises surveillent la frontière de la Baie d’Hudson aux Grands Lacs. La Marine Québécoise, et ses destroyers et autres vedettes rapides, sécurisent les passages de l’Atlantique Nord dans l’Arctique, et les eaux de l’Atlantique Nord. Les Sud-africains sécurisent l’Afrique Méridionale avec leurs divisions d’infanterie mécanisée, ainsi que les divisions d’infanterie Rhodésiennes fédérées. 1 croiseur et 6 destroyers forment sa marine. L’Armée aérienne afrikaneer patrouille en Atlantique Sud. L’Armée Finlandaise dispose de divisions d’infanterie, ainsi que de sa division blindée. 2 croiseurs et 4 destroyers finnois croisent en Baltique.
- Armée A : 1ère armée de Panzer, 17ème armée. Basée dans les états fédéraux d’Amérique du Nord. New-York.
- Armée B : 2ème armée, 2ème armée hongroise, 8ème armée italienne. Basée en Ukraine Orientale.
- Armée C : 5ème, 7ème, 8ème 10ème, 11ème, 12ème, 14ème armées. Basée en Europe Occidentale et Côte Atlantique.
- Armée D : 15ème et 19ème armées. Basée en Amérique Latine : Brésil.
- Armée E : 1ere et 2ème armées SS et 6ème armée de Panzer SS. Basée dans les Etats Fédéraux d’Amérique du Nord. Mississipi.
- Armée F : 2ème armée de Panzer, Corps de réserve de la Heer. Basée au Canada : Québec et Ontario.
- Armée G : 1ère armée, 1ère armée SS. Basée en Sibérie Occidentale.
- Armée H : 1ère armée de Fallchirm et 25ème armées. Basée dans les états de la Confédération d’Amérique.
- Armée Nord : 16ème et 18ème armées, 1ère armée de Montagne. Basée en Arctique Scandinave et Carélie.
- Armée Don et Crimée : 6ème armée SS, 4ème armée de Panzer, 3ème et 4ème armées roumaines.
- Armée Centre : 4ème et 9ème armées, 2ème armée SS. Basée en Russie Centrale.
- Armée d’Afrique : 1ère armée italienne, 5ème armée de Panzer et les 1ère, 2ème, 3ème, 4ème, 5ème, 8ème, 28ème, 90ème, 97ème, 99ème, 100ème, 101ème, 164ème et 999ème divisions légères. Le tout forme : l’Armee Africa.
- Armée Sud : 8ème armée, 2ème armée de Montagne, 1ère armée de Cavalerie. Basée dans le Caucase.
- Armée Ostmark : 1ère Feldhernhalle Panzer division, 2ème Feldhernhalle Panzer division, Grossdeutschland Panzer division. Basée en Biélorussie.
- Armée Galicie : 1ère armée de Panzer Hongroise, Brandenburg Panzerdivision. Basée en Pologne Sud.
- Armée Vistule : 9ème armée et 3ème armée de Panzer. Basée en Courlande et Prusse Orientale.
- Armée Berlin : Führer Panzergrenadier division, Führer Begleit Infanterie division, Kurmark Infanterie division. Basée à Berlin.
Les pilotes de chasse des différents pays alliés à l’Axe sont invités à servir dans la Luftwaffe, et les ingénieurs européens en aéronautique dans la NSKK Motorgruppe Luftwaffe. Les marins eux peuvent, s’ils le désirent, s’engager dans la Kriegsmarinewerftpolizei et la Kriegsmarine. Les industriels de la construction automobile et de l’armement (Ford, Renault, GM, etc.…) des pays satellites collaborent avec ceux du Reich (Opel, Porche, etc.…).
Sortent ainsi des chaines de production des engins modernes qui anticipent l’avenir. A cela s’ajoute des unités nationales attachées à la Heer que l’état major de la Wehrmacht tient à conserver indépendantes par rapport à la SS pour des raisons politiques et d’influence interne au sein du Reich :
La Légion des Volontaires Français (LVF) ou régiment n° 638 de la Heer. Des soldats français servent aussi dans la 21ème Panzer Division de la Heer armés avec du matériel provenant de l’Hexagone. Cette division prend le nom de Deutsche-franzosische division où servent officiers allemands et soldats français. la Phalange Africaine Française, ou Freiwilligen Franzosische Africa Régiment de la Heer. Cette unité de l’armée allemande est composée de ressortissants d’origine française ou arabe nés en Afrique du Nord voulant servir le Reich en Afrique. C’est un régiment d’assaut.
La Légion des Volontaires Belges ou régiment N° 373 de la Heer. Il en va de même pour les anglais et autres britanniques qui servent dans la 90ème Division Légère de la Heer qui opère en Afrique.
La Légion Indienne ou 950e régiment de la Heer. Un régiment d’assaut.
La Division Azul ou Division Bleue composée d’espagnols, 262e, 263e, 269e et 250e divisions d’infanterie de la Heer. Le 369ème régiment Croate de la Heer.
La Légion Verte des Volontaires Portugais compose n autre régiment d’assaut. La Brigade Nord Africaine de la Heer composée de maghrébins d’Algérie servant sous le casque allemand commandés par des officiers allemands. L’Armée Russe : Russkaïa Osvoboditelnaia Armiia Vlassov ou Armée Vlassov, KNOR, est composée par la 599ème brigade : les 600, 650 et 700èmes divisions de la Heer. Les russes de l’Armée Vlassov sécurisent la Sibérie et l’Oural, et la marine russe conserve 30 navires en tous genres, dont 9 sous-marins et 4 croiseurs légers qui opèrent en Mer Arctique.
La Légion Américaine Fédérale formée d’américains issus des états nordistes est composée de brigades d’infanterie motorisée et de cavalerie.
L’Armée du Brésil : Une division blindée et des divisions d’infanterie. L’Armée Grande Colombie : Des divisions d’infanterie portée.
L’Armée Chilienne sécurise la Côte Ouest Américaine avec des divisions d’infanterie motorisée et d’infanterie de Montagne.
L’Armée Mexicaine est formée de divisions d’infanterie mécanisée. Deux croiseurs et quelques destroyers forment sa marine.
L’Armée de la Confédération Américaine comprend des divisions blindées, de cavalerie et d’Infanterie portée. 1 porte-avions : le Robert E Lee, 2 cuirassés, 4 croiseurs, 20 destroyers, et 10 sous-marins forment la marine sudiste qui croise en Atlantique Sud et dans le Golf du Mexique.
L’Armée Grande Argentine dispose de divisions blindées, de cavalerie, de divisions d’infanterie mécanisée, d’infanterie de Montagne, et de divisions d’infanterie portée. 2 cuirassés forment l’ossature de la marine qui opère en Atlantique Sud.
Les armées alliées de l’Allemagne sécurisent l’Espace du Grand Reich et ses frontières :
L’Armée Nationale Française est composée de brigades motorisées et de divisions d’infanterie portée, de régiments “Sénégalais“ qui montent la garde dans les colonies africaines et en Syrie. Des régiments de “Tabors“ : Tirailleurs Algériens et Tunisiens sont prêts à être déployés pour des opérations extérieures. La Flotte Française et ses cuirassiers, croiseurs, ses sous-marins, avec son porte-avions : Béarn, ainsi que le porte-hydravions : Commandant Teste, des avisos, et des navires de logistique mouille dans la Mer Caraïbe. Un Corps aérien sécurise le ciel de l’Hexagone.
Les Anglais conservent des divisions d’infanterie portée et une division blindée de la Garde, ainsi qu’une centaine de navires légers dont des croiseurs, une poignée de destroyers, des vedettes rapides et quelques sous marins.
Les Espagnols : l’Armée Nationale est déployée au Sahara Occidental et dans les états caraïbes. Elle caserne aussi sur le continent Sud-Américain : En Grande Caraïbe ainsi qu’en Amérique Centrale où elle sert à maintenir l’ordre. La Marine Espagnole avec ses croiseurs et destroyers est stationnée aux Canaries et surveille l’Atlantique Centre.
L’Armée Italienne et l’aviation servent en Afrique et au Moyen-Orient, et sa Marine s’engage dans l’Océan Indien avec ses cuirassiers, croiseurs, sa multitudes de destroyers, ses sous-marins et ses porte-avions : Il Duce, Oriani, Falco, Folgore, Aquila équipés de Junker Ju 87B.
Les armées d’Europe Centrale : Roumaines, hongroises, slovaques, croates, slovènes et bulgares sont engagées en Asie Mineure et Sibérie. Les divisions blindées roumaines et hongroises renforcent leurs homologues d’infanterie. Des destroyers roumains patrouillent en Mer Noire. Les Corps nationaux aériens roumaines, bulgares et hongroises volent dans le ciel sud européen. L’Armée Portugaise et sa Marine de quelques destroyers sécurisent les colonies africaines ainsi que les côtes Angolaises et celles du Mozambique pour parer à tout soulèvement ou débarquement sur la côte Est Africaine.
Au Nord du continent américain, Les divisions d’infanterie portée Canadiennes Québécoises surveillent la frontière de la Baie d’Hudson aux Grands Lacs. La Marine Québécoise, et ses destroyers et autres vedettes rapides, sécurisent les passages de l’Atlantique Nord dans l’Arctique, et les eaux de l’Atlantique Nord. Les Sud-africains sécurisent l’Afrique Méridionale avec leurs divisions d’infanterie mécanisée, ainsi que les divisions d’infanterie Rhodésiennes fédérées. 1 croiseur et 6 destroyers forment sa marine. L’Armée aérienne afrikaneer patrouille en Atlantique Sud. L’Armée Finlandaise dispose de divisions d’infanterie, ainsi que de sa division blindée. 2 croiseurs et 4 destroyers finnois croisent en Baltique.
Berold- Messages : 136
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Les SS, force armée politique du régime nazi, recrutent à tour de bras des volontaires pour gonfler leurs rangs de Waffen en vue du conflit qui se dessine. Ainsi sont mise sur pieds des formations composées des mêmes effectifs que ceux de la Heer avec un encadrement ad-doc et des états-majors allemands :
- La Liebstandarte Adolf Hitler SS Panzer-division, composée de l’élite de La SS allemande. Division de prestige, de parade et d’assaut.
- La Das Reich SS Panzer-division, composée d’allemands.
- La Totenkoff SS Panzer-division, composée de gardiens de camps de concentrations désireux de participés aux combats.
- La Polizei SS Panzergrenadier-division, composée de policiers de réserve allemands voulant être engagés sur le Front. Division de sécurité.
- La Wiking SS Panzer-division, composée de ressortissants des Pays Baltes et de Finlandais.
- La Nord SS Gebirgs-division, division de Montagne norvégienne.
- La Prinz Eugen SS Gebirgs-brigade, composée de volontaires yougoslaves d’origine allemande et de russes blancs implantés dans le Banat depuis la Révolution Rouge. Division de troupes de Montagne.
- La Florian Geyer SS Kavallerie-division, composée d’allemands. Division de maintien de l’ordre engagée sur les arrières des fronts.
- La Hohenstaufen SS Panzer-division, composée d’allemands.
- La Frundsberg SS Panzer-division, composée d’allemands.
- La Nordland SS Panzergrenadier-division, composée de gardiens de camps de concentration allemands désireux de participer aux combats.
- La Hitlerjugen SS Panzer-division, composée de jeunes allemands de 14 à 21 ans désireux de combattre pour le Reich avant d’être incorporés dans la prestigieuse division de leurs ainés : La Liebstandarte. Division d’assaut.
- La Handchar Gebirgs-brigade der SS, composée de bosniaques. Brigade de lutte anti-partisans et de maintien de l’ordre sur les arrières des fronts.
- La Galizien Grenadier-division der SS, composée d’ukrainiens de Galicie. Division de maintien de l’ordre et de lutte anti-partisans.
- La Lettische Grenadier-division der SS, composée de lettons. Division d’assaut Lettonische N°1.
- La Reichfürher SS Panzer-division composée de volksdeutchen de Roumanie.
- La Götz Von Berlichingen SS Panzergrenadier-division, composée d’allemands.
- La Hortz Wessel SS Panzergrenadier-brigade, composée de volontaires hongrois d’origine allemande, volksdeutchen. Brigade d’assaut.
- La Lativa Grenadier-division der SS, composée de lettons. Division d’assaut Lettonische N°2.
- L’Estland Grenadier-division der SS, composée d’estoniens.
- La Skanderbeg Gebirgs-brigade der SS, composée d’albanais et de kosovars. Brigade de troupes de Montagne.
- La Maria-Theresa SS Kavallerie-brigade, composée de volontaires hongrois d’origine allemande. Brigade de Cavalerie.
- La Nederland SS Panzergrenadier-division, composée de hollandais. N°1.
- La Karstjäger Gebirgs-division der SS, composée de slovènes. Division de Montagne.
- La Hunyadi Grenadier-division der SS, composée d’hongrois. Division d’assaut Hungarische N°1.
- La Gömbös Grenadier-brigade der SS, composée d’hongrois et de roumains de Transylvanie. Brigade d’assaut.
- La Langemark SS Sturm-brigade, composée de flamands.
- La Wallonien SS Grenadier-brigade N°4, composée de wallons : “Germains de langue française“, ainsi que de français thiois du Nord de l’hexagone.
- La Italische / Barbarossa Grenadier-brigade der SS, composée d’italiens.
- La Russische Grenadier-division der SS, composée de russes.
- La Kama Grenadier-division der SS, composée de croates.
- La 30 Januar SS Grenadier-division, composée d’élèves officiers européens des centres d’instruction de la Waffen SS qui souhaitent en tant que fantassin acquérir l’expérience du feu avant d’être versés dans l’unité de leur choix.
- La Charlemagne Sturm-brigade der SS N° 8, composé de français.
- La Landstorm Nederland SS Grenadier-division, composée de hollandais. Division de maintien de l’ordre. N°2.
- La Polizei II SS Grenadier-division, composée d’allemands.
- La Dirlewanger Grenadier-brigade der SS, composée de repris de justice.
- La Lützow SS Kavallerie-brigade, composée d’officiers allemands et de volontaires hongrois d’origine allemande. Hungarische N°2.
- La Nibelungen SS Grenadier-division : composée d’allemands. Division de maintien de l’ordre.
- La English / Lionheart Panzer-brigade der SS : composée d’anglais.
- La Cambrian Grenadier-brigade der SS, composée de gallois.
- La Scotland Panzergrenadier-brigade der SS : composée d’écossais.
- La Britanien Panzergrenadier-brigade der SS : composée de britanniques et de canadiens Anglophones.
- L’Azad Hind Gebirgs-division der SS : composée de pakistanais et d’afghans. Division de montagne.
- La Canadien Panzergrenadier-brigade der SS : composée de canadiens francophones. Division d’assaut.
- L’Amérika Panzergrenadier-division der SS : composée d’américains anglo-saxons. Division d’assaut. Amérika N°1.
- L’Hindenburg SS Panzergrenadier-division : composée d’américains d’origines allemande et scandinave. Division d’assaut. Amérika N°2.
- La Sud-Afrikaner SS Panzergrenadier-division : composée de sud africains et de namibiens.
- La Weissruthenische Grenadier-brigade, composée de Ruthènes.
- La Hellevetika SS Gebirgs-division : composée de suisses germaniques.
- La Wotan SS Gebirgs-brigade : composée de suédois.
- L’Héraclès SS Gebirgs-brigade composée de grecs. Brigade de Montagne.
- La Latina Grenadier-brigade der SS, composée d’argentins, d’uruguayens, de paraguayens.
- La Latina Gebirgs-brigade der SS, composée de boliviens.
- La Bolivar Grenadier-brigade der SS, composée de colombiers.
- La Dorian Grenadier-brigade der SS. Composée de soldats ressortissants de l’Amérique Centrale.
- L’Anda Gebirgs-division der SS. Composée de chiliens.
- La Caraïbien Sturm-brigade der SS. Composée de vénézuéliens et de caraïbes. Brigade d’assaut.
- La Liebstandarte Adolf Hitler SS Panzer-division, composée de l’élite de La SS allemande. Division de prestige, de parade et d’assaut.
- La Das Reich SS Panzer-division, composée d’allemands.
- La Totenkoff SS Panzer-division, composée de gardiens de camps de concentrations désireux de participés aux combats.
- La Polizei SS Panzergrenadier-division, composée de policiers de réserve allemands voulant être engagés sur le Front. Division de sécurité.
- La Wiking SS Panzer-division, composée de ressortissants des Pays Baltes et de Finlandais.
- La Nord SS Gebirgs-division, division de Montagne norvégienne.
- La Prinz Eugen SS Gebirgs-brigade, composée de volontaires yougoslaves d’origine allemande et de russes blancs implantés dans le Banat depuis la Révolution Rouge. Division de troupes de Montagne.
- La Florian Geyer SS Kavallerie-division, composée d’allemands. Division de maintien de l’ordre engagée sur les arrières des fronts.
- La Hohenstaufen SS Panzer-division, composée d’allemands.
- La Frundsberg SS Panzer-division, composée d’allemands.
- La Nordland SS Panzergrenadier-division, composée de gardiens de camps de concentration allemands désireux de participer aux combats.
- La Hitlerjugen SS Panzer-division, composée de jeunes allemands de 14 à 21 ans désireux de combattre pour le Reich avant d’être incorporés dans la prestigieuse division de leurs ainés : La Liebstandarte. Division d’assaut.
- La Handchar Gebirgs-brigade der SS, composée de bosniaques. Brigade de lutte anti-partisans et de maintien de l’ordre sur les arrières des fronts.
- La Galizien Grenadier-division der SS, composée d’ukrainiens de Galicie. Division de maintien de l’ordre et de lutte anti-partisans.
- La Lettische Grenadier-division der SS, composée de lettons. Division d’assaut Lettonische N°1.
- La Reichfürher SS Panzer-division composée de volksdeutchen de Roumanie.
- La Götz Von Berlichingen SS Panzergrenadier-division, composée d’allemands.
- La Hortz Wessel SS Panzergrenadier-brigade, composée de volontaires hongrois d’origine allemande, volksdeutchen. Brigade d’assaut.
- La Lativa Grenadier-division der SS, composée de lettons. Division d’assaut Lettonische N°2.
- L’Estland Grenadier-division der SS, composée d’estoniens.
- La Skanderbeg Gebirgs-brigade der SS, composée d’albanais et de kosovars. Brigade de troupes de Montagne.
- La Maria-Theresa SS Kavallerie-brigade, composée de volontaires hongrois d’origine allemande. Brigade de Cavalerie.
- La Nederland SS Panzergrenadier-division, composée de hollandais. N°1.
- La Karstjäger Gebirgs-division der SS, composée de slovènes. Division de Montagne.
- La Hunyadi Grenadier-division der SS, composée d’hongrois. Division d’assaut Hungarische N°1.
- La Gömbös Grenadier-brigade der SS, composée d’hongrois et de roumains de Transylvanie. Brigade d’assaut.
- La Langemark SS Sturm-brigade, composée de flamands.
- La Wallonien SS Grenadier-brigade N°4, composée de wallons : “Germains de langue française“, ainsi que de français thiois du Nord de l’hexagone.
- La Italische / Barbarossa Grenadier-brigade der SS, composée d’italiens.
- La Russische Grenadier-division der SS, composée de russes.
- La Kama Grenadier-division der SS, composée de croates.
- La 30 Januar SS Grenadier-division, composée d’élèves officiers européens des centres d’instruction de la Waffen SS qui souhaitent en tant que fantassin acquérir l’expérience du feu avant d’être versés dans l’unité de leur choix.
- La Charlemagne Sturm-brigade der SS N° 8, composé de français.
- La Landstorm Nederland SS Grenadier-division, composée de hollandais. Division de maintien de l’ordre. N°2.
- La Polizei II SS Grenadier-division, composée d’allemands.
- La Dirlewanger Grenadier-brigade der SS, composée de repris de justice.
- La Lützow SS Kavallerie-brigade, composée d’officiers allemands et de volontaires hongrois d’origine allemande. Hungarische N°2.
- La Nibelungen SS Grenadier-division : composée d’allemands. Division de maintien de l’ordre.
- La English / Lionheart Panzer-brigade der SS : composée d’anglais.
- La Cambrian Grenadier-brigade der SS, composée de gallois.
- La Scotland Panzergrenadier-brigade der SS : composée d’écossais.
- La Britanien Panzergrenadier-brigade der SS : composée de britanniques et de canadiens Anglophones.
- L’Azad Hind Gebirgs-division der SS : composée de pakistanais et d’afghans. Division de montagne.
- La Canadien Panzergrenadier-brigade der SS : composée de canadiens francophones. Division d’assaut.
- L’Amérika Panzergrenadier-division der SS : composée d’américains anglo-saxons. Division d’assaut. Amérika N°1.
- L’Hindenburg SS Panzergrenadier-division : composée d’américains d’origines allemande et scandinave. Division d’assaut. Amérika N°2.
- La Sud-Afrikaner SS Panzergrenadier-division : composée de sud africains et de namibiens.
- La Weissruthenische Grenadier-brigade, composée de Ruthènes.
- La Hellevetika SS Gebirgs-division : composée de suisses germaniques.
- La Wotan SS Gebirgs-brigade : composée de suédois.
- L’Héraclès SS Gebirgs-brigade composée de grecs. Brigade de Montagne.
- La Latina Grenadier-brigade der SS, composée d’argentins, d’uruguayens, de paraguayens.
- La Latina Gebirgs-brigade der SS, composée de boliviens.
- La Bolivar Grenadier-brigade der SS, composée de colombiers.
- La Dorian Grenadier-brigade der SS. Composée de soldats ressortissants de l’Amérique Centrale.
- L’Anda Gebirgs-division der SS. Composée de chiliens.
- La Caraïbien Sturm-brigade der SS. Composée de vénézuéliens et de caraïbes. Brigade d’assaut.
