[World Building] L'espace

Comme vous le verrez lors du tome 2, la conquête spatial est un sujet peu traiter.
Les grande ligne de la course à l'espace reste les même qu'OTL.
Je suis preneur de vos idées et propositions sur le sujet en vue d'un (ou plus) chapitre(s) sur le sujet pour le Cycle 3 ou une annexe.

Collectionneur avait déjà poser quelques idées ici: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Le Japon se lance dans la course à l'espace mais plus tard que les USA et l'URSS. Le but n'est pas la conquête, mais le développement technologie et scientifique.
La JAXA est crée dans les même condition qu'OTL avec la fusion des Japan's Institute of Space and Astronautical Science (ISAS), the National Aerospace Laboratory of Japan (NAL), et National Space Development Agency of Japan (NASDA).
Toutefois, on peu travailler pour étoffer son programme spatial. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Les seuls chose que je tiens pour sur est qu'avec l'arrivé de Space X sur le marché, JAXA demande à ses partenaires industriels de plancher eu aussi sur un lanceur réutilisable.
La JAXA planche aussi sur système de drone spatial capable de déployer des "robot" eux même capable de déployer un filet pour capter des débris spéciaux pour les désorbiter ou pour désorbiter des satellites.

Je vous partage un passage d'un chapitre du Cycle 2 consacré à la restructuration d'industrie aéronautique japonaise:

La première nouvelle compagnie à voir le jour est la Nihon Aircraft Manufacturing Corporation en 1951. En effet, le Japon à un vrai déficit dans le domaine des avions de ligne et à l’initiative de l’état, la compagnie est créé avec la participation des grands acteurs de l’industrie aéronautique.

La compagnie lancera son premier long courrier à réaction en 1969.

Pourtant dès 1981 NMAC connait des problèmes financiers. La compagnie est restructurée, les parts des actionnaires sont modifiées dans le cadre d’un partenariat stratégique avec la Mandchourie. Cela a abouti en 1983 à la création d’Asia Aerospace Corporation. Ses parts sur le marché mondial restent encore limitées face au géant que sont Airbus et Boeing, mais des progrès notables ont été observés à la fin des années 2000. De plus, les avions développé par AAC servent de base au développement d’avions miliaires (patrouilleur maritime, transports, ravitailleurs…) développé nationalement par le Japon ou la Mandchourie.

Actionnaires de l’Asia Aerospace Corporation
Mitsubishi Heavy Industries 20%
Kawasaki Heavy Industries 20%
Fuji Heavy Industries 10%
IHI Corporation 10%
Shenyang AeroSpace 10%
Manchurian Aircraft Company 20%
Gouvernement japonais 5%
Gouvernement mandchou 5%

Depuis, le marché japonais de l’aviation militaire est dominé par les seuls Mitsubishi, Kawasaki et Fuji. Chacun avec la suprématie sur un domaine spécifique, ainsi Mitsubishi domine le marché des chasseurs, Kawasaki celui des avions lourds (cargo et bombardier), Fuji domine le marché des voilures tournantes.
Aucun acteur étranger n’est jamais parvenu à s’imposer sur le marché japonais, même par la corruption comme lors du scandale Lockheed du milieu des années 70.

En 2003, après la fusion créant la JAXA, l'AAC prend le contrôle des organisations du secteur laissées sur le carreau:
*Institute for Unmanned Space Experiment Free Flyer (USEF)
*Earth Remote Sensing Data Analysis Center (ERSDAC)
*Japan Resources Observation System Organization (JAROS)
OTL ces organisations fusionnnt pour former la Japan Space Systems. En ABATL elle permette à l'AAC d'étoffer ses capacités dans le domaine spatial avec sa branche Asia Space Systems.
L'AAC, même si elle n'a pas de direction équivalente au charismatique Elon Musk, visent l'exploitation commerciale de l'espace et notamment les ressources minérale de Lune.
Sans donner trop de détail suite à une catastrophe nucléaire en XX le Japon souhaite s’affranchir des centrale conventionnel et les recherche sur les centrales à thorium et hélium 3 battent leur plein.

On peux imaginer que dans le cadre du partenariat Nippo-Mandchou, des compagnies mandchous soient aussi incorporé dans Asia Space Systems.
D'ailleurs, je n'ai pas encore écrit quoi que ce soit sur la recherche spatiale mandchoue. C'est donc un point à dévelloper.

