Le Workshop

Le Workshop est l'endroit où nous allons déposer nos contenus communautaires.

Ces contenus doivent être de nature uchronique/fictive.

Il peut s’agir de:

• Personnages
  
• Entreprises
  
• Marques
  
• Produits culturels (livres, films...)
  
• Technologies
  
• ...
  

Par communautaires, je veux dire que les contenus mis à disposition ici peuvent être utilisé dans les uchronies d'autres membres.
Certains deviendront peut être des clins d’œils récurrents.

Kim’s est une chaîne de restauration rapide (fast food) coréenne.
Basée à Los Angeles, la société a été fondée par un Kim Song-ju*, un émigrant coréen, en 1953. Dans les années soixante, l’activité de Kim commence à décoller et il ouvre d’autres enseignes sur toute la côte ouest.
C’est dans les années 90 que la croissance de Kim’s explose, Kim Song-ju ouvre plusieurs centaines de restaurants — franchisés ou non — à travers les États-Unis puis l’Europe. Il y a actuellement 5 758 restaurants Kim’s en Europe et 13 450 en Amérique du Nord.
Les revenus pour 2001 étaient de 10,78 milliards de dollars.
Près d’un employé sur six aux États-Unis a travaillé une fois dans sa vie au sein de Kim’s.
L’entreprise est reconnue comme offrant de la nourriture de très bonne qualité, bon marché et proposant un très bon service que ce soient en restaurant ou en livraison.

L’entreprise à une structure patriarcale ou les PDG se succèdent de père en fils. Ainsi lorsque comme Kim Il-Sung décède d’une attaque cérébrale le 8 juillet 1994, c’est son fils Kim Jung-Il qui lui succède. Ce dernier décède le 17 décembre 2011, c’est maintenant son fils Kim Jung-Un qui est à la tête du groupe.

Pourtant, dans la plupart des pays où Kim’s est implanté de nombreuses actions sont en cours face à la justice, aux syndicats ou des organismes tels que les Prud’hommes.
L’entreprise est visée par des enquêtes criminelles aux États-Unis. Les Kim sont accusés d’entretenir des liens très étroits avec la mafia coréenne. Kim Jung-Un est soupçonné d’avoir utilisé ses liens pour faire assassiner un de ses oncles.
Partout dans le monde, l’entreprise se voit reprocher son management tyrannique digne des pires dictatures. Ainsi, un cinquième des personnes embauchées par le groupe restent moins de cinq semaines à leur poste avant de démissionner. L’entreprise est accusée d’avoir recours aux sévices physiques et à l’humiliation.

Cela n’empêche pas l’entreprise de continuer à connaitre le succès avec une croissance du chiffre d’affaires de 5,8 %.

*Nom d'origine de Kim Il-sung[/quote]

Je parviens pas a retrouver le sujet qui traite des entreprises fictives, c'est dans quel sujet déja?

J'adore déjà ce topic :p

Wardog1 a écrit:Je parviens pas a retrouver le sujet qui traite des entreprises fictives, c'est dans quel sujet déja?

Post 1900 il me semble.

Réseau d'actualité utilisant les streaming, les fils d'actu live sur internet. Accessible sur les TV, ordi, tablette et smartphone.
Il est prévu que ça apparaissent dans Au Bord de l'Abîme.


Équivalent de Wikipédia dans Daikita. Était prévu initialement pour Au Bord de l'Abîme. Peut pour une seconde édition (ou pas).



Consortium ou Joint Venture dans le milieu de la défense.
Devrait apparaitre dans Daikita.

Kim P-DG immigré aux USA ? Dans au bord de l'abime ou les soviétiques n'ont pas eu besoin de lui pour une Corée communiste et l'on expulsé avec armes et bagages ?

Premier brouillon vite fait depuis mon portable. Largement inspiré de l'animé ''Rocket Girl'' qui est disponible en VOSTF sur Anime Ultime :

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Rocket_Girls

A placé dans l'univers d ''Au bord de l'abime'' .

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''Solomon Space Society''
La première entreprise spatiale privée de l'Empire du Japon.

Air & Cosmos junior, HS 27, novembre 2017, L'industrie spatiale, p.35-37

La Solomon Space Society plus connu sous son sigle TripleS, est devenue en une décennie un des acteurs montants de l'industrie spatiale en passant de simple base de lancement bon marché à concepteur de lanceurs légers et performants.

Les débuts

Avec le lancement du programme nucléaire des forces impériales japonaises au début des années 1960, la recherche d'un vecteur balistique a incité les autorités de Tokyo à investir dans la course a l'espace en voyant les superpuissances s'engager dans cette voie.

