Le Triomphe d'une Volonté....
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
A Tokyo, Tojo et Ozawa se rencontrent. Les choses sont claires : L'amiral Aritomo Goto supporte seul la perte de la Flotte Mobile aux yeux de l'Empereur, et la naïveté de Nagumo lui a coûté la vie. Les deux Officiers Supérieurs de la Marine Japonaise pensent déjà au futur du conflit. Ozawa expose son nouveau plan : L'Opération "Soleil Levant“. Pour endommager les navires de l’Axe à leur mouillage dans les ports, ils développent les sous-marins suicides “Kaiten“ qui sont transportés par les sous-marins géants I-40, et sont largués aux abords des côtes de l’Empire Germanique. Dans le même temps, les avions à réaction sont produits en série par la firme Kawanishi : Les J9Y Nakajima "Kikka", Fleur d'Oranger, sont utilisés comme bombardiers par l'Armée de terre.
- Les avions-fusée suicides : Kugisho/Yokosuka "Ohka", Fleur de Cerisier, sont embarqués sur les Croiseurs pour leur assurer une force de frappe supplémentaire sous la forme MXY-9, de type 63. L’Ohka MXY-10 de type 73 est lui associé à la défense des flottes nippones comme avion-torpille à bord des porte-avions de l’Empire. Les bombardiers G4M1 qui font offices d’avions-porteurs les larguent au dessus de leurs cibles par paquet de 16 appareils (MXY-8 de type 53) afin de déliter la cohésion de l’attaque ennemie. L’Ohka de type 43A Ko est lui assujetti aux sous-marins impériaux qui les utilisent pour entraver le commerce du Reich et attaquer ses routes maritimes. Le Kugisho/Yokosuka Ohka Type 43B Otsu jet d'attaque est lancé depuis les côtes et défend les infrastructures portuaires de l’Empire.
- Le "Shusui", Coup de Sabre", copie du Komet allemand, est produit dans une version dédiée à l'Armée de Terre sous le code : J8M1 et devient le chasseur à réaction à tout faire du Service Aérien de l'Armée impériale Japonaise (IJAAF).
- La Marine développe une version embarquée de ce type de chasseur sous le code Ki-200. Le "Shusui" Ku-13 est une version bombardier du Ki-200. Le Ki-202 est produit comme étant un chasseur-bombardier. Le "Shusui" Ku-14 est une version torpilleur du Ki-200.
- Le Kokusai Ta-Go est un appareil d'attaque kamikaze.
- Le Kugisho /Yokosuka de type naval MXY-4 est un hydravion drone-volant conçu et construit par l’IJN. L'avion est tout en bois et téléguidé ou radio-pilotée pour son tir jusque sur sa cible. Il pique alors sur son objectif.
- Le Kugisho /Yokosuka de type naval MXY-4B est un hydravion drone-volant de reconnaissance. Il était envoyé en altitude par un E7K "ALF" à 3000 mètres et libéré. Le drone a eu deux flotteurs sous les ailes pour sa reprise et être réutilisé.
- Kayaba Katsuodori. Chasseur à réaction. La pression pour une plus grande performance aérienne résulte dans les engagements de plus en plus féroces contre les forces du Reich.
Le Groupe d'étude Kayaba Ramjet aboutit à la conception d'un avion alimenté par statoréacteur. Avec l'aide de l’espionnage industriel et du transfert de la technologie allemande la recherche a progressé rapidement :
- De conception similaire à l'Heinkel He P.1078C, le Katsuodori présente un fuselage sans queue avec une aile fortement balayée. Le plan de base était d'utiliser quatre propulseurs à poudre pour propulser l'avion à la vitesse souhaitée, puis de basculer sur le système de propulsion statoréacteur.
- Avec un décollage sur un support à roues chariot, un peu comme le Messerschmitt Me 163, le Katsuodori éjecte ensuite le chariot après décollage, fait sa mission, et atterrit sur un patin renforcé. L'arrivée de la nouvelle conception du Me 263, pousse à des recherches les plus abouties sur le Katsuodori. Ainsi, le Katsuodori 2 est-il un chasseur à réaction pour l’IJAAF, et le Katsuodori 3 est pensé comme un torpilleur pour l’IJN.
- Le Mitsubishi J4-M Senden est un Monomoteur de type chasseur- intercepteur à haute performance en flèche double, avec une configuration d’hélice propulsive.
