[Fusion] Engins et technologies à potentiel uchronique

AH-1 Sea Cobra, estimé incapable d'être mis à jour.

Et depuis le AH-1Z Viper a prouvé le contraire ^^

Renault DAJ1, un précurseur oublié

Je ne connaissais ni ce projet ni le Lorraine 38 VBCP. Toutefois, il faut garder en tête une contrainte de l'époque: plus tu mécanises ton armée, plus tu consommes de carburant et plus, tu as de maintenance. Même la Wehrmacht qui a fait la démonstration de la guerre mécanisée à partir de 1940, n'a jamais pu entièrement se mécaniser.

Renault DAJ1, un précurseur oublié

Je ne connaissais ni ce projet ni le Lorraine 38 VBCP. Toutefois, il faut garder en tête une contrainte de l'époque: plus tu mécanises ton armée, plus tu consommes de carburant et plus, tu as de maintenance. Même la Wehrmacht qui a fait la démonstration de la guerre mécanisée à partir de 1940, n'a jamais pu entièrement se mécaniser.[/quote]

Exact comme le montre très bien le "batailles et blindés" ayant servi de source, les VBCP auraient été délivrés au compte-gouttes pour les DCR afin de servir d'accompagnement d'infanterie, avec les nombreux problèmes de logistique et de maintenance que cela aurait pu poser; sans parler du fait qu'un matériel aussi nouveau ce serait accompagné de nombreux problèmes techniques sur le terrain.

Mon père, qui installait des climatisations de cuisine quand j'étais enfant, disait:
"Nous sommes toujours en retard et nous avons toujours des dépassements de budgets dans mon métier. Mais nous avons deux excuses. Nous passons après les architectes et après le gros oeuvres. Ce qui leur donne deux occasions de tout merder avant que j'intervienne."

J'ai eu l'occasion de m'apercevoir, depuis, qu'être le troisième décisionnaire dans n'importe quelle chaine de modification d'un programme créé par quelqu'un d'autre que vous ressemble toujours à un casse-tête insoluble.

Alors des politiciens, des ingénieurs, et des complexes militaro-industriels, c'est une recette pour un désastre!

D'ailleurs les politiciens arrivent bien touts seuls à faire des désastres. Einstein disait "Vous avez un problème et vous attendez que les politiciens le résolvent. Vous avez deux problèmes."

Concept Art pour le North American X-15.
Source: "Into The Unknown" by Don Dwiggins, Golden Gate Books, 1971

X-15 Blue Scout

"Lanceur orbital américain à décollage aérien. En mars 1962, la NASA a proposé un lanceur orbital utilisant la combinaison B-52/X-15. Un booster Blue Scout serait monté sur un rail de lancement déployable sur le ventre du X-15. Le X-15 serait lancé par le B-52, puis lui-même lancerait le Blue Scout à une altitude bien supérieure à celle de l'atmosphère terrestre.
La proposition a été rejetée en raison de préoccupations liées à la sécurité et à la rentabilité (bien qu'elle ait été présentée comme un système de lancement à faible coût)".

Informations fournies par Astronautix.com.

Project 1153 Orel

Le projet 1153 Orel  était un projet de la fin des années 1970 visant à doter la marine soviétique d'une véritable capacité d'aviation en haute mer. Le porte-avions aurait un déplacement d'environ 72 000 tonnes, une centrale nucléaire et environ 70 avions lancés par des catapultes à vapeur, comme les porte-avions de la classe Kitty Hawk de la marine américaine. Contrairement à ces derniers et aux "croiseurs d'aviations" soviétiques précédents. Le projet 1153 a été annulé en octobre 1978 en raison de son coût trop élevé.

Si vous trouverez beaucoup d'articles parlant, plus ou moins en détails, du Project 1153 il est logiquement difficile d'en trouver des images. Il existe des plans 3 vues basés sur les projets, quelques photos de maquette d'époque...
Heureusement, l'artiste 3D Jamison Cunningham, c'est basé sur les éléments connus combinés à ses propres extrapolations pour faire en rendu 3D ultra-détaillés de ce qu'aurait pu être Project 1153 Orel.
Les images sont disponibles ici. L'artiste donne aussi des détails sur son process dans l'article se trouvant ici.

