[Fusion] Engins et technologies à potentiel uchronique

Thomas a écrit:Ça doit être un problème avec ton navigateur puisque je viens liker ton message

Ca vient peut-être de la dernière mise à jour automatique. Ce ne serait pas la première fois qu'elles m'amènent des trucs zarbis, avant que tout revienne en place à la mise à jour automatique suivante.

Bon, ben je me rattraperai à ce moment là ;-)

Le "Vytis" ou comment se préparer au pire chez les Lituaniens




On parle peu de la Lituanie et de son histoire mouvementée, si le pays a acquis une seconde indépendance en 1991, il semble que les lituaniens n'ont jamais perdu une certaine forme d'angoisse vis à vis de leur trop puissant (et "attachant") voisin soviétique puis russe.
Bref revenons à 1991 Algirdas Petrusevičius un patriote lituanien est bien conscient que l'indépendance de la petite république balte peut être menacée à tout moment par Moscou, le soutien occidental en termes d'armes et de munitions (dans le cas il y aura été existé) peut être facilement interrompu condamnant la jeune et quasi inexistante armée lituanienne à être aplatie par l'armée russe.
Comment alors dotez les lituaniens d'une arme simple, dont les munitions seraient peu complexes à se procurer et qui permettrait de mener une guerre de guérilla? c'est avec cette réflexion que A.Petrusevicius conçoit le Vytis, un pistolet mitrailleur simple comme bonjour et chambré originellement en 9x18mm Makarov (munitions employées par les forces de police et de sécurité russe), le fonctionnement repose sur celui d'une AK (encore!!!) avec un chargeur droit de 32 coups.
Si les russes n'ont jamais mis fin à la souveraineté des républiques baltes à cette époque, il semble bien que cela est condamnée le Vytis à être relégué aux oubliettes de l'histoire de l'armement: une version amélioré et re-chambrée en 9 x19mm Parabellum a bien été développée par quelques armuriers mais l'histoire s'arrête là.

Rikugun Ki-93, l'autre chant du cygne de l'aviation impériale japonaise.



Cette nuit, je constate avec une sérieuse pointe d'amertume que je n'ai jamais traité du Japon et de son génie technique, donc pour rattraper plus d'un an d'insultes au drapeau du Soleil Levant, je vous présente le Ki-93 de 1945 dernier né du "Giken" (institut de recherche aéronautique de la Rikugun) pour honorer la demande de l'aviation impériale (1941) de développer un chasseur lourd dépassant les 600km/h.
Si le projet initial était plutôt "normal" en termes de développement et de spécificité de l'appareil, cela se complique avec 1944 et la suprématie navale des américains: voila qu'il est maintenant demandé de mettre en place deux versions de l'appareil, une pour l'attaque de navires (le Ki-93 Ib doté entre autres d'un canon en gondole de 88mm (ou de 75, les sources varient) , probablement une grosse inspiration des Stuka ouvre boites..) et un autre mit au point pour traquer les B-29 (le Ki-93 Ia avec un canon de 57 en gondole/ sous le "ventre" + 2 canons de 20mm).
Les difficultés à mettre en place un appareil innovant pour une industrie japonaise de plus en plus ravagée, retardent le projet qui n'effectue son premier vol (le Ki-93 Ia) qu'en avril 1945!
Il n'est pas à douter que l'engin dans d'autres conditions aurait été un redoutable adversaire avec ses deux moteurs Mitsubishi Ha-214 mais là nous sommes dans la pure spéculation uchronique.

North American YAT-28E, le Trojan à la sauce Vietnam



Une série de modifications appliquée au T-28D Trojan afin de créer une version adaptée aux combats contre-insurrectionnelles (COIN) Equipé d'un turbopropulseur Lycoming T55, trois appareils seront produits et souffriront tous d'importants problèmes de structures, le premier prototype le RA-28 (la version mis au point pour l'Asie du Sud-Est) tuant même son pilote à la suite d'un décrochage (la verrière faussée ne permit pas au malheureux de sauter) le 15 février 1963.
Le programme est annulé en 1965, au profit de l'OV-10 Bronco, un appareil répondant mieux aux attentes de l'USAF.
Les deux prototypes ont été stockés et un projet de rénovation serait en cours depuis 2014 par une compagnie privée californienne (voir lien ci dessous).

http://www.t28trojanfoundation.com/yat-28e.html

Petter Mle 1939, le Pistolet-Mitrailleur inconnu.