Le Service aérien de l'Armée impériale est repensé et divisé en plusieurs armées de l'air : Koku-gun, chacune s'occupant d'une région impériale en particulier :
- 1ère et principale Armée de l'air. Elle a pour QG Tokyo. Elle est constituée par l'armée du Japon, qui opère dans l’Archipel et l’île de Formose.
- 2ème Armée de l’air, Armée Chosen pour la Corée. QG : Séoul.
- 3ème armée de l'air pour la Mandchourie et de la Sibérie Orientale. QG : Hsinkang.
- 4ème Armée de l'air du Sud Est Asiatique. QG : Singapour.
- 5ème Armée de l’air du Pacifique Sud. QG : Rabaul en Nouvelle Bretagne.
- 6ème Armée de l'air pour la Chine. QG : Nankin.
- 7ème Armée de l’air pour l’Inde et le Golfe Persique. QG Calcutta.
- 8ème Armée de l’air pour l’Amérique. QG : Los Angeles.
- 9ème Armée de l’air pour l’Océan Indien. QG : Ceylan.
- 10ème Armée de l’air du Pacific Nord. QG : Hawaï.
- Le Corps des Kamikaze aux ordres de l’amiral de la Marine Japonaise Takijiro Onishi est engagé en fonction des circonstances.
Chaque Armée de l'air contient au moins deux divisions ou hiko-shidan. Chaque division contient 3 sections, shotai. Les Armées de l'air comptent aussi des unités spéciales d'attaque : Shimbu-tai, où l'on trouve les fameux kamikazes de la division de l’amiral Takijiro Onishi dépendant de la 11ème Flotte.
- Les avions-fusée suicides : Kugisho/Yokosuka "Ohka", Fleur de Cerisier, sont embarqués sur les Croiseurs pour leur assurer une force de frappe supplémentaire sous la forme MXY-9, de type 63. L’Ohka MXY-10 de type 73 est lui associé à la défense des flottes nippones comme avion-torpille à bord des porte-avions de l’Empire. Les bombardiers G4M1 qui font offices d’avions-porteurs les larguent au dessus de leurs cibles par paquet de 16 appareils (MXY-8 de type 53) afin de déliter la cohésion de l’attaque ennemie. L’Ohka de type 43A Ko est lui assujetti aux sous-marins impériaux qui les utilisent pour entraver le commerce du Reich et attaquer ses routes maritimes. Le Kugisho/Yokosuka Ohka Type 43B Otsu jet d'attaque est lancé depuis les côtes et défend les infrastructures portuaires de l’Empire.
- Le "Shusui", Coup de Sabre", copie du Komet allemand, est produit dans une version dédiée à l'Armée de Terre sous le code : J8M1 et devient le chasseur à réaction à tout faire du Service Aérien de l'Armée impériale Japonaise (IJAAF).
- La Marine développe une version embarquée de ce type de chasseur sous le code Ki-200. Le "Shusui" Ku-13 est une version bombardier du Ki-200. Le Ki-202 est produit comme étant un chasseur-bombardier. Le "Shusui" Ku-14 est une version torpilleur du Ki-200.
- Le Kokusai Ta-Go est un appareil d'attaque kamikaze.
- Le Kugisho /Yokosuka de type naval MXY-4 est un hydravion drone-volant conçu et construit par l’IJN. L'avion est tout en bois et téléguidé ou radio-pilotée pour son tir jusque sur sa cible. Il pique alors sur son objectif.
- Le Kugisho /Yokosuka de type naval MXY-4B est un hydravion drone-volant de reconnaissance. Il était envoyé en altitude par un E7K "ALF" à 3000 mètres et libéré. Le drone a eu deux flotteurs sous les ailes pour sa reprise et être réutilisé.
- Kayaba Katsuodori. Chasseur à réaction. La pression pour une plus grande performance aérienne résulte dans les engagements de plus en plus féroces contre les forces du Reich.
Le Groupe d'étude Kayaba Ramjet aboutit à la conception d'un avion alimenté par statoréacteur. Avec l'aide de l’espionnage industriel et du transfert de la technologie allemande la recherche a progressé rapidement :
- De conception similaire à l'Heinkel He P.1078C, le Katsuodori présente un fuselage sans queue avec une aile fortement balayée. Le plan de base était d'utiliser quatre propulseurs à poudre pour propulser l'avion à la vitesse souhaitée, puis de basculer sur le système de propulsion statoréacteur.