Niveau porte-avions, on avait indiqué le projet fou Habakkuk d'un ''iceberg'' pour la Royal Navy. Un artiste sur Air Défense à fait des croquis couleurs pour celui-ci

L’ancêtre du T-14 Armata et le paradigme du char du futur
Lorsque le T-14 fut présenté, il a ébloui pas mal de monde, annoncé comme le meilleur char du monde, mais n’en a jamais fait la démonstration. Panne lors de sa première parade du 9 mai, déploiement mystérieux en Syrie, déploiement pour quelques photos au Dombass… le t-14 n’a toujours pas fait ses preuves.
Handicapé par des problèmes fiabilité, les lacunes russes dans le domaine de l’électronique puis les sanctions liées à la guerre en Ukraine. Le T-14 n’en est pas moins le « premier char du futur ».

Le char du futur
Le T-14 coche la plupart des cases du char du futur et on retrouve pas mal de principes dans les projets E-MBT, Abrams X, MCGV… Toutefois certaines des technologies sont elles-mêmes reprises de projet de blindé étranger.
Qu’est-ce que l'on attend du char du futur ?
Système de protection Actifs : Survivabilité du véhicule via la capacité à se soustraire aux menaces
Meilleur blindage : nouveaux alliages et agencements, ERA… pour encaisser les coups.
Survivabilité de l’équipage : l’équipage est installé dans une cellule de survie
Automatisation accrue : en plus de tourelleaux téléopérés, ce sont maintenant les tourelles qui sont entièrement automatisées. Équipage plus réduit donc plus facile à protéger.
Létalité accrue : capacité à engager les drones hélicoptère avec un tourelleau téléopéré, intégration de missile antichar, augmentation du calibre de l’armement principal
Meilleure connaissance de son environnement : meilleurs capteurs optiques, capteur acoustique, capteurs météo, drones, caméra frontale, latérale et arrière pour le conducteur

L’ancêtre
On retrouve une bonne partie de ces « requirements » dans l’ancêtre du T-14, l’Objekt 195/T-95, un projet de 1988 qui n’a pas survécu à la mauvaise santé économique de l’URSS et son effondrement. Pourtant, ce T-95 ressemble beaucoup au T-14 et intégré déjà beaucoup de principes du char du futur.
Développé par KB Ural et assemblé par Uralvagonzavod, l’Objekt 195 mélange nouveauté et pièce reprise de chars précédents (principalement la série T-72). On retrouve une tourelle automatisée, le passage du 125 au 152 pour le canon principal, chargement automatique, canon secondaire de 30 mm, nouvelle motorisation à 1500 cv, nouvelles optroniques (thermique, IR…) et radar millimétrique, système de protection active Shtandartactive (ancêtre de l’Arena), système d’information permettant à l’ensemble de l’équipage une identification amis/ennemis…
Les promesses étaient nombreuses, mais le projet fut rapidement interrompu par la chute de l’URSS. L’assemblage du prototype par Uralvagonzavod ne se fit qu’en 1999-2000. Le projet fut révélé très discrètement en 2001. En 2006, les médias d’état annoncèrent que l’Objekt 195 faisaient des essais. Il fut aussi indiqué que des campagnes des tests intensifs devaient être menées en 2008-2009.
L’Objekt 195 aurait complété la totalité de ses tests entre 2010 et 2015 avec deux prototypes, et il fut supposé qu’il serait produit tout le nom T-95. Le 9 avril 2010, le vice-ministre de la Défense russe Vladimir Popovkin a déclaré que le programme de création de l’« Objet 195" était clos et que l’adoption du char en service n’était pas prévue. Les prototypes auraient roulé 15 000 km et tiré à 287 reprises.
Selon le ministre de l’Industrie de la région de Sverdlovsk, Uralvagonzavod n’abandonnera pas le projet et achèvera le développement par ses propres moyens. À l’automne 2010, il a été signalé qu'Uralvagonzavod avait entamé de nouvelles activités de recherche et de développement sur la base du char « Objekt 195 ».
Uralvagonzavod est… le concepteur du T-14 Armata.