Berold- Messages : 136
Date d'inscription : 28/08/2018
Age : 56
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
A cela s’ajoute une multitude d’unités nationales et ethniques, aussi disparates qu’aux qualifications militaires incertaines. Elles sont attachées à la Waffen-SS qui recycle avec ses troupes ses vieux matériels, et sont composées d’effectifs aux nombres variables, de 10 000 à 20 000 hommes par Légion :
- La Légion Armenische. Arméniens. Division de troupes de montagne.
- La Légion Georgische. Géorgiens.
- La Légion Arménienne. Arméniens.
- La Légion Aserbaidjan Aserbeidschanische. Azéris.
- La Légion Kaukasisch Mohammedische, musulmans du Caucase.
- La 1ère Légion Turkestan Turkestanische. Ouzbecks, Kazakhs, Turkmènes.
- La 2ème Légion Turkestan Turkestanische. Daghestanis et Tchétchènes.
- La Légion des Volontaires Tartars ou Wolga-Tartarische Division. Tatars. Division de troupes de cavalerie.
- La Légion des Volontaires Cosaques ou Kosaken-Kavallerie-Division.
- La Légion des Volontaires Arabes ou Deutsche Arabisches Division. Arabes du Moyen Orient. Division de troupes d’infanterie.
- La Légion Norkaucasische. Nord caucasiens.
- La Légion des Volontaire de la Crimée. Composée de Turcs de Crimée.
- La Légion des Volontaires de l’Oural. Turkmènes.
- La Légion des Volontaires Kalmouks. Division de troupes de montagne.
- Le Freiwilligen Polizei-Régiment Kroatien de composé de Croates.
- La Légion Ku Klux Klan, aussi appelé “Night Rider“ Cavalery Légion, composée d’américains des états du Sud. Panzergrenadier division de maintien de l’ordre.
- Les Bagadou Stourm et le Bezen Perrot composant “l’Armée Bretonne“ : Lu Brezton. Grenadier-régiments composés de bretons et sympathisants.
- La X-Mas Franco-italienne, brigade composée de français d’origine italienne et désirant combattre pour l’Italie via les autorités allemandes stationnées en France dans le cadre d’une coopération de l’Axe.
- La Légion Tsing Tao composée de chinois et d’asiatiques, et autres sibériens qui veulent combattre les nippons dans les forces du Reich. Asien Grenadier-division der SS.
- La Légion Pacific formée par des vietnamiens et des polynésiens voulant combattre pour la France via le Reich. Pacific Grenadier-division der SS.
La V-Waffe est dirigée par le SS brigadeführer Hans Krammer. Administrateur et organisateur hors paire : il a supervisé la construction de plusieurs camps de concentration. Ses réalisations lui ouvrent les portes des directions des “Programmes V“, de la production des avions à réaction et de la recherche nucléaire. L’emploi des V1 et V2 est redéfini : Ces Bombes Volantes en explosant dispersent des matériaux radioactifs sur l’objectif visé et contaminent les êtres vivants par radiation directe. On les appelle alors Uraniumbomben ou Bombes Radiologiques. Le Canon V3 devant tirer une ogive nucléaire est stationné en Amérique du Nord. Les Fusées Stratosphériques V4 porteuses de charges nucléaires sont mises en œuvre dans toute la sphère du Reich.
Dans le même temps est mis au point le Bombardier Orbital “Silbervogel“ Raketenbomber par le scientifique Eugen Sänger. Cet avion vole à 21 880 Km/h et lâche sa “Bombe Sismique“ à 124 Km d’altitude dans un rayon de 640 Km depuis sa cible. Celle-ci tombe à 22 400 Km/h. Elle s’enfonce dans le sol de 110 mètres ou de 10 Mètres dans le béton et son impact doublé d’un cratère produit une onde de choc dévastant toute construction dans un rayon de plusieurs Km. Krammer fait mettre au point la Fusée Intercontinentale“ A9/A10 qui suivant une orbite spatiale emporte une charge nucléaire pouvant raser une ville entière de 200 mille habitants.
Pour leur aviation à réaction : la LuftSturm, les SS misent sur des appareils comme le Messerschmitt P 1101 (Chasseur), le Me P1108 (Bombardier), le très robuste Me 262-1a “Schwalbe“ (Chasseur), le Me 262 A-2 “Sturmvogel“ (Chasseur-bombardier) qui peut emporter une bombentorpedo 1400, Le Me 262 B-1a ( dans sa version Chasseur de nuit), le Henkel “Salamander“, le Bachem 349 B1 “Natter“ : avion fusée tirant 24 roquettes “Föhn“ depuis son nez, l’Arado 234 “Blitz“ (Bombardier), le Me 263 “Komet“.
L’avion embarqué Me 328 pouvant décoller depuis des sous-marins en opérations lointaines, le Henschel 132 (Bombardier en piqué munis d’une charge de 500 Kg), l’aile volante Horten Gotha 229 (Chasseur), l’aile volante Horten XVIII (bombardier emportant une charge atomique) aussi appelé Amérikabomber, puis Asiabomber.
Plusieurs expériences sur des soucoupes volantes voient le jour pour mettre au point des appareils de type Haunebü capables de décollages horizontaux.
A cela la Luftwaffe ajoute le Bombardier quadrimoteur Me 264 B pouvant effectuer des attaques nocturnes pour éviter la chasse adverse, et l’hydravion Blohm et Voss 222 “Wiking“ pouvant être ravitaillé en mer pour effectuer des missions d’incursion en territoire ennemi à longues distances. De leur côté les Italiens perfectionne le bombardier Piaggio P-23 R qui peut effectuer depuis l’Afrique de l’Est un vol aller jusqu’à Tokyo.
L’Armée de l’Air Allemande forte de 27 compagnies de Chasse et de 2 compagnies de Chasse de Nuit se décompose en Luftfottes :
- Luftflotte 1 : Luftflotte Kommando Nordost, Sibérie du Nord et Russie.
- Luftflotte 2 : Luftflotte Kommando Afrique.
- Luftflotte 3 : Luftflotte Kommando West. Amérique du Nord.
- Luftflotte 4 : Luftflotte Kommando Südost. Moyen-Orient et Arabie.
- Luftflotte 5 : Luftflotte Kommando Arctique. Scandinavie et Arctique.
- Luftflotte 6 : Luftflotte Kommando Ost. Sibérie Centrale.
- Luftflotte 7 : Luftflotte Kommando Berlin. Allemagne.
- Luftflotte Reich : Luftflotte Kommando Vienne. Europe.
- Luftflotte 9 : Luftflotte Kommando Süd West. Amérique Latine.
- Luftflotte 10 : Luftflotte Kommando instruction. Allemagne.
Et
- Le Commando-suicide de Chasse “Elbe“ formé pour intercepter les bombardiers ennemis par choc volontaire.
La Kriegsmarine qui sillonne l’Atlantique est composée de :
- 10 cuirassés.
- 8 croiseurs.
- 22 destroyers.
- 1154 sous marins, dispatchés dans 31 flottilles.
- 10 corsaires.
- 142 navires de soutien, logistique et transport, et vedettes rapides.
- 6 Porte-avions : Le Clausewitz, l’Arche Royal (ancien Ark Royal anglais), le Seydlitz, le Peter Strasser, l’Adler, le Graf Von Behren, le Kleist, le Barbarossa, le Graf Zeppelin embarquant des Fieseler Fi 167, des Junkers Ju 87B et des Messerschmitt Bf 109E-3, et des Me 262 A-3 ainsi que des Me 263 A, et des Hs 132-A.
- La Légion Armenische. Arméniens. Division de troupes de montagne.
- La Légion Georgische. Géorgiens.
- La Légion Arménienne. Arméniens.
- La Légion Aserbaidjan Aserbeidschanische. Azéris.
- La Légion Kaukasisch Mohammedische, musulmans du Caucase.
- La 1ère Légion Turkestan Turkestanische. Ouzbecks, Kazakhs, Turkmènes.
- La 2ème Légion Turkestan Turkestanische. Daghestanis et Tchétchènes.
- La Légion des Volontaires Tartars ou Wolga-Tartarische Division. Tatars. Division de troupes de cavalerie.
- La Légion des Volontaires Cosaques ou Kosaken-Kavallerie-Division.
- La Légion des Volontaires Arabes ou Deutsche Arabisches Division. Arabes du Moyen Orient. Division de troupes d’infanterie.
- La Légion Norkaucasische. Nord caucasiens.
- La Légion des Volontaire de la Crimée. Composée de Turcs de Crimée.
- La Légion des Volontaires de l’Oural. Turkmènes.
- La Légion des Volontaires Kalmouks. Division de troupes de montagne.
- Le Freiwilligen Polizei-Régiment Kroatien de composé de Croates.
- La Légion Ku Klux Klan, aussi appelé “Night Rider“ Cavalery Légion, composée d’américains des états du Sud. Panzergrenadier division de maintien de l’ordre.
- Les Bagadou Stourm et le Bezen Perrot composant “l’Armée Bretonne“ : Lu Brezton. Grenadier-régiments composés de bretons et sympathisants.
- La X-Mas Franco-italienne, brigade composée de français d’origine italienne et désirant combattre pour l’Italie via les autorités allemandes stationnées en France dans le cadre d’une coopération de l’Axe.
- La Légion Tsing Tao composée de chinois et d’asiatiques, et autres sibériens qui veulent combattre les nippons dans les forces du Reich. Asien Grenadier-division der SS.
- La Légion Pacific formée par des vietnamiens et des polynésiens voulant combattre pour la France via le Reich. Pacific Grenadier-division der SS.
La V-Waffe est dirigée par le SS brigadeführer Hans Krammer. Administrateur et organisateur hors paire : il a supervisé la construction de plusieurs camps de concentration. Ses réalisations lui ouvrent les portes des directions des “Programmes V“, de la production des avions à réaction et de la recherche nucléaire. L’emploi des V1 et V2 est redéfini : Ces Bombes Volantes en explosant dispersent des matériaux radioactifs sur l’objectif visé et contaminent les êtres vivants par radiation directe. On les appelle alors Uraniumbomben ou Bombes Radiologiques. Le Canon V3 devant tirer une ogive nucléaire est stationné en Amérique du Nord. Les Fusées Stratosphériques V4 porteuses de charges nucléaires sont mises en œuvre dans toute la sphère du Reich.
Dans le même temps est mis au point le Bombardier Orbital “Silbervogel“ Raketenbomber par le scientifique Eugen Sänger. Cet avion vole à 21 880 Km/h et lâche sa “Bombe Sismique“ à 124 Km d’altitude dans un rayon de 640 Km depuis sa cible. Celle-ci tombe à 22 400 Km/h. Elle s’enfonce dans le sol de 110 mètres ou de 10 Mètres dans le béton et son impact doublé d’un cratère produit une onde de choc dévastant toute construction dans un rayon de plusieurs Km. Krammer fait mettre au point la Fusée Intercontinentale“ A9/A10 qui suivant une orbite spatiale emporte une charge nucléaire pouvant raser une ville entière de 200 mille habitants.
Pour leur aviation à réaction : la LuftSturm, les SS misent sur des appareils comme le Messerschmitt P 1101 (Chasseur), le Me P1108 (Bombardier), le très robuste Me 262-1a “Schwalbe“ (Chasseur), le Me 262 A-2 “Sturmvogel“ (Chasseur-bombardier) qui peut emporter une bombentorpedo 1400, Le Me 262 B-1a ( dans sa version Chasseur de nuit), le Henkel “Salamander“, le Bachem 349 B1 “Natter“ : avion fusée tirant 24 roquettes “Föhn“ depuis son nez, l’Arado 234 “Blitz“ (Bombardier), le Me 263 “Komet“.
L’avion embarqué Me 328 pouvant décoller depuis des sous-marins en opérations lointaines, le Henschel 132 (Bombardier en piqué munis d’une charge de 500 Kg), l’aile volante Horten Gotha 229 (Chasseur), l’aile volante Horten XVIII (bombardier emportant une charge atomique) aussi appelé Amérikabomber, puis Asiabomber.
Plusieurs expériences sur des soucoupes volantes voient le jour pour mettre au point des appareils de type Haunebü capables de décollages horizontaux.
A cela la Luftwaffe ajoute le Bombardier quadrimoteur Me 264 B pouvant effectuer des attaques nocturnes pour éviter la chasse adverse, et l’hydravion Blohm et Voss 222 “Wiking“ pouvant être ravitaillé en mer pour effectuer des missions d’incursion en territoire ennemi à longues distances. De leur côté les Italiens perfectionne le bombardier Piaggio P-23 R qui peut effectuer depuis l’Afrique de l’Est un vol aller jusqu’à Tokyo.
L’Armée de l’Air Allemande forte de 27 compagnies de Chasse et de 2 compagnies de Chasse de Nuit se décompose en Luftfottes :
- Luftflotte 1 : Luftflotte Kommando Nordost, Sibérie du Nord et Russie.
- Luftflotte 2 : Luftflotte Kommando Afrique.
- Luftflotte 3 : Luftflotte Kommando West. Amérique du Nord.
- Luftflotte 4 : Luftflotte Kommando Südost. Moyen-Orient et Arabie.
- Luftflotte 5 : Luftflotte Kommando Arctique. Scandinavie et Arctique.
- Luftflotte 6 : Luftflotte Kommando Ost. Sibérie Centrale.
- Luftflotte 7 : Luftflotte Kommando Berlin. Allemagne.
- Luftflotte Reich : Luftflotte Kommando Vienne. Europe.
- Luftflotte 9 : Luftflotte Kommando Süd West. Amérique Latine.
- Luftflotte 10 : Luftflotte Kommando instruction. Allemagne.
Et
- Le Commando-suicide de Chasse “Elbe“ formé pour intercepter les bombardiers ennemis par choc volontaire.
La Kriegsmarine qui sillonne l’Atlantique est composée de :
- 10 cuirassés.
- 8 croiseurs.
- 22 destroyers.
- 1154 sous marins, dispatchés dans 31 flottilles.
- 10 corsaires.
- 142 navires de soutien, logistique et transport, et vedettes rapides.
- 6 Porte-avions : Le Clausewitz, l’Arche Royal (ancien Ark Royal anglais), le Seydlitz, le Peter Strasser, l’Adler, le Graf Von Behren, le Kleist, le Barbarossa, le Graf Zeppelin embarquant des Fieseler Fi 167, des Junkers Ju 87B et des Messerschmitt Bf 109E-3, et des Me 262 A-3 ainsi que des Me 263 A, et des Hs 132-A.
Berold- Messages : 136
Date d'inscription : 28/08/2018
Age : 56
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Les japonais ne sont pas en reste. Ils ont à leur disposition 121 divisions d’infanterie, de 4 divisions blindées et de brigades autonomes. Elles sont réparties comme suit dans les armées suivantes:
- 28 sont réparties en Chine au sein des 1ère, 2ème, 10ème, 11ème, 21ème, 22ème et 23ème Armées Impériales et font partie de l’Armée dite “Moyenne“ ou “Armée Expéditionnaire de Chine“ aux ordres du général Nakajima.
- 18 sont stationnées en Sibérie Orientale et forment les 3ème, 4ème, 5ème, 30ème et 44ème Armées Impériales au sein de l’Armée dite “Nordique“.
- 4 sont en garnison au Japon et forme “l’Armée du Guangdong“ avec la 12ème armée stationnée à Tokyo et la 13ème armée à Osaka du Gal Tanaka.
- 2 forment la 6ème et la 20ème armée qui sont respectivement en casernées sur Honshu et Hokkaido. Ces armée forment l’Armée dite “Orientale“.
- 22 sont réparties en périphérie du Japon au sein des armées suivantes : La 25ème en Malaisie, la 15ème et la 27ème en Birmanie, la 14ème à Hawaï, la 35ème aux Philippines, la 16ème à Bornéo, la 18ème en Nouvelle Guinée, la 32ème à Okinawa (Armée dite Occidentale), la 10ème à Formose (Armée dite Formosane), la 25ème à Sumatra, la 8ème à Rabaul et la 17ème aux Iles Salomon et forment toutes “l’Armée Pacifique“ du général Haruyoshi..
- 2 divisions forment la 28ème armée qui sécurise l’Indochine, dite “Armée Sud Asie de l’Est“ du général Isamu Cho.
- 10 brigades autonomes à 4 régiments chacune sont stationnées sur la Côte Ouest des Etats du Pacifique. Elles forment “l’Armée des Rocheuses“. 2 sont dans l’état de Washington, 2 sont en garnison dans l’Oregon et 6 sont en Californie. 10 autres brigades autonomes à 4 régiments chacune sont casernées en Chine Septentrionale à la frontière de la Mongolie, elles forment “l’Armée Nord Asie de l’Ouest“ aux ordres du général Doihara.
- Les 28ème, 32ème et 33ème armées sont en garnisons respectivement en Inde, à la frontière Afghane pour les deux premières et pour la troisième sur l’île de Ceylan, aux Maldives et Laquedives et forment toutes ensembles “l’Armée Sud Asie de l’Ouest“. 6 divisions.
- La 34ème armée est en Corée et est l’Armée dite “Choisie“. 2 divisions.
- 2 armées blindées, la 1ère et la 2ème Sensha Shidan sont stationnées en Californie à San Francisco et Los Angeles.,
- 2 armées blindées, les 3 et 4èmes Sensha Shidan sont stationnées en Chine Méridionale à Kumming siège du QG du général Jiro Minami.
- 3 divisions de la Garde, 2 divisions de Parachutistes et 5 divisions d’Infanterie Amphibie aptes au débarquement et casernées au Japon sont prêtes à être employées sur tous les théâtres de guerre.
- 9 divisions font parties du Corps de Réserve. 6 sont basées en Indonésie et 3 en Thaïlande.
- 10 divisions sont stationnées en Alaska et forment “l’Armée Arctique“.
- 8 divisions d’infanterie forment l’Armée du “Nord-West Canadien“.
Une division standard japonaise : Hohei Shidan, dispose de 20 000 hommes, 48 pièces d’artillerie légères, de 36 mortiers, de 24 pièces antichars ainsi que de 80 mitrailleuses lourdes.
A cela s’ajoute des divisions spécialisées :
- 1 division de Cavalerie (Kihei Rentai) en Mongolie.
- 2 divisions de Transport (Sosaku Rentai) en Chine.
- 1 division de Génie de Combat (Ko) en Californie.
- 1 division de Génie de Franchissement (Bo) en Chine.
- 1 division de Génie Construction de Ponts (Hei) en Californie.
- 1 division de Génie de Destruction (Ki) en Chine.
- 1 division de Génie (Kohei Rentai) en Alberta.
- 10 divisions de Guerre de Position (Otsu) réparties dans l’ensemble des îles du Pacifique.
- 1 division de Police (Kempeitai) au Japon.
Les officiers de l’Empire du Soleil Levant organisent les armées de leurs alliés :
Les australiens et les néo-zélandais sont regroupés au sein de l’Anzac : un corps d’armée propre aux britanniques du Pacifique désireux de combattre les allemands et leurs alliés.
Les australiens disposent d’une division blindée et de divisions d’infanterie motorisées.
Les néo-zélandais sont regroupés en divisions d’infanterie portée, et disposent d’une division d’Infanterie Amphibie. 2 Croiseurs, 10 destroyers composent la Marine Australienne. Les destroyers néo-zélandais croisent dans les eaux du Pacifique Sud.
L’Armée Péruvienne : Les péruviens sont enrégimentés en “Troupes Andines“ de Montagne. Ils sont rejoints par tous les Latinos luttant contre le fascisme pour former 4 divisions d’Infanterie de Montagne, 5 divisions d’Infanterie de Lutte en Jungle et 1 division blindée.
L’Armée Nationale Indienne : Les indiens se servant du matériel britannique et disposent d’une division blindée, de divisions d’Infanterie Portée et de divisions d’Infanterie de Montagne. Quelques destroyers indiens sécurisent le Golfe de Birmanie.
L’Armée Nationale Birmane : Les birmans se servant du matériel britannique et disposent de divisions d’Infanterie de Lutte en Jungle.
L’Armée Nationale de Mengjiang : Les mongols enrégimentés dans des unités de cavalerie sont regroupés en brigades autonomes.
L’Armée Impériale du Mandchoukouo : Les manchous armés avec du matériel japonais et russe de récupération disposent de divisions de Guerre de Position et de plusieurs divisions de Cavalerie.
L’Armée Royale Thaïlandaise : Les thaïs sont armés de matériel nippon et de récupération américaine qui composent ses divisions d’Infanterie et sa division blindée. La marine Thaï dispose de 4 destroyers.
Les philippins, les malaisiens, et les indonésiens sont armés avec du matériel de récupération américain et britannique, et enrégimentés au sein de brigades autonomes pour le maintien de l’ordre en Asie et dans leurs pays respectifs.
Polynésiens et micronésiens sont enrégimentés en brigades autonomes.
Des “africains renégats“ regroupés en 1 division et prompte à débarquée en Afrique pour “libérer“ leurs frères et leur terre sont endivisionnés et répartis dans différentes armées impériales.
Les américains des Etats de l’Ouest, à l’égal des Etats Confédérés, forment “l’Armée des Etats du Pacifique“, avec des divisions Blindées, d’Infanterie Portée, des divisions de Montagne dont une canadienne, une américaine, une division de Génie d’Assaut britannique, une division légère à skis canadienne et des brigades de Cavalerie américaines. 4 cuirassés, 20 destroyers, 1 porte-avions : le JC Fremont, et 10 sous-marins forment la marine américaine du Pacifique. Un Corps aérien sécurise le ciel de la Californie à l’Alaska.
Les amérindiens voulant combattre les “Blancs“ sont endivisionnés par peuple au sein de “la Nation Indienne“ et servent comme éléments de cavalerie sur les arrières ennemis dans des divisions de maintien de l’ordre.
L’Armée Nationale Chinoise est équipée de matériel de récupération américain et britannique, et de matériel japonais. Les divisions d’infanterie et celles de Montagne disposent de matériel de récupération américain et britannique.