- Avec un décollage sur un support à roues chariot, un peu comme le Messerschmitt Me 163, le Katsuodori éjecte ensuite le chariot après décollage, fait sa mission, et atterrit sur un patin renforcé. L'arrivée de la nouvelle conception du Me 263, pousse à des recherches les plus abouties sur le Katsuodori. Ainsi, le Katsuodori 2 est-il un chasseur à réaction pour l’IJAAF, et le Katsuodori 3 est pensé comme un torpilleur pour l’IJN.
- Le Mitsubishi J4-M Senden est un Monomoteur de type chasseur- intercepteur à haute performance en flèche double, avec une configuration d’hélice propulsive.
Le Service aérien de l'Armée impériale est repensé et divisé en plusieurs armées de l'air : Koku-gun, chacune s'occupant d'une région impériale en particulier :
- 1ère et principale Armée de l'air. Elle a pour QG Tokyo. Elle est constituée par l'armée du Japon, qui opère dans l’Archipel et l’île de Formose.
- 2ème Armée de l’air, Armée Chosen pour la Corée. QG : Séoul.
- 3ème armée de l'air pour la Mandchourie et de la Sibérie Orientale. QG : Hsinkang.
- 4ème Armée de l'air du Sud Est Asiatique. QG : Singapour.
- 5ème Armée de l’air du Pacifique Sud. QG : Rabaul en Nouvelle Bretagne.
- 6ème Armée de l'air pour la Chine. QG : Nankin.
- 7ème Armée de l’air pour l’Inde et le Golfe Persique. QG Calcutta.
- 8ème Armée de l’air pour l’Amérique. QG : Los Angeles.
- 9ème Armée de l’air pour l’Océan Indien. QG : Ceylan.
- 10ème Armée de l’air du Pacific Nord. QG : Hawaï.
- Le Corps des Kamikaze aux ordres de l’amiral de la Marine Japonaise Takijiro Onishi est engagé en fonction des circonstances.
Chaque Armée de l'air contient au moins deux divisions ou hiko-shidan. Chaque division contient 3 sections, shotai. Les Armées de l'air comptent aussi des unités spéciales d'attaque : Shimbu-tai, où l'on trouve les fameux kamikazes de la division de l’amiral Takijiro Onishi dépendant de la 11ème Flotte.
Berold- Messages : 136
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Au printemps 1949, le Grand Etat-major Impérial met au poing l’Opération “Tokyo Express“ sous les ordres de l’amiral Shigeyoshi Inoue. L’opération dite “TE“ est une opération nippone destinée à ravitailler la Californie depuis l'île d’Hawaï en août, grâce à un imposant convoi partant des îles de l’archipel japonais et faisant escale à Oahu. Hawaï est la principale base asiatique du Pacific Nord, d'où partent les ravitaillements aériens et maritimes qui approvisionnent les Etats Pacifiques Américains. Afin de soutenir les forces présentes en Californie, le Japon doit faire parvenir par convoi de ravitaillement les denrées nécessaires aux troupes. La partie principale de l'opération se déroule du 9 au 15 Juin dans l’Océan Pacific. Les approvisionnements doivent être apportés par un convoi de quatorze bateaux marchands. Parmi eux se trouve le “Tokyo“ : le seul grand superpétrolier disponible au monde. S'il devait être perdu, le ravitaillement en carburant de la Californie serait fort compromis. Afin d'assurer la sécurité du convoi l'escorte se compose d'une énorme flotte de vaisseaux de guerre comprenant deux cuirassés, de trois porte-avions sous le commandement de l’amiral Tamon Yamagushi d’où Inoue dirige l’opération, ainsi que de trois croiseurs et trente-deux destroyers aux ordres de l’amiral Shintaro Hashimoto.
Dans le plan qui se met en place, une fois qu'elle aura atteint Hawaï, la flotte de protection japonaise : Les cuirassés : Fuso et Hyuga, les porte-avions : Junyo, Shinyo, Hosho et Amagi, ainsi que les croiseurs : Furutaka, Suzuya et Nagara, retournera vers Guam, pendant que le convoi continuera vers San Francisco avec l'escorte de destroyers des classes : Asagumo, Fubuki et Shimakaez, afin de passer plus inaperçue.
Les allemands bénéficiant d’un réseau d’espionnage performant lancent l’Opération repensée : “Triomphe de la Volonté“ pour contrarier les plans japonais, avec leur allié transalpin. Ainsi une impressionnante force est-elle constituée pour attaquer le convoi : 7 Porte-avions allemands dont le Clausewitz de l’amiral Hans Benda, le Seydlitz, le Peter Strasser, l’Adler, le cuirassé hybride Graf von Behren, le Kleist, le Barbarossa, embarquant des Fieseler Fi 167, des Junkers Ju 87B et des Messerschmitt Bf 109E-3, et des Me 262 A-3 ainsi que des Me 263 A, et des Hs 132-A, FW 191B, Me P1102.