Uchroniquement, ça donne quoi ?
Dans un monde uchronique où l’URSS est en meilleure santé et ne s’effondre pas, on peut voir le T-95 devenir opérationnel et entré en production dès le milieu des années 90. Le paradigme du char de combat serait chamboulé beaucoup plus tôt. Est-ce que le T-95 aurait eu les mêmes problèmes de fiabilité que le T-14 ? C’est probable, au moins au début. L’effet papillon de l’apparition d’un tel MBT dans les années 1990 est toutefois important, car toutes les grandes puissances militaires seraient obligées de lancer des nouveaux projets de chars. La principale raison pour laquelle cette panique n’a pas lieu, OTL et que les spécialistes du sujet ont vite compris que l’Armata, ne sera pas vraiment opérationnel avant longtemps. La guerre en Ukraine n’a pas arrangé cette situation, car les pertes massives en chars et les sanctions font que la Russie se concentre sur la remise en état et la fabrication de chars d’ancienne génération. Je ne pense pas qu’on voit des T-14 au combat et en masse avant la fin de la décennie.

En image ça donne quoi ?
Plan deux vues, basé les photos de l’Objekt 195.


Photo de l’Objekt 195.


Recréation 3D HD de l’Objekt 195 par RenderDock Studio. Une version basée sur ce modèle 3D est jouable dans le jeu (plutôt arcade) Armored Warfare. Il y a beaucoup plus de détails disponibles ici et ici.


Un projet sur lequel je passerais peut-être un peu de temps un jour pour les "Designs alterna-fic-tifs".

Apple TimeBand, quand Fallout rencontre l'Apple Watch.

Le Pip-Boy de Fallout est un objet maintenant emblématique de la culture populaire, à mi chemin entre l'Atompunk et le Cassettepunk (un univers retro-futuriste où les machines informatiques fonctionnent encore à la bonne vieille cassette). Pour ceux qui l'ignorent on parle ici d'un ordinateur portable au poignet capable aussi bien de vous indiquer qu'est ce qui pourrait bien vous tuer dans un univers post-apocalyptique que de vous permettre de trier votre (volumineux) inventaire.

Maintenant qui pourrait bien avoir eu l'idée de mettre au point un Pip-Boy dans notre chronologie....et bien Apple!
Et non, je ne parle pas de l'Apple Watch mais du TimeBand, un éphémère concept présenté en 1991 dans le magazine japonais Axis et repris dans le livre de Paul Kunkel: "Apple Design : The Work of Apple Industrial Design Group" (1997).
Peu de choses sont connus sur le TimeBand, si ce n'est que le projet a été mené par Robert Brunner (futur fondateur de Ammunition Design Group, une société de Hardware) alors à l'époque designeur industriel pour la marque à la pomme.
Dur de savoir quelles auraient été les capacités de "I-Pipboy" mais certains évoquent un "Newton" amélioré et plus ergonomique (Le "Newton" fut un relatif échec commercial mais un premier pas novateur vers les premiers Ipads/Tablettes).

En tout cas, Apple semble avoir renoncé très vite au projet.

De la fiction à la réalité? (PipBoy et TimeBand).

Le Garrett STAMP (et oui ça a volé ce machin)

Durant le milieu des années 1970, l'USMC lança un programme intitulé STAMP (Small Tactical Aerial Mobility Platform) pour un appareil léger, mobile et capable de fournir un appui tactiques aux Marines.

La compagnie Garrett AiResearch (futur partie de Honeywell International Inc) s'était spécialisée depuis 1936 dans la construction de cabines pressurisés pour les bombardiers stratégiques de l'Air Force, de paliers à airs et de système de supports de vie pour la NASA ainsi que de turbocompresseurs.
Dans les années 70, la compagnie réalisait plus de 70pour cent de ses profits pour le compte des forces armées US, il était donc logique qu'elle ne participe au programme STAMP.
En ne réutilisant que la cabine partiellement modifiée d'un OH-6, Garrett allait réalisé un aéronef des plus troublants.

Le prototype décollait et manœuvrait à l'aide d'une soufflante(une turbine Garrett TSE-231 modifiée pour fournir une poussée de 1050 livres) comme le Harrier mais contrairement à ce dernier il n'avait pas d'ailes et devait dépendre de la poussée verticale pour se propulser tout en conservant une autonomie prévue de 30 miles à une vitesse de 75 mph (120km/h).
L'équipage était réduit à deux pilotes.


Le prototype a été testé avec succès en vol captif le 21 décembre 1973 à l'intérieur d'un hangar de la base El Toro en Californie, mais ne semble pas avoir convaincu les officiels.

Engin Principal de Combat, l'avant Leclerc.

L'échec au début des années 1980 d'un programme conjoint germano-français pour le développement d'un nouveau MBT va conduire les ingénieurs français a dessiné plusieurs concepts qui serviront à construire le futur Leclerc.
Voila quelques uns des ces dessins.
Nous noterons que l'accent a été mis sur la basse visibilité et une taille "compacte".