Si je vous dis "Pistolet Mitrailleur français", il est certain que vous allez me répondre MAT-49 ou MAS-38, pourtant ça serait faire déshonneur à un projet des plus ambitieux, le Petter Mle 1939 développé par Charles G.Petter, un ingénieur suisse de la Société Alsacienne des Constructions Mécaniques (SACM), présenté en 1937 les capacités de l'arme intéressèrent au plus au haut point les officiels de l'armée de terre, ces derniers avaient enfin pris en compte le retard de l'Armée française en termes de pistolets mitrailleurs et de mitraillettes.
Une production de plus de 3000 unités fût envisagée parallèlement à la dotation de MAS-38 mais la SACM ne pouvait pas répondre à cette demande vue qu'elle produisait déjà des MAS-36. Le Mle 39 ne fût produit qu'à peine 50 exemplaires qui auraient été utilisés en mai 1940 (mais il n'existe aucune preuve photographique).
Qu'est ce qui rendait cette arme si moderne?
Le Mle 39 (7,65x20mm lounge)  présentait déjà un système de culasse recouvrante (elle recouvre une partie du canon déplaçant ainsi le centre de gravité de l'arme vers l'avant tout en réduisant le recul et la taille) que l'on rencontre après guerre sur l'Uzi israélien mais aussi un très astucieux système de "pliage" (désolé pour ce mot) qui permettait de replier le chargeur mais aussi de retirer la crosse.

Le Mle 39 et son design innovant se retrouveront après guerre sur le MAS-48 concurrent malheureux de la MAT-49.

Uranium Colonel a écrit:North American YAT-28E, le Trojan à la sauce Vietnam



Une série de modifications appliquée au T-28D Trojan afin de créer une version adaptée aux combats contre-insurrectionnelles (COIN) Equipé d'un turbopropulseur Lycoming T55, trois appareils seront produits et souffriront tous d'importants problèmes de structures, le premier prototype le RA-28 (la version mis au point pour l'Asie du Sud-Est) tuant même son pilote à la suite d'un décrochage (la verrière faussée ne permit pas au malheureux de sauter) le 15 février 1963.
Le programme est annulé en 1965, au profit de l'OV-10 Bronco, un appareil répondant mieux aux attentes de l'USAF.
Les deux prototypes ont été stockés et un projet de rénovation serait en cours depuis 2014 par une compagnie privée californienne (voir lien ci dessous).

http://www.t28trojanfoundation.com/yat-28e.html

Je connaissais cet avion (pour une fois que je connais un projet d'avion bizarre!)

Uranium Colonel a écrit:North American YAT-28E, le Trojan à la sauce Vietnam

Une série de modifications appliquée au T-28D Trojan afin de créer une version adaptée aux combats contre-insurrectionnelles (COIN) Equipé d'un turbopropulseur Lycoming T55, trois appareils seront produits et souffriront tous d'importants problèmes de structures, le premier prototype le RA-28 (la version mis au point pour l'Asie du Sud-Est) tuant même son pilote à la suite d'un décrochage (la verrière faussée ne permit pas au malheureux de sauter) le 15 février 1963.
Le programme est annulé en 1965, au profit de l'OV-10 Bronco, un appareil répondant mieux aux attentes de l'USAF.
Les deux prototypes ont été stockés et un projet de rénovation serait en cours depuis 2014 par une compagnie privée californienne (voir lien ci dessous).
http://www.t28trojanfoundation.com/yat-28e.html

Comme je ne peux toujours pas liker les posts pour problème technique, merci de cette découverte. Très esthétique. Dommage que le reste n'ait pas suivi.

