Des PoD de la Seconde Guerre Mondiale

L'écart supposé par rapport à la chronologie historique qui a donné lieu à ce wargame uchronique est censé avoir eu lieu à la mi-septembre 1939.
À ce moment-là, alors que ses forces achèvent la conquête de la Pologne, Hitler est frappé d'une intuition. En effet, il ne peut s'empêcher de remarquer la paralysie stratégique des Anglo-Français, qui ne font rien pour empêcher la chute de leur allié oriental, la Pologne, qui disparaît rapidement. Il en conclut que ce serait une perte de temps de redéployer la Wehrmacht sur le front occidental en 1940. Il dit à ses généraux : "Le moment ne sera jamais mieux choisi pour détruire le pouvoir bolchevique que dans l'année à venir. Nous n'aurons toujours rien à craindre à l'ouest. Les Britanniques et les Français ne veulent tout simplement pas la guerre ; ils en ont peur. Une fois que nous aurons pris Moscou, nous prendrons Paris et Londres par téléphone."
En conséquence, il demande également à son ministre des Affaires étrangères d'abandonner toute négociation visant à réviser la répartition territoriale originale définie dans les accords conclus avec l'URSS le mois précédent. Plus important encore, la Lituanie, qui faisait initialement partie de la "sphère d'intérêt" allemande, n'est pas échangée contre une nouvelle tranche de territoire polonais.
Puis l'Allemagne passe à l'attaque.

Thomas a écrit:Un Wargame explore un scénario assez intéressant : 1940: What If Germany Went East?

L'écart supposé par rapport à la chronologie historique qui a donné lieu à ce wargame uchronique est censé avoir eu lieu à la mi-septembre 1939.
À ce moment-là, alors que ses forces achèvent la conquête de la Pologne, Hitler est frappé d'une intuition. En effet, il ne peut s'empêcher de remarquer la paralysie stratégique des Anglo-Français, qui ne font rien pour empêcher la chute de leur allié oriental, la Pologne, qui disparaît rapidement. Il en conclut que ce serait une perte de temps de redéployer la Wehrmacht sur le front occidental en 1940. Il dit à ses généraux : "Le moment ne sera jamais mieux choisi pour détruire le pouvoir bolchevique que dans l'année à venir. Nous n'aurons toujours rien à craindre à l'ouest. Les Britanniques et les Français ne veulent tout simplement pas la guerre ; ils en ont peur. Une fois que nous aurons pris Moscou, nous prendrons Paris et Londres par téléphone."
En conséquence, il demande également à son ministre des Affaires étrangères d'abandonner toute négociation visant à réviser la répartition territoriale originale définie dans les accords conclus avec l'URSS le mois précédent. Plus important encore, la Lituanie, qui faisait initialement partie de la "sphère d'intérêt" allemande, n'est pas échangée contre une nouvelle tranche de territoire polonais.
Puis l'Allemagne passe à l'attaque.