Le concept TC2 est le plus proche du Leclerc que nous connaissons bien qu'il présente une tourelle "fendue".



Le concept TC3 reste très classique.


Le concept AS12 est le plus basse visibilité d'entre-tous en faisant la pari sur un système de chargement automatique à cassette (où les munitions sont stockés le plus souvent à l'arrière de la tourelle et convoyés par un système mécanique) assez apparent et situé à l'extérieur du blindé.



L'AS22 reprend le même principe mais divise les munitions en deux blocs distincts situés à l'arrière du véhicule, afin de permettre un rechargement automatique situés sous le blindage et donc moins exposés au tir adverse.



L'AS31 est plus mystérieux et semblerait faire le pari d'un système de rechargement automatique situés à l'intérieur du véhicule, et non plus à l'extérieur.

Merci, je me rappelle un peu de ces projets qui étaient PO passé dans Raids il me semble. Et joyeux Noël

Un francs chez les anglo-saxons: Concept de char Charlemagne

Le Charlemagne a été conçu en 1958 par la British School of Tank Technology (STT) et le Royal College of Military Science (RCMS) pour concevoir un nouveau char de combat moyen équipé d'un canon de 120 mm à faible vélocité et d'une mitrailleuse à télémétrie.
Les concepteurs voulaient utiliser de nouvelles idées en matière de conception des chars (en s'inspirant, il est vrai, des véhicules soviétiques), tout en conservant, dans la mesure du possible, les pratiques britanniques conventionnelles en matière de disposition et de volume intérieur. Pour le reste, l'agencement était tout à fait conventionnel. Le conducteur était à l'avant et au centre, le commandant et l'artilleur à mi-droite, le chargeur à leur gauche. À l'exception du conducteur, tous les membres de l'équipage se trouvaient à l'intérieur d'un compartiment de combat entièrement rotatif.

Le Charlemagne devait être équipé d'un canon principal de 120 mm à faible vélocité (2000 fps/609 mps) monté de manière rigide à l'avant de la tourelle pour éviter le recul au moment du tir. Le Royaume-Uni a testé avec succès le montage de canons rigides sur d'autres véhicules, notamment un canon de 32 pdr (94 mm) monté de manière rigide sur la tourelle d'un Centurion. Le principal type d'obus pour le Charlemagne, dont 60 coups étaient transportés et dont la charge était de type sac, était le High Explosive Squash Head (HESH), capable de détruire 150 mm de plaque de blindage à 50°. Le canon principal était motorisé et stabilisé dans les deux axes avec un éperonnage assisté pour aider le chargeur. Malgré le montage rigide, l'enfoncement du canon restait respectable (-10°) et la cadence de tir devait être de 10 coups par minute pendant la première minute, puis de 6 coups par minute par la suite. On s'attendait à ce qu'il y ait 76 % de chances de toucher le premier coup à 1,8 km.
Deux mitrailleuses Browning de calibre 30 (7,62 mm) devaient être emportées en plus de la mitrailleuse de télémétrie. L'une d'entre elles était montée de manière coaxiale avec l'armement principal, tandis que l'autre devait être montée sur la coupole du commandant. Quarante ceintures de munitions de rechange devaient également être emportées.

Le blindage de l'arc frontal du véhicule était calculé pour offrir au Charlemagne une protection contre l'obus antichar soviétique de 100 mm de l'époque à 700 mètres (640 m), qui pouvait perforer jusqu'à 200 mm de blindage.
L'équipe chargée de la conception du Charlemagne a évalué un certain nombre de moteurs disponibles à l'époque et a choisi le moteur Rover Meteorite Mk 202B à injection d'essence. Ce moteur avait été adopté comme solution provisoire jusqu'à ce qu'un moteur polycarburant plus puissant et plus compact soit développé. Il s'agissait inévitablement du moteur polycarburant Leyland L60, qui a connu une carrière plutôt infâme dans le Chieftain.
Le Meteorite Mk 202B était annoncé comme ayant une puissance de 585bhp couplée à une boîte de vitesses Merritt Brown V52 pour une vitesse de pointe de 28mph (45kph). La suspension était assurée par un système de ressorts hélicoïdaux horizontaux (HHS) sur six roues de route de vingt-quatre pouces de diamètre de chaque côté. La voie était la même que celle utilisée sur le char moyen britannique Comet et reposait sur trois rouleaux de retour de onze pouces de diamètre.