Une grande base de lancement sous administration militaire et civile est construit à Hengchun a l'extrémité sud de Taïwan qui servira a lancé Osumi, le premier satellite japonais en 1966 et, avec l'accord de la Grande-Bretagne et États-Unis, une station de suivi télémétrique avec des pas de tir pour fusées sonde est bâti sur l'île X dans l'archipel des Salomon tout proche de l'équateur sous la responsabilité de l'agence spatiale impériale japonaise (JISA), une structure civile qui versent un loyer aux autorités locales. Les travaux débutent fin 1963 et se termine mi 1965, la construction d'un petit port et d'un réseau de transport adapté prenant du temps.

Le premier tir d'une fusée sonde Lambda depuis le site est effectué le 25 décembre 1965 - jour anniversaire de Hiro Hito -.

Cette base de moyenne importante de la JISA employé environ 200 ingénieurs, techniciens et personnels administratifs japonais ainsi leurs familles pour les contrats longue durée et quelques centaines de salomoniens pour la logistique.

Bien situé, ses installations de télémétrie et de suivi satellites ont étaient régulièrement améliorées ainsi que ses pas de tirs qui ont étaient utilisés pour plusieurs programmes scientifiques utilisant des fusées sondes d'Asie de l'Est et Australiens. Les relations entre les universités et scientifiques océaniens avec leurs collègues nippons seront primordiales pour l'avenir, elles seront en partie animés par l'ingénieur Friedrich W. "Fred" David. Ce juif autrichien a travailler chez l'entreprise allemande Heinkel avant l'arrivée des Nazis, il part ensuite au Japon et travaille pour Mitsubishi et Aichi Kokuki aux programmes d'avions de chasse Mitsubishi A5M et Aichi D3A avant d'émigrer en Australie en 1939 ou il sera ingénieur en chef pour la Commonwealth Aircraft Corporation puis les Australian Aeronautical Research Laboratories. Son carnet d'adresses permet de mettre en relations des ingénieurs australiens et japonais autrefois ennemis.

Le premier tir d'une fusée sonde non-japonaise à lieu le 14 avril 1969 - 25e anniversaire du traité de Manille mettant officiellement à la guerre du Pacifique -, il s'agit d'un Terrier américain acheté par une université australienne et emportant une expérience de chercheurs nippo-australo-neo-zélanadaise :



La fusée Terrier australienne prêt au lancement en avril 1969

Un certain nombre d'ingénieurs australiens débauchés après la fin des activités spatiales du « Woomera Rocket Range » au début des années 1970 s'expatrient dans l'île X pour continuer leur passion et l'immense majorité y passeront une retraite aisée vu le faible cout de la vie des Salomon.

La manne financière et les infrastructures construites par le Japon contribue au développement de l'île X et permet a sa petite population de moins de 10 000 habitants de ne pas trop s'offusquer du dédain affiché par une partie des japonais. Certaines tribus prennent grand plaisir a assisté au lancement des ''feux d'artifices'' et parie sur le succès ou l'échec des lancements .

De base de lancement à concepteur

À la fin des années 1990, une baisse des crédits de l'agence spatiale japonaise et la crise politique interne des Salomons conduisant au déploiement de casques bleus australiens et japonais fait douté de la pérennité du site qui est en concurrence avec les bases de lancement construite récemment par les autres ''dragons asiatiques''.

Suite à l'intérêt de plusieurs sociétés aéronautiques japonaises de disposer de leur propre astroport a l’instar de star up américaines, un accord est trouvé pour transférer la base a un consortium privé réunissant les zaibatsu HIH et Mitsubishi, des laboratoires publics tels RIKEN et privés avec un droit de regard des gvt japonais et salomonien - symbolique pour ce dernier -. La société est fondée le 1er mai 2004 et le site destiné à être un astroport à part entière transféré le 1er janvier 2005. Les chambres de commerce Australiennes et Néo Zélandaises facilitent les relations avec cette nouvelle entité de jeunes pousses prometteuses.  

La société Rocket Lab fondée par l'ingénieur néo-zélandais Peter Beck en 2006 se voit ainsi contacté par TripleS intéressé par son concept de fusée légère Electron pouvant être produit rapidement et à moindre cout que les lanceurs conçus au Japon grâce l'impression tridimensionnelle. Avec les fonds japonais et l'aide d'ingénieurs australiens et américains, ce projet avance plus rapidement que prévu et, après un premier tir échoué le 4 janvier 2013 réussit a placé deux nanosatellites en orbite le 8 octobre 2015. Le rythme de lancement est en 2017, une fusée toute 45 jours. Le site de construction étant à Cairns dans le Queensland australien.