J'indique une version du Noratlas en bombardier d'eau qui aurait pu devancer les Canadairs :

Noratlas de lutte anti-incendie avec sa perche d’écopage pensée par Roland Payen. (Dessin : Cyril Defever, extrait du livre de Xavier Capy « Le Noratlas », éditions Escale 1997)"

Collectionneur a écrit:J'indique une version du Noratlas en bombardier d'eau qui aurait pu devancer les Canaders :
Noratlas de lutte anti-incendie avec sa perche d’écopage pensée par Roland Payen. (Dessin : Cyril Defever, extrait du livre de Xavier Capy « Le Noratlas », éditions Escale 1997)"

Si c'est pensé par Roland Payen, c'est forcément très bien ;-)

https://www.youtube.com/watch?v=0W3FsBTAqgc&list=WL&index=242

Au sujet du Convair Kingfish.

Le Char de Forteresse 1939, un lourdeau "démontable".



Dans l'idée du char lourd, pataud et hérité de la première guerre, les français avec les FCM ont pensé la guerre blindée avec une à deux décennies de retard, pourtant ceux-ci avaient bien compris les problèmes de la mobilité et de la logistique associées à ces monstres blindés, c'est ainsi que le Char de Forteresse 1939 devait être ainsi démontable en deux parties afin de faciliter son transport sur route (la dernière section tractant la première rassemblant l'armement (1 75mm APX, 3 mitrailleuses lourdes et 2 lance flammes). Le projet fût annulé en octobre 1939.

Source: http://www.chars-francais.net/2015/index.php/7-archives/de-1930-1940/2428-1939-char-forteresse-arl

Bolhovitinov 2B-A-15, 1955, vous avez dit tordu?




Et oui, encore une énième concurrente des AK et autres AKM avec le Bolhovitinov 2B-A-15, ce dernier reste méconnu et l'unique source que j'ai trouvé en russe indique que seulement deux prototypes ont été mis au point en 1955-6 à l'usine d'armement de Kovrov, avis aux amateurs de trucs tordus.

https://www.thedrive.com/the-war-zone/40396/the-u-s-once-helped-china-develop-a-modern-jet-fighter

(petit article sur la collaboration entre l'Amérique et la Chine pour le développement de chasseurs dans les années 80).

Sur une vidéo d'une chaine US sur Youtube parlant du porte-hélicoptères futur porte-avions Izumo japonais, un passage indique que dans les années 1950, à la recréation de la marine de guerre japonaise, il était envisagé un porte-avions classe Essex gréé pour la lutte anti sous marine, puis en 1959, un porte-hélicoptère lourd pouvant emporter 18 Sea King et mettre en œuvre 3 simultanément. Mais je n'ai pas réussi à trouver pour le moment de document sur ce navire qui immatriculé 141 sur les dessins mit dans la vidéo . En 1967, il est envisagé un porte-hèlicoptères de 8500 t avec 6 hélicoptères :

Uranium Colonel a écrit:https://www.thedrive.com/the-war-zone/40396/the-u-s-once-helped-china-develop-a-modern-jet-fighter

(petit article sur la collaboration entre l'Amérique et la Chine pour le développement de chasseurs dans les années 80).

J'en ai parlé. Cela doit être quelque part sur le sujet, dans les premières pages.

Collectionneur a écrit:Sur une vidéo d'une chaine US sur Youtube parlant du porte-hélicoptères futur porte-avions Izumo japonais, un passage indique que dans les années, à la recréation de la marine de guerre japonaise, il était envisagé un porte-avions classe Essex gréé pour la lutte anti sous marine, puis en 1959, un porte-hélicoptère lourd pouvant emporter 18 Sea King et mettre en œuvre 3 simultanément. Mais je n'ai pas réussi à trouver pour le moment de document sur ce navire qui immatriculé 141 sur les dessins mit dans la vidéo . En 1967, il est envisagé un porte-hèlicoptères de 8500 t avec 6 hélicoptères :

Si tu trouves des infos, je suis preneur.
J'essayerais de creuser durant le week-end.