Concernant les installations de lancement japonaise:
*Base de lancement de Tanegashima existe comme OTL: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*Base de lancement de Peleliu (plus proche de l'équateur). En ABATL, Palaos est indépendante, mais le Japon y est très présent.

Pour renvoyer au proposition de Collectionneur on peu imaginer que l'AAC dispose d'une base de lancement à près  aux Salomons (ou à Rabaul?).

Une autre idées que j'envisage d'exploiter, mais dont l'impact est moindre:
Entreprise ukraino-kazak sobrement baptisé Kosmos lance l'équivalent du Dnepr sous le nom Talas (une rivière du Kazakhstan). Kosmos a sécurisé des accords pour les lancement depuis Baïkonour. A l'époque l'économie Kazak plus libérale que dans le reste des CEI permet d'attirer des investisseurs étrangers. Kosmos est donc basé au Kazakhstan, mais le savoir faire viens d’Ukraine: Yuzhnoye (design), Yuzhmash (manufacturing), Khartron (control system). Après le Talas, Kosmos compte utiliser les Tayfun (Cyclone-4M et Mayak OTL).

Elle est pas "si" puissante, mais elle à une économie puissante car elle regorge de ressources (OTL l'essentiel du pétrole chinois ci trouve), elle à une bonne industrie lourde et des salaires plus bas qu'au Japon et en occident ce qui fait que beaucoup d'entreprise y investissent pour sous-traiter.
En plus la Mandchourie est une "démocratie" stable.

Voici ce que j'ai brouillonné ce jour quand au programme spatial japonais:

Les  spationautes japonais sont appelés Uchūhikōchi (Uchū hikō-shi) et Uchuunote en Français. Le Japon ne joue pas la course à l’espace au début de la guerre froide et à une ambition purement scientifique et technologique. Le Japon à un intérêt limité pour ce qui est l’exploration spatiale humaine à cause des risques dus au rayon comique et s’oriente plus vers la robotisation et l’IA en attendant que des technologies réalistes puisse protéger l’homme dans l’espace.
23 novembre 1965 : Kinsei 6, une sonde spatiale japonaise est la première à poser un atterrisseur sur Vénus. La sonde japonaise est lancée le même jour que Cosmos 96 de l’URSS. Cette dernière victime d’une défaillance retombe sur terre le 9 décembre. C’est une véritable humiliation pour l’URSS. La sonde japonaise entre en orbite de Vénus le 21 décembre et l’atterrisseur se pose le même jour.
1984 : Le Japon envoie un vaisseau habité directement sur la Lune dans le cadre d’une démonstration surprise de ses capacités technologiques.
1993 : le Japon lance la sonde Engi (présage/augure) qui survole Mercure à 3 reprises avant de se placer en orbite. JAXA pense que la sonde restera en orbite 6 mois. Elle y reste 3 fois plus longtemps avant de rompre tout contact. On pense alors qu’elle s’est écrasée ou a été frappé par une micrométéorite.
2003 : en parallèle de la mission américaine Mars Exploration Rover (MER), le Japon pose le rover Daitan (audace, témérité, hardiesse) sur la planète rouge.
3 décembre 2010 : JAXA lance Hayashi (baptisé en hommage à Chushiro Hayashi mort en début d’année) une sonde avec orbiteur et atterrisseur en direction de Rhéa (un satellite naturel de Saturne, le deuxième plus grand satellite de la planète par la taille après Titan).
2017 : JAXA et AAC (via sa branche ASC) font partie des principaux partenaires du projet Lunar Orbital Platform-Gateway.
7 janvier 2017 : Hayashi se place en orbite de Rhéa.
14 janvier 2017 : Hayashi pose son orbiteur sur Rhéa.
2019 : le Japon lance les une constellation de micro satellite et de robots devant explorer Lune. Ils doivent d’ici 2027 permettre de choisir plusieurs sites d’atterrissage. Le but du Japon est de transformer la Lune en observatoire spatial géant tout en préparant l’exploitation de l’hélium 3. 2027 verra l’atterrissage simultané de deux missions habitées et de robots supplémentaires. La Japon souhaite installer plusieurs sites habités, qui à terme ne le se serons que de manières occasionnelles. Des télescopes et détecteurs d’ondes gravitationnelles doivent être installés à plusieurs endroits sur la Lune. L’exploration automatisée sera poursuivie. Les installations seront alimentées par des mini-réacteurs nucléaires à hélium 3. Les réacteurs comme les bases habitées et les hangars à robots seront installés sous une couche de régolite afin de limiter l’impact des radiations cosmiques (la Lune n’a pas d’atmosphère).
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (t%C3%A9lescope_spatial)

N’hésitez pas a proposer des ajouts. Notamment des programme ou mission qui on échoué. Je n'ai rien écrit sur la genèse du programme spatial japonais, les propositions sont bienvenues.

