Vers une offensive russe d’hiver en Ukraine ? [Partie 2]

Spoiler:

Uranium Colonel a écrit:La Russie, en dehors de revendiquer la prise de villages aux pieds des forteresses du Donbass, revendique la destruction d'un Su-27 ukr sur une piste à Mirgorod.
Difficile de savoir s'il s'agit d'un leurre, d'une épave ou d'un appareil bien fonctionnel...

Yodarc a écrit:

Uranium Colonel a écrit:La Russie, en dehors de revendiquer la prise de villages aux pieds des forteresses du Donbass, revendique la destruction d'un Su-27 ukr sur une piste à Mirgorod.
Difficile de savoir s'il s'agit d'un leurre, d'une épave ou d'un appareil bien fonctionnel...

Ils doivent vraiment mendier dans les poubelles de leurs opérations actuelles pour trouver quelque chose de comestible à présenter à la presse pour se la jouer fier.

Bête du Gévaudan a écrit:Ije suis d'accord avec toi, c'est le cas  démontre une certaine fébrilité de la part du stratège russe

L'industrie automobile chinoise était censée remplacer les marques d'autres pays qui sont partis, mais les difficultés ont commencé en raison des sanctions américaines.

Les paiements ont pratiquement cessé, et il y a des problèmes avec littéralement tout : livraison de voitures, importation de pièces détachées, réparations", se lamentent les acteurs du marché. Alexey Podshchekoldin, président de l'Association russe des concessionnaires automobiles (ROAD) et fondateur du groupe BN-Motors, a parlé des énormes problèmes que rencontrent les concessionnaires pour payer les livraisons de voitures et de pièces détachées en provenance de Chine. Si l'effondrement des paiements ne peut être résolu, le marché de l'automobile sera confronté à une nouvelle crise, prévient-il.

Les voitures chinoises déjà vendues en Russie sont également confrontées à de nombreux problèmes. De nombreuses marques n'ont pas d'entrepôts de pièces détachées en Russie - toute pièce doit être acheminée depuis la Chine, ce qui prend 30 à 40 jours. La plupart n'ont pas de catalogues de pièces détachées, ni en russe ni en anglais. "Un ami d'une grande entreprise moscovite m'a dit qu'il prenait une photo d'une pièce, l'envoyait aux Chinois et leur demandait de lui envoyer la même", raconte M. Podshchekoldin.

De nombreuses marques n'ont même pas d'équipement de diagnostic, y compris pour les voitures électriques et hybrides de sorte que les concessionnaires ne peuvent pas lire l'erreur détectée sur le scanner, poursuit le président de ROAD. Les constructeurs chinois, comme les constructeurs européens et américains, craignent toute interaction et bloquent l'accès à leurs bases de données électroniques, explique-t-il. Il y a également un manque de manuels de qualité : les entreprises chinoises ne prêtent pas attention à leur création.

Aujourd'hui, les demandes de documentation technique et de service de nombreuses marques passent par la Chine, par les Émirats arabes unis, par des sociétés virtuelles.

"L'Union des centres d'entretien automobile s'est déjà cassé la tête en criant que les serveurs contenant des informations sur la réparation et l'entretien des voitures devraient se trouver en Russie. J'appelle vraiment l'Afrique : les hommes, envoyez-moi un manuel. Ils me répondent en riant : nous pensions que l'héritier de l'URSS était un pays industrialisé développé ! Mais finalement ils l'envoient tout de même", confirme Dmitry Danshov, membre du conseil d'administration de l'Union des centres d'entretien automobile et propriétaire du groupe d'entreprises Mekhanika.