Le Charlemagne était très avancé pour l'époque, et l'influence soviétique, notamment le "nez de brochet" (ainsi nommé en raison de sa ressemblance avec la tête d'un brochet), offrait une bien meilleure protection que n'importe quel char britannique jusqu'au Chieftain, et même là, ils étaient comparables, du moins sur le papier. En pratique, le "nez de brochet" posait quelques problèmes. Tout d'abord, il requiert des soudures de qualité supérieure et coûteuses, faute de quoi il risque d'être sectionné s'il est touché près des joints de soudure. Deuxièmement, les mots "cher", "coûteux" ou "extravagant" étaient apparemment un anathème dans le milieu de la fabrication des chars d'assaut britanniques d'après-guerre et semblaient donc être évités dans la mesure du possible.

Dans l'ensemble, le véhicule était prometteur car il s'éloignait de ce qui avait été la norme britannique pendant plusieurs années, mais il n'est jamais allé plus loin qu'un concept de design.




Traduction partielle de https://www.facebook.com/TheFriendsofTheTankMuseum/photos/a.1585375855015759/2227509730802365/?type=3

plus d'infos: https://www.youtube.com/watch?v=IPyv1cwBB9A&ab_channel=ArmouredArchives

Collectionneur a écrit:Merci, je me rappelle un peu de ces projets qui étaient PO passé dans Raids il me semble. Et joyeux Noël

Joyeux Noël à toi

Uranium Colonel a écrit:Engin Principal de Combat, l'avant Leclerc.

L'échec au début des années 1980 d'un programme conjoint germano-français pour le développement d'un nouveau MBT va conduire les ingénieurs français a dessiné plusieurs concepts qui serviront à construire le futur Leclerc
[...]

Les EPC et le projet franco-allemand d'alors font partie des nombreux projets notés dans ma liste pour des futurs Designs alterna-fic-tifs".

Un "what if" facile : et si le Thales F90 avait succédé au FAMAS à la place du HK 416?

Fusil d’assaut F90-fr

Les fans de Stargate:

F-8 et Capsule éjectable.

Développé et dessiné en Mars 1961, ce dessin envisage une capsule éjectable pour un Vought F-8 Crusader dont l'ensemble du cockpit serait ejecté et dispoerait de ses propres ailerons afin de diriger et stabiliser "la capsule" avant le déploiement du parachute.

Le projet n'est jamais sorti de la planche à dessin, probablement à cause de sa complexité et du danger qu'il faisait encourir aux pilotes.

Pour les curieux:

https://docs.google.com/viewer?url=patentimages.storage.googleapis.com/pdfs/US3067973.pdf

Uranium Colonel a écrit:Les fans de Stargate:

Je pense que cette série à beaucoup jouer sur la "popularité" du FN P90 ^^

Uranium Colonel a écrit:F-8 et Capsule éjectable.

Il est à noter que plusieurs avions ont des "capsules éjectables": le F-111, le B-58, le XB-70 et trois prototypes du B-1A.

Thomas a écrit:

Uranium Colonel a écrit:Les fans de Stargate:

Je pense que cette série à beaucoup jouer sur la "popularité" du FN P90 ^^

Ce qui en soit d'après l'univers de SG est plutôt cohérent, le P90 est une arme compacte et légère plutôt faites pour les rôles d'éclaireur ou de personnel non combattant, ce qu'est exactement les équipes SG.

Le concept de 1979 de Rockwell Collins pour le Star-Raker, un avion spatial visant l'orbite basse. Il est illustré ici à côté d'un 747 à titre de comparaison.

Source: http://spaceflighthistory.blogspot.com/2020/09/star-raker-1978.html

@Uranium Colonel, j'ai indiqué ce brevet sur la capsule éjectable pour le F-8 Crusader sur les deux articles idoines du wiki. 

Collectionneur a écrit:@Uranium Colonel, j'ai indiqué ce brevet sur la capsule éjectable pour le F-8 Crusader sur les deux articles idoines du wiki. 

Excellent, encore merci

Porte-sous-marins : Concept  Skyhook pour un SNLE de classe Vanguard avec des avions VSTOL BAe P.1214. Le système Skyhook a été testé avec des Harrier, mais n'a pas été développé et le P.1214/6 a été annulé en 1988.