Merci. C'est corrigé.

Ajouts:
25 mars 1980 : La sonde japonaise Kinsei 17 décolle pour Vénus. Le 31 octobre Kinsei 17 place un orbiteur incluant un radar cartographique, ainsi qu’un atterrisseur avec des caméras en couleur. L’une des deux camera ne fonctionne pas. Kinsei devait aussi relâcher un ballon sonde devant effectuer des analyses atmosphérique. Suite à un disfonctionnement le ballon ne se gonfle que partiellement et retombe au sol.

14 juin 1992 : la sonde Kinsei 17 orbitant autour de Venus cesse d’émettre.

Avril 2003 : Le Japon lance la mission Shinkirō en direction de la comète Tempel 1 quelle doit atteindre en 2006.

2006 : Shinkirō se place en orbite de Tempel 1 et lance un atterrisseur. Ce dernier embarque un chromatographie en phase gazeuse, un spectrographe infrarouge, un spectromètre gamma, des caméras, une foreuse.

2009 : La capsule de retour sur terre des échantillons de Shinkirō se disloque lors de sa rentré dans l’atmosphère terrestre. Les échantillons son perdu dans le pacifique.

2016 : La mission Daibā est lancer vers Titan via un Raijin-I. Daibā est un amerisseur qui doit se poser sur Ligeia Mare. Il doit estimer la composition des océans et notamment la quantité de méthane.

2017 : Lancement de Meikyū vers Encelade. Contrairement aux missions américaines à l’étude Meikyū ne va chercher de la vie sur la lune de saturne, mais déterminer l’exploitabilité de la neige et de l’eau. Le but envisagé est à long terme est d’utiliser l’eau d’Encelade pour fabriquer du carburant pour des vaisseaux qui exploiterons les ressources du système solaire.

2023: Daibā atteint l’orbite de Titan et se pose sur Ligeia Mare sans incident 3ans avant le lancement de la mission Dragonfly américaine.

Décembre 2024: la mission Taigo est lancer via le nouveau lanceur Raijin-I et doit marquer le retour de japon dans l’orbite de Vénus.

2025 : Meikyū arrive en orbite d’Encelade et largue l’atterrisseur Ama I et l’impacteur Ama II.

Mai 2025 : Taigo entre orbite de Vénus. L’atterrisseur Sugao se pose après une heure de descente puit opère pendant 3 heures et 8 minutes au lieu des 3 heures 30 prévus. Sugao emporte un doppler, un spectromètre de masse neutre, un système d'imagerie, un spectromètre lazer, et un spectromètre infrarouge. Lors de sa descente, Sugao analyse l'inventaire des gaz rares atmosphériques et des isotopes, ainsi que des gaz réactifs et mesure le profil de la structure atmosphérique. Il permet également d'obtenir des images de la surface à partir d'une altitude de 15 km et d'acquérir des images panoramiques du site d'atterrissage. Il relai tous ses analyse à Taigo qui les renvois vers la terre. En parallèle Taigo doit faire des relevés topographiques et cartographique en haute résolution.

Dans l'Univers d'Au Bord de l'Abîme, la France ressort de la seconde guerre mondiale aussi ruinée qu'OTL. Dans le temps elle ne se porte économique et politiquement guerre mieux qu'OTL, juste un peu plus d'exports d'armements comme le laisse entrevoir le Cycle 2.

Merci pour ces infos Arcibald.
En ABATL, le Japon ne subit de défaite et reste une puissance à la fin de la WWII. D’où un programme spatiale détaché des contraintes US.

J'ai regroupé mes notes et pris en compte une partie de vos remarque.
Toutes les idées sont les bienvenus, j'ai beau adorer l'espace et la SF je ne suis super calé sur sujet.
Je cherche à étoffer la liste des projets, à affiner les dates de lancement...
Attention pavé!!!

Japan can into space V3
Résumé des choses sur lequel je planche. C’est donc volontairement peu détaillé. Je vous laisse des liens Wikipédia. N’hésitez pas si vous avez des idées.

