El Dorado, Francisco Oreillana, découvreur et fossoyeur d'une civilisation
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El Dorado, Francisco Oreillana, découvreur et fossoyeur d'une civilisation
Passons maintenant dans le Nouveau Monde. Les deux Amériques font figures de contrée nouvelle pour les explorateurs européens. Pourtant, la civilisation s’y est développée depuis des millénaires, donnant vie aux fabuleuses nations qu’ont connues les Andes et l’Amérique centrale.
En 1541, Francisco de Oreillana monta une opération pour découvrir le bassin de l’Amazonie. Il y fit des découvertes surprenantes. Une ville s’étendait sur près de 25 Km de part et d’autre du fleuve. La cité était vaste, faite de maisons accolées, de routes et de champs fertiles. Depuis les rives, on voyait d’autres cités dans l’intérieur des terres. Près d’un lac – on pense qu’il s’agit du Guatavita en Colombie- le lieutenant de Pizarro assista à une étrange cérémonie. Les indigènes lancèrent des objets précieux dans l’eau alors que leur chef entrait dans le lac, le corps couvert de poudre d’or. Frappé par l’événement, Oreillana surnomma ce chef « Le Doré » (El Dorado en espagnol).
60 ans plus tard, une nouvelle expédition est envoyée reprendre contact avec les indigènes. On ne retrouvera rien, la légende de l’Eldorado venait de naître. Quant à Oreillana, il passa pour un fabulateur, un mythomane. Par ailleurs, certains chercheurs du vingtième siècle firent justement remarquer qu’une civilisation n’aurait jamais pu émerger dans l’Amazonie précolombienne. Sans une méthode d’agriculture à grande échelle, il ne peut y avoir de population suffisamment nombreuse pour édifier des ouvrages monumentaux.
L’histoire de l’Eldorado sombra dans un sommeil agité. Des bruits, des rumeurs continuèrent à l’alimenter. En 1975, aux sources du Rio Buricata (Colombie), une expédition retrouva la cité des indiens Tairomas. Engloutie depuis près de quatre cent ans par la forêt vierge, la ville s’étendait sur neuf kilomètres carrés. En tout, on ne compta pas moins de deux cents pyramides à degrés sur le site ! La plus phénoménale de ces constructions était un empilement de terrasses de cinq mètres de hauts qui couvrait 880 mètres carrés.
Pendant dix ans, l’archéologue Clark Erikson a fouillé la savane de Moros (Bolivie). L’archéologie aérienne lui a permis de révéler des signes d’aménagements du territoire sur une échelle gigantesque. Il y avait des vestiges de champs sur des terrasses remblayées à un ou deux mètres au-dessus du sol. A perte de vue, abandonnés depuis des siècles, des canaux d’irrigations, des digues et des routes quadrillaient la savane. Au centre de ces réseaux se trouvent entre 5 et 10 000 « islas » ou îlots de forêt. Dans les « islas », il suffit de se baisser pour trouver des fragments de poteries. D’autres traces (os humains, charbons de bois, meules à grain) révélées par les fouilles trahirent des siècles d’occupation.
En compagnie d’un autre archéologue, William Bailley, Erikson a visité une de ces « islas » dans le détail. Ils se sont aperçus que ces forêts cachaient des buttes artificielles qui atteignaient souvent dix-huit mètres de haut. En faisant des fouilles, ils ont trouvée une quantité incroyable de débris de poteries sur plusieurs mètres d’épaisseur.
Une de ces buttes, le tertre d’Iviato, est encore habitée par la tribu indienne des Siriano. Le tertre est resté dans son état originel. Il se présente sous la forme d’une pyramide à trois degrés dont la surface de base couvre huit hectares. S’il ne reste maintenant qu’une dizaine de maisons, les archéologues estiment qu’elles devaient bien être une centaine il y a un millénaire. A l’emplacement de l’église du village, on trouve encore les traces d’une butte de pierre qui devait servir de fondation à un temple.