Les italiens alignent les porte-avions : Il Duce, Falco, Folgore, Lepanto et Vittorio Veneto, ainsi que le L. da Vinci embarquant des Caproni N°2 et N°4, et des SM 79, des SM 81. Cette imposante Flotte est bordée par les cuirassés Baden, Kreuzer P, Aesir, Grosdeutschland, G. von Berlichingen, Ulrich von Hutten, Hindenbourg, Blücher et Admiral Hipper, avec les destroyers de classes : Schlesien, Z, T et Elbing. 40 en tout. Les italiens alignent les Roma, Littorio, Doria et Cesare soutenus par 30 destroyers de classes Navigatori et Maestral.
Le Reich lance ses meutes de sous-marins dans l’Océan Pacific, pour nuire et perturber les lignes d’approvisionnement nippons, de types VIIc : 10, IXb : 20 et XXI : 20, aidés par les submersibles transalpins de classes Foca : 10, Romolo : 10 et Liuzzi : 5, Marconi : 15. L’imposante armada remonte dans le Pacific depuis le Cap Sud et longe le Chili avant de passer les Galápagos et de filer vers son destin et le Pacific Nord.
Les japonais ne restent pas aveugles face à l’évidence d’une probable attaque allemande et deux flottes de couverture sont mises sur pieds pour contrer les européens. 9 Porte-avions lourds, dont les Hiryu, Soryu, Taiho, Karyu sous le commandement de l’amiral Hara pour la 4ème flotte, les Zuikaku, Ryujo, Shinano, Unryu, et Katsuragi, et 20 autres bâtiments légers d’escorte composent la force de projection nippone aux ordres de l’amiral Hosagaya pour la 5ème.
L'opération commence le 9 Juin 1949, lorsque le convoi arrive au Port Hirohito d’Honolulu. Les navires japonais arrivent groupés au large d’Hawaï, et se ravitaillent avant de quitter l’archipel le 12. Des forces sous-marines allemandes rejoignent alors les eaux l'île d’Oahu et harcèlent les patrouilleurs japonais, perturbant de manière significative les reconnaissances des amiraux nippons dans le Pacific Nord, juste avant le départ du Tokyo Express pour la Californie. L'aviation embarquée de l'Axe est en alerte depuis le passage du convoi au large de Guam. Une escadrille de “Zéro“ en surveillance au large de l’archipel est détruite dans le premier combat aérien de cette opération de ravitaillement. Des Me 263 des porte-avions Seydlitz et du Peter Strasser ont pris à parti les avions nippons et ne leurs ont laissé aucune chance.
Le 12 juin, le convoi “Tokyo Express“ vogue vers San Francisco. Telle une nuée d'insectes les appareils aériens de l'Axe décollent des porte-avions occidentaux et se ruent sur le convoi : Le porte-avion Unryu est touché par une torpille d’un Caproni 4 du Il Duce et la bombe d’un planeur Lippisch Gleiter tracté et lâché par un Ju287 venu de Colombie.
Un Wiking parti des îles Galápagos cible et touche un sous-marin japonais en vadrouille qui s'en sort de justesse. Les avions MB-47 du porte-avions Shinano japonais survolent le convoi pour en sécuriser la route. Un Destroyer nippon cible et touche un Sous-marin italien en maraude au large de l’île d’Oahu.
Le 13, Deux torpilleurs japonais coulent le même sous-marin italien déjà endommagé et suivi à la trace. Un autre sous-marin italien, au large de l’atoll Johnston, coule un destroyer japonais qui borde le “Tokyo“. Des vedettes allemandes parties d’Îsla Guadalupe au large de la Basse Californie sont repérées par la chasse japonaise au large de la Californie. Des Kikka du Taiho les arrosent et entravent leur mission.
Dans le plan qui se met en place, une fois qu'elle aura atteint Hawaï, la flotte de protection japonaise : Les cuirassés : Fuso et Hyuga, les porte-avions : Junyo, Shinyo, Hosho et Amagi, ainsi que les croiseurs : Furutaka, Suzuya et Nagara, retournera vers Guam, pendant que le convoi continuera vers San Francisco avec l'escorte de destroyers des classes : Asagumo, Fubuki et Shimakaez, afin de passer plus inaperçue.