Les restes de l’Armée Rouge Soviétique réfugiée en Sibérie Orientale forment l’Armée de Libération Russe. Des divisions dont des blindées et des motorisées forment l’ossature de cette armée de libération..
Tous les ressortissants des autres nations meurtries par les allemands sont enrégimentés dans des brigades d’assaut blindées. Les chars de combat sont de facture Us ou Russe : Sherman ou T-34. Ils leurs sont associés des Katiouchas “lance-roquettes“ montées sur camions. Français, anglais, belges et israélites se retrouvent ici.
- 28 sont réparties en Chine au sein des 1ère, 2ème, 10ème, 11ème, 21ème, 22ème et 23ème Armées Impériales et font partie de l’Armée dite “Moyenne“ ou “Armée Expéditionnaire de Chine“ aux ordres du général Nakajima.
- 18 sont stationnées en Sibérie Orientale et forment les 3ème, 4ème, 5ème, 30ème et 44ème Armées Impériales au sein de l’Armée dite “Nordique“.
- 4 sont en garnison au Japon et forme “l’Armée du Guangdong“ avec la 12ème armée stationnée à Tokyo et la 13ème armée à Osaka du Gal Tanaka.
- 2 forment la 6ème et la 20ème armée qui sont respectivement en casernées sur Honshu et Hokkaido. Ces armée forment l’Armée dite “Orientale“.
- 22 sont réparties en périphérie du Japon au sein des armées suivantes : La 25ème en Malaisie, la 15ème et la 27ème en Birmanie, la 14ème à Hawaï, la 35ème aux Philippines, la 16ème à Bornéo, la 18ème en Nouvelle Guinée, la 32ème à Okinawa (Armée dite Occidentale), la 10ème à Formose (Armée dite Formosane), la 25ème à Sumatra, la 8ème à Rabaul et la 17ème aux Iles Salomon et forment toutes “l’Armée Pacifique“ du général Haruyoshi..
- 2 divisions forment la 28ème armée qui sécurise l’Indochine, dite “Armée Sud Asie de l’Est“ du général Isamu Cho.
- 10 brigades autonomes à 4 régiments chacune sont stationnées sur la Côte Ouest des Etats du Pacifique. Elles forment “l’Armée des Rocheuses“. 2 sont dans l’état de Washington, 2 sont en garnison dans l’Oregon et 6 sont en Californie. 10 autres brigades autonomes à 4 régiments chacune sont casernées en Chine Septentrionale à la frontière de la Mongolie, elles forment “l’Armée Nord Asie de l’Ouest“ aux ordres du général Doihara.
- Les 28ème, 32ème et 33ème armées sont en garnisons respectivement en Inde, à la frontière Afghane pour les deux premières et pour la troisième sur l’île de Ceylan, aux Maldives et Laquedives et forment toutes ensembles “l’Armée Sud Asie de l’Ouest“. 6 divisions.
- La 34ème armée est en Corée et est l’Armée dite “Choisie“. 2 divisions.
- 2 armées blindées, la 1ère et la 2ème Sensha Shidan sont stationnées en Californie à San Francisco et Los Angeles.,
- 2 armées blindées, les 3 et 4èmes Sensha Shidan sont stationnées en Chine Méridionale à Kumming siège du QG du général Jiro Minami.
- 3 divisions de la Garde, 2 divisions de Parachutistes et 5 divisions d’Infanterie Amphibie aptes au débarquement et casernées au Japon sont prêtes à être employées sur tous les théâtres de guerre.
- 9 divisions font parties du Corps de Réserve. 6 sont basées en Indonésie et 3 en Thaïlande.
- 10 divisions sont stationnées en Alaska et forment “l’Armée Arctique“.
- 8 divisions d’infanterie forment l’Armée du “Nord-West Canadien“.
Une division standard japonaise : Hohei Shidan, dispose de 20 000 hommes, 48 pièces d’artillerie légères, de 36 mortiers, de 24 pièces antichars ainsi que de 80 mitrailleuses lourdes.
A cela s’ajoute des divisions spécialisées :
- 1 division de Cavalerie (Kihei Rentai) en Mongolie.
- 2 divisions de Transport (Sosaku Rentai) en Chine.
- 1 division de Génie de Combat (Ko) en Californie.
- 1 division de Génie de Franchissement (Bo) en Chine.
- 1 division de Génie Construction de Ponts (Hei) en Californie.
- 1 division de Génie de Destruction (Ki) en Chine.
- 1 division de Génie (Kohei Rentai) en Alberta.
- 10 divisions de Guerre de Position (Otsu) réparties dans l’ensemble des îles du Pacifique.
- 1 division de Police (Kempeitai) au Japon.
Les officiers de l’Empire du Soleil Levant organisent les armées de leurs alliés :
Les australiens et les néo-zélandais sont regroupés au sein de l’Anzac : un corps d’armée propre aux britanniques du Pacifique désireux de combattre les allemands et leurs alliés.
Les australiens disposent d’une division blindée et de divisions d’infanterie motorisées.
Les néo-zélandais sont regroupés en divisions d’infanterie portée, et disposent d’une division d’Infanterie Amphibie. 2 Croiseurs, 10 destroyers composent la Marine Australienne. Les destroyers néo-zélandais croisent dans les eaux du Pacifique Sud.
L’Armée Péruvienne : Les péruviens sont enrégimentés en “Troupes Andines“ de Montagne. Ils sont rejoints par tous les Latinos luttant contre le fascisme pour former 4 divisions d’Infanterie de Montagne, 5 divisions d’Infanterie de Lutte en Jungle et 1 division blindée.
L’Armée Nationale Indienne : Les indiens se servant du matériel britannique et disposent d’une division blindée, de divisions d’Infanterie Portée et de divisions d’Infanterie de Montagne. Quelques destroyers indiens sécurisent le Golfe de Birmanie.
L’Armée Nationale Birmane : Les birmans se servant du matériel britannique et disposent de divisions d’Infanterie de Lutte en Jungle.
L’Armée Nationale de Mengjiang : Les mongols enrégimentés dans des unités de cavalerie sont regroupés en brigades autonomes.
L’Armée Impériale du Mandchoukouo : Les manchous armés avec du matériel japonais et russe de récupération disposent de divisions de Guerre de Position et de plusieurs divisions de Cavalerie.
L’Armée Royale Thaïlandaise : Les thaïs sont armés de matériel nippon et de récupération américaine qui composent ses divisions d’Infanterie et sa division blindée. La marine Thaï dispose de 4 destroyers.
Les philippins, les malaisiens, et les indonésiens sont armés avec du matériel de récupération américain et britannique, et enrégimentés au sein de brigades autonomes pour le maintien de l’ordre en Asie et dans leurs pays respectifs.
Polynésiens et micronésiens sont enrégimentés en brigades autonomes.
Des “africains renégats“ regroupés en 1 division et prompte à débarquée en Afrique pour “libérer“ leurs frères et leur terre sont endivisionnés et répartis dans différentes armées impériales.
Les américains des Etats de l’Ouest, à l’égal des Etats Confédérés, forment “l’Armée des Etats du Pacifique“, avec des divisions Blindées, d’Infanterie Portée, des divisions de Montagne dont une canadienne, une américaine, une division de Génie d’Assaut britannique, une division légère à skis canadienne et des brigades de Cavalerie américaines. 4 cuirassés, 20 destroyers, 1 porte-avions : le JC Fremont, et 10 sous-marins forment la marine américaine du Pacifique. Un Corps aérien sécurise le ciel de la Californie à l’Alaska.
Les amérindiens voulant combattre les “Blancs“ sont endivisionnés par peuple au sein de “la Nation Indienne“ et servent comme éléments de cavalerie sur les arrières ennemis dans des divisions de maintien de l’ordre.
L’Armée Nationale Chinoise est équipée de matériel de récupération américain et britannique, et de matériel japonais. Les divisions d’infanterie et celles de Montagne disposent de matériel de récupération américain et britannique.
Les restes de l’Armée Rouge Soviétique réfugiée en Sibérie Orientale forment l’Armée de Libération Russe. Des divisions dont des blindées et des motorisées forment l’ossature de cette armée de libération..
Tous les ressortissants des autres nations meurtries par les allemands sont enrégimentés dans des brigades d’assaut blindées. Les chars de combat sont de facture Us ou Russe : Sherman ou T-34. Ils leurs sont associés des Katiouchas “lance-roquettes“ montées sur camions. Français, anglais, belges et israélites se retrouvent ici.
Berold- Messages : 136
Date d'inscription : 28/08/2018
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Le Japon s’appuie sur des équipements nouveaux pour équiper ses armées :
Les Chars Lourds de Type 100 Oi armés de canons de calibres 100 et 47. Les Chars Lourds de type 95 avec des tubes de 70 et 37. Les Chars lourds de type 4 Chi-To avec leurs canons de 75. Les Chars Lourds de Type 5 Chi-Ri et ses canons de 75 et 37.
Les Chars Lourds sont accompagnés de Chars Moyens de type 3 Chi-Nu avec leurs canons de 75. Les Chasseurs de Chars de type 1 Ho-Ni I et de type 3 Ho-Ni III assurent la protection des blindés contre leurs homologues avec leurs canons de 75. Les Automitrailleuses de Type 92 “Sumida“ et 93 “Osaka“ sont là pour réduire l’infanterie ennemie.
L’Artillerie Automotrice avec les Ho-Ni II et leurs 105, les Na-To avec leurs 75, les Ho-Ro et leurs tubes de 150, et les Ha-To armés de tubes de 300 mn assurent aux nippons une certaine sécurité d’accompagnement. Les Chars Amphibie To-Ku, Ka-Tsu et Ho-Ha permettent aux japonais des opérations de débarquement très poussées sur les arrières ennemis. Les fantassins peuvent compter sur les véhicules de type 1 Ho-Ki et de type 98 So-Da pour se faire transporter jusqu’à leurs objectifs. Les concepteurs russes des T-28, T-35, T-34, KVs et autres projets comme les canons automoteurs Su, collaborent à la fabrication des blindés nippons.
L’armée de l’Air, ou Service Aérien attaché à l’Armée de Terre se renforce. Les 36 compagnies de Chasseurs à 64 appareils, les 28 compagnies de Bombardiers Lourds à 36 appareils et les 22 compagnies de Bombardiers Légers à 36 avions sont réparties dans les armées suivantes :
- L’Armée de l’Air de La Manchourie. Harbin.
- L’Armée de l’Air du Sud. Singapour.
- L’Armée de l’Air de Nouvelle Guinée. Rabaul.
- L’Armée de l’Air de Californie. San Francisco.
- L’Armée de l’Air de l’Inde. Dehli.
- L’Armée de l’Air des Andes. Lima au Pérou.
- L’Armée de l’Air de Chine. Nankin.
- L’Armée de l’Air du Japon. Tokyo.
L’état-major nippon envisage de longues missions aériennes débouchant sur des bombardements atomiques au cœur du Reich : c’est le “Plan Z“. Les industriels japonais mettent au point des bombardiers quadrimoteurs supers-lourds à long rayon d’action G8N1 Renzan Nakajima, et Mitsubishi associe la firme Boeing à la fabrication d’un bombardier “Super-Stratoforteresse“ M-B-36, à 6 turboréacteurs pouvant faire aisément le tour de la terre. Des Bombardiers tactiques sont mis au point pour appuyer les divisions blindées : Ki-74-II Tachikawa, le Fugaku G10N1 Nakajima armé de 400 mitrailleuses placées sous le fuselage et tirant 6 400 coups/seconde, le Nakajima HA-54, le Nakajima H-505, et le Nakajima NK 11A.
Le Nakajima “Kikka“, la copie du Me 262 allemand, étant un bombardier à réaction emportant une bombe de 800 Kg et l’avion fusée Yokosuka MXY-7 Ohka “Baka“ pouvant effectuer une attaque suicide en étant largué depuis le bombardier-porteur G4M “Betty“ ou catapulté depuis un site aménagé. Le M-B-47 “Stratojet“, bombardier sortit des usines nippones est le produit de la collaboration américaine et japonaise. Les Tupolev Tu-14 et Iliouchine Il-28 sont produits par la firme Nakajima. La Chasse Impériale se renforce avec le Mitsubishi J8M1 Shusui (Chasseur), copie du Me 163 Komet allemand, à 2 canons de 20 mn, et le Kyushu J7W1 “Shiden“.
Des chasseurs à réaction, copies des projets russes : Yakovlev ou Mikoyan-Gourévitch (Yak 15, 17, 23 et 30, et Mig 9, 15 et 19), ainsi que le Lavochkine La-15 sont mis en production.
Le professeur Yoshio Nishina a réussi à mettre au point une bombe atomique japonaise. De faible puissance, elle n’en reste pas moins préoccupante pour les allemands. Les savants russes Glouchko et Korolev, au service des japonais, ont mis au point une fusée stratosphérique capable d’emporter une charge explosive de grande importance : Berlin est à portée de tir de la bombe atomique japonaise. Les scientifiques de l’Unité 731 préconisent “l’Opération Cerisier Fleurissant La Nuit“ où des pilotes Kamikazes transportant des virus de la peste iraient s’écraser en territoire allemand. D’autres savants nippons mettent au point le “Rayon de la Mort“ : Un canon produisant des ultrasons aptes à neutraliser les troupes d’infanterie adverses en faisant exploser leurs cerveaux.
La Marine Impériale s’appuie sur :
- 10 cuirassiers sous les ordres des amiraux Yoshida et Kondo.
- 38 croiseurs aux ordres de l’amiral Goto qui a la responsabilité de la 6ème division de croiseurs chargée d’escorter les flottes de porte-avions.
- 125 destroyers, sous les ordres de l’amiral Tanaka.
- 241 sous-marins, sous les ordres de l’amiral Takagi.
- 11 Porte-avions lourds, dont les Hiryu, Soryu, Akagi, Taiho, Karyu, Zuikaku, Ryujo, Shinano, Unryu, Katsuragi, Shokaku et 20 autres bâtiments légers d’escorte composent la force de projection nippone aux ordres des amiraux : Inoue pour la Flotte Mobile (Jojima commandant de l’aviation embarquée de la 2ème Flotte aux ordres de l’amiral Yamagushi, Hara pour la 4ème, flotte, Hosagaya pour la 5ème, l’amiral Nagumo pour la Kidô Butai (1ère flotte).
- L’aviation embarquée ou Service Aérien de la Marine est assuré par 343 Kokutaï regroupant 64 appareils chacun. Les Kokutaï sont divisés en Buntaï de 12 avions, divisés en Shotaï de 3 appareils. 2 Shotaï forment un Daïai plus à même de remplir certaines missions de chasse ou de surveillance.
- A cela s’ajoute 200 divers navires de soutien : Transports et pétroliers, et porte-hydravions, sous les ordres des amiraux Yamashita, Toyoda, et Hashimoto
Qui ouvrent les hostilités ? Difficile à dire avec deux régimes martiaux aussi imbus que fanatiques.
Toujours est-il que le monde s’embrase et menace de sombrer dans un “Hiver Nucléaire“ planétaire où l’Humanité peut régresser jusqu’à avoir un niveau de développement égal à celui du 17ème siècle.
Les Chars Lourds de Type 100 Oi armés de canons de calibres 100 et 47. Les Chars Lourds de type 95 avec des tubes de 70 et 37. Les Chars lourds de type 4 Chi-To avec leurs canons de 75. Les Chars Lourds de Type 5 Chi-Ri et ses canons de 75 et 37.
Les Chars Lourds sont accompagnés de Chars Moyens de type 3 Chi-Nu avec leurs canons de 75. Les Chasseurs de Chars de type 1 Ho-Ni I et de type 3 Ho-Ni III assurent la protection des blindés contre leurs homologues avec leurs canons de 75. Les Automitrailleuses de Type 92 “Sumida“ et 93 “Osaka“ sont là pour réduire l’infanterie ennemie.
L’Artillerie Automotrice avec les Ho-Ni II et leurs 105, les Na-To avec leurs 75, les Ho-Ro et leurs tubes de 150, et les Ha-To armés de tubes de 300 mn assurent aux nippons une certaine sécurité d’accompagnement. Les Chars Amphibie To-Ku, Ka-Tsu et Ho-Ha permettent aux japonais des opérations de débarquement très poussées sur les arrières ennemis. Les fantassins peuvent compter sur les véhicules de type 1 Ho-Ki et de type 98 So-Da pour se faire transporter jusqu’à leurs objectifs. Les concepteurs russes des T-28, T-35, T-34, KVs et autres projets comme les canons automoteurs Su, collaborent à la fabrication des blindés nippons.
L’armée de l’Air, ou Service Aérien attaché à l’Armée de Terre se renforce. Les 36 compagnies de Chasseurs à 64 appareils, les 28 compagnies de Bombardiers Lourds à 36 appareils et les 22 compagnies de Bombardiers Légers à 36 avions sont réparties dans les armées suivantes :
- L’Armée de l’Air de La Manchourie. Harbin.
- L’Armée de l’Air du Sud. Singapour.
- L’Armée de l’Air de Nouvelle Guinée. Rabaul.
- L’Armée de l’Air de Californie. San Francisco.
- L’Armée de l’Air de l’Inde. Dehli.
- L’Armée de l’Air des Andes. Lima au Pérou.
- L’Armée de l’Air de Chine. Nankin.
- L’Armée de l’Air du Japon. Tokyo.
L’état-major nippon envisage de longues missions aériennes débouchant sur des bombardements atomiques au cœur du Reich : c’est le “Plan Z“. Les industriels japonais mettent au point des bombardiers quadrimoteurs supers-lourds à long rayon d’action G8N1 Renzan Nakajima, et Mitsubishi associe la firme Boeing à la fabrication d’un bombardier “Super-Stratoforteresse“ M-B-36, à 6 turboréacteurs pouvant faire aisément le tour de la terre. Des Bombardiers tactiques sont mis au point pour appuyer les divisions blindées : Ki-74-II Tachikawa, le Fugaku G10N1 Nakajima armé de 400 mitrailleuses placées sous le fuselage et tirant 6 400 coups/seconde, le Nakajima HA-54, le Nakajima H-505, et le Nakajima NK 11A.
Le Nakajima “Kikka“, la copie du Me 262 allemand, étant un bombardier à réaction emportant une bombe de 800 Kg et l’avion fusée Yokosuka MXY-7 Ohka “Baka“ pouvant effectuer une attaque suicide en étant largué depuis le bombardier-porteur G4M “Betty“ ou catapulté depuis un site aménagé. Le M-B-47 “Stratojet“, bombardier sortit des usines nippones est le produit de la collaboration américaine et japonaise. Les Tupolev Tu-14 et Iliouchine Il-28 sont produits par la firme Nakajima. La Chasse Impériale se renforce avec le Mitsubishi J8M1 Shusui (Chasseur), copie du Me 163 Komet allemand, à 2 canons de 20 mn, et le Kyushu J7W1 “Shiden“.
Des chasseurs à réaction, copies des projets russes : Yakovlev ou Mikoyan-Gourévitch (Yak 15, 17, 23 et 30, et Mig 9, 15 et 19), ainsi que le Lavochkine La-15 sont mis en production.
Le professeur Yoshio Nishina a réussi à mettre au point une bombe atomique japonaise. De faible puissance, elle n’en reste pas moins préoccupante pour les allemands. Les savants russes Glouchko et Korolev, au service des japonais, ont mis au point une fusée stratosphérique capable d’emporter une charge explosive de grande importance : Berlin est à portée de tir de la bombe atomique japonaise. Les scientifiques de l’Unité 731 préconisent “l’Opération Cerisier Fleurissant La Nuit“ où des pilotes Kamikazes transportant des virus de la peste iraient s’écraser en territoire allemand. D’autres savants nippons mettent au point le “Rayon de la Mort“ : Un canon produisant des ultrasons aptes à neutraliser les troupes d’infanterie adverses en faisant exploser leurs cerveaux.
La Marine Impériale s’appuie sur :
- 10 cuirassiers sous les ordres des amiraux Yoshida et Kondo.
- 38 croiseurs aux ordres de l’amiral Goto qui a la responsabilité de la 6ème division de croiseurs chargée d’escorter les flottes de porte-avions.
- 125 destroyers, sous les ordres de l’amiral Tanaka.
- 241 sous-marins, sous les ordres de l’amiral Takagi.
- 11 Porte-avions lourds, dont les Hiryu, Soryu, Akagi, Taiho, Karyu, Zuikaku, Ryujo, Shinano, Unryu, Katsuragi, Shokaku et 20 autres bâtiments légers d’escorte composent la force de projection nippone aux ordres des amiraux : Inoue pour la Flotte Mobile (Jojima commandant de l’aviation embarquée de la 2ème Flotte aux ordres de l’amiral Yamagushi, Hara pour la 4ème, flotte, Hosagaya pour la 5ème, l’amiral Nagumo pour la Kidô Butai (1ère flotte).
- L’aviation embarquée ou Service Aérien de la Marine est assuré par 343 Kokutaï regroupant 64 appareils chacun. Les Kokutaï sont divisés en Buntaï de 12 avions, divisés en Shotaï de 3 appareils. 2 Shotaï forment un Daïai plus à même de remplir certaines missions de chasse ou de surveillance.
- A cela s’ajoute 200 divers navires de soutien : Transports et pétroliers, et porte-hydravions, sous les ordres des amiraux Yamashita, Toyoda, et Hashimoto
Qui ouvrent les hostilités ? Difficile à dire avec deux régimes martiaux aussi imbus que fanatiques.
Toujours est-il que le monde s’embrase et menace de sombrer dans un “Hiver Nucléaire“ planétaire où l’Humanité peut régresser jusqu’à avoir un niveau de développement égal à celui du 17ème siècle.
Berold- Messages : 136
Date d'inscription : 28/08/2018
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Les japonais engagent 3 opérations terrestres simultanées :
- “Vent Indien“ : Opération contre les Italiens en Afrique de l’Est. Le but final étant la prise du Canal de Suez.