Il y avait donc une grande civilisation dans la région. D’ailleurs, en 1617, lorsque les Espagnols ont annexé le Moros, ils se sont extasiés devant la taille des villes, les digues et les nombreuses routes. Qui dit villes dit bien sûr agriculture. D’ailleurs, selon William Bailley, la langue sirianno comprend un grand nombre de termes autochtones relatifs à l’agriculture.
C’est en août 2002 que d’autres découvertes, cette fois-ci effectuées dans la forêt amazonienne, ont réellement relancées la légende de l’Eldorado. Contrairement à ce que l’on dit en général, les Indiens d’Amazonie ne sont pas des rescapés de l’âge de pierre. Leur société est très hiérarchisée avec des chefs de naissance, une aristocratie et des rituels élaborés. Tout cela ne cadre pas avec le mode de vie qui est le leur. Que s’est-il passé ? A nouveau, l’archéologie nous fournit des réponses. A l’époque précolombienne, l’Amazonie était beaucoup plus peuplée que maintenant.
L’archéologue William Woods a mené des campagnes de recherche à proximité d’un village amazonien actuel. Il a ainsi mis en évidence les vestiges d’une place centrale aussi grande que le village contemporain, entourée par un nombre de maisons dix fois supérieur. Il découvrit également des indices de l’existence de trois ou quatre sites d’une taille similaire à proximité.
Nous avons là les traces d’une société sédentaire et non de semi-nomades comme actuellement. On ne peut plus nier l’évidence, il y a bien eu une civilisation capable de produire des œuvres d’art, des villages et même des cités. Ce peuple aurait été capable de croître par million dans les jungles d’Amazonie.
Pourtant, malgré toutes les preuves, ce phénomène nous interpelle. Au début du vingtième siècle, des expériences -comme celle de Fortlandia- ont démontré que la création ex-nihilo de villes dans la jungle était au-dessus de nos forces. Alors, comment les Indiens ont-ils pu vivre de l’agriculture sur terre de jungle ? Une terre que nous n’arrivons toujours pas à rendre fertile.
La réponse se trouve dans la Terra Preta découverte à proximité des villages des anciens Indiens. Cette terre a été le point de départ de toutes les recherches sur la civilisation amazonienne. Riche en tesson, elle a été retrouvée dans des endroits où Oreillana situait l’Eldorado. Un périmètre qui représente tout de même 10% de l’Amazonie. Les poteries reconstituées nous ont permis de comprendre qu’une société très artistique s’est développée sur cette terre noire à partir de l’ère chrétienne.
Néanmoins, l’intérêt principal reste la Terra Pretra elle-même. Son analyse prouve qu’elle a la même composition chimique que la terre jaune amazonienne. Seulement, c’est une terre améliorée qui permet la culture de la papaye, du blé, des haricots et du manioc. D’après le professeur James Petersen cela démontrerait qu’il s’agirait d’une terre fabriquée par l’homme !
Son collègue, le professeur Christophe Steiner, s’est lancé dans une étude comparative sur sa fertilité. D’après lui, sa composition très riche en charbon de bois lui permet de retenir les engrais dans le sol. Cette capacité lui donne une fertilité qui correspond à 880% d’une terre normale avec le même engrais ! Ces caractéristiques ne sont pas le résultat d’un pur hasard. La terre noire a été mélangée à des déchets organiques pour devenir cultivable, très fertile, facile à travailler. Cependant, la spécificité la plus miraculeuse de la Terra Preta est sa capacité à se régénérer comme l’organisme vivant qu’elle est. Si on prélève toute la terre noire dans une parcelle, pour n’en laisser que vingt centimètres, au bout de vingt ans elle aura retrouvée son niveau d’antan. Cette régénération se fait à partir des feuilles mortes et des micro-organismes présents dans le sol.