Les allemands bénéficiant d’un réseau d’espionnage performant lancent l’Opération repensée : “Triomphe de la Volonté“ pour contrarier les plans japonais, avec leur allié transalpin. Ainsi une impressionnante force est-elle constituée pour attaquer le convoi : 7 Porte-avions allemands dont le Clausewitz de l’amiral Hans Benda, le Seydlitz, le Peter Strasser, l’Adler, le cuirassé hybride Graf von Behren, le Kleist, le Barbarossa, embarquant des Fieseler Fi 167, des Junkers Ju 87B et des Messerschmitt Bf 109E-3, et des Me 262 A-3 ainsi que des Me 263 A, et des Hs 132-A, FW 191B, Me P1102.
Les italiens alignent les porte-avions : Il Duce, Falco, Folgore, Lepanto et Vittorio Veneto, ainsi que le L. da Vinci embarquant des Caproni N°2 et N°4, et des SM 79, des SM 81. Cette imposante Flotte est bordée par les cuirassés Baden, Kreuzer P, Aesir, Grosdeutschland, G. von Berlichingen, Ulrich von Hutten, Hindenbourg, Blücher et Admiral Hipper, avec les destroyers de classes : Schlesien, Z, T et Elbing. 40 en tout. Les italiens alignent les Roma, Littorio, Doria et Cesare soutenus par 30 destroyers de classes Navigatori et Maestral.
Le Reich lance ses meutes de sous-marins dans l’Océan Pacific, pour nuire et perturber les lignes d’approvisionnement nippons, de types VIIc : 10, IXb : 20 et XXI : 20, aidés par les submersibles transalpins de classes Foca : 10, Romolo : 10 et Liuzzi : 5, Marconi : 15. L’imposante armada remonte dans le Pacific depuis le Cap Sud et longe le Chili avant de passer les Galápagos et de filer vers son destin et le Pacific Nord.
Les japonais ne restent pas aveugles face à l’évidence d’une probable attaque allemande et deux flottes de couverture sont mises sur pieds pour contrer les européens. 9 Porte-avions lourds, dont les Hiryu, Soryu, Taiho, Karyu sous le commandement de l’amiral Hara pour la 4ème flotte, les Zuikaku, Ryujo, Shinano, Unryu, et Katsuragi, et 20 autres bâtiments légers d’escorte composent la force de projection nippone aux ordres de l’amiral Hosagaya pour la 5ème.
L'opération commence le 9 Juin 1949, lorsque le convoi arrive au Port Hirohito d’Honolulu. Les navires japonais arrivent groupés au large d’Hawaï, et se ravitaillent avant de quitter l’archipel le 12. Des forces sous-marines allemandes rejoignent alors les eaux l'île d’Oahu et harcèlent les patrouilleurs japonais, perturbant de manière significative les reconnaissances des amiraux nippons dans le Pacific Nord, juste avant le départ du Tokyo Express pour la Californie. L'aviation embarquée de l'Axe est en alerte depuis le passage du convoi au large de Guam. Une escadrille de “Zéro“ en surveillance au large de l’archipel est détruite dans le premier combat aérien de cette opération de ravitaillement. Des Me 263 des porte-avions Seydlitz et du Peter Strasser ont pris à parti les avions nippons et ne leurs ont laissé aucune chance.
Le 12 juin, le convoi “Tokyo Express“ vogue vers San Francisco. Telle une nuée d'insectes les appareils aériens de l'Axe décollent des porte-avions occidentaux et se ruent sur le convoi : Le porte-avion Unryu est touché par une torpille d’un Caproni 4 du Il Duce et la bombe d’un planeur Lippisch Gleiter tracté et lâché par un Ju287 venu de Colombie.
Un Wiking parti des îles Galápagos cible et touche un sous-marin japonais en vadrouille qui s'en sort de justesse. Les avions MB-47 du porte-avions Shinano japonais survolent le convoi pour en sécuriser la route. Un Destroyer nippon cible et touche un Sous-marin italien en maraude au large de l’île d’Oahu.
Le 13, Deux torpilleurs japonais coulent le même sous-marin italien déjà endommagé et suivi à la trace. Un autre sous-marin italien, au large de l’atoll Johnston, coule un destroyer japonais qui borde le “Tokyo“. Des vedettes allemandes parties d’Îsla Guadalupe au large de la Basse Californie sont repérées par la chasse japonaise au large de la Californie. Des Kikka du Taiho les arrosent et entravent leur mission.