Vraiment pas trouvé grand chose jusqu’à présent sur ce projet :

https://spfusa.org/wp-content/uploads/2017/01/US-Japan-Alliance-JSDF.pdf

Page 35 sur 71 de ce PDF :

En outre, bien que le Second Defence Build-up Programme proposait l'introduction d'un porte-hélicoptères anti-sous-marin d'environ 11 000 tonnes pouvant transporter 18 hélicoptères, le projet de loi a été rejeté pour des raisons financières, une forte opposition du Bureau intérieur et le manque de soutien budgétaires des États-Unis.

Idem. 126. Ce projet a été généralement approuvé par le directeur général de l'Agence de défense, Akagi Munenori ; Cependant, il a ensuite été annulé en raison de la forte opposition du directeur général du Conseil de la défense nationale de l'époque, Osamu Kaibara et d'autres.

Pour le projet d’acquisition d'un porte-avions Essex, le Japon avait acquit un total de 60 Grumman S2F Tracker, largement de quoi l'équipé. A la fin des années 1960, les Anti-submarine warfare carrier (CVS) embarque 2 escadrons de 12 Tracker soit 24, un escadron de 16 hélicoptères Sea King ou Sea, quelque fois 4 A-4 Skyhawks et des avions radars Grumman E-1 Tracer

Pour le projet de portes hélicoptères vers 1970, Flottes de Combat 1972 indique dans le projet 4e plan de défense de 1971 un projet de 2 croiseurs de 8000 t pour 6 Sea King, un peu plus petit que la Jeanne d'Arc avec ses 10 000 t pour un maximum théorique de 8 Super Frelon.

Chapeau bas Préhistorique, je viens d'apprendre quelque chose .

Anaxagore a écrit:

Uranium Colonel a écrit:https://www.thedrive.com/the-war-zone/40396/the-u-s-once-helped-china-develop-a-modern-jet-fighter

(petit article sur la collaboration entre l'Amérique et la Chine pour le développement de chasseurs dans les années 80).

J'en ai parlé. Cela doit être quelque part sur le sujet, dans les premières pages.

Oui, première page

McDonnell 119, un échec très élégant



Revenons aux années 1950 et 1960, le transport aérien se développe en masse, de même que les voyages d'affaires pour businessmen occidentaux, McDonnell est en pleine heure de gloire (la compagnie vient de développer le F4 et participe aux programmes Gemini et Mercury de la NASA) et décide donc de produire un petit et rapide appareil de transport proposant un cadre luxueux pour 10 à 20 hommes d'affaires.
Pourtant le Projet 119 était le premier appareil civil de la firme et devait beaucoup au projet Utility-Cargo Experimental (UCE) de l'USAF: après tout l'engin était rapide (550km/h pour 4000km d'autonomie), présentait un caractère semi modulaire (où l'appareil pouvait être transformé assez rapidement en avion hôpital ou avion de transport de matériel), avec ses moteurs en nacelles, il présentait un caractère assez innovant..qui fût rejeté par l'USAF au profit du C-140 JetStar de chez Lockheed.

Qu'importe, en lui adjoignant des turbojets Westinghouse J34 (McDonnell 220), McDonnell pouvait enfin percer dans le domaine civil, toutefois la concurrence sous le forme du Falcon 20 de chez Dassault empêcha toute vente de l'appareil, dont un exemplaire est conservé à El Paso (la rumeur veut que celui-ci ait été utilisé pour des opérations "noires" en Amérique Latine dans les années 60-70.).

Boeing Sonic Cruiser, l'avion de ligne du XXIe siècle (ou pas).




En cette période où le développement de nouveaux avions de ligne bât son plein. il serait bon de revenir un peu dans un passée lointain, les années 2000.
Le Boeing Sonic Cruiser est un projet (resté sur le papier) d'un appareil à configuration delta/canard capable d'une vitesse subsonique de 0,98 Mach, né dans les années 1980 mais annoncée en 2001, l'appareil se veut être la petite riposte de Boeing à l'A-380 de chez Airbus, si les capacités en termes de passagers sont limités (moins de 250 passagers), le Sonic Cruiser aurait du être l'un des avions de ligne les plus rapides jamais construits (exception des appareils de type concorde et Tu-144), imposant ainsi un système de "Spoke-Hub" (réseau d'aéroports en forme de roue, organisée autour d'un aéroport international de grande capacité, les "rayons" relient à des aéroports régionaux de moyenne capacité..).
Le Sonic Cruiser est à partir de 2001 la coqueluche de la presse spécialisé américaine et d'un certain Richard Branson.

MAIS la conception du voyage aérien avait changé et Boeing devait prendre en compte que le plus vite ne rimait pas avec le plus économique (en termes de carburant) et le plus ergonomique: en mettant en place le Projet Yellowstone (chercher des configurations pour des avions de ligne plus économiques) Boeing condamnait le Sonic Cruiser tout en couronnant ce qui deviendrait le 787 Dreamliner (un autre projet..compliqué). Le 11 septembre acheva la fin du projet mais il serait injuste de dire que le projet n'a rien donné: les recherches menées ont permis notamment de travailler sur les fibres de carbone et des avioniques avancées: ainsi entre 2012 et 2014 Boeing a de nouveau planché sur un appareil subsonique en s'inspirant des recherches du Sonic Cruiser.

Un article récent indiqué que ce projet était surtout un coup de com pour inciter Airbus a ce lancé également dans ce type d'étude et lancé ''une course a l'armement'' qui devait l'épuiser.

La charrue canon

Parmi tous les projets d'armes et d'engins uchroniques que l'on trouve depuis la première page laissez-moi vous présenter la palme d'or du projet le plus délirant, le plus absurde et le plus risible: la charrue canon.



La "Charrue-canon" est un brevet déposé par messieurs C;-M French et  W.-H Fancher pour créer (je cite) " un moyen de défense destiné à repousser les surprises et attaques de brigands pour ceux qui se livrent aux paisibles travaux des champs. Il suffisait simplement de dételer l'appareil pour pouvoir faire feu, le soc assurant fermement la pièce sur le sol".


L'engin fut présenté en 1873 à l'exposition de Vienne et eut en 1874 l'honneur d'un article français dans la "publication de la Réunion des officiers". Il s'agissait cette fois d'une version améliorée de l'arme originale (créée 11 ans plus tôt). voilàs ce qu'en dit la revue française:
"Dans les dernières années des incursions des Indiens, ceux des Américains qui avaient leur huttes trop près des Peaux Rouges eurent beaucoup à souffrir. Deux Yankees ont donc cherché  à remédier à cet inconvénient, en mettant entre les mains des pionniers des moyens de pouvoir se défendre contre de telles attaques. Ils combinèrent un outil qui est tout à la fois charrue et canon ; le timon de la charrue constitue le cylindre du canon et peut-être démonté ; il est pourvu d'une fermeture qui permet de maintenir le canon constamment chargé, de fermer et d'ouvrir l'embouchure au moment du danger, comme une boite pourvue de son couvercle
La charge n'est pas trop forte, mais suffisante pour lancer à une distance de 200 à 300 pas, de 20 à 30 balles de fusil, voir (1) des pierres d'un certain volume.
Cet engin, si original qu'il puisse paraître est digne d'attention quand on sait quelle peur les sauvages ont du canon."

Sauf qu'il n'existe aucune preuve que la charrue canon ait eu du succès à la vente. On n'en a jamais trouvé d'autres mentions.

Petite remarque en cherchant des renseignements sur cet arme étrange qui n'est mentionnée que dans "la gazette des armes" n° 53, octobre 1977; j'ai découvert une mention d'une autre arme à potentielel uchronique.
En effet, au côté de cette arme bizarre, les Américains montrèrent une autre arme à l'exposition de Vienne de 1873: une grosse pièce d'artillerie tirant deux coups de suite grâce ) un bloc coulissant percé de deux chambres.



(1) note il faut lire ici "voire" la faute est dans le texte d'origine.

Brevet de French à Waterloo ? Rien que la phrase fait sourire

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Waterloo_(New_York)