- “Vent d’Orient“ : Opération complémentaire de la “Vent Indien“, contre les puits de pétrole du Golf Persique et une remontée sur la Turquie.
- “Amérika Banzaï“ : Opération contre l’Amérique de l’Est ayant pour but la prise de New-York ou de la ville de Washington.
Et une opération navale :
- “Cap Sud : Opération contre l’Afrique du Sud pour s’ouvrir l’Océan Atlantique, et remontée sur l’Archipel des Açores et l’Europe du Sud.
Les allemands envisagent 2 opérations : 1 navale, et 1 terrestre.
- “Le Triomphe de la Volonté“ : Une attaque directe contre le Japon. Opération envisagée amphibie, depuis l’Amérique Centrale.
- “Sibérie“ : Opération mise en œuvre depuis la Russie ayant pour but la conquête de la Sibérie Orientale pour ensuite poursuivre sur la ville de Vladivostok, ou envahir la Chine, ou l’Inde.
La 3ème Guerre Mondiale entre le Grand Reich et le Japon Impérial :
Adolf Hitler, sous prétexte d’imposer au monde une suprématie germanique politique, demande aux autorités japonaises le retour des Terres Pacifiques Allemandes dans le giron du Reich : Le comptoir de Tsing Tao, de l’Archipel Bismarck. Cela serait un beau cadeau pour l’anniversaire du Führer en cet avril 1948. C’est un fait de non recevoir de la part des nippons qui devient un Casus Belli pour les allemands. L’amiral Tojo entrevoit le conflit qui s’annonce.
Flotte de Haute-Mer Allemande, basée en Atlantique Sud : au Cap de Bonne Espérance, ainsi qu'à Wallis Bay est sous les ordres de l’amiral Ciliax. La Flotte de Haute-Mer, dans la cadre de l'Axe, est jumelée avec des éléments Italiens de l’amiral Luigi Biancheri. Les Transalpins entendent participer à la mise aux pas des Asiatiques. Tous les navires de cette flotte mixte sont placés sous les ordres du commandement allemand. L'amirauté du Reich décide de former ses bâtiments en groupes de combat distincts les uns des autres pour ce porter sur les archipels indiens des Maldives, Laquedives et Seychelles.
Les français liés au Reich par un partenariat politique et militaire s'engagent aux côtés des allemands dans la défense de l'Espace Vital Occidental face aux asiatiques. Ils visent aussi l'hypothétique retour de l'Etat Français en Asie du Sud-est dont ils ont été chassés. Les autorités allemandes sont circonspectes quand à l'activation de l'effort de guerre français à leur côté. N'est pas le risque de redonner de l'importance à une France soumise et docile ? Une importance militaire. L'Amiral Donitz est convaincu que la mise en branle de la Marine Française est primordiale pour épargner des unités allemandes. De plus se priver de la puissance de la Marine de l'Etat Français serait stupide.
Berchtesgaden Avril 1948. Hitler a convoqué tous ses proches avec femmes et enfants. Ses généraux sont là aussi. L'amiral Donitz est présent. Son anniversaire va être grandiose. Après avoir régalé son entourage de manière jubilatoire mais très intelligemment contrôlée, le Führer qui vient d'être soigné pour ses tremblements incontrôlés par le docteur Morell, invite les militaires, Wehrmacht, Kriegsmarine et ss, à le rejoindre dans la Salle des Plans. Le visage d'Hitler s'est fermé. Tous ont compris qu'il va se lancer dans l'un de ses discours sans fin. Interminable.
- " J'ai réclamé aux Japonais le retour des archipels allemands du Pacifique dans le giron du Reich. Ainsi, que de nôtre comptoir de Chine : Tsing Tao. Ils n'ont pas daigné répondre à nos demandes légitimes. Messieurs préparez-vous à entrer en Guerre. "
La stupeur est totale parmi les militaires. Guderian ose intervenir :
- " Nous ne sommes pas prêts. "
- " Selon vos dires nous ne l'étions pas non plus en 1939. Répond le Führer qui entre dans une colère nerveuse où tout son corps se soulève de spasmes. Et après, va t-on tolérer que les Japonais nous contestent l'hégémonie. C'est le Péril Jaune messieurs. Ils dominent la moitié de la planète et demain se sera le Monde. Je ne peux pas le concevoir. Vous allez recevoir vos ordres. Amiral Donitz : Nous devons contrôler les Océans pour nous déployer. "
Tokyo Juin 1948 : Nagumo a rassemblé ses officiers. Il vient de recevoir des renseignements quand au déplacement de la Flotte de Haute-Mer Allemande. De plus la Flotte Française a passé le Canal de Suez. Le Reich se prépare à la Guerre, l'Amiral en est sûr. Des mouvements de troupes qui voudraient passer inaperçus aux frontières de la Moscovie ont été détectés.
- " Nous n'allons pas rester sans réaction. Messieurs regagnés vos bases et attendez les ordres. Amiraux Hashimoto et Goto, j'ai à vous parler. Deux de nos flottes vont s'engager dans l'Océan Indien. Messieurs, nous entrons en guerre."
Les jeunes officiers des deux camps, formatés pour la guerre, ne rêvent qu'à se couvrir de gloire. Les plus vieux perçoivent en eux ce mélange de peur et d'excitation qui justifie leur fonction et leur existence. Leur vie. Seuls ceux qui ont déjà vécu le combat ressentent cet étourdissement où la testostérone mélangée à l'adrénaline provoque ce mélange hallucinatoire de haine et de puissance vis à vis de son adversaire. La guerre “Nôtre Mère“ est leur existence. Leur vie. Chacun attend ses ordres. Les deux blocs entrent en guerre en 1948.
Juillet 1948. La Flotte Mobile Japonaise de l’amiral Inoue qui dirige l’ensemble de l’opération sur le croiseur léger Kuma quitte son port d’attache de Goa et prend la mer direction le Golfe d’Oman.
La Kidô Butai commandée par l’amiral Shintaro Hashimoto depuis le Soryu appareille depuis Ceylan et vogue vers l’île de la Réunion. L’objectif des japonais est de déboucher dans l’Atlantique Sud.
L’attaque de la “Mobile“ a été préparée par l’amiral Aritomo Goto qui conduit l’attaque asiatique depuis le Jintsu.
Les allemands sous la conduite de l’amiral Ciliax débouchent dans l’Océan Indien entre Madagascar et les Comores où les attendent l’escadre italienne de l’amiral Luigi Biancheri. Leur objectif est l’archipel indonésien.
L’escadre française basée à Djibouti sous les ordres de l’amiral Gensoul en coordination avec la Kriegsmarine a pour mission de préserver le Golfe Persique d’une invasion asiatique.
Très vite les adversaires se découvrent. Plusieurs engagements ont lieu : Les français au prix de pertes supportables détruisent la Flotte Mobile Japonaise au large des côtes du Yémen.
Ayant coulé deux cuirassiers nippons, les marins de “la Royale“ exultent et pensent leur mission accomplie.
Les français, sans vue d’ensemble tactique et sans en référer à leurs homologues allemands pris dans la tourmente des combats, rentrent à leur port d’attache Est africain. Il n’en reste pas moins que les allemands auraient eu besoin de leur soutien face aux six porte-avions nippons de la Kidô Butai d’Hashimoto.
La Kriegsmarine déplore la perte de deux Cuirassés, d’un porte-avion et d’une grande partie de ses sous-marins.
Les italiens déplorent la perte du porte-avion Aquila. Les japonais ont perdu deux porte-avions dans ces combats au Nord de l’île Maurice.
L’amiral Ciliax à bout de nerfs décide de retourner au Cap où la Flotte de Haute-Mer sera sous la protection de la Luftwaffe et de ses Jets.
Un temps poursuivit par la Kidô Butai, les allemands se retrouve vite hors de portée des asiatiques qui renoncent à la chasse.
Les Japonais restent maitres de l’Océan Indien, mais trop affaiblis ne peuvent s’engager dans l’Atlantique.
- “Vent Indien“ : Opération contre les Italiens en Afrique de l’Est. Le but final étant la prise du Canal de Suez.
- “Vent d’Orient“ : Opération complémentaire de la “Vent Indien“, contre les puits de pétrole du Golf Persique et une remontée sur la Turquie.
- “Amérika Banzaï“ : Opération contre l’Amérique de l’Est ayant pour but la prise de New-York ou de la ville de Washington.
Et une opération navale :
- “Cap Sud : Opération contre l’Afrique du Sud pour s’ouvrir l’Océan Atlantique, et remontée sur l’Archipel des Açores et l’Europe du Sud.
Les allemands envisagent 2 opérations : 1 navale, et 1 terrestre.
- “Le Triomphe de la Volonté“ : Une attaque directe contre le Japon. Opération envisagée amphibie, depuis l’Amérique Centrale.
- “Sibérie“ : Opération mise en œuvre depuis la Russie ayant pour but la conquête de la Sibérie Orientale pour ensuite poursuivre sur la ville de Vladivostok, ou envahir la Chine, ou l’Inde.
La 3ème Guerre Mondiale entre le Grand Reich et le Japon Impérial :
Adolf Hitler, sous prétexte d’imposer au monde une suprématie germanique politique, demande aux autorités japonaises le retour des Terres Pacifiques Allemandes dans le giron du Reich : Le comptoir de Tsing Tao, de l’Archipel Bismarck. Cela serait un beau cadeau pour l’anniversaire du Führer en cet avril 1948. C’est un fait de non recevoir de la part des nippons qui devient un Casus Belli pour les allemands. L’amiral Tojo entrevoit le conflit qui s’annonce.
Flotte de Haute-Mer Allemande, basée en Atlantique Sud : au Cap de Bonne Espérance, ainsi qu'à Wallis Bay est sous les ordres de l’amiral Ciliax. La Flotte de Haute-Mer, dans la cadre de l'Axe, est jumelée avec des éléments Italiens de l’amiral Luigi Biancheri. Les Transalpins entendent participer à la mise aux pas des Asiatiques. Tous les navires de cette flotte mixte sont placés sous les ordres du commandement allemand. L'amirauté du Reich décide de former ses bâtiments en groupes de combat distincts les uns des autres pour ce porter sur les archipels indiens des Maldives, Laquedives et Seychelles.
Les français liés au Reich par un partenariat politique et militaire s'engagent aux côtés des allemands dans la défense de l'Espace Vital Occidental face aux asiatiques. Ils visent aussi l'hypothétique retour de l'Etat Français en Asie du Sud-est dont ils ont été chassés. Les autorités allemandes sont circonspectes quand à l'activation de l'effort de guerre français à leur côté. N'est pas le risque de redonner de l'importance à une France soumise et docile ? Une importance militaire. L'Amiral Donitz est convaincu que la mise en branle de la Marine Française est primordiale pour épargner des unités allemandes. De plus se priver de la puissance de la Marine de l'Etat Français serait stupide.
Berchtesgaden Avril 1948. Hitler a convoqué tous ses proches avec femmes et enfants. Ses généraux sont là aussi. L'amiral Donitz est présent. Son anniversaire va être grandiose. Après avoir régalé son entourage de manière jubilatoire mais très intelligemment contrôlée, le Führer qui vient d'être soigné pour ses tremblements incontrôlés par le docteur Morell, invite les militaires, Wehrmacht, Kriegsmarine et ss, à le rejoindre dans la Salle des Plans. Le visage d'Hitler s'est fermé. Tous ont compris qu'il va se lancer dans l'un de ses discours sans fin. Interminable.
- " J'ai réclamé aux Japonais le retour des archipels allemands du Pacifique dans le giron du Reich. Ainsi, que de nôtre comptoir de Chine : Tsing Tao. Ils n'ont pas daigné répondre à nos demandes légitimes. Messieurs préparez-vous à entrer en Guerre. "
La stupeur est totale parmi les militaires. Guderian ose intervenir :
- " Nous ne sommes pas prêts. "
- " Selon vos dires nous ne l'étions pas non plus en 1939. Répond le Führer qui entre dans une colère nerveuse où tout son corps se soulève de spasmes. Et après, va t-on tolérer que les Japonais nous contestent l'hégémonie. C'est le Péril Jaune messieurs. Ils dominent la moitié de la planète et demain se sera le Monde. Je ne peux pas le concevoir. Vous allez recevoir vos ordres. Amiral Donitz : Nous devons contrôler les Océans pour nous déployer. "
Tokyo Juin 1948 : Nagumo a rassemblé ses officiers. Il vient de recevoir des renseignements quand au déplacement de la Flotte de Haute-Mer Allemande. De plus la Flotte Française a passé le Canal de Suez. Le Reich se prépare à la Guerre, l'Amiral en est sûr. Des mouvements de troupes qui voudraient passer inaperçus aux frontières de la Moscovie ont été détectés.
- " Nous n'allons pas rester sans réaction. Messieurs regagnés vos bases et attendez les ordres. Amiraux Hashimoto et Goto, j'ai à vous parler. Deux de nos flottes vont s'engager dans l'Océan Indien. Messieurs, nous entrons en guerre."
Les jeunes officiers des deux camps, formatés pour la guerre, ne rêvent qu'à se couvrir de gloire. Les plus vieux perçoivent en eux ce mélange de peur et d'excitation qui justifie leur fonction et leur existence. Leur vie. Seuls ceux qui ont déjà vécu le combat ressentent cet étourdissement où la testostérone mélangée à l'adrénaline provoque ce mélange hallucinatoire de haine et de puissance vis à vis de son adversaire. La guerre “Nôtre Mère“ est leur existence. Leur vie. Chacun attend ses ordres. Les deux blocs entrent en guerre en 1948.
Juillet 1948. La Flotte Mobile Japonaise de l’amiral Inoue qui dirige l’ensemble de l’opération sur le croiseur léger Kuma quitte son port d’attache de Goa et prend la mer direction le Golfe d’Oman.
La Kidô Butai commandée par l’amiral Shintaro Hashimoto depuis le Soryu appareille depuis Ceylan et vogue vers l’île de la Réunion. L’objectif des japonais est de déboucher dans l’Atlantique Sud.
L’attaque de la “Mobile“ a été préparée par l’amiral Aritomo Goto qui conduit l’attaque asiatique depuis le Jintsu.
Les allemands sous la conduite de l’amiral Ciliax débouchent dans l’Océan Indien entre Madagascar et les Comores où les attendent l’escadre italienne de l’amiral Luigi Biancheri. Leur objectif est l’archipel indonésien.
L’escadre française basée à Djibouti sous les ordres de l’amiral Gensoul en coordination avec la Kriegsmarine a pour mission de préserver le Golfe Persique d’une invasion asiatique.
Très vite les adversaires se découvrent. Plusieurs engagements ont lieu : Les français au prix de pertes supportables détruisent la Flotte Mobile Japonaise au large des côtes du Yémen.
Ayant coulé deux cuirassiers nippons, les marins de “la Royale“ exultent et pensent leur mission accomplie.
Les français, sans vue d’ensemble tactique et sans en référer à leurs homologues allemands pris dans la tourmente des combats, rentrent à leur port d’attache Est africain. Il n’en reste pas moins que les allemands auraient eu besoin de leur soutien face aux six porte-avions nippons de la Kidô Butai d’Hashimoto.
La Kriegsmarine déplore la perte de deux Cuirassés, d’un porte-avion et d’une grande partie de ses sous-marins.
Les italiens déplorent la perte du porte-avion Aquila. Les japonais ont perdu deux porte-avions dans ces combats au Nord de l’île Maurice.
L’amiral Ciliax à bout de nerfs décide de retourner au Cap où la Flotte de Haute-Mer sera sous la protection de la Luftwaffe et de ses Jets.
Un temps poursuivit par la Kidô Butai, les allemands se retrouve vite hors de portée des asiatiques qui renoncent à la chasse.
Les Japonais restent maitres de l’Océan Indien, mais trop affaiblis ne peuvent s’engager dans l’Atlantique.
Berold- Messages : 136
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
La Bataille du “ Cap Sud “ et autres opérations en détails :
L'Axe et l'Empire du Soleil Levant se préparent. Chacun cherche à sonder son adversaire. Où se trouve l’ennemi ? Les reconnaissances sont lancées.
Le submersible Aurore en tête d'escadre française est repérée par un Hydravion Japonais. L’amiral Hashimoto ordonne qu'il soit coulé. L'Axe ne doit pas savoir que deux flottes nippones se déploient dans l'Océan Indien. Grenadé, le Sous-main est touché, mais s'échappe et donne l'alerte. Les japonais sont en ordre de combat, mais Hashimoto n’est pas satisfait. Il a peur d’avoir été repéré. Un Latécoère 298 décolle d’Oman et part en vadrouille au dessus du Golfe. Il repère un sous-marin nippon en surveillance à l'entrée du Golfe. Les autorités allemandes exigent qu'il soit détruit. Le R0-52 nippon touché par un grenadage perd de l'huile et s'enfuit en plongée moyenne. Les navires italiens sous les ordres de l’amiral Luigi Biancheri rejoignent les bâtiments de guerre allemands. A son tour, le submersible Surcouf en maraude au large des Maldives est détecté par un hydravion Emily. Le Grand Français est ciblé et touché par une grenade avant de pouvoir s'enfoncé dans les flots pour échapper à son adversaire. La Guerre sans être vraiment déclarée prend effet. A Berlin, à Rome, comme à Tokyo, c'est le branle-bas de combat. Les états-majors sont en effervescence. Les escadrilles japonaises de chasse et de bombardiers basées en Inde arrivent sur les aérodromes des Maldives et des Seychelles. Prêts pour les missions. La Kidô Butai de l’amiral Hashimoto dépasse les Seychelles et vogue vers la Réunion sous la couverture de son aviation embarquée. Une escadrille de George de l'Akagi intercepte, et après un violent combat, détruit un groupe de Bf-109 venu en reconnaissance depuis l'île Maurice au dessus de l'Océan Indien. C’est un coup dur pour le Reich qui perd ses “yeux“. L'amiral Ciliax, qui arrive depuis l'Atlantique Sud avec la Flotte de Haute-mer, apprend la nouvelle, et bien qu'anxieux il décide de pousser ses navires vers l'ennemi au plus vite pour se joindre aux français qui appareillent de Djibouti. Le Sous-marin français Béveziers en surveillance au large du Yémen Oriental est grenadé par des chasseurs-bombardiers japonais venus des Maldives. Il échappe à ses adversaires et s’enfuit. Un Latécoère 298 en reconnaissance est pris en chasse par des Zéro au dessus du Golfe d'Oman. Le français traqué regagne sa base en terre d’Arabie. Des hydravions japonais en maraude le long des côtes pakistanaises couvrent une flottille d’invasion qui vogue dans le Golfe Persique. Ils sont attaqués par des Dewoitine 520 français qui couvrent l'escadre de l'amiral Gensoul depuis Oman. Les appareils nippons n’insistent pas et s’en retournent. Un Hydravion Emily nippon grenade un sous-marin allemand embusqué au large des Seychelles pour surveiller l’avance des japonais. Le submersible s’en sort bien : Il évite les bombes et plonge sans laisser de trace. Un groupe de Zéro abattent plusieurs chasseurs D-520 lors d'un combat au dessus du désert d'Arabie qui devient l’enjeu d’une supériorité aérienne.
Le sous-marin Surcouf poursuivit dans sa fuite par l'aviation nippone est coulé au large des côtes Perses par des Emily qui l’ont pris en chasse. La Flotte Française débouche dans l'Océan Indien. Elle est tout de suite repérée par des avions de reconnaissance japonais qui avertissent l'amiral Inoue en charge de la sécurité des côtes indiennes. Plusieurs bombardiers asiatiques ayant décollés de Bombay volent vers les français. Le Dunkerque est ciblé. Bombardé et torpillé, le navire de la Royale reste pourtant à flots gravement endommagé. Le sous-marin Rolland Morillot est coulé par un hydravion au large du Yémen. L'amiral Aritomo Goto fait appareiller la Flotte Mobile depuis Gao en Inde. Une escadrille de Vindicator français en "recherche et destruction", au maximum de leur capacité de vol dans l'Océan Indien, détecte la Kidô Butai. Les français coulent le destroyer Yukikazé esseulé en pointe de l'escadre japonaise. Plusieurs Latécoère 298 sont abattus par la chasse nippone au-dessus d'Oman. La Kidô Butai file plein Sud sur la Réunion. Un débarquement est envisagé. Près des côtes arabes, 5 escadrilles de bombardiers japonais attaquent le Gloire qui borde le Dunkerque. Le Navire les repousse avec l'aide de D-520 qui couvrent l'escadre de Gensoul. Le Bâtiment est néanmoins touché et prend feu.L’amiral Ciliax passe Madagascar et vogue pleine vapeur vers la Kidô Butai. La tension monte dans les amirautés respectives. Les adversaires vont de rencontrer. Bientôt les deux flottes sont à portée de leur aviation respective. Le porte-avions Kaga est attaqué par des bombardiers italiens SM-79 venus de l’île Maurice. Il les repousse grâce à une DCA efficacement employée. Les bombardiers en piqué Stuka de l'Europa et les SM-79 italiens toujours en vol attaquent le porte-avions Shokaku, mais sans résultat. le Moltke attaqué par 3 escadrilles de chasseurs-bombardiers Kate échappe à leurs torpilles en manœuvrant avec une grande maitrise de son commandant. Le Gloire, le Dunkerque et les D-520 français détruisent 3 escadrilles de bombardiers japonais venus à leur rencontre. La chasse a fait un carnage. Des Val et des Kate de la Kidô Butai touchent et mettent en feu le porte-avions Aquila Italien. Les marins transalpins s’activent pour sauver le bâtiment. Le Karl Galster détruit des Kate venus le bombarder. Sa DCA a été parfaite. Le Friedrich der Grosse est repéré et ciblé par des avions japonais venus de la Kidô Butai. Il est torpillé mais reste à flots. Néanmoins, les Japonais exultent. Plusieurs Kate sont détruits alors qu'ils s'en prenaient au Bismarck. Le Shokaku est torpillé par des appareils venus de la réunion. Hashimoto anxieux et taciturne décide de repartir vers les Seychelles et de se mettre à l'abri de la couverture de ses aérodromes et de leurs appareils. Il sent le vent tourner et constate qu’il n’arrive pas à percer. Inoue est plus confiant et reste décidé. le Kaga est torpillé à son tour. Les deux Porte-avions tiennent la mer, mais Ciliax est rassuré quand à ses chances de repousser les japonais.