Berold- Messages : 136
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Le 14 Juin 1949, l'Axe envoie sa nuée aérienne aéronavale sur le convoi depuis l’ensemble de ses porte-avions. L’artillerie anti-aérienne du porte-avion japonais Hiryu et sa chasse de Mitsubishi Shusui détruit une escadrille de Stuka qui le bombarde, mais est touché par les torpilles de Me P1102. Deux destroyers nippons sont envoyés par le fond par des escadrilles de Ju87B et 263 A-4. Trois Sous-marins italiens trop pressants sont coulés par des Ohka des Furutaka, Suzuya et Nagara de l'escorte du convoi qui les ciblent. Un destroyer japonais est envoyé par le fond après avoir reçu des torpilles italiennes de SM79 du Falco. L'aviation japonaise détruit les vedettes allemandes au large de l’île de San Clémente, près de la côte américaine. Un Sous-marin allemand cible un destroyer nippon proche de l’île de Wake, mais est coulé par sa proie. L'amirauté italienne fait le point quand à ses chances face à l'escorte japonaise qui protège le convoi : Le cuirassé Fuso et le croiseur Nagara sont impressionnants. La chasse de l'Axe prend le pas sur celle des japonais. Néanmoins, deux escadrilles de Stuka qui ciblaient le Koryu sont détruites par la force de protection du convoi, des MB-47 “Stratojets“. Une escadrille de Caproni-4 pulvérise un destroyer japonais au large d’Oahu. Une escadrille de SM84 du Folgore coule le croiseur Suzuya. Le Superpétrolier Tokyo est ciblé et touché par des Me 263-A4. Deux destroyers japonais sont coulés à l’avant du convoi par l'aviation des hydravions Wiking allemands. Un cargo pris à parti par des Me 263 s'enfonce dans les flots sous une pluie de bombes. Repéré, le porte-avions japonais Shokaku est suivi à la trace et soumis à un acharnement meurtrier de la part de torpilleurs italiens: Il coule corps et âme après avoir encaissé 2 torpilles. Un destroyer d’escorte nippon est à son tour envoyé par le fond par l'aviation italienne. Des vedettes italiennes en maraude au large de San Diego sont coulées par des Baka côtiers de l'aviation japonaise. Quatre Sous-marins italiens sont perdus suite à leur chasse par des destroyers japonais. C'est l'hécatombe des sous-mariniers.
Trois escadrilles de Breda Ba 201 italiens sont perdues dans leur attaque du convoi. Deux destroyers japonais du convoi sont coulés par les avions du porte-avions allemand le Barbarossa. Le cuirassé japonais Fuso prend une torpille par un SM84. Petite angoisse japonaise. Deux destroyers nippons sont coulés par des vedettes italiennes qui, ciblées à leur tour, sont détruites par un destroyer en chasse et à leur poursuite au large de San Francisco. Un Sous-marin allemand aux aguets au large du Mexique envoie par le fond un destroyer japonais en maraude au large d’Ensenada. Un destroyer italien est coulé par un sous-marin japonais venu d’Honolulu. Les amiraux italiens y voient un signe du destin face aux redoutables cuirassés asiatiques. La Flotte Italienne se retire : Trop de risques face aux nippons. Les japonais bombent le torse. Les allemands méditent.... Un sous-marin allemand est coulé par un destroyer japonais non loin de l’île de Santa Rosa. Un Sous-marin japonais est coulé par grenadage aérien le long de la côte mexicaine près de San Antonio del Mar.
Le superpétrolier Tokyo tracé par l'Axe est pris en chasse par l'aviation allemande, mais ce sont 2 SM84 italiens qui le torpillent : Le Superpétrolier explose ! Joie des Transalpins. Six cargos de ravitaillement pour les japonais sont détruits dans la foulée par l’aviation Axie. Deux destroyers japonais du convoi sont torpillés par des FI 103 v1, et coulés. Un Caproni italien grenade un sous-marin nippon qui, pour avoir des renseignements sur sa destination, suivait la Flotte Italienne de trop près. Le cuirassé japonais Kondo qui fonce à l'avant du convoi tire sur le destroyer transalpin et le pulvérise. L'Axe entrevoit toutefois la victoire. Le cuirassé japonais Yoshida cible et coule un destroyer attardé italien. La voie est libre jusqu'à San Francisco pour les survivants. Enfin, semble t-il.... Un Wiking coule un destroyer japonais trop prétentieux en maraude. Une escadrille de Stuka 87B italiens coule un des derniers destroyers japonais qui escorte le Tokyo Express. Pris en chasse par l'aviation de l'Axe le porte-avions japonais Akagi est bombardé et torpillé : Il explose tuant l’amiral Shintaro Hashimoto et ses officiers de liaison, gite et s'abîme au fond de l’océan. Grosse perte japonaise qui laisse là encore l'un de ses porte-avions. Des escadrilles de Caproni N°4 italiens et de Me 263 A-3 allemands détruisent encore trois destroyers japonais de couverture où depuis l’un d’eux commandait l’amiral Inoue. La liste des terribles pertes impériales s'allonge. Le convoi arrive finalement en Californie, sous couverture de l'AA de l'île d’Alcatraz.