Pourtant, cette civilisation dotée d’une agriculture en forêt tropicale qui ridiculise la nôtre a totalement disparue. Cette énigme n’en est cependant pas une. La population des Amériques a subit une mortalité effrayante dès l’arrivée des Espagnols. L’histoire retient que les conquistadors ont abattu les empires aztèques, mayas et incas grâce à leurs armures, leurs armes à feu et leurs chevaux. Néanmoins, ces morts comptent peu par rapport à ceux qu’amenèrent la variole, la grippe et la rougeole. L’ampleur de ce génocide reste largement ignorée en Europe. Mis face à cette mortalité effrayante, les Espagnols n’eurent bientôt d’autre choix que d’importer des esclaves noirs pour exploiter les mines d’or et les champs. Comme tous les conquistadors, Oreillana fut le fossoyeur de ce qu’il découvrit. Il faut cependant noter que les sociétés américaines étaient malades depuis près de mille ans lorsque les blancs arrivèrent. Et lorsque je dis malade, je dis physiquement. Les ossements poreux, la taille qui s’amoindrissait de génération en génération montrent bien les ravages de la malnutrition. Plus que tout autre facteur, la victoire des Espagnols tient donc dans les guerres sans fin que se livraient les peuples autochtones. A force d’insécurité et de misère, les Amérindiens avaient réussit à fragiliser leurs civilisations au point qu’une poignée d’aventuriers puisse provoquer leur chute.
En 1541, Francisco de Oreillana monta une opération pour découvrir le bassin de l’Amazonie. Il y fit des découvertes surprenantes. Une ville s’étendait sur près de 25 Km de part et d’autre du fleuve. La cité était vaste, faite de maisons accolées, de routes et de champs fertiles. Depuis les rives, on voyait d’autres cités dans l’intérieur des terres. Près d’un lac – on pense qu’il s’agit du Guatavita en Colombie- le lieutenant de Pizarro assista à une étrange cérémonie. Les indigènes lancèrent des objets précieux dans l’eau alors que leur chef entrait dans le lac, le corps couvert de poudre d’or. Frappé par l’événement, Oreillana surnomma ce chef « Le Doré » (El Dorado en espagnol).
60 ans plus tard, une nouvelle expédition est envoyée reprendre contact avec les indigènes. On ne retrouvera rien, la légende de l’Eldorado venait de naître. Quant à Oreillana, il passa pour un fabulateur, un mythomane. Par ailleurs, certains chercheurs du vingtième siècle firent justement remarquer qu’une civilisation n’aurait jamais pu émerger dans l’Amazonie précolombienne. Sans une méthode d’agriculture à grande échelle, il ne peut y avoir de population suffisamment nombreuse pour édifier des ouvrages monumentaux.
L’histoire de l’Eldorado sombra dans un sommeil agité. Des bruits, des rumeurs continuèrent à l’alimenter. En 1975, aux sources du Rio Buricata (Colombie), une expédition retrouva la cité des indiens Tairomas. Engloutie depuis près de quatre cent ans par la forêt vierge, la ville s’étendait sur neuf kilomètres carrés. En tout, on ne compta pas moins de deux cents pyramides à degrés sur le site ! La plus phénoménale de ces constructions était un empilement de terrasses de cinq mètres de hauts qui couvrait 880 mètres carrés.
Pendant dix ans, l’archéologue Clark Erikson a fouillé la savane de Moros (Bolivie). L’archéologie aérienne lui a permis de révéler des signes d’aménagements du territoire sur une échelle gigantesque. Il y avait des vestiges de champs sur des terrasses remblayées à un ou deux mètres au-dessus du sol. A perte de vue, abandonnés depuis des siècles, des canaux d’irrigations, des digues et des routes quadrillaient la savane. Au centre de ces réseaux se trouvent entre 5 et 10 000 « islas » ou îlots de forêt. Dans les « islas », il suffit de se baisser pour trouver des fragments de poteries. D’autres traces (os humains, charbons de bois, meules à grain) révélées par les fouilles trahirent des siècles d’occupation.
En compagnie d’un autre archéologue, William Bailley, Erikson a visité une de ces « islas » dans le détail. Ils se sont aperçus que ces forêts cachaient des buttes artificielles qui atteignaient souvent dix-huit mètres de haut. En faisant des fouilles, ils ont trouvée une quantité incroyable de débris de poteries sur plusieurs mètres d’épaisseur.
Une de ces buttes, le tertre d’Iviato, est encore habitée par la tribu indienne des Siriano. Le tertre est resté dans son état originel. Il se présente sous la forme d’une pyramide à trois degrés dont la surface de base couvre huit hectares. S’il ne reste maintenant qu’une dizaine de maisons, les archéologues estiment qu’elles devaient bien être une centaine il y a un millénaire. A l’emplacement de l’église du village, on trouve encore les traces d’une butte de pierre qui devait servir de fondation à un temple.
Il y avait donc une grande civilisation dans la région. D’ailleurs, en 1617, lorsque les Espagnols ont annexé le Moros, ils se sont extasiés devant la taille des villes, les digues et les nombreuses routes. Qui dit villes dit bien sûr agriculture. D’ailleurs, selon William Bailley, la langue sirianno comprend un grand nombre de termes autochtones relatifs à l’agriculture.
C’est en août 2002 que d’autres découvertes, cette fois-ci effectuées dans la forêt amazonienne, ont réellement relancées la légende de l’Eldorado. Contrairement à ce que l’on dit en général, les Indiens d’Amazonie ne sont pas des rescapés de l’âge de pierre. Leur société est très hiérarchisée avec des chefs de naissance, une aristocratie et des rituels élaborés. Tout cela ne cadre pas avec le mode de vie qui est le leur. Que s’est-il passé ? A nouveau, l’archéologie nous fournit des réponses. A l’époque précolombienne, l’Amazonie était beaucoup plus peuplée que maintenant.
L’archéologue William Woods a mené des campagnes de recherche à proximité d’un village amazonien actuel. Il a ainsi mis en évidence les vestiges d’une place centrale aussi grande que le village contemporain, entourée par un nombre de maisons dix fois supérieur. Il découvrit également des indices de l’existence de trois ou quatre sites d’une taille similaire à proximité.
Nous avons là les traces d’une société sédentaire et non de semi-nomades comme actuellement. On ne peut plus nier l’évidence, il y a bien eu une civilisation capable de produire des œuvres d’art, des villages et même des cités. Ce peuple aurait été capable de croître par million dans les jungles d’Amazonie.
Pourtant, malgré toutes les preuves, ce phénomène nous interpelle. Au début du vingtième siècle, des expériences -comme celle de Fortlandia- ont démontré que la création ex-nihilo de villes dans la jungle était au-dessus de nos forces. Alors, comment les Indiens ont-ils pu vivre de l’agriculture sur terre de jungle ? Une terre que nous n’arrivons toujours pas à rendre fertile.
La réponse se trouve dans la Terra Preta découverte à proximité des villages des anciens Indiens. Cette terre a été le point de départ de toutes les recherches sur la civilisation amazonienne. Riche en tesson, elle a été retrouvée dans des endroits où Oreillana situait l’Eldorado. Un périmètre qui représente tout de même 10% de l’Amazonie. Les poteries reconstituées nous ont permis de comprendre qu’une société très artistique s’est développée sur cette terre noire à partir de l’ère chrétienne.
Néanmoins, l’intérêt principal reste la Terra Pretra elle-même. Son analyse prouve qu’elle a la même composition chimique que la terre jaune amazonienne. Seulement, c’est une terre améliorée qui permet la culture de la papaye, du blé, des haricots et du manioc. D’après le professeur James Petersen cela démontrerait qu’il s’agirait d’une terre fabriquée par l’homme !
Son collègue, le professeur Christophe Steiner, s’est lancé dans une étude comparative sur sa fertilité. D’après lui, sa composition très riche en charbon de bois lui permet de retenir les engrais dans le sol. Cette capacité lui donne une fertilité qui correspond à 880% d’une terre normale avec le même engrais ! Ces caractéristiques ne sont pas le résultat d’un pur hasard. La terre noire a été mélangée à des déchets organiques pour devenir cultivable, très fertile, facile à travailler. Cependant, la spécificité la plus miraculeuse de la Terra Preta est sa capacité à se régénérer comme l’organisme vivant qu’elle est. Si on prélève toute la terre noire dans une parcelle, pour n’en laisser que vingt centimètres, au bout de vingt ans elle aura retrouvée son niveau d’antan. Cette régénération se fait à partir des feuilles mortes et des micro-organismes présents dans le sol.
Pourtant, cette civilisation dotée d’une agriculture en forêt tropicale qui ridiculise la nôtre a totalement disparue. Cette énigme n’en est cependant pas une. La population des Amériques a subit une mortalité effrayante dès l’arrivée des Espagnols. L’histoire retient que les conquistadors ont abattu les empires aztèques, mayas et incas grâce à leurs armures, leurs armes à feu et leurs chevaux. Néanmoins, ces morts comptent peu par rapport à ceux qu’amenèrent la variole, la grippe et la rougeole. L’ampleur de ce génocide reste largement ignorée en Europe. Mis face à cette mortalité effrayante, les Espagnols n’eurent bientôt d’autre choix que d’importer des esclaves noirs pour exploiter les mines d’or et les champs. Comme tous les conquistadors, Oreillana fut le fossoyeur de ce qu’il découvrit. Il faut cependant noter que les sociétés américaines étaient malades depuis près de mille ans lorsque les blancs arrivèrent. Et lorsque je dis malade, je dis physiquement. Les ossements poreux, la taille qui s’amoindrissait de génération en génération montrent bien les ravages de la malnutrition. Plus que tout autre facteur, la victoire des Espagnols tient donc dans les guerres sans fin que se livraient les peuples autochtones. A force d’insécurité et de misère, les Amérindiens avaient réussit à fragiliser leurs civilisations au point qu’une poignée d’aventuriers puisse provoquer leur chute.
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Le champ de bataille ne fait que révéler à l'homme sa folie et son désespoir, et la victoire n'est jamais que l'illusion des philosophes et des sots. William Faulkner
Anaxagore- Messages : 2234
Date d'inscription : 18/10/2015
Age : 50
Re: El Dorado, Francisco Oreillana, découvreur et fossoyeur d'une civilisation
Il me semble qu'elle est maintenant piller en masse par les agriculteurs brésiliens.la Terra Pretra
J'avais lu un article qui parlais aussi d'anomalie génétique et de problèmes de consanguinité.Et lorsque je dis malade, je dis physiquement. Les ossements poreux, la taille qui s’amoindrissait de génération en génération montrent bien les ravages de la malnutrition.
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« Ce n’est que devant l’épreuve, la vraie, celle qui met en jeu l’existence même, que les hommes cessent de se mentir et révèlent vraiment ce qu’ils sont. »
Alexandre Lang.
Au Bord de l'Abîme et au-delà
Re: El Dorado, Francisco Oreillana, découvreur et fossoyeur d'une civilisation
Merci pour cette leçon d'histoire, Anaxagore.
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1940 : Mandel continue la guerre depuis l'exil.
https://forumuchronies.frenchboard.com/t751-la-france-exilee-tome-1-1940-la-roue-du-destin
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https://forumuchronies.frenchboard.com/t1036-lfc-guerre-froide
LFC/Emile Ollivier- Messages : 2721
Date d'inscription : 26/03/2016
Age : 35
Re: El Dorado, Francisco Oreillana, découvreur et fossoyeur d'une civilisation
De rienEmile Ollivier a écrit:Merci pour cette leçon d'histoire, Anaxagore.
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Le champ de bataille ne fait que révéler à l'homme sa folie et son désespoir, et la victoire n'est jamais que l'illusion des philosophes et des sots. William Faulkner
Anaxagore- Messages : 2234
Date d'inscription : 18/10/2015
Age : 50
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