L’amiral allemand fait pousser les machines vers l'ennemi. Il est sûr de lui. L'Aurore est coulé par le I-21 qui le poursuivait depuis sa venue.
L’amiral Goto pousse sa Flotte et la 6ème division de Croiseurs vers l'escadre française. Il est confiant dans ses deux cuirassiers qui doivent faire la différence. L'Haguro est attaqué par des chasseur-bombardiers français Vindicator et est touché. Mauvais présage : Il est en feu et gite fortement. Le Strasbourg est mis en feu par des Kate venus des Seychelles. L'Aquila flambe comme une torche au milieu de l'Océan Indien. Le Graf Zeppelin est torpillé deux fois, mais tient encore à flots. Le F.der Grosse est torpillé une nouvelle fois. Le gros allemand flambe. Le long des côtes d'Oman, un farouche combat naval s'engage entre le Tsushima et la Flotte Française : Le Japonais va la pulvériser. Goto est euphorique. Gensoul à bord de l'Alsace est dans un état de semi-coma mental : Son destin est scellé. " Feu, ouvrez le feu ! " : Hurle l'amiral français dans une réaction hallucinée. Tous les marins sont électrisés par ses paroles. L'Alsace et le Richelieu font tirer tous leurs tubes. Leurs obus trouent la coque du monstre japonais : La salle des munitions est touchée. Le navire nippon explose ! Il coule en moins de 5 minutes. Gensoul à la vue de sa réussite est comme saoulé. C’est une explosion de joie dans le camp français. " Vous avez vu ça. C'est nous qui avons fait ça. Nous les Français. Hourra ! Hourra ! "
La Stupeur de l’amiral Goto est angoissée : " Vengeance ! Que le Yamato venge le Tsushima ". Hashimoto est crispé. " Non, reculez Goto. Vous êtes fou. Sauvez-vous ! " Aritomo Goto : " Non. Je vais les exploser. Ils n'ont eu que de la chance. " Goto furieux lance toute la Flotte Mobile dans la bataille. Inoue resté absent jusqu’à lors encourage l’amiral Goto : Il faut forcer le destin et atteindre la victoire. le Mogami est torpillé par des bombardiers Italiens venus d’Ethiopie. Le Yakagi est torpillé par des SM-79 transalpins partis du Kenya. Un Sous-marin allemand est grenadé et coulé par une escadrille de Kate. Le Friedrich der Grosse reprend 2 torpilles. Ciliax a les nerfs à vif. le Oi torpille et coule le Dunkerque. Gensoul temporise. L’euphorie est finie.
Le cuirasser Yamato fonce vers sa destinée : Fendant les eaux, il coule le Hardi et touche le Milan. Aritomo Goto est debout et fier comme un coq au milieu des combats. La Galissonnière touche le Jintsu d'où commande Goto. L'amiral est consterné : " Bande d'incapables, je vous ferait tous fusiller. En avant, en avant. Feu ! " L'Haguro engage le Dunkerque. Le Français explose après avoir été touché. Le Gloire coule l'Haguro. En feu le Japonais s’enfonce dans les vagues. Le Yamato combat le Richelieu, l'Alsace et le Strasbourg. Il est touché 3 fois. Le Moltke et le Bismarck sous les ordres de l’amiral Lütjens venus à la rencontre de la “Mobile“ ouvrent le feu sur le monstre Japonais qui prend feu. Le Yamato qui manœuvre échappe aux tires du Colonna. Le Oi est ciblé, bombardé et coulé par le Lutzow. L'Akasuki repousse et détruit des Vindicator français qui le poursuivaient. Plusieurs escadrilles de Zéro annihilent les groupes de D-520 en vol au dessus du Yémen. Il n'y a plus d'aviation française constituée dans le Golfe d'Oman. L'Akasuki et le Naga coulent le Fantasque par des tirs directs. L'Aquila est coulé par des Betty qui achèvent l’Italien bien mal en point.
Le F.der Grosse est en feu et gite. Son équipage tente de le sauver. Le Yamato est touché deux fois par le Moltke. Les japonais prennent peur. Le Yamato fait machines arrières. 5 Cuirassés le poursuivent. L’Alerte est maximale.
L'Algérie torpille le Yamato et.... le coule. Goto a les larmes aux bords des yeux. Son sort est clair : La Mort. Il est déshonoré. Inoue hurle de colère. " Je lui avais dit ", maugrée Hashimoto dépité. "Stupide". Un sous-marin japonais coule un Z-20 allemand au large des Maldives. La Galissonnière tire et touche deux fois l'Akitsuki. L'Alsace fait cracher ses tubes et coule le Nagatsuki. L’Alsace cible et coule le Murazame. L’amiral Gensoul a la tête haute. Le Moltke coule le Terutsuki. La “ Mobile“ est aux abois. Le Jintsu explose sous les tirs conjugués du Strasbourg et d'un destroyer français. Aritomo Goto a vécu. Il meure sans honneur. Néanmoins, il a drainé vers lui tous les efforts de l'Axe. Hashimoto n'en à cure. C'est lui : Hashimoto, qui va apporter la Victoire au Japon. Il est d’un esprit supérieur. La Galissonnière envoie le Naka par le fond. Le Strasbourg touche et met l'Agano en feu. le Richelieu canonne et coule l'Agano. L’amiral Gensoul est euphorique. La Flotte Mobile n'existe plus. A Tokyo c’est la consternation. Seul Inoue sur le croiseur léger Kuma resté en retrait s’en sort en échappant à ses adversaires.L'amiral Gensoul décide de retirer la Flotte Française des combats. Il perçoit que les Japonais vont lancer toutes leurs forces dans la bataille. Et les français, ayant coulé les Tsushima et Yamato, sont les grands gagnants de ces engagements. Victoire ! Cela suffit. Il faut savoir apprécier une situation. Sans coordination avec les Italo-allemands, les français retournent à Djibouti. L'amiral Ciliax voit les français rompre le combat. " Les fichus français ! A bon. Bien, d'accord. Mais n'est-ce pas trop tôt ? " Les français sont déjà en train de manœuvrer. Il n'y a rien à négocier. Les français restent sourds. Ciliax comprend que restant seul face à ses adversaires les nippons vont l'accabler. La Flotte de Haute-Mer est très avancée dans l'Océan Indien. " Machines arrières toutes ". Commande Ciliax.
La Galissonnière quitte les eaux indiennes. Gensoul a donné ses ordres. Hashimoto se tourne vers l’amiral Takagi qui le seconde : " A l'attaque. C'est maintenant que mon plan prend toute sa forme, pérore l’amiral impérial. " Des SM-79 venus de la Réunion coulent le Shokaku. "C'est le prix à payer. " Dit sombrement Nagumo sombre et essayant de se contenir, furieux. Deux sous-marins japonais coulent le Moltke. L'amiral Ciliax engage une course contre la montre pour échapper aux japonais. Hashimoto sourit enfin. Un hydravion nippon bombarde et coule un destroyer de classe Z-20. Le Lützow est coulé par une escadrille d'Emily. Ciliax est plus qu'angoissé. Le Suffren et le Strasbourg filent à toute vitesse vers Djibouti.
La Kidô Butai arrive à portée de la Flotte de Haute-Mer. Ciliax angoisse. " Il faut que nous partions. " Lance l'amiral Ciliax à ses officiers étonnés par le langage douloureux de leur supérieur. Ciliax est sur les nerfs. Il appelle les français : " Venez nous aider. " Mais les marins de la Royale restent sourds. " Nous n'avons pas assez des destroyers pour contrer les sous-marins ennemis. Désolé. " Répondent les français. “Sauvez-vous comme bon vous semble. “Les George japonais détruisent une escadrille de RE-2001 CB italiens. Un groupe de D-520 couvre la Flotte Française qui file vers Djibouti. Le Trieste est coulé par des hydravions nippons qui le pourchassaient. Le Friedrich der Grosse poursuivit par la Kidô Butai est coulé par des Jill. C'était une cible primordiale pour Nagumo en fête. Ciliax fait la grimace. Le Bismarck de Lütjens prend 2 torpilles. Ciliax est à bout de nerfs : " Mais cela ne finira jamais ! " Ses officiers allemands tentent de garder leur calme. Un destroyer français en arrière-garde est coulé par un sous-marin japonais. Des FW repoussent des Kate qui poursuivent le Bismarck mal en point. Des George de couverture aérienne détruisent des bombardiers Dornier qui attaquent les Porte-avions de la Kidô Butai. Des SM-79 attaquent le Zuikaku. Sans effet, suite à un barrage anti-aérien. La Flotte Française arrive à Djibouti. Gensoul y est accueilli comme un Roi. Victoire. Mais n'aurait-il pas fallu soutenir les allemands ? Attaquer le Flotte Japonaise ? Remporter une victoire totale ? Comment se justifier face au Reich. Le Bismarck en feu est poursuivi par un sous-marin japonais. Il le distance, et arrive à atteindre la rade de l'île Maurice. Son commandant Günter Lütjens respire enfin, protégé par la chasse insulaire du Reich. Le Graf Zeppelin repéré, poursuivi et ciblé est bombardé et torpillé par des Kate et des Val, ainsi que des Jill. Troué comme une passoire, il coule comme une pierre. L'amiral Ciliax n'en peut plus. " Cela doit cesser. " La tension est à son comble à bord du navire amiral. Ciliax est épuisé par la tension. Il craque et s’effondre. Un long silence envahit le navire amiral. Tous retiennent leur souffle. Ordre est alors donné de battre en retraite par l’officier en second l’amiral Kummetz depuis l’Amiral Hipper. Le C. Nere est coulé par une escadrille de Kate en couverture des japonais qui se replient eux aussi vers l’Île de Ceylan. Tout ce qui reste d'avions bombardiers de l'Axe se rue sur l'Akagi. Le Porte-avions Japonais croule et coule sous les bombes adverses. L’amiral Hashimoto fait grise mine. Devant une nouvelle sortie supposée de la Royale, irréaliste vu les évènements, les japonais sans reconnaissance avancée abandonnent la poursuite.
La “Bataille du Cap Sud“ se finit sur un bilan mitigé pour les deux adversaires qui n’ont pu créer et obtenir la différence sur mer. La flotte Française regagne sa base de Toulon, alors que les Italiens filent sur le Caire pour réparer leurs avaries. La Flotte de Haute Mer du Reich va s’ancrer au Cap de Bonne Espérance où elle ravitaille et attend des renforts.
L'Axe et l'Empire du Soleil Levant se préparent. Chacun cherche à sonder son adversaire. Où se trouve l’ennemi ? Les reconnaissances sont lancées.
Le submersible Aurore en tête d'escadre française est repérée par un Hydravion Japonais. L’amiral Hashimoto ordonne qu'il soit coulé. L'Axe ne doit pas savoir que deux flottes nippones se déploient dans l'Océan Indien. Grenadé, le Sous-main est touché, mais s'échappe et donne l'alerte. Les japonais sont en ordre de combat, mais Hashimoto n’est pas satisfait. Il a peur d’avoir été repéré. Un Latécoère 298 décolle d’Oman et part en vadrouille au dessus du Golfe. Il repère un sous-marin nippon en surveillance à l'entrée du Golfe. Les autorités allemandes exigent qu'il soit détruit. Le R0-52 nippon touché par un grenadage perd de l'huile et s'enfuit en plongée moyenne. Les navires italiens sous les ordres de l’amiral Luigi Biancheri rejoignent les bâtiments de guerre allemands. A son tour, le submersible Surcouf en maraude au large des Maldives est détecté par un hydravion Emily. Le Grand Français est ciblé et touché par une grenade avant de pouvoir s'enfoncé dans les flots pour échapper à son adversaire. La Guerre sans être vraiment déclarée prend effet. A Berlin, à Rome, comme à Tokyo, c'est le branle-bas de combat. Les états-majors sont en effervescence. Les escadrilles japonaises de chasse et de bombardiers basées en Inde arrivent sur les aérodromes des Maldives et des Seychelles. Prêts pour les missions. La Kidô Butai de l’amiral Hashimoto dépasse les Seychelles et vogue vers la Réunion sous la couverture de son aviation embarquée. Une escadrille de George de l'Akagi intercepte, et après un violent combat, détruit un groupe de Bf-109 venu en reconnaissance depuis l'île Maurice au dessus de l'Océan Indien. C’est un coup dur pour le Reich qui perd ses “yeux“. L'amiral Ciliax, qui arrive depuis l'Atlantique Sud avec la Flotte de Haute-mer, apprend la nouvelle, et bien qu'anxieux il décide de pousser ses navires vers l'ennemi au plus vite pour se joindre aux français qui appareillent de Djibouti. Le Sous-marin français Béveziers en surveillance au large du Yémen Oriental est grenadé par des chasseurs-bombardiers japonais venus des Maldives. Il échappe à ses adversaires et s’enfuit. Un Latécoère 298 en reconnaissance est pris en chasse par des Zéro au dessus du Golfe d'Oman. Le français traqué regagne sa base en terre d’Arabie. Des hydravions japonais en maraude le long des côtes pakistanaises couvrent une flottille d’invasion qui vogue dans le Golfe Persique. Ils sont attaqués par des Dewoitine 520 français qui couvrent l'escadre de l'amiral Gensoul depuis Oman. Les appareils nippons n’insistent pas et s’en retournent. Un Hydravion Emily nippon grenade un sous-marin allemand embusqué au large des Seychelles pour surveiller l’avance des japonais. Le submersible s’en sort bien : Il évite les bombes et plonge sans laisser de trace. Un groupe de Zéro abattent plusieurs chasseurs D-520 lors d'un combat au dessus du désert d'Arabie qui devient l’enjeu d’une supériorité aérienne.
Le sous-marin Surcouf poursuivit dans sa fuite par l'aviation nippone est coulé au large des côtes Perses par des Emily qui l’ont pris en chasse. La Flotte Française débouche dans l'Océan Indien. Elle est tout de suite repérée par des avions de reconnaissance japonais qui avertissent l'amiral Inoue en charge de la sécurité des côtes indiennes. Plusieurs bombardiers asiatiques ayant décollés de Bombay volent vers les français. Le Dunkerque est ciblé. Bombardé et torpillé, le navire de la Royale reste pourtant à flots gravement endommagé. Le sous-marin Rolland Morillot est coulé par un hydravion au large du Yémen. L'amiral Aritomo Goto fait appareiller la Flotte Mobile depuis Gao en Inde. Une escadrille de Vindicator français en "recherche et destruction", au maximum de leur capacité de vol dans l'Océan Indien, détecte la Kidô Butai. Les français coulent le destroyer Yukikazé esseulé en pointe de l'escadre japonaise. Plusieurs Latécoère 298 sont abattus par la chasse nippone au-dessus d'Oman. La Kidô Butai file plein Sud sur la Réunion. Un débarquement est envisagé. Près des côtes arabes, 5 escadrilles de bombardiers japonais attaquent le Gloire qui borde le Dunkerque. Le Navire les repousse avec l'aide de D-520 qui couvrent l'escadre de Gensoul. Le Bâtiment est néanmoins touché et prend feu.L’amiral Ciliax passe Madagascar et vogue pleine vapeur vers la Kidô Butai. La tension monte dans les amirautés respectives. Les adversaires vont de rencontrer. Bientôt les deux flottes sont à portée de leur aviation respective. Le porte-avions Kaga est attaqué par des bombardiers italiens SM-79 venus de l’île Maurice. Il les repousse grâce à une DCA efficacement employée. Les bombardiers en piqué Stuka de l'Europa et les SM-79 italiens toujours en vol attaquent le porte-avions Shokaku, mais sans résultat. le Moltke attaqué par 3 escadrilles de chasseurs-bombardiers Kate échappe à leurs torpilles en manœuvrant avec une grande maitrise de son commandant. Le Gloire, le Dunkerque et les D-520 français détruisent 3 escadrilles de bombardiers japonais venus à leur rencontre. La chasse a fait un carnage. Des Val et des Kate de la Kidô Butai touchent et mettent en feu le porte-avions Aquila Italien. Les marins transalpins s’activent pour sauver le bâtiment. Le Karl Galster détruit des Kate venus le bombarder. Sa DCA a été parfaite. Le Friedrich der Grosse est repéré et ciblé par des avions japonais venus de la Kidô Butai. Il est torpillé mais reste à flots. Néanmoins, les Japonais exultent. Plusieurs Kate sont détruits alors qu'ils s'en prenaient au Bismarck. Le Shokaku est torpillé par des appareils venus de la réunion. Hashimoto anxieux et taciturne décide de repartir vers les Seychelles et de se mettre à l'abri de la couverture de ses aérodromes et de leurs appareils. Il sent le vent tourner et constate qu’il n’arrive pas à percer. Inoue est plus confiant et reste décidé. le Kaga est torpillé à son tour. Les deux Porte-avions tiennent la mer, mais Ciliax est rassuré quand à ses chances de repousser les japonais.
L’amiral allemand fait pousser les machines vers l'ennemi. Il est sûr de lui. L'Aurore est coulé par le I-21 qui le poursuivait depuis sa venue.
L’amiral Goto pousse sa Flotte et la 6ème division de Croiseurs vers l'escadre française. Il est confiant dans ses deux cuirassiers qui doivent faire la différence. L'Haguro est attaqué par des chasseur-bombardiers français Vindicator et est touché. Mauvais présage : Il est en feu et gite fortement. Le Strasbourg est mis en feu par des Kate venus des Seychelles. L'Aquila flambe comme une torche au milieu de l'Océan Indien. Le Graf Zeppelin est torpillé deux fois, mais tient encore à flots. Le F.der Grosse est torpillé une nouvelle fois. Le gros allemand flambe. Le long des côtes d'Oman, un farouche combat naval s'engage entre le Tsushima et la Flotte Française : Le Japonais va la pulvériser. Goto est euphorique. Gensoul à bord de l'Alsace est dans un état de semi-coma mental : Son destin est scellé. " Feu, ouvrez le feu ! " : Hurle l'amiral français dans une réaction hallucinée. Tous les marins sont électrisés par ses paroles. L'Alsace et le Richelieu font tirer tous leurs tubes. Leurs obus trouent la coque du monstre japonais : La salle des munitions est touchée. Le navire nippon explose ! Il coule en moins de 5 minutes. Gensoul à la vue de sa réussite est comme saoulé. C’est une explosion de joie dans le camp français. " Vous avez vu ça. C'est nous qui avons fait ça. Nous les Français. Hourra ! Hourra ! "
La Stupeur de l’amiral Goto est angoissée : " Vengeance ! Que le Yamato venge le Tsushima ". Hashimoto est crispé. " Non, reculez Goto. Vous êtes fou. Sauvez-vous ! " Aritomo Goto : " Non. Je vais les exploser. Ils n'ont eu que de la chance. " Goto furieux lance toute la Flotte Mobile dans la bataille. Inoue resté absent jusqu’à lors encourage l’amiral Goto : Il faut forcer le destin et atteindre la victoire. le Mogami est torpillé par des bombardiers Italiens venus d’Ethiopie. Le Yakagi est torpillé par des SM-79 transalpins partis du Kenya. Un Sous-marin allemand est grenadé et coulé par une escadrille de Kate. Le Friedrich der Grosse reprend 2 torpilles. Ciliax a les nerfs à vif. le Oi torpille et coule le Dunkerque. Gensoul temporise. L’euphorie est finie.
Le cuirasser Yamato fonce vers sa destinée : Fendant les eaux, il coule le Hardi et touche le Milan. Aritomo Goto est debout et fier comme un coq au milieu des combats. La Galissonnière touche le Jintsu d'où commande Goto. L'amiral est consterné : " Bande d'incapables, je vous ferait tous fusiller. En avant, en avant. Feu ! " L'Haguro engage le Dunkerque. Le Français explose après avoir été touché. Le Gloire coule l'Haguro. En feu le Japonais s’enfonce dans les vagues. Le Yamato combat le Richelieu, l'Alsace et le Strasbourg. Il est touché 3 fois. Le Moltke et le Bismarck sous les ordres de l’amiral Lütjens venus à la rencontre de la “Mobile“ ouvrent le feu sur le monstre Japonais qui prend feu. Le Yamato qui manœuvre échappe aux tires du Colonna. Le Oi est ciblé, bombardé et coulé par le Lutzow. L'Akasuki repousse et détruit des Vindicator français qui le poursuivaient. Plusieurs escadrilles de Zéro annihilent les groupes de D-520 en vol au dessus du Yémen. Il n'y a plus d'aviation française constituée dans le Golfe d'Oman. L'Akasuki et le Naga coulent le Fantasque par des tirs directs. L'Aquila est coulé par des Betty qui achèvent l’Italien bien mal en point.
Le F.der Grosse est en feu et gite. Son équipage tente de le sauver. Le Yamato est touché deux fois par le Moltke. Les japonais prennent peur. Le Yamato fait machines arrières. 5 Cuirassés le poursuivent. L’Alerte est maximale.
L'Algérie torpille le Yamato et.... le coule. Goto a les larmes aux bords des yeux. Son sort est clair : La Mort. Il est déshonoré. Inoue hurle de colère. " Je lui avais dit ", maugrée Hashimoto dépité. "Stupide". Un sous-marin japonais coule un Z-20 allemand au large des Maldives. La Galissonnière tire et touche deux fois l'Akitsuki. L'Alsace fait cracher ses tubes et coule le Nagatsuki. L’Alsace cible et coule le Murazame. L’amiral Gensoul a la tête haute. Le Moltke coule le Terutsuki. La “ Mobile“ est aux abois. Le Jintsu explose sous les tirs conjugués du Strasbourg et d'un destroyer français. Aritomo Goto a vécu. Il meure sans honneur. Néanmoins, il a drainé vers lui tous les efforts de l'Axe. Hashimoto n'en à cure. C'est lui : Hashimoto, qui va apporter la Victoire au Japon. Il est d’un esprit supérieur. La Galissonnière envoie le Naka par le fond. Le Strasbourg touche et met l'Agano en feu. le Richelieu canonne et coule l'Agano. L’amiral Gensoul est euphorique. La Flotte Mobile n'existe plus. A Tokyo c’est la consternation. Seul Inoue sur le croiseur léger Kuma resté en retrait s’en sort en échappant à ses adversaires.L'amiral Gensoul décide de retirer la Flotte Française des combats. Il perçoit que les Japonais vont lancer toutes leurs forces dans la bataille. Et les français, ayant coulé les Tsushima et Yamato, sont les grands gagnants de ces engagements. Victoire ! Cela suffit. Il faut savoir apprécier une situation. Sans coordination avec les Italo-allemands, les français retournent à Djibouti. L'amiral Ciliax voit les français rompre le combat. " Les fichus français ! A bon. Bien, d'accord. Mais n'est-ce pas trop tôt ? " Les français sont déjà en train de manœuvrer. Il n'y a rien à négocier. Les français restent sourds. Ciliax comprend que restant seul face à ses adversaires les nippons vont l'accabler. La Flotte de Haute-Mer est très avancée dans l'Océan Indien. " Machines arrières toutes ". Commande Ciliax.
La Galissonnière quitte les eaux indiennes. Gensoul a donné ses ordres. Hashimoto se tourne vers l’amiral Takagi qui le seconde : " A l'attaque. C'est maintenant que mon plan prend toute sa forme, pérore l’amiral impérial. " Des SM-79 venus de la Réunion coulent le Shokaku. "C'est le prix à payer. " Dit sombrement Nagumo sombre et essayant de se contenir, furieux. Deux sous-marins japonais coulent le Moltke. L'amiral Ciliax engage une course contre la montre pour échapper aux japonais. Hashimoto sourit enfin. Un hydravion nippon bombarde et coule un destroyer de classe Z-20. Le Lützow est coulé par une escadrille d'Emily. Ciliax est plus qu'angoissé. Le Suffren et le Strasbourg filent à toute vitesse vers Djibouti.
La Kidô Butai arrive à portée de la Flotte de Haute-Mer. Ciliax angoisse. " Il faut que nous partions. " Lance l'amiral Ciliax à ses officiers étonnés par le langage douloureux de leur supérieur. Ciliax est sur les nerfs. Il appelle les français : " Venez nous aider. " Mais les marins de la Royale restent sourds. " Nous n'avons pas assez des destroyers pour contrer les sous-marins ennemis. Désolé. " Répondent les français. “Sauvez-vous comme bon vous semble. “Les George japonais détruisent une escadrille de RE-2001 CB italiens. Un groupe de D-520 couvre la Flotte Française qui file vers Djibouti. Le Trieste est coulé par des hydravions nippons qui le pourchassaient. Le Friedrich der Grosse poursuivit par la Kidô Butai est coulé par des Jill. C'était une cible primordiale pour Nagumo en fête. Ciliax fait la grimace. Le Bismarck de Lütjens prend 2 torpilles. Ciliax est à bout de nerfs : " Mais cela ne finira jamais ! " Ses officiers allemands tentent de garder leur calme. Un destroyer français en arrière-garde est coulé par un sous-marin japonais. Des FW repoussent des Kate qui poursuivent le Bismarck mal en point. Des George de couverture aérienne détruisent des bombardiers Dornier qui attaquent les Porte-avions de la Kidô Butai. Des SM-79 attaquent le Zuikaku. Sans effet, suite à un barrage anti-aérien. La Flotte Française arrive à Djibouti. Gensoul y est accueilli comme un Roi. Victoire. Mais n'aurait-il pas fallu soutenir les allemands ? Attaquer le Flotte Japonaise ? Remporter une victoire totale ? Comment se justifier face au Reich. Le Bismarck en feu est poursuivi par un sous-marin japonais. Il le distance, et arrive à atteindre la rade de l'île Maurice. Son commandant Günter Lütjens respire enfin, protégé par la chasse insulaire du Reich. Le Graf Zeppelin repéré, poursuivi et ciblé est bombardé et torpillé par des Kate et des Val, ainsi que des Jill. Troué comme une passoire, il coule comme une pierre. L'amiral Ciliax n'en peut plus. " Cela doit cesser. " La tension est à son comble à bord du navire amiral. Ciliax est épuisé par la tension. Il craque et s’effondre. Un long silence envahit le navire amiral. Tous retiennent leur souffle. Ordre est alors donné de battre en retraite par l’officier en second l’amiral Kummetz depuis l’Amiral Hipper. Le C. Nere est coulé par une escadrille de Kate en couverture des japonais qui se replient eux aussi vers l’Île de Ceylan. Tout ce qui reste d'avions bombardiers de l'Axe se rue sur l'Akagi. Le Porte-avions Japonais croule et coule sous les bombes adverses. L’amiral Hashimoto fait grise mine. Devant une nouvelle sortie supposée de la Royale, irréaliste vu les évènements, les japonais sans reconnaissance avancée abandonnent la poursuite.
La “Bataille du Cap Sud“ se finit sur un bilan mitigé pour les deux adversaires qui n’ont pu créer et obtenir la différence sur mer. La flotte Française regagne sa base de Toulon, alors que les Italiens filent sur le Caire pour réparer leurs avaries. La Flotte de Haute Mer du Reich va s’ancrer au Cap de Bonne Espérance où elle ravitaille et attend des renforts.
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Pendant ce temps, le Grand Quartier Général Japonais décide de lancer une grande attaque terrestre sur le sol américain depuis le Nevada et le Dakota où les Forces Impériales ont été regroupées pour envahir l’Est américain sous le contrôle allemand : “L’Opération Amérika Banzaï sur la ligne Mississipi-Missouri“ est lancée. Chars, blindés, infanterie, commandos et parachutistes sont appuyés par les sapeurs de la division du Génie de Combat Urbain qui se lance à l’assaut de l’agglomération américaine.
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
L’Opération Amérika Banzaï :
Depuis le Sud-Dakota, les japonais lancent leur attaque contre le Middle-west américain. La ville de Saint-Louis est l’objectif : La porte qui ouvre sur la Côte Est et les ports de l’Atlantique. Le général Rikichi Ando, celui là-même qui avait envahi avec succès l’Indochine Française en 1940, lance l’Armée Nippone contre la 6ème armée Allemande aux ordres du maréchal Paulus qui garde les rives du Missouri et du Mississippi.
Au Nord de Saint-Louis, les combats s’engagent entre allemands et japonais : 5 régiments de la Heer succombent dans la bataille mais détruisent 2 régiments adverses. Au Sud de la grande agglomération américaine, les forces impériales s’emparent de la cité de Belleville et foncent à l’Est sur celle de Burlington depuis la cité de Jefferson city dont la défense germanique a craqué face à la poussée de la 1ère division blindée nippone commandée directement par le général Ando. Casernée à Indianapolis, la 6ème Panzer Armee SS allemande sous les ordres du général Sepp Dietrich arrive en renfort sur Saint-Louis et se mêle aux “troupes spécialisées allemandes dans le combat urbain“ qui contiennent l’invasion japonaise. La France qui tient à honorer son engagement aux côtés de son alliée envoie la Légion Etrangère et le premier Régiment de France tenir la ville de Granite City à l’Est de Saint Louis et des engagements armés.
Au Nord, la brigade des Katiouchka Japonais et ses roquettes culbute le maigre cordon allemand qui tente de les arrêter le long de la Chariton River. Trois régiments d’infanterie de la Wehrmacht disparaissent dans les combats. Seules les 14ème et 15ème divisions SS de Sepp Dietrich appuyées par la Luftwaffe stoppent les régiments mécanisées japonais. Deux brigades blindées impériales sont ainsi détruites. Arrivant de Chicago, la division Herman Goering renforce la garnison de Burlington. Pendant ce temps, les régiments d’infanterie impériaux anéantissent trois bataillons français à la périphérie de la ville de Granite. Des troupes de la Garde Impériale suivent le cours d’eau de la Chariton River et roulent vers la Fabius River via la rivière North Folk pour déboucher enfin sur Fort Madison. Une énorme bataille s’en suit entre la 6ème panzer-armée SS allemande et la brigade des Katiouchka Japonais soutenue par l’aviation japonaise, non loin de la ville d’Hannibal. Les combats font rage dans la banlieue de Saint-Louis où l’armée de Paulus repousse les sapeurs japonais et les forces d’investigation ennemis.
L’étau se ressert sur la grande agglomération américaine qui borde le Mississippi. Elle est pratiquement encerclée, mais les japonais n’arrivent pas à en percer les défenses allemandes qui maintiennent un cordon de ravitaillement avec l’extérieur grâce au sacrifice des soldats français du premier Régiment de France qui sauvent Granite City de l’invasion.
Les généraux Hoth et Kesselring sont envoyés par l’OKW pour seconder et conseiller Paulus, car la crainte de voir tomber Saint-Louis serait alors considérée comme une défaite importante.
Le maréchal Paulus accueille fraichement ses confrères argumentant qu’il a la situation bien en mains. Hoth sans se démonter lui rétorque que les SS et la Herman Goering ont toutefois été nécessaire pour contenir les asiatiques qui assiègent la ville, même si l’encerclement semble fragile et que les pertes japonaises s’accumulent. Paulus reste serein et ne semble pas paniquer, surtout depuis qu’il sait que la 5ème armée de la Heer sous les ordres du général Manteuffel roule vers Saint-Louis depuis le Sud et Bâton Rouge.
Décidément, il y a toujours un sacré antagonisme entre le Grand Quartier Général de la Wehrmacht à Berlin dirigé par le maréchal Keitel et celui de l’Armée de Terre aux ordres du général Von Brauchitsch qui a donné délégation de son pouvoir à son adjoint le général Zeitzler basé à Washington. Hitler, malade et parkinsonien, est contrarié par les désaccords entre ses officiers et son aide-de-camp : le capitaine Staub en réfère à l’OKW et l’OKH dont les généraux n’ont que faire des remarques. L’arrivée de la 5ème armée de la Heer annihile tous les espoirs de percée nippone sur Saint-Louis, surtout que la division SS Amérika est transportée par train pour venir soutenir la 6ème armée de Paulus, précédée par le régiment Dixieland qui roule plein gaz vers Saint-Louis. Au bout d’un mois de combats sans perspectives de débouchés, les pertes japonaises devenant insupportables l’Empereur lui-même fait stopper l’Opération militaire sur les conseils du maréchal “Gensui“ Terauchi dont il a l’oreille. Déconsidéré, le général Rikichi Ando n’a d’autre alternative que de se faire seppuku, et se suicide pour éviter la honte de la défaite. Tous les efforts du Japon se portent maintenant sur les opérations “Vent Indien“ sous la responsabilité du général Yamashita, et “Vent d’Orient“ sous celle du général Tanaka. Ainsi à Tokyo, les généraux Hideki Tojo (premier ministre), Joichiro Sanada (officier de liaison aux armées), Tadashi Sumiyoshi (conseiller aux armées), et Hisaichi Terauchi (maréchal impérial et porte parole impérial) qui forment l’État-major japonais orientent les armées japonaises sur l’Inde pour l’attaque terrestre qui vise les puits de pétrole arabes, et les forces d’invasion amphibie sur les Seychelles pour un débarquement sur la “Corne Africaine“, avec en point de mire une remontée sur Suez et son canal. Grâce aux renseignements du Bureau d’investigation du général Iwaichi Fujiwara, les japonais prennent contact avec les organisations nationalistes arabes afin de collecter un maximum d’informations sur les réseaux d’approvisionnement allemands et diffuser la propagande pronippone. Fujiwara entend aussi favoriser une campagne de sabotages visant les infrastructures locales et désorganiser les moyens de communications du Reich dans le Golfe Persique.
Un mois après l'affrontement naval du “Cap Sud“ et l’attaque sur la ville de Saint-Louis, l'amiral Ciliax rencontre l'amiral Gensoul au Caire. Les italiens n'ont pas été invités. L'échange entre les deux hommes est cordial mais froid. Ils parlent du bilan de l'affrontement entre leurs flottes et les Japonais. Certes deux gros Battleships nippons ont été coulés, mais.... A quel prix.
Le bilan est mitigé aux vues des pertes. Ciliax doit en répondre devant le Führer. On l'attend à Berlin. Gensoul, les mains un peu moites, lui affirme que la Flotte Française se tiendra aux côtés des Allemands quoi qu'il en coûte. Les Français honoreront leur alliance. Gensoul aussi doit rendre des comptes à l'Etat Français. Aurait-il dû poursuivre la Bataille ? L'amiral Ciliax est prit en charge par une escorte SS. Pourquoi ? Pour l'empêcher de fuir ses responsabilités ? A t-on peur qu'il disparaisse ? Va t-il être éliminé ? Va t-il servir de bouc émissaire ? En tout cas, il est serré de près. Ciliax prend l'avion : destination l'Allemagne.
Depuis le Sud-Dakota, les japonais lancent leur attaque contre le Middle-west américain. La ville de Saint-Louis est l’objectif : La porte qui ouvre sur la Côte Est et les ports de l’Atlantique. Le général Rikichi Ando, celui là-même qui avait envahi avec succès l’Indochine Française en 1940, lance l’Armée Nippone contre la 6ème armée Allemande aux ordres du maréchal Paulus qui garde les rives du Missouri et du Mississippi.
Au Nord de Saint-Louis, les combats s’engagent entre allemands et japonais : 5 régiments de la Heer succombent dans la bataille mais détruisent 2 régiments adverses. Au Sud de la grande agglomération américaine, les forces impériales s’emparent de la cité de Belleville et foncent à l’Est sur celle de Burlington depuis la cité de Jefferson city dont la défense germanique a craqué face à la poussée de la 1ère division blindée nippone commandée directement par le général Ando. Casernée à Indianapolis, la 6ème Panzer Armee SS allemande sous les ordres du général Sepp Dietrich arrive en renfort sur Saint-Louis et se mêle aux “troupes spécialisées allemandes dans le combat urbain“ qui contiennent l’invasion japonaise. La France qui tient à honorer son engagement aux côtés de son alliée envoie la Légion Etrangère et le premier Régiment de France tenir la ville de Granite City à l’Est de Saint Louis et des engagements armés.
Au Nord, la brigade des Katiouchka Japonais et ses roquettes culbute le maigre cordon allemand qui tente de les arrêter le long de la Chariton River. Trois régiments d’infanterie de la Wehrmacht disparaissent dans les combats. Seules les 14ème et 15ème divisions SS de Sepp Dietrich appuyées par la Luftwaffe stoppent les régiments mécanisées japonais. Deux brigades blindées impériales sont ainsi détruites. Arrivant de Chicago, la division Herman Goering renforce la garnison de Burlington. Pendant ce temps, les régiments d’infanterie impériaux anéantissent trois bataillons français à la périphérie de la ville de Granite. Des troupes de la Garde Impériale suivent le cours d’eau de la Chariton River et roulent vers la Fabius River via la rivière North Folk pour déboucher enfin sur Fort Madison. Une énorme bataille s’en suit entre la 6ème panzer-armée SS allemande et la brigade des Katiouchka Japonais soutenue par l’aviation japonaise, non loin de la ville d’Hannibal. Les combats font rage dans la banlieue de Saint-Louis où l’armée de Paulus repousse les sapeurs japonais et les forces d’investigation ennemis.
L’étau se ressert sur la grande agglomération américaine qui borde le Mississippi. Elle est pratiquement encerclée, mais les japonais n’arrivent pas à en percer les défenses allemandes qui maintiennent un cordon de ravitaillement avec l’extérieur grâce au sacrifice des soldats français du premier Régiment de France qui sauvent Granite City de l’invasion.
Les généraux Hoth et Kesselring sont envoyés par l’OKW pour seconder et conseiller Paulus, car la crainte de voir tomber Saint-Louis serait alors considérée comme une défaite importante.
Le maréchal Paulus accueille fraichement ses confrères argumentant qu’il a la situation bien en mains. Hoth sans se démonter lui rétorque que les SS et la Herman Goering ont toutefois été nécessaire pour contenir les asiatiques qui assiègent la ville, même si l’encerclement semble fragile et que les pertes japonaises s’accumulent. Paulus reste serein et ne semble pas paniquer, surtout depuis qu’il sait que la 5ème armée de la Heer sous les ordres du général Manteuffel roule vers Saint-Louis depuis le Sud et Bâton Rouge.
Décidément, il y a toujours un sacré antagonisme entre le Grand Quartier Général de la Wehrmacht à Berlin dirigé par le maréchal Keitel et celui de l’Armée de Terre aux ordres du général Von Brauchitsch qui a donné délégation de son pouvoir à son adjoint le général Zeitzler basé à Washington. Hitler, malade et parkinsonien, est contrarié par les désaccords entre ses officiers et son aide-de-camp : le capitaine Staub en réfère à l’OKW et l’OKH dont les généraux n’ont que faire des remarques. L’arrivée de la 5ème armée de la Heer annihile tous les espoirs de percée nippone sur Saint-Louis, surtout que la division SS Amérika est transportée par train pour venir soutenir la 6ème armée de Paulus, précédée par le régiment Dixieland qui roule plein gaz vers Saint-Louis. Au bout d’un mois de combats sans perspectives de débouchés, les pertes japonaises devenant insupportables l’Empereur lui-même fait stopper l’Opération militaire sur les conseils du maréchal “Gensui“ Terauchi dont il a l’oreille. Déconsidéré, le général Rikichi Ando n’a d’autre alternative que de se faire seppuku, et se suicide pour éviter la honte de la défaite. Tous les efforts du Japon se portent maintenant sur les opérations “Vent Indien“ sous la responsabilité du général Yamashita, et “Vent d’Orient“ sous celle du général Tanaka. Ainsi à Tokyo, les généraux Hideki Tojo (premier ministre), Joichiro Sanada (officier de liaison aux armées), Tadashi Sumiyoshi (conseiller aux armées), et Hisaichi Terauchi (maréchal impérial et porte parole impérial) qui forment l’État-major japonais orientent les armées japonaises sur l’Inde pour l’attaque terrestre qui vise les puits de pétrole arabes, et les forces d’invasion amphibie sur les Seychelles pour un débarquement sur la “Corne Africaine“, avec en point de mire une remontée sur Suez et son canal. Grâce aux renseignements du Bureau d’investigation du général Iwaichi Fujiwara, les japonais prennent contact avec les organisations nationalistes arabes afin de collecter un maximum d’informations sur les réseaux d’approvisionnement allemands et diffuser la propagande pronippone. Fujiwara entend aussi favoriser une campagne de sabotages visant les infrastructures locales et désorganiser les moyens de communications du Reich dans le Golfe Persique.
Un mois après l'affrontement naval du “Cap Sud“ et l’attaque sur la ville de Saint-Louis, l'amiral Ciliax rencontre l'amiral Gensoul au Caire. Les italiens n'ont pas été invités. L'échange entre les deux hommes est cordial mais froid. Ils parlent du bilan de l'affrontement entre leurs flottes et les Japonais. Certes deux gros Battleships nippons ont été coulés, mais.... A quel prix.
Le bilan est mitigé aux vues des pertes. Ciliax doit en répondre devant le Führer. On l'attend à Berlin. Gensoul, les mains un peu moites, lui affirme que la Flotte Française se tiendra aux côtés des Allemands quoi qu'il en coûte. Les Français honoreront leur alliance. Gensoul aussi doit rendre des comptes à l'Etat Français. Aurait-il dû poursuivre la Bataille ? L'amiral Ciliax est prit en charge par une escorte SS. Pourquoi ? Pour l'empêcher de fuir ses responsabilités ? A t-on peur qu'il disparaisse ? Va t-il être éliminé ? Va t-il servir de bouc émissaire ? En tout cas, il est serré de près. Ciliax prend l'avion : destination l'Allemagne.
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
A Berlin, avant d'être présenté à Hitler, Ciliax est reçu par l'amiral Donitz à la Maison de l'Amirauté. L'amiral Bey est là aussi. Le Commandant de la Flotte de Haute-Mer n'en mène pas large. Donitz lui demande de s'assoir. Les trois officiers s'assoient ensembles autour d'une table basse. Un silence pesant s'installe. Nul ne parle. Les officiers se regardent sans rien dire. Ciliax ne sait que penser. Il n'ose parler. Donitz a l'air ailleurs.
" Dring. Dring. " Le téléphone du bureau résonne dans la vaste pièce de la Maison de l'Amirauté. Depuis la fenêtre de son salon de la Maison de la Kriegsmarine, l’amiral Donitz voit monter une fumée blanche dans le ciel. Elle provient du Reichstag, il sourit. Le téléphone sonne encore. L'Amiral décroche et écoute. Au Reichstag, Adolf Hitler qui donnait d’énièmes directives vient de mourir d'une crise cardiaque. Cette fois, le docteur Morell n'est pas arrivé à temps. Donitz repose doucement le combiné, et froidement déclare à son entourage :
- " Messieurs. Le Führer est mort. Sa maladie l'a emporté. Selon ses prérogatives et directives : Je suis le garant des institutions et du gouvernement. Je prends la destinée du Reich en mains. Messieurs les amiraux Otto Thedsen et Eberhardt Godt vous entrez de suite dans la composition de mon cabinet rapproché, et devenez ministres dans le nouveau gouvernement de l’Allemagne. Amiral Bey veuillez suivre mes instructions.... Comme convenu. Et prévenez nos amis. Quand à vous amiral Ciliax, rejoignez la Flotte. On ne pourrait se passer d’un élément tel que vous à la tête de nos bâtiments."
Le lendemain, Himmler qui était en Prusse entre dans le bureau de Donitz. Le Reichfürher SS entend avoir un siège, un poste de qualité, dans le gouvernement du Reich. Partout les hommes du nouvel homme fort de l'Empire Allemand : L'Amiral, ont pris place à des postes clefs. Himmler veut sa part. Donitz le regarde avec dédain. Il ne craint pas Himmler. Hitler est mort, et personne ne le pleure outre mesure. Avec Donitz, qui les a assurés sur la continuité de l'ordre lors d'une radiodiffusion, les allemands ont toute confiance dans l'avenir. L'Amiral fédère toutes les tendances : Bourgeois, Junkers et simple quidam, ainsi que ses alliés.
Hitler aura des funérailles grandioses, mais à l'égal d'un Cromwell sa disparition n'affecte vraiment et finalement personne. Il a fait son temps. Sa personne est liée à la guerre. Les allemands en ont assez. Seuls les SS se demandent de quoi leur avenir va être fait. Alors Donitz fait entrevoir à Himmler tout le mépris qu'il a vis à vis du fils de petits instituteurs bavarois qu'il est. De toute sa stature et le visage fermé Donitz renvoie le SS à sa misérable condition d'arriviste. Pour Himmler s'en est trop. Il sort du bureau de l'Amiral la rage au ventre. Il emprunte le couloir qui le conduit vers l'escalier où depuis le hall d'entrée de la Maison de l'Amirauté il va pouvoir donner ses ordres et fomenter un il ne sait encore quel complot contre le Marin. Avant qu'il n'ait pu hurler et invectiver ses sbires, Himmler reçoit un violent coup de crosse de luger dans la mâchoire. Deux hommes en gabardines l'entrainent à demi-conscient dans une Mercedes via une porte dérobée.
Le Reichfürher des SS est retrouvé deux jours plus tard pendu dans la chambre d'un obscur hôtel souabe. Dans une lettre, il déclare ne plus pouvoir vivre sans l'aura de son Führer adoré. On parlera du fait que le Reichfürher en dépression n’aura pas supporté la mort de son mentor. Qui s'en préoccupe ? Personne. Ou plutôt tout le monde. Ce suicide ne laisse pas le monde indifférent. C'est un soulagement. S’en est fini du régime de terreur de l’Ordre Noir. En fait, Donitz aura ordonné à l’Abwehr de l’éliminer froidement et de débarrasser ainsi le monde d’un infect et prétentieux personnage. S’en est définitivement fini de l’influence SS dans les affaires du Reich, et tout le monde applaudit sa mort. Donitz fait aussitôt dissoudre les unités ss, et amalgame leurs soldats dans la Wehrmacht : Les régiments ss prennent des N° suivants à ceux déjà existants dans l'armée régulière. Les officiers gardent leurs grades. Tout rentre rapidement dans l'ordre : Sepp Dietrich et Kurt Meyer sont confortés dans leurs affectations et commandements des troupes d’élite que représentent encore les anciennes troupes politiques. Paulus pour l’Amérique du Nord, Model pour l’Amérique Latine, Von Armin pour l’Afrique, Von Rundstedt pour le Reich et ses satellites d’Europe Centrale, Von Choltitz pour l’Europe Occidentale, et Von Manstein pour l’Asie prennent les rennes de la Heer. Guderian devient Inspecteur Général de la Panzerwaffe. Kesselring est promu Maréchal de l’Air et prend en main la Luftwaffe. C'est bien dans la mentalité allemande qui ne conçoit pas la rébellion vis à vis de l'ordre établi. Tous les généraux prêtent serment de fidélité envers l’Amiral. Les éléments politiques tels que Von Hagen qui dirigeait le “Parti“ est promu à l’Inspection Politique Générale du peuple allemand qui doit encadrer l’idéologie et la pensée germanique. Goebbels est maintenu au ministère de l’information, et Ribbentrop à celui des affaires étrangères. Hess, qui ne veut se risquer dans un quelconque complot, reste en Ecosse dont il est Reichkommisar. Les derniers et irréductibles nazis sont envoyés sur l’île de Madagascar où survie le “rêve de fer“ du Führer. Ils y retrouvent Karl Hoecker, gouverneur de la grande île, et les autres troupes “Totenkoff“ qui sécurisent le camp de concentration insulaire.
Débarrassé des éléments perturbateurs à sa politique Amiral a les mains libres pour œuvrer sereinement en faveur du Reich et de son avenir. Le capitaine Staub, l’ancien aide-de-camp d’Hitler, devient son attaché militaire aux armées.
- Donitz à Ciliax : " Jamais je n'aurait permis qu'un de mes officiers soit jugé et passé par les armes aux vues de l'incompétence et inconstance d'un seul homme. Qui qu'il soit. Fut-il bohémien ou bavarois. De toutes les manières Morell n'aurait rien pu faire…. Et nous, maintenant, nous avons une guerre à finir. "
Tout c’est éclairé pour l’amiral Ciliax : Hitler malade, ses “suivants“ l’ont juste aidé à passer la main. Certes, le Führer avait redressé l’Allemagne au-delà de l’imaginable, mais le cycle de violence dans lequel il a plongé le monde est révolu. L’Amiral Donitz veut finir la guerre rapidement, bien qu’il soit informé de préparatifs nippons à l’encontre du Reich.
De leur côté, Nagumo et Ozawa ont planifié des plans d’invasion du périmètre allemands par le Moyen-Orient et l’Afrique de l’Est pour forcer les allemands à accepter des conditions de paix en faveur des asiatiques.
Les opérations “Vent Indien“ sous la responsabilité du général Yamashita, et “Vent d’Orient“ sous celle du général Tanaka sont lancées. Dans le plus grand secret la “Force d’Expédition Impériale Japonaise sur l’Afrique“ vogue vers l’Ethiopie. Les M-B-47 “Stratojet“, et les bombardiers Nakajima-Tupolev Na-Tu-14 et Nakajima-Iliouchine Na-Il-28 produits par la firme Nakajima décollent sans couverture aérienne pour garder le secret de leur destination depuis les Seychelles vers la Corne Africaine. Après un vol de plusieurs heures, Ils bombardent la côte Somalienne et Djibouti ouvrant ainsi l’Ethiopie au débarquement des troupes amphibies du général Yamashita parties des Maldives conduites par le général Keiji Shibasaki spécialiste des assauts amphibies, et vétéran de la conquête de la côte Est des Usa. Les maigres forces de police françaises et italiennes qui gardent les ports de l’Axe sont annihilées par les Marines asiatiques, ce qui permet aux bombardiers nippons d’atterrirent sans problème. Le pari était risqué, mais payant. Yamashita sécurise rapidement le littoral africain et les côtes éthiopiennes se qui lui permet de lancer des incursions dans l’intérieur des terres.
A Berlin ainsi qu’à Rome, les téléphones résonnent : L’alerte est générale. A Addis-Abeba, le maréchal Graziani qui vient d’arriver est réconforté par les informations qui lui sont données : La Panzer Armee Africa est déjà en route depuis le l’Egypte via Soudan, et des volontaires SS britanniques et arabes du général Von Armin, sous la conduite du général Ramcke et de son régiment de parachutistes se portent à son secours avec de gros moyens blindés.
Les italiens et les troupes locales gardent les cols des hauteurs littorales avec force privant les nippons des débouchés devant leur donner accès sur l’Afrique Centrale.
" Dring. Dring. " Le téléphone du bureau résonne dans la vaste pièce de la Maison de l'Amirauté. Depuis la fenêtre de son salon de la Maison de la Kriegsmarine, l’amiral Donitz voit monter une fumée blanche dans le ciel. Elle provient du Reichstag, il sourit. Le téléphone sonne encore. L'Amiral décroche et écoute. Au Reichstag, Adolf Hitler qui donnait d’énièmes directives vient de mourir d'une crise cardiaque. Cette fois, le docteur Morell n'est pas arrivé à temps. Donitz repose doucement le combiné, et froidement déclare à son entourage :
- " Messieurs. Le Führer est mort. Sa maladie l'a emporté. Selon ses prérogatives et directives : Je suis le garant des institutions et du gouvernement. Je prends la destinée du Reich en mains. Messieurs les amiraux Otto Thedsen et Eberhardt Godt vous entrez de suite dans la composition de mon cabinet rapproché, et devenez ministres dans le nouveau gouvernement de l’Allemagne. Amiral Bey veuillez suivre mes instructions.... Comme convenu. Et prévenez nos amis. Quand à vous amiral Ciliax, rejoignez la Flotte. On ne pourrait se passer d’un élément tel que vous à la tête de nos bâtiments."
Le lendemain, Himmler qui était en Prusse entre dans le bureau de Donitz. Le Reichfürher SS entend avoir un siège, un poste de qualité, dans le gouvernement du Reich. Partout les hommes du nouvel homme fort de l'Empire Allemand : L'Amiral, ont pris place à des postes clefs. Himmler veut sa part. Donitz le regarde avec dédain. Il ne craint pas Himmler. Hitler est mort, et personne ne le pleure outre mesure. Avec Donitz, qui les a assurés sur la continuité de l'ordre lors d'une radiodiffusion, les allemands ont toute confiance dans l'avenir. L'Amiral fédère toutes les tendances : Bourgeois, Junkers et simple quidam, ainsi que ses alliés.
Hitler aura des funérailles grandioses, mais à l'égal d'un Cromwell sa disparition n'affecte vraiment et finalement personne. Il a fait son temps. Sa personne est liée à la guerre. Les allemands en ont assez. Seuls les SS se demandent de quoi leur avenir va être fait. Alors Donitz fait entrevoir à Himmler tout le mépris qu'il a vis à vis du fils de petits instituteurs bavarois qu'il est. De toute sa stature et le visage fermé Donitz renvoie le SS à sa misérable condition d'arriviste. Pour Himmler s'en est trop. Il sort du bureau de l'Amiral la rage au ventre. Il emprunte le couloir qui le conduit vers l'escalier où depuis le hall d'entrée de la Maison de l'Amirauté il va pouvoir donner ses ordres et fomenter un il ne sait encore quel complot contre le Marin. Avant qu'il n'ait pu hurler et invectiver ses sbires, Himmler reçoit un violent coup de crosse de luger dans la mâchoire. Deux hommes en gabardines l'entrainent à demi-conscient dans une Mercedes via une porte dérobée.
Le Reichfürher des SS est retrouvé deux jours plus tard pendu dans la chambre d'un obscur hôtel souabe. Dans une lettre, il déclare ne plus pouvoir vivre sans l'aura de son Führer adoré. On parlera du fait que le Reichfürher en dépression n’aura pas supporté la mort de son mentor. Qui s'en préoccupe ? Personne. Ou plutôt tout le monde. Ce suicide ne laisse pas le monde indifférent. C'est un soulagement. S’en est fini du régime de terreur de l’Ordre Noir. En fait, Donitz aura ordonné à l’Abwehr de l’éliminer froidement et de débarrasser ainsi le monde d’un infect et prétentieux personnage. S’en est définitivement fini de l’influence SS dans les affaires du Reich, et tout le monde applaudit sa mort. Donitz fait aussitôt dissoudre les unités ss, et amalgame leurs soldats dans la Wehrmacht : Les régiments ss prennent des N° suivants à ceux déjà existants dans l'armée régulière. Les officiers gardent leurs grades. Tout rentre rapidement dans l'ordre : Sepp Dietrich et Kurt Meyer sont confortés dans leurs affectations et commandements des troupes d’élite que représentent encore les anciennes troupes politiques. Paulus pour l’Amérique du Nord, Model pour l’Amérique Latine, Von Armin pour l’Afrique, Von Rundstedt pour le Reich et ses satellites d’Europe Centrale, Von Choltitz pour l’Europe Occidentale, et Von Manstein pour l’Asie prennent les rennes de la Heer. Guderian devient Inspecteur Général de la Panzerwaffe. Kesselring est promu Maréchal de l’Air et prend en main la Luftwaffe. C'est bien dans la mentalité allemande qui ne conçoit pas la rébellion vis à vis de l'ordre établi. Tous les généraux prêtent serment de fidélité envers l’Amiral. Les éléments politiques tels que Von Hagen qui dirigeait le “Parti“ est promu à l’Inspection Politique Générale du peuple allemand qui doit encadrer l’idéologie et la pensée germanique. Goebbels est maintenu au ministère de l’information, et Ribbentrop à celui des affaires étrangères. Hess, qui ne veut se risquer dans un quelconque complot, reste en Ecosse dont il est Reichkommisar. Les derniers et irréductibles nazis sont envoyés sur l’île de Madagascar où survie le “rêve de fer“ du Führer. Ils y retrouvent Karl Hoecker, gouverneur de la grande île, et les autres troupes “Totenkoff“ qui sécurisent le camp de concentration insulaire.
Débarrassé des éléments perturbateurs à sa politique Amiral a les mains libres pour œuvrer sereinement en faveur du Reich et de son avenir. Le capitaine Staub, l’ancien aide-de-camp d’Hitler, devient son attaché militaire aux armées.
- Donitz à Ciliax : " Jamais je n'aurait permis qu'un de mes officiers soit jugé et passé par les armes aux vues de l'incompétence et inconstance d'un seul homme. Qui qu'il soit. Fut-il bohémien ou bavarois. De toutes les manières Morell n'aurait rien pu faire…. Et nous, maintenant, nous avons une guerre à finir. "
Tout c’est éclairé pour l’amiral Ciliax : Hitler malade, ses “suivants“ l’ont juste aidé à passer la main. Certes, le Führer avait redressé l’Allemagne au-delà de l’imaginable, mais le cycle de violence dans lequel il a plongé le monde est révolu. L’Amiral Donitz veut finir la guerre rapidement, bien qu’il soit informé de préparatifs nippons à l’encontre du Reich.
De leur côté, Nagumo et Ozawa ont planifié des plans d’invasion du périmètre allemands par le Moyen-Orient et l’Afrique de l’Est pour forcer les allemands à accepter des conditions de paix en faveur des asiatiques.
Les opérations “Vent Indien“ sous la responsabilité du général Yamashita, et “Vent d’Orient“ sous celle du général Tanaka sont lancées. Dans le plus grand secret la “Force d’Expédition Impériale Japonaise sur l’Afrique“ vogue vers l’Ethiopie. Les M-B-47 “Stratojet“, et les bombardiers Nakajima-Tupolev Na-Tu-14 et Nakajima-Iliouchine Na-Il-28 produits par la firme Nakajima décollent sans couverture aérienne pour garder le secret de leur destination depuis les Seychelles vers la Corne Africaine. Après un vol de plusieurs heures, Ils bombardent la côte Somalienne et Djibouti ouvrant ainsi l’Ethiopie au débarquement des troupes amphibies du général Yamashita parties des Maldives conduites par le général Keiji Shibasaki spécialiste des assauts amphibies, et vétéran de la conquête de la côte Est des Usa. Les maigres forces de police françaises et italiennes qui gardent les ports de l’Axe sont annihilées par les Marines asiatiques, ce qui permet aux bombardiers nippons d’atterrirent sans problème. Le pari était risqué, mais payant. Yamashita sécurise rapidement le littoral africain et les côtes éthiopiennes se qui lui permet de lancer des incursions dans l’intérieur des terres.
A Berlin ainsi qu’à Rome, les téléphones résonnent : L’alerte est générale. A Addis-Abeba, le maréchal Graziani qui vient d’arriver est réconforté par les informations qui lui sont données : La Panzer Armee Africa est déjà en route depuis le l’Egypte via Soudan, et des volontaires SS britanniques et arabes du général Von Armin, sous la conduite du général Ramcke et de son régiment de parachutistes se portent à son secours avec de gros moyens blindés.
Les italiens et les troupes locales gardent les cols des hauteurs littorales avec force privant les nippons des débouchés devant leur donner accès sur l’Afrique Centrale.
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Dans le Golfe Persique, le “Groupe d’Armée Japonais Indus“ emmené par le général Tanaka longe la côte du Pakistan avec en point de mire les puits de pétrole du Koweït et d’Arabie. Le plan du gouvernement Japonais est simple : Priver l’Axe de ses ressources en hydrocarbure. La division Feldhernhalle en poste dans le Golfe et surveillant la Mer d’Oman est rejointe par les divisions SS Nordland et Azad Hind pour repousser l’attaque ennemi. Les turcs sont mis à contribution et leurs troupes foncent sur Téhéran pour contenir les 28ème et 32ème Armées qui déboulent sur l’Irak par le Sud de la capitale perse, et la Garde Impériale qui longeant la côte s’active vers Bassora. Très vite les asiatiques sont au contact des forces du Reich qui sous la coordination de l’Oberführer SS Ferdinand Schröner arrêtent l’avance des troupes de Tanaka. Il s’en suit plusieurs engagements qui épuisent les japonais en de vaines percées avortées dans les contreforts du Caucase depuis le Nord de l’Irak. En Afrique, les maréchaux Graziani et Von Armin contiennent eux aussi les nippons. Les italiens retranchés dans les escarpements éthiopiens empêchent les incursions ennemies. L’amiral Nagumo décide de se rendre sur place pour décoincer la situation et trouver des solutions aux impasses. Décollant depuis les Maldives où il se trouvait en transit, son avion est intercepté par une escadrille de Me 262 1a “Schwalbe“ (Chasseur) de la Luftflotte Kommando Südost opérant au Moyen-Orient et en Arabie. Nagumo meure dans son appareil qui s’écrase dans les sables persiques. Les Allemands ont décodé un message informant le général Tanaka de la venue de l’amiral impérial. Ils n’ont pas hésité une seconde et ont décidé de son sort. En Allemagne, avec la disparition du Führer, c’est toute la machine administrative et le mode de fonctionnement du Reich qui est repensé. L’élimination d’Himmler et l’intégration des Waffen-SS à la Wehrmacht amène l’Oberkommando à remodeler l’Armée et ses connections militaires. Le maréchal Jodl “le détesté toutou du Führer“ à l’égal d’Himmler est retiré dans un domaine de Prusse Orientale où on l’oublie rapidement aux côtés d’un Herman Goring devenu adipeux et obèse qui se noie dans l’alcool durant des orgies sans fin sur ses terres familiales. Tous deux meurent finalement dans un accident de voiture orchestré par la gestapo alors qu’on les réclamait à Berlin…. Vaniteux et mégalomanes, ils ont vraiment cru à leur retour en grâce. Un mauvais virage a mis fin à leur ambition. Keitel est lui aussi écarté des affaires militaires et prend en charge l’administration de la Galice, ce qu’il accepte sans broncher aux vues de ce qui est arrivé à Jodl. Warlimont et Guderian forment avec Ciliax et Kesselring le cabinet resserré auprès de l’Amiral. L’amiral Hans-Goerg Von Friedeburg attaché directement à Donitz prend en charge l’Oberkommando der Marine. Martin Bormann, éminence grise du Führer à qui l’on avait confié la présidence de la Chancellerie, est relégué à la centralisation des affaires administratives internes aux länder du Reich où il trouve une place aussi inutile qu’adéquate à sa personne. Rosenberg, théoricien halluciné et grand penseur de l’idéologie nazie conserve l’administration des territoires de l’Est, tache dont il s’acquitte avec zèle.
Le Feld-maréchal Ferdinand Schröner, commandant de la Wehrmacht et du Groupe Centre apprécié du Führer au même titre que Donitz dans son domaine, prend en charge la Heer et son articulation autour des unités SS qui intègrent l’armée régulière. Arthur Seyss-Inquart devient ministre des affaires étrangères, Paul Giesler : ministre de l’intérieur, Robert von Greim : ministre de l’armée de l’air, Karl Hanke : ministre de la police, Herber Backe : ministre de l’agriculture, Otto Georg Thierack : ministre de la justice, le docteur Scheel prend en charge la culture, Werner Naumann devient ministre de l’information, Karl Saur : ministre de l’armement, le docteur Robert Ley : ministre du travail. A Albert Speer, l’architecte du Nouveau Reich, sont confiés les deniers de l’état afin de combler son ambition sans commune mesure pour les superstructures et les gigantesques constructions où son égo s’abandonne flatté par sa réussite. Donitz ne peut se passer de Speer dont l’esprit vif n’a d’autre ambition que de développer le Reich et d’en faire un état puissant. Il est aidé dans son exercice par Lutz Schwerin von Krosigk aux finances. Dans un autre registre sont reconfigurées les unités étrangères attachées à la Heer, dont les hommes veulent servir le Reich, et conserver leurs places dans la Wehrmacht :
Le régiment n°638 de la Heer des Volontaires Français (LVF) est incorporé à la 21ème Panzer Division de la Wehrmacht. Cette division a le nom de Deutsche-franzosische division où servent officiers allemands et soldats français. Y sont rattachés les hommes de la brigade d’infanterie d’assaut SS Charlemagne qui est dissoute. La 90ème Division Légère de la Heer composée de britanniques qui opèrent en Afrique est largement renforcée. Il lui est rattachée la Phalange Africaine Française, ou Freiwilligen Franzosische Afrika Régiment de la Heer. Cette unité est composée de ressortissants d’origine française pour les officiers et arabe pour la troupe, nés en Afrique du Nord. La Brigade Nord Africaine de la Heer composée de maghrébins d’Algérie servant sous le casque allemand est aussi incorporée à la 90ème division légère sous les Ordres du général Von Armin qui a en charge la protection des colonies africaines de l’Axe. Le général garde les soldats de la brigade Lionheart, anciennement SS, composée d’anglais comme troupe d’élite directement sous ses ordres. Suit tout un registre de troupes qui sont versées dans les différentes divisions de la Wehrmacht dont les affectations varient en fonction des besoins : Le 950e régiment indien de la Heer. Le 373e régiment belge de la Heer. La Division Azul ou Division Bleue composée d’espagnols des 262e, 263e, 269e et 250e régiments d’infanterie de la Heer. Le 369ème régiment Croate de la Heer ou Kama régiment. Le régiment Portugais ou Légion Verte des Volontaires Portugais. Le régiment Prinz Eugen, composée de volontaires yougoslaves d’origine allemande et de russes blancs. La Handchar Gebirgs-brigade, composée de bosniaques. Le régiment Galizien, composé d’ukrainiens de Galicie. La Skanderbeg Gebirgs-brigade, composée d’albanais et de kosovars. La Maria-Theresa Kavallerie-brigade, composée de volontaires hongrois d’origine allemande.
La Karstjäger Gebirgs-division composée de slovènes. La Hunyadi Grenadier-division, composée d’hongrois. La Gömbös Grenadier-brigade, composée d’hongrois de Transylvanie. La Hortz Wessel Panzergrenadier-brigade, composée de volontaires hongrois d’origine allemande, et de volksdeutchen. La division Azad Hind, composée de pakistanais et d’afghans. La division Armenische. (Arméniens). La division Georgische. (Géorgiens). La division Aserbaidjan Aserbeidschanische composée d’azéris. La division Kaukasisch Mohammedische, de musulmans du Caucase. La division des Volontaires Tartars ou Wolga-Tartarische Division. La division des Volontaires Cosaques ou Kosaken-Kavallerie-Division. La division des Volontaires Arabes ou Deutsche Arabisches Division.
Pour sa part la 11ème Panser Armee sous les ordres du général Félix Steiner est formée par : la Wiking Panzer-division, composée de ressortissants des Pays Baltes et de Finlandais, qui reste une division d’assaut. Le régiment Nord composé de norvégiens. La Nederland Panzergrenadier-division, composée de hollandais. La Langemark Grenadier-brigade, composée de flamands. Steiner instigateur des Waffen SS veut garder sous ses ordres les volontaires étrangers à majorité germaniques.
Le Feld-maréchal Ferdinand Schröner, commandant de la Wehrmacht et du Groupe Centre apprécié du Führer au même titre que Donitz dans son domaine, prend en charge la Heer et son articulation autour des unités SS qui intègrent l’armée régulière. Arthur Seyss-Inquart devient ministre des affaires étrangères, Paul Giesler : ministre de l’intérieur, Robert von Greim : ministre de l’armée de l’air, Karl Hanke : ministre de la police, Herber Backe : ministre de l’agriculture, Otto Georg Thierack : ministre de la justice, le docteur Scheel prend en charge la culture, Werner Naumann devient ministre de l’information, Karl Saur : ministre de l’armement, le docteur Robert Ley : ministre du travail. A Albert Speer, l’architecte du Nouveau Reich, sont confiés les deniers de l’état afin de combler son ambition sans commune mesure pour les superstructures et les gigantesques constructions où son égo s’abandonne flatté par sa réussite. Donitz ne peut se passer de Speer dont l’esprit vif n’a d’autre ambition que de développer le Reich et d’en faire un état puissant. Il est aidé dans son exercice par Lutz Schwerin von Krosigk aux finances. Dans un autre registre sont reconfigurées les unités étrangères attachées à la Heer, dont les hommes veulent servir le Reich, et conserver leurs places dans la Wehrmacht :
Le régiment n°638 de la Heer des Volontaires Français (LVF) est incorporé à la 21ème Panzer Division de la Wehrmacht. Cette division a le nom de Deutsche-franzosische division où servent officiers allemands et soldats français. Y sont rattachés les hommes de la brigade d’infanterie d’assaut SS Charlemagne qui est dissoute. La 90ème Division Légère de la Heer composée de britanniques qui opèrent en Afrique est largement renforcée. Il lui est rattachée la Phalange Africaine Française, ou Freiwilligen Franzosische Afrika Régiment de la Heer. Cette unité est composée de ressortissants d’origine française pour les officiers et arabe pour la troupe, nés en Afrique du Nord. La Brigade Nord Africaine de la Heer composée de maghrébins d’Algérie servant sous le casque allemand est aussi incorporée à la 90ème division légère sous les Ordres du général Von Armin qui a en charge la protection des colonies africaines de l’Axe. Le général garde les soldats de la brigade Lionheart, anciennement SS, composée d’anglais comme troupe d’élite directement sous ses ordres. Suit tout un registre de troupes qui sont versées dans les différentes divisions de la Wehrmacht dont les affectations varient en fonction des besoins : Le 950e régiment indien de la Heer. Le 373e régiment belge de la Heer. La Division Azul ou Division Bleue composée d’espagnols des 262e, 263e, 269e et 250e régiments d’infanterie de la Heer. Le 369ème régiment Croate de la Heer ou Kama régiment. Le régiment Portugais ou Légion Verte des Volontaires Portugais. Le régiment Prinz Eugen, composée de volontaires yougoslaves d’origine allemande et de russes blancs. La Handchar Gebirgs-brigade, composée de bosniaques. Le régiment Galizien, composé d’ukrainiens de Galicie. La Skanderbeg Gebirgs-brigade, composée d’albanais et de kosovars. La Maria-Theresa Kavallerie-brigade, composée de volontaires hongrois d’origine allemande.
La Karstjäger Gebirgs-division composée de slovènes. La Hunyadi Grenadier-division, composée d’hongrois. La Gömbös Grenadier-brigade, composée d’hongrois de Transylvanie. La Hortz Wessel Panzergrenadier-brigade, composée de volontaires hongrois d’origine allemande, et de volksdeutchen. La division Azad Hind, composée de pakistanais et d’afghans. La division Armenische. (Arméniens). La division Georgische. (Géorgiens). La division Aserbaidjan Aserbeidschanische composée d’azéris. La division Kaukasisch Mohammedische, de musulmans du Caucase. La division des Volontaires Tartars ou Wolga-Tartarische Division. La division des Volontaires Cosaques ou Kosaken-Kavallerie-Division. La division des Volontaires Arabes ou Deutsche Arabisches Division.
Pour sa part la 11ème Panser Armee sous les ordres du général Félix Steiner est formée par : la Wiking Panzer-division, composée de ressortissants des Pays Baltes et de Finlandais, qui reste une division d’assaut. Le régiment Nord composé de norvégiens. La Nederland Panzergrenadier-division, composée de hollandais. La Langemark Grenadier-brigade, composée de flamands. Steiner instigateur des Waffen SS veut garder sous ses ordres les volontaires étrangers à majorité germaniques.
Berold- Messages : 136
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Les armées alliées de l’Allemagne sécurisent l’Espace du Grand Reich et ses frontières :
- L’Armée du Brésil.
- L’Armée Suédoise.
- L’Armée Finlandaise.
- L’Armée Norvégienne.
- L’Armée de la Grande Colombie. (Colombie, Venezuela et Equateur).
- L’Armée Chilienne sécurise la Côte Ouest de Amérique Latine.
- L’Armée Mexicaine.
- L’Armée Américaine des Etats Unis reconstitués.
- L’Armée de Grande Argentine.
- L’Armée Russe.
- L’Armée Française.
- Les Espagnols de l’Empire Ibérique.
- L’Armée Italienne de l’Empire Romain.
- Les armées d’Europe Centrale : Roumaines, Hongroises, Slovaques, Croates, Slovènes et Bulgares.
- L’Armée Ukrainienne.
- L’Armée des Etats Unis d’Amérique Centrale.
- L’Armée Portugaise.
- L’Armée Canadienne (Québec et Ontario).
- Les Sud Africains de l’Afrikaner Armee.
- L’Armée de l’Ostland composée de Lettons, Estoniens et de Lituaniens.
Les SS allemands, ancienne force armée politique du régime nazi, sont versés dans la Heer. Toutes les divisions ne sont pas conservées et leur personnel dispatché dans les autres formations. La Hitlerjugen est dissoute. Donitz ne veut pas d’enfant dans l’armée, et les étrangers sont renvoyés dans leurs armées respectives.
Les ex-divisions SS composées d’allemands sont regroupées sous la férule du général Steiner dans le Corps d’Armee Deutschland :
Le général Sepp Dietrich commande la 6ème Panser Armee :
- la Adolf Hitler Panzer-division.
- la Das Reich Panzer-division.
- la Totenkoff Panzer-division.
- La Dirlewanger Grenadier-division.
- La Grosdeutschland Panzer-division.
Sous les ordres du général Kurt Meyer dans la 7ème Panser Armee :
- la Polizei Panzergrenadier-division.
- La Florian Geyer Kavallerie-division.
- La Nordland Panzergrenadier-division.
- La Nibelungen Grenadier-division.
- La Herman Goring Aéroportée Panzer-division.
Dans la 8ème Panser Armee du général Paul Hauser :
- La Frundsberg Panzer-division.
- La Hohenstaufen Panzer-division.
- La Götz Von Berlichingen Panzergrenadier-division.
- La Polizei II SS Grenadier-division.
- La Luftwehr Flak-brigade.
La Luftwaffe, grâce aux travaux du professeur Viktor Schauberger et du colonel Hans Köhler sur les moteurs à implosion, à l’électrogravitation et à la propulsion tachyonique que concrétisent les départements de recherche U13 et SSi4, a à sa disposition un nouveau type de soucoupes volantes “Haunebü II bombardier léger“. Les convecteurs tachyoniques mis au point par Köhler sont produits en série par les entreprises AEG et Siemens, et très vite sont produites quelques soucoupes de Type “Haunebü III bombardier lourd“ et deux “Haunebü IV Superforteresses“. Des “Haunebü Fighter I“ sont développés et transportés par des Vaisseaux-mères de type “Andromède“ de 109 mètres de long propulsés par quatre moteurs Köhler.
Les Vaisseaux-mères ont des avions à réactions de Type “Vril“ pour leur protection rapprochée. Les performances de ce type de matériels qui laisse songeurs restent encore à être mises à l’épreuve. De nouveaux appareils sortis des bureaux d’étude sont mis en production pour répondre aux nouvelles missions dévolues à la Luftwaffe :
- Le Dornier 317, bombardier de haute altitude.
- Le Dornier 217 Q, bombardier de reconnaissance de haute altitude, guide les escadrilles d’attaque au sol sur leurs cibles.
- Le Focke-Wulf Fw 191A, bombardier moyen de soutien aérien pour les troupes au sol.
- Le Focke-Wulf Fw 191B, bombardier moyen pour la lutte anti-maritime.
- Le Focke-Wulf Fw 191C, bombardier moyen pour la lutte anti-sous-marine.
- Le Junker Ju 390 “Bomber Japan“. Bombardier stratosphérique conçu pour saturer le Japon à haute altitude.
- Le Messerschmitt Me 264. Bombardier de reconnaissance à long rayon d’action. Bombardier stratosphérique conçu pour attaquer le Japon et guider les autres bombardiers de haute altitude sur leurs cibles.
- Le Focke-Wulf Ta 400 “Bomber Japan“. Bombardier stratosphérique conçu pour attaquer le Japon.
- L’Arado Ar 240B, chasseur-lourd bimoteurs de reconnaissance pour les troupes au sol.
- L’avion-missile Daimler-Benz Project F, largué par un avion-porteur, l’appareil est dévolu à des cibles statiques.
- Le Messerschmitt Me-328 B : Un chasseur à réaction à impulsion-jet. Ce petit chasseur est destiné à être lancé à partir d'un bombardier-porteur, pour défendre les formations de bombardiers en vol.
- Le chasseur à réaction Blohm und Voss BV-P.209 B, embarqué sur porte-avions dédié à la protection des flottes.
- Le chasseur à réaction Blohm und Voss BV-P.210.
- Le chasseur léger à réaction embarqué Blohm und Voss BV-P.213. Dévolue à la protection des Flottes. Catapulté depuis les Cuirassés et Croiseurs.
- Le DFS 346 : un avion de grande vitesse à moteur fusée, qui permet aux pilotes allemands de franchir le “mur du son“.
- Focke-Wulf Ta.183 “Huckebein“ A, chasseur-intercepteur à réaction. Focke-Wulf Ta.183 “Huckebein“ B, chasseur à réaction embarqué.
- Le Focke-Wulf “Flitzer“, chasseur-intercepteur à réaction.
- Gotha Go P.60, chasseur à réaction, biplace.
- Gotha Go.229, chasseur à réaction.
- Le Hütter Hu 136 Stubo 1 pour “Sturzbomber“ est un bombardier en piqué, lourdement blindé transportant une bombe de 500 Kg.
- Le Hütter Hu 136 Stubo 2 pour “Sturzbomber 2“: Bombardier en piqué allongé et lourdement blindé transportant une bombe de 1000 Kg.
- Focke-Wulf “Triebflugeljager“ : Défenseur de site stratégiques contre le bombardement et les raids sur le centre industriel du Reich.
- Junkers 287, bombardier lourd à réaction.
- Le Lippisch Gleiter-Bombenfleugzeuge est un planeur-bombardier capable de plonger à grande vitesse contre des cibles navales avec une bombe de 1000 kg. La machine est remorquée par un Ju 88, à une altitude de 8000 m jusqu'à 10 km de sa cible.
- Après lancement, le planeur Lippisch Gleiter-Bombenfleugzeuge plonge jusqu'à atteindre une vitesse d'approche calculée de 1296 km /h. À une distance de 700 m de la cible, la bombe est libérée et le planeur s'éloigne dans un arc légèrement ascendant.
- Le Messerschmitt Me 329 est un chasseur lourd d'attaque au sol, biplace.
- Messerschmitt Me 261B : Bombardier de reconnaissance.
- Messerschmitt P.1106, chasseur supersonique.
- Le Messerschmitt P 1109 est un chasseur à réaction biréacteur avec des ailes à géométrie variable pivotant comme des lames de ciseau.
- Le FI 103 v1 : Avion fusée et bombe-volante larguée depuis un bombardier-porteur, ou de type v2 catapulté depuis un croiseur pour assurer la protection des flottes.
Les italiens développent eux aussi des appareils aptes à répondre aux nouvelles donnes du combat aérien et des attaques aériennes :
- Le Caproni N.1 est un chasseur monoplan à aile basse à turboréacteur.
- Le Caproni N.2 est un chasseur à turboréacteur embarqué.
- Le Caproni N.3 est un chasseur-bombardier monoplan à aile basse à turboréacteur.
- Le Caproni N.4 est un torpilleur embarqué monoplan à aile basse à turboréacteur.
- L’Armée du Brésil.
- L’Armée Suédoise.
- L’Armée Finlandaise.
- L’Armée Norvégienne.
- L’Armée de la Grande Colombie. (Colombie, Venezuela et Equateur).
- L’Armée Chilienne sécurise la Côte Ouest de Amérique Latine.
- L’Armée Mexicaine.
- L’Armée Américaine des Etats Unis reconstitués.
- L’Armée de Grande Argentine.
- L’Armée Russe.
- L’Armée Française.
- Les Espagnols de l’Empire Ibérique.
- L’Armée Italienne de l’Empire Romain.
- Les armées d’Europe Centrale : Roumaines, Hongroises, Slovaques, Croates, Slovènes et Bulgares.
- L’Armée Ukrainienne.
- L’Armée des Etats Unis d’Amérique Centrale.
- L’Armée Portugaise.
- L’Armée Canadienne (Québec et Ontario).
- Les Sud Africains de l’Afrikaner Armee.
- L’Armée de l’Ostland composée de Lettons, Estoniens et de Lituaniens.
Les SS allemands, ancienne force armée politique du régime nazi, sont versés dans la Heer. Toutes les divisions ne sont pas conservées et leur personnel dispatché dans les autres formations. La Hitlerjugen est dissoute. Donitz ne veut pas d’enfant dans l’armée, et les étrangers sont renvoyés dans leurs armées respectives.
Les ex-divisions SS composées d’allemands sont regroupées sous la férule du général Steiner dans le Corps d’Armee Deutschland :
Le général Sepp Dietrich commande la 6ème Panser Armee :
- la Adolf Hitler Panzer-division.
- la Das Reich Panzer-division.
- la Totenkoff Panzer-division.
- La Dirlewanger Grenadier-division.
- La Grosdeutschland Panzer-division.
Sous les ordres du général Kurt Meyer dans la 7ème Panser Armee :
- la Polizei Panzergrenadier-division.
- La Florian Geyer Kavallerie-division.
- La Nordland Panzergrenadier-division.
- La Nibelungen Grenadier-division.
- La Herman Goring Aéroportée Panzer-division.
Dans la 8ème Panser Armee du général Paul Hauser :
- La Frundsberg Panzer-division.
- La Hohenstaufen Panzer-division.
- La Götz Von Berlichingen Panzergrenadier-division.
- La Polizei II SS Grenadier-division.
- La Luftwehr Flak-brigade.
La Luftwaffe, grâce aux travaux du professeur Viktor Schauberger et du colonel Hans Köhler sur les moteurs à implosion, à l’électrogravitation et à la propulsion tachyonique que concrétisent les départements de recherche U13 et SSi4, a à sa disposition un nouveau type de soucoupes volantes “Haunebü II bombardier léger“. Les convecteurs tachyoniques mis au point par Köhler sont produits en série par les entreprises AEG et Siemens, et très vite sont produites quelques soucoupes de Type “Haunebü III bombardier lourd“ et deux “Haunebü IV Superforteresses“. Des “Haunebü Fighter I“ sont développés et transportés par des Vaisseaux-mères de type “Andromède“ de 109 mètres de long propulsés par quatre moteurs Köhler.
Les Vaisseaux-mères ont des avions à réactions de Type “Vril“ pour leur protection rapprochée. Les performances de ce type de matériels qui laisse songeurs restent encore à être mises à l’épreuve. De nouveaux appareils sortis des bureaux d’étude sont mis en production pour répondre aux nouvelles missions dévolues à la Luftwaffe :
- Le Dornier 317, bombardier de haute altitude.
- Le Dornier 217 Q, bombardier de reconnaissance de haute altitude, guide les escadrilles d’attaque au sol sur leurs cibles.
- Le Focke-Wulf Fw 191A, bombardier moyen de soutien aérien pour les troupes au sol.
- Le Focke-Wulf Fw 191B, bombardier moyen pour la lutte anti-maritime.
- Le Focke-Wulf Fw 191C, bombardier moyen pour la lutte anti-sous-marine.
- Le Junker Ju 390 “Bomber Japan“. Bombardier stratosphérique conçu pour saturer le Japon à haute altitude.
- Le Messerschmitt Me 264. Bombardier de reconnaissance à long rayon d’action. Bombardier stratosphérique conçu pour attaquer le Japon et guider les autres bombardiers de haute altitude sur leurs cibles.
- Le Focke-Wulf Ta 400 “Bomber Japan“. Bombardier stratosphérique conçu pour attaquer le Japon.
- L’Arado Ar 240B, chasseur-lourd bimoteurs de reconnaissance pour les troupes au sol.
- L’avion-missile Daimler-Benz Project F, largué par un avion-porteur, l’appareil est dévolu à des cibles statiques.
- Le Messerschmitt Me-328 B : Un chasseur à réaction à impulsion-jet. Ce petit chasseur est destiné à être lancé à partir d'un bombardier-porteur, pour défendre les formations de bombardiers en vol.
- Le chasseur à réaction Blohm und Voss BV-P.209 B, embarqué sur porte-avions dédié à la protection des flottes.
- Le chasseur à réaction Blohm und Voss BV-P.210.
- Le chasseur léger à réaction embarqué Blohm und Voss BV-P.213. Dévolue à la protection des Flottes. Catapulté depuis les Cuirassés et Croiseurs.
- Le DFS 346 : un avion de grande vitesse à moteur fusée, qui permet aux pilotes allemands de franchir le “mur du son“.
- Focke-Wulf Ta.183 “Huckebein“ A, chasseur-intercepteur à réaction. Focke-Wulf Ta.183 “Huckebein“ B, chasseur à réaction embarqué.
- Le Focke-Wulf “Flitzer“, chasseur-intercepteur à réaction.
- Gotha Go P.60, chasseur à réaction, biplace.
- Gotha Go.229, chasseur à réaction.
- Le Hütter Hu 136 Stubo 1 pour “Sturzbomber“ est un bombardier en piqué, lourdement blindé transportant une bombe de 500 Kg.
- Le Hütter Hu 136 Stubo 2 pour “Sturzbomber 2“: Bombardier en piqué allongé et lourdement blindé transportant une bombe de 1000 Kg.
- Focke-Wulf “Triebflugeljager“ : Défenseur de site stratégiques contre le bombardement et les raids sur le centre industriel du Reich.
- Junkers 287, bombardier lourd à réaction.
- Le Lippisch Gleiter-Bombenfleugzeuge est un planeur-bombardier capable de plonger à grande vitesse contre des cibles navales avec une bombe de 1000 kg. La machine est remorquée par un Ju 88, à une altitude de 8000 m jusqu'à 10 km de sa cible.
- Après lancement, le planeur Lippisch Gleiter-Bombenfleugzeuge plonge jusqu'à atteindre une vitesse d'approche calculée de 1296 km /h. À une distance de 700 m de la cible, la bombe est libérée et le planeur s'éloigne dans un arc légèrement ascendant.
- Le Messerschmitt Me 329 est un chasseur lourd d'attaque au sol, biplace.
- Messerschmitt Me 261B : Bombardier de reconnaissance.
- Messerschmitt P.1106, chasseur supersonique.
- Le Messerschmitt P 1109 est un chasseur à réaction biréacteur avec des ailes à géométrie variable pivotant comme des lames de ciseau.
- Le FI 103 v1 : Avion fusée et bombe-volante larguée depuis un bombardier-porteur, ou de type v2 catapulté depuis un croiseur pour assurer la protection des flottes.
Les italiens développent eux aussi des appareils aptes à répondre aux nouvelles donnes du combat aérien et des attaques aériennes :
- Le Caproni N.1 est un chasseur monoplan à aile basse à turboréacteur.
- Le Caproni N.2 est un chasseur à turboréacteur embarqué.
- Le Caproni N.3 est un chasseur-bombardier monoplan à aile basse à turboréacteur.
- Le Caproni N.4 est un torpilleur embarqué monoplan à aile basse à turboréacteur.
Berold- Messages : 136
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