A Tokyo l’ambiance est morose. Cette opération laisse un goût amer aux japonais. L’amiral Yoshida décide d’une opération qui portera la Guerre directement sur le Reich. C’est “l’Opération Kirkenes“ ou “Vent du Nord“.
Kirkenes. L’enfer nordique des SS :
Le temps est grisâtre au-delà du cercle arctique en cette fin janvier 1950. L’aviation japonaise s’est déployée afin de couvrir la flotte de débarquement nippone du général Shizuichi Tanaka qui vogue vers Kirkenes. Des poseurs de mines, des canonnières, des dragueurs de mines et de petits cargos caboteurs sont improvisés en transports de troupes. Cette force d’invasion hétéroclite est épaulée par 4 barges de débarquement de type SB, anciennement soviétiques. L’opération amphibie, qui prend en compte 15 000 hommes ainsi que des chars Ho-Ni, des automitrailleuses Sumida et des chars To-Ku et ho-Ha amphibies, vise par une action “coup de poing“ à déstabiliser la défense ennemie d’un front secondaire en y fixant des éléments qui faute d’être engagés dans la région pourraient être redistribué sur des fronts plus tendus. Depuis la Mer de Barents, les navires de guerre japonais sous les ordres de l’amiral Shibasaka se déploient au large de l’île de Skogerova. Certains bâtiments dépassent l’île de Kjelmoya et pénètrent dans le fjord qui mène jusqu’à la cité norvégienne. De vieux destroyers de la classe Yuburi, escortent la flotte d’invasion et vont servir de couverture d’artillerie contre les défenses allemandes.
Les japonais n’espèrent alors qu’une chose : Que les allemands fassent sortir : “l’Amiral Scheer“ et son escorte de destroyers et de dragueurs de mines de leur cache depuis les fjords d’où ils sécurisent l’Océan Arctique du Reich, et qu’ils attaquent afin de se découvrir. De son côté l’escadre japonaise se portera à la rencontre du Scheer pour le couler. Les canonnières et autres navires de débarquement servant d’appât pour les allemands.Face aux nippons : La division SS de montagne “Nord“ du SS brigadeführer Karl-Maria Dernelhuber. Le 6ème régiment est stationné à Kirkenes et le 7ème à Vardo. Des compagnies éparses à Vadsø, Kiberg et Tana font la jonction dans le golfe entre les deux villes norvégiennes. Les SS ont à leur disposition des éléments de Flak motorisée du 688ème bataillon, deux compagnies de vieux Panzer II et 38t de réserve et quelques canons de 88. A Kirkenes, le général Dernelhuber à stationné le 6ème régiment SS de la “Nord“ soutenu par la 2/40 de Panzer comportant des Pz II qui sont garés en dehors de la ville, prêts du dépôt de munitions. Les vieux Pz 38t de cette compagnie sont à Bjornevatan encore plus au Sud, à surveiller une possible invasion russe via la Finlande depuis Mourmansk. Près de l’église de Kirkenes le brigadeführer a positionné des canons anti-aériens du 688ème bataillon. Les précieux 88 sont logés dans les collines voisines où des nids de mitrailleuses foisonnent en composant un réseau de défense qui couvrent la baie et l’espace maritime.