La TripleS est également intéressé par un projet de lanceur dérivé d'une fusée-sonde de l'université de Tokyo qui a eu une large subvention de sa part et l'aide de ses ingénieurs. La SS-520 est le plus petit lanceur de satellites jamais conçu avec une masse de 2,6 t pour 9,5 m de hauteur. Il peut emporter un nanosat de 4 kg en orbite. Après un vol réussi le 1er novembre 2017, elle se propose de le commercialisé sous le nom de Positron.



Le pas de tir de la fusée Electron

J'adore. Il y a de l'idée.

A voir si je caserais ça dans l'ABATL. Je vais déjà avoir du mal à mettre tour ce que je veux dans le tome 2 à ce rythme .

Surtout, je pense que tu devrais écrire plus souvent.

En faire une ''case'' en résumant mon histoire (et suppression des photos) ?

On peut en faire soit article de magazine ou celui d'une encyclopédie en ligne pour jeunes qui expliquerait pourquoi cela n'est pas détaillé tels vikidia.

Il faudra que je trouve une explication pour le fait que les fusées soit lancé aussi loin du Japon. Site de construction délocalisé dans le Queensland australien à Cairns pour la fusée néo zélandaise ? Pas trop loin en bateau, moins en tous cas que Kourou depuis la France *

En fait dans l'ABATL, j'ai déjà établi le site de lancement de l'agence spécial japonais.
Le site sera à Palaos.
Ce pays, si j'ai le temps dans parler dans le livre, va toucher énormément d'argent du Japon car l'archipel abrite -en plus du site de lancement- une base aéronaval et un radar (plus les habitations et commerce qui accompagne ce genre de site).

Je vais attendre de finir la 2GM de LFC avant de créer ses éléments communautaires :p

En effet, j'en ai déjà imaginé mais comme c'est durant la guerre froide et que je ne sais même pas encore la "ligne de front" en Europe :s

Dans mon texte, la base au sud de Taïwan (localisé à la pointe sud soit la ville de Hengchun) remplace celle d'Uchinoura dans l'archipel ''métropolitain'' japonais et servira pour les tirs militaires et gvt.

Et comme indiqué, il ne s'agit au départ dans les Salomon que d'une grosse station télémétrique avec pas de tir pour fusée sonde.

eh, bien je note ça dans un coins car une partie au moins pourra probablement servir.

Je remonte un peu le sujet pour indiqué cette article sur le cinquantenaire du premier satellite australien depuis Woomera, on peut spéculé qu'après le déclin du site, les ingénieurs australiens se fassent débauché par les nippons ? :

http://www.air-cosmos.com/il-y-a-50-ans-le-premier-satellite-australien-quittait-woomera-104089

Sans aucun liens avec l'actualité.
Dans un futur "pas très proche, mais quand même" la construction d'un ascenseur spatial à Notre Dame des Landes.

Celui qui case ça dans une histoire, je l'applaudis.

La, dans une série Gundam peut être ?

On a bien un général Bonaparte qui commande une base en Corse dans Gundam Wing.

ahahah Gundam des fois c'est tellement nawak.
Javais croisé quelques épisode de Gundam : G No Reconguista, et ça ma parut plus intéressant et plus sérieux que ce que Gundam a proposé pendant longtemps. Avec notamment une science légèrement plus crédible.

Pour rester dans la thématique de la conquête spatiale, le retour des deux étages du Falcon Heavy de Space X.
Absolument superbe:
http://digg.com/video/simultaneous-landing-spacex-sonic-boom

On peut spéculer qu'avec une guerre froide encore plus chaude et une compétition spatiale acharnée, les successeurs de Saturn V et l'équivalent de la N1 soviétique n'est pas attendre plus de 30 ans pour apparaître.

Corentin Tong Li So :
Fils d’un père Hongkongais et d’une mère franco-togolaise le jeune Corentin est envoyé faire ses études en France. Il découvre le football ou il excelle et finit par rejoindre le centre de formation de l’Olympique Lyonnais. Conformément au souhait de ces parents, il poursuit ses études en parallèle. En 2012, le milieu de terrain commence à jouer pour la sélection Hongkongaise alors qu’il n’a que 18 ans. Prodige asiatique, il est transféré au Bayern de Munich ou il s’impose rapidement. Il est à ce jour considéré comme le meilleur joueur asiatique de tous les temps.

Devenu une célébrité mondiale, un des remakes de Capitaine Tsusuba (Olive et Tom) le fait apparaître dans plusieurs épisodes.

Hong Kong champion du monde ?

Nope.