JAXA et ASS
Le Japon se lance dans la course à l’espace, mais plus tard que les USA et l’URSS. Le but n’est pas la conquête, mais le développement technologie et scientifique.
La JAXA est créée en 1993, dans la même condition qu’OTL avec la fusion des Japan’s Institute of Space and Astronautical Science (ISAS), the National Aerospace Laboratory of Japan (NAL), et National Space Development Agency of Japan (NASDA).
Le programme spatial japonais se concentre sur la Lune, Venus, les astéroïdes, et les lunes de Saturne et Jupiter. Il ne vise pas la colonisation de planètes, mais l’exploitation de ressources et l’avancement technico-scientifique.

Budget de la JAXA oscille entre 13 et 18 milliards de Dollars par an.

En 1993, après la fusion créant la JAXA, l’AAC prend le contrôle des organisations du secteur laissées sur le carreau:
*Institute for Unmanned Space Experiment Free Flyer (USEF)
*Earth Remote Sensing Data Analysis Center (ERSDAC)
*Japan Resources Observation System Organization (JAROS)
OTL ces organisations fusionnent pour former la Japan Space Systems. En ABATL elle permet à l’AAC d’étoffer ses capacités dans le domaine spatial avec sa branche Asia Space Systems.

La privatisation de l’Espace côté japonais
L’AAC, même si elle n’a pas de direction équivalente au charismatique Elon Musk, vise l’exploitation commerciale de l’espace et notamment les ressources minérales de Lune. Sans donner trop de détail suite à une catastrophe nucléaire en XX le Japon souhaite s’affranchir des centrales conventionnelles et les recherches sur les centrales à thorium et hélium 3 battent leur plein.
En 2001, deux ans avant SpaceX d’Elon Musk, le Japon voit la création de Galaxy Express Corporation (GALEX / GX).
GALEX a alors trois objectifs. Le premier, à court terme, est d’offrir des lancements à bas prix avec un maximum de rentabilité pour le secteur satellitaire. Le deuxième, à moyen terme, est de pouvoir réutiliser ses lanceurs. Enfin à long terme la compagnie souhaite explorer et exploiter les ressources du système solaire avec d’autres partenaires commerciaux. Les activités envisagées à long terme sont le tourisme spatial, le minage d’astéroïde ou encore l’exploitation de l’Hélium 3 lunaire.
Asia Space Systems qui avançait assez peu de son côté devient l’un de premier et principaux investisseurs dans la Start Up. GALEX reste bien moins médiatisé que SpaceX. Pourtant son tout premier lanceur le GX-1 (non réutilisable) est plus performant et plus fiable que le Flacon-1 d’Elon Musk.
GX-2 se veut être une évolution entièrement réutilisable du GX-1. Bien que le programme soit un succès, il aura avancé moins vite que le projet Falcon9 de SpaceX.
GX-Fujin concurrent direct du Falcon Heavy. Réussira son premier vol avec près de 2 ans de retard sur son concurrent. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Bases de lancement et autres installations
*Base de lancement de Tanegashima existe comme OTL: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*Base de lancement de Peleliu (plus proche de l’équateur). En ABATL, Palaos est indépendantes, mais le Japon y est très présent.
*Site d’atterrissage sur d’Aeon Airstrip sur l’île Christmas dans les Kiribati
*Le Centre d’espace lointain d’Usuda (est plus grand et plus performant en ABATL) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Zenith Satellite System et autres satellites
*comme toutes les grandes puissances, le Japon s’est doté de son propre réseau GNSS.
*En AABATL les satellites IGS sont connus sous le nom JSE et sont lancés depuis 1967 en bien plus grand nombre. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*Les satellites ETS-Kiku sont bien plus nombreux qu’OTL. Premier lancement le 23 juillet 1962. Les premiers étant des « active repeater satellite » [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Les lanceurs
*N-I : lanceur lourd équivalent de la version OTL dès 1962, sauf qu’ici la fusée dérive du Type 60 ICBM (conçu en 1960). La N-I cesse de voler en 1975. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*N-II : Succède à la N-II de 1975 à 1987. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*R-I : lanceur lourd jouant la catégorie des Saturnes V et N1-L3 [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*R-III : équivalent d’un Atlas V Heavy
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*R-IV: équivalent d’un Arex V [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*R-VI: lanceur super lourd. Imaginez une sorte Energia Vulkan, mais avec un deuxième étage. Le lanceur culmine après de 120 m de haut. Le seul truc comparable est le SpaceX Starship. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
* H-I, H-II : Alors que le programme H-I ne visait que l’expérimentation, la famille H-II (incluant H-IIA et H-IIB) est un lanceur léger pour la mise sur orbite de satellites. H-II en service de 1992 à 1999.https://en.wikipedia.org/wiki/H-II
*H-III : opérationnelle dès 2019. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*Mu : Dérivé de l’ICBM Type 83. Équivalent du M-V OTL. En service de 1985 à 2005. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*E-I : Successeur du Mu. Équivalent de l’Enhanced Version de l’Epsilon OTL. En service depuis 2008. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Véhicules spatiaux
*T-X Ariake: avion de reconnaissance à long rayon d’action et haute altitude. Sujet de nombreuses rumeurs. On ne sait même pas s’il existe. Certains disent que l’engin peut emporter des armes en orbite, voler à Mach 5 et qu’il serait en service depuis 1999.
*X-1 Hinode : Projet initialement militaire de navette automatisé qui vole de 1999. Donc 7 ans avant le X-37B de Boeing. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*K-X Ryūsei: Navette spatiale entièrement automatisée qui découle directement du projet X-1. Premier vol en 2006 expérimental. Opérationnel en 2010. Il sert à ravitailler et réparer des satellites et télescopes spatiaux. Un usage militaire probable est soupçonné. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*H-I Kōnotori : vaisseau cargo automatisé pour ravitailler l’ISS. En service depuis 1999. Le H-Ib lancé en 2001 dispose de meilleur panneau solaire. H-X version amélioré en service à partir de 2015. H-R, version mise en service en 2010 pour acheminer et ramener des humais depuis l’orbite terrestre. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*Fuji : Vaisseau modulaire en service depuis 1984 permettant d’acheminer et ramener des humais depuis l’orbite terrestre. C’est un peu le Soyouz japonais. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*Kyūshin : Successeur du Fuji en développement depuis 2006. 4 vols orbitaux ont eu lieu dont 1 habité en 2014. Développement d’évolution en cours en vue du retour sur la lune. Il y aura aussi une version entièrement automatisée baptisée Ryū. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  https://en.wikipedia.org/wiki/Progress_(spacecraft) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  https://en.wikipedia.org/wiki/Dragon_2

Autres infos
*Père du programme spatial japonais : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*Dans le domaine spatial japonais en plus de la version uchronique de GALEX, une entreprise nommée Tanaka Atomics créé spécialement pour mon Japon uchronique intervient dans le cadre des projets T-X, X-1 et K-X. Cette entreprise touche à beaucoup de domaines : propulsion nucléaire, énergie renouvelable, drones, aérospatial et spatial, systèmes…
*Dans Au Bord de l’Abîme, le secret défense au Japon est très strict. Les lancements de charges utiles militaires sont interdits au public et à la presse. Le contenu des charges utiles est rarement communiqué. Les rares images diffusées le sont par le gouvernement.
*Les spationautes japonais sont appelés Uchūhikōchi (Uchū hikō-shi) et Uchuunote en Français. Le Japon ne joue pas la course à l’espace au début de la guerre froide et à une ambition purement scientifique et technologique. Le Japon à intérêt limité pour ce qui est l’exploration spatiale humaine à cause des risques dus aux rayons cosmiques et s’oriente plus vers la robotisation et l’IA en attendant que des technologies avancées puissent protéger l’homme dans l’espace.
*Même si pas détaillée, il parait logique que la participation à l’ISIS soit renforcée.

Historique partiel des missions et projets
*2 novembre 1957 : moins d’un mois après Sputnik, le Japon, met en orbite son premier satellite le Ōsumi. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*23 novembre 1965 : Kinsei 6, une sonde spatiale japonaise est la première à poser un atterrisseur sur Vénus. La sonde japonaise est lancée le même jour que Cosmos 96 de l’URSS. Cette dernière victime d’une défaillance retombe sur terre le 9 décembre. C’est une véritable humiliation pour l’URSS. La sonde japonaise entre en orbite de Vénus le 21 décembre et l’atterrisseur se pose le même jour.
*25 mars 1980 : La sonde japonaise Kinsei 17 décolle pour Vénus. Le 31 octobre Kinsei 17 place un orbiteur incluant un radar cartographique, ainsi qu’un atterrisseur avec des caméras en couleur. L’une des deux caméras ne fonctionne pas. Kinsei devait aussi relâcher un ballon-sonde devant effectuer des analyses atmosphériques. Suite à un dysfonctionnement, le ballon ne se gonfle que partiellement et retombe au sol.
*1984 : Dans le cadre de la mission Shingetsu, le Japon envoie un vaisseau habité directement sur la Lune dans le cadre d’une démonstration surprise de ses capacités technologiques. Les Uchuunote séjournent trois jours sur la Lune avant de regagner la terre.
*18 aout 1985 : lancement du Suisei dans le cadre de l’armada devant explorer la comète de Halley. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
*14 juin 1992 : la sonde Kinsei 17 orbitant autour de Vénus cesse d’émettre.
*1993 : le Japon lance la sonde Engi (présage/augure) qui survole Mercure à 3 reprises avant de se placer en orbite. JAXA pense que la sonde restera 6 mois en orbite. Elle y reste 3 fois plus longtemps avant de rompre tout contact. On pense alors qu’elle s’est écrasée ou a été frappé par une micrométéorite.
*2003 : en parallèle de la mission américaine Mars Exploration Rover (MER), le Japon pose le rover Daitan (audace, témérité, hardiesse) sur la planète rouge.
*Avril 2003 : Le Japon lance la mission Shinkirō en direction de la comète Tempel 1 quelle doit atteindre en 2006.
*2006 : Shinkirō se place en orbite de Tempel 1 et lance un atterrisseur. Ce dernier embarque un chromatographie en phase gazeuse, un spectrographe infrarouge, un spectromètre gamma, des caméras, une foreuse.
*2009 : La capsule de retour sur terre des échantillons de Shinkirō se disloque lors de sa rentrée dans l’atmosphère terrestre. Les échantillons sont perdus dans le pacifique.
*3 décembre 2010 : JAXA lance Hayashi (baptisé en hommage à Chushiro Hayashi mort en début d’année) une sonde avec orbiteur et atterrisseur en direction de Rhéa (un satellite naturel de Saturne, le deuxième plus grand satellite de la planète par la taille après Titan).
*2016 : La mission Daibā est lancée vers Titan via un R-III. Daibā est un amerisseur qui doit se poser sur Ligeia Mare. Il doit estimer la composition des océans et notamment la quantité de méthane.
*2017 : JAXA et GALEX font partie des principaux partenaires du projet Lunar Orbital Platform-Gateway.
*7 janvier 2017 : Hayashi se place en orbite de Rhéa.
*14 janvier 2017 : Hayashi pose son orbiteur sur Rhéa.
*2017 : Lancement de Meikyū vers Encelade. Contrairement aux missions américaines à l’étude Meikyū ne va chercher de la vie sur la lune de saturne, mais déterminer l’exploitabilité de la neige et de l’eau. Le but envisagé est à long terme est d’utiliser l’eau d’Encelade pour fabriquer du carburant pour des vaisseaux qui exploiteront les ressources du système solaire.
*2019 : le Japon lance les une constellation de micro satellite et de robots devant explorer Lune. Ils doivent d’ici 2027 permettre de choisir plusieurs sites d’atterrissage. Le but du Japon est de transformer la Lune en observatoire spatial géant tout en préparant l’exploitation de l’hélium 3. 2027 verra l’atterrissage simultané de deux missions habitées et de robots supplémentaires. Le Japon souhaite installer plusieurs sites habités, qui à terme ne le se serons que de manières occasionnelles. Des télescopes et détecteurs d’ondes gravitationnelles doivent être installés à plusieurs endroits sur la Lune. L’exploration automatisée sera poursuivie. Les installations seront alimentées par des mini-réacteurs nucléaires à hélium 3. Les réacteurs comme les bases habitées et les hangars à robots seront installés sous une couche de régolite afin de limiter l’impact des radiations cosmiques (la Lune n’a pas d’atmosphère).
*2020 : Suite à la crise monumentale qui frappe le monde fin 2019/2020 (je ne spolierais pas) le projet Lunar Orbital Platform-Gateway est remis à une date indéterminée. Le Japon lance son propre programme. La JAXA et l’ESA annoncent la fusion de leur programme visant à désorbiter les satellites et débris spatiaux en orbite terrestre. Le programme de l’ESA était e.Deorbit, le programme de la JAXA était d.Orbit. Le nouveau programme s’appelle clean.orbit.
*2023: Daibā atteint l’orbite de Titan et se pose sur Ligeia Mare sans incident.
*Décembre 2024: la mission Taigo est lancée via le nouveau lanceur R-IV et doit marquer le retour du Japon dans l’orbite de Vénus.
*2025 : Meikyū arrive en orbite d’Encelade et largue l’atterrisseur Ama I et l’impacteur Ama II.
*Mai 2025 : Taigo entre orbites de Vénus. L’atterrisseur Sugao se pose après une heure de descente puis opère pendant 3 heures et 8 minutes au lieu des 3 heures 30 prévus. Sugao emporte un doppler, un spectromètre de masse neutre, un système d’imagerie, un spectromètre laser, et un spectromètre infrarouge. Lors de sa descente, Sugao analyse l’inventaire des gaz rares atmosphériques et des isotopes, ainsi que des gaz réactifs et mesure le profil de la structure atmosphérique. Il permet également d’obtenir des images de la surface à partir d’une altitude de 15 km et d’acquérir des images panoramiques du site d’atterrissage. Il relaie toutes ses analyses à Taigo qui les renvois vers la terre. En parallèle Taigo doit faire des relevés topographiques et cartographiques en haute résolution.

Plans à long terme sur l’exploitation spatial
Le plan japonais et de rediriger des astéroïdes pour les placer en orbite lunaire, y faire l’extraction avant un renvoi sur terre. Sur le long terme, l’ascenseur spatial serait une option envisagée pour redescendre les extractions de manière plus rapide et plus sûre.
La première cible japonaise pour une expérimentation d’extraction est Nérée [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] en 2021. Le robot doit extraire et nettoyer 1 à 5 k de métaux, avant de renvoyer à son vaisseau qui doit ensuite regagner la terre. Le caisson à métaux doit ralentir via des parachutes une fois entrés dans l’atmosphère. Pour absorber l’impact au sol ou flotter sur l’océan, des coussins d’air se gonfleront avant l’impact.
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L’une des compagnies voulant miner des astéroïdes est Mitsui Sumitimo Space Exploration and Minning Company (MSSEMC). Financée par le keiretsu Mitsui/Sumitomo, l’entreprise est la plus solide et la plus prometteuse du secteur. Ses concurrents les plus connus sont Planetary Resources, Deep Space Industries, SpaceDev, Shackleton Energy Company…

Autres liens intéressants
Missions annulées OTL ayant potentiellement un équivalent japonais en ABTL :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Une idée de centre de lancement que le Japon pourrait constuire:
Un centre de lancement sur l'île Mussau dans l’archipel Bismarck en Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Elle a une superficie de 414 km2 et culmine à 651 mètres.
C'est un moyen de "participer" à l'économie de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, un peu de softpower. De plus l'île Mussau est encore plus proche de l'équateur que ne l'est Palau. On pourrait donc imaginer que de la même manière que la Russie à de lancer un cosmodrome plu moderne et plus au sud à Vostotchny dans les années 2010, le japon pourrait décider de compléter ses installations avec quelques chose de plus moderne et plus proche de l'équateur que ne le sont Palau et Tanegashima.

En effet. La question se pose, mais pas sous l'angle des ressources naturelles.
La course à l'espace est surtout une affaires de sciences, technologies et gros sous. ces derniers servant justement à acheter les ressources naturelles.
Si l'économie japonaise ne connais pas un boom économiques japonais aussi fulgurant qu'OTL, c'est parce que en ABATL le pays part de moins loin. Une économies à reconstruire et relancer, un pays à moderniser, mais pas dévaster.

Collectionneur a écrit:Quel date pour pour Explorer I aux États-Unis ? Rappelons que cela explosé une fois sur deux au tout début de la conquête spatiale. Premier tir et premiére réussite pour le Japon ?

Côté US, c'était vraiment la guerre des services... : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Même date qu'OTL.

Préhistorique a écrit:

La date de lancement des missions explorer a été celle d'une conjonction de planètes donc pas de raison de lancer les missions à une autre date. Ou alors il faudrait un POD qui modifie les orbites des planètes mais il aura du avoir eu lieu des millions voir des milliards d'années en arrière hors ce genre de POD n'est pas le but de la TL.

D'ailleurs si vous connaissez un outils "simple" pour calculer "grosso-modo" des fenêtre de lancement, je suis preneur.