A Vardo, le 7ème régiment SS de la division Nord peut compter sur la 1/40 et ses 17Pz 38t et le restant des unités du 688ème bataillon AA, ainsi que la DCA du reste des 88 disséminés sur le pourtour de la ville. La cité a été soumise à plusieurs mitraillages. Dans le ciel nordique, les engagements aériens se sont succédés : Les allemands des I. /JG/77 et 3/JG 5 et leurs Me 263 Komet du Fliegerführer Norvège ont répondu aux provocations nippones avec leurs Shusui et Kayaba des Forces Aériennes du Grand Nord. Avec Vardo clairement visée, la Flak mobile est venue renforcée les 88 en poste dans le secteur, et depuis l’important aérodrome de Bardufoss près d’Andselv les avions de la Luftwaffe viennent ravitailler et se succèdent pour retourner engager l’ennemi. A trop vouloir tromper son monde sur l’objectif visé, le haut commandement de Tokyo se demande s’il n’a pas fait une bêtise en attirant trop de chasseur adverses dans la région. Kirkenes n’est pas si loin. Ainsi, les asiatiques projettent leur action aérienne plus en avant sur Bastfjord, qui est à son tour bombardé en y créant une zone d’interdiction saturée par leurs appareils. De fait, les 1Stf.3/JKG5 et le JagdStaffel 14/JG77 sont-ils mis à contribution pour contrer l’aviation adverse. Des compagnies de la 2ème division de montagne, aux ordres du général-major Ernst Schlemmer depuis Narvik, sont casernées à Alta, Karasjok, Honningsvag, Tromso, Finnsnes et Hammerfest où elles montent la garde de territoires enneigés et désolés s’attendent à être soumises à un bombardement maritime. Mises en alerte par l’interdiction aérienne que leurs impose l’ennemi depuis une semaine, les autorités allemandes présument d’une action navale au large du Cap Nord, peut-être sur Hammerfest.
Trois escadrilles de Breda Ba 201 italiens sont perdues dans leur attaque du convoi. Deux destroyers japonais du convoi sont coulés par les avions du porte-avions allemand le Barbarossa. Le cuirassé japonais Fuso prend une torpille par un SM84. Petite angoisse japonaise. Deux destroyers nippons sont coulés par des vedettes italiennes qui, ciblées à leur tour, sont détruites par un destroyer en chasse et à leur poursuite au large de San Francisco. Un Sous-marin allemand aux aguets au large du Mexique envoie par le fond un destroyer japonais en maraude au large d’Ensenada. Un destroyer italien est coulé par un sous-marin japonais venu d’Honolulu. Les amiraux italiens y voient un signe du destin face aux redoutables cuirassés asiatiques. La Flotte Italienne se retire : Trop de risques face aux nippons. Les japonais bombent le torse. Les allemands méditent.... Un sous-marin allemand est coulé par un destroyer japonais non loin de l’île de Santa Rosa. Un Sous-marin japonais est coulé par grenadage aérien le long de la côte mexicaine près de San Antonio del Mar.
Le superpétrolier Tokyo tracé par l'Axe est pris en chasse par l'aviation allemande, mais ce sont 2 SM84 italiens qui le torpillent : Le Superpétrolier explose ! Joie des Transalpins. Six cargos de ravitaillement pour les japonais sont détruits dans la foulée par l’aviation Axie. Deux destroyers japonais du convoi sont torpillés par des FI 103 v1, et coulés. Un Caproni italien grenade un sous-marin nippon qui, pour avoir des renseignements sur sa destination, suivait la Flotte Italienne de trop près. Le cuirassé japonais Kondo qui fonce à l'avant du convoi tire sur le destroyer transalpin et le pulvérise. L'Axe entrevoit toutefois la victoire. Le cuirassé japonais Yoshida cible et coule un destroyer attardé italien. La voie est libre jusqu'à San Francisco pour les survivants. Enfin, semble t-il.... Un Wiking coule un destroyer japonais trop prétentieux en maraude. Une escadrille de Stuka 87B italiens coule un des derniers destroyers japonais qui escorte le Tokyo Express. Pris en chasse par l'aviation de l'Axe le porte-avions japonais Akagi est bombardé et torpillé : Il explose tuant l’amiral Shintaro Hashimoto et ses officiers de liaison, gite et s'abîme au fond de l’océan. Grosse perte japonaise qui laisse là encore l'un de ses porte-avions. Des escadrilles de Caproni N°4 italiens et de Me 263 A-3 allemands détruisent encore trois destroyers japonais de couverture où depuis l’un d’eux commandait l’amiral Inoue. La liste des terribles pertes impériales s'allonge. Le convoi arrive finalement en Californie, sous couverture de l'AA de l'île d’Alcatraz.
A Tokyo l’ambiance est morose. Cette opération laisse un goût amer aux japonais. L’amiral Yoshida décide d’une opération qui portera la Guerre directement sur le Reich. C’est “l’Opération Kirkenes“ ou “Vent du Nord“.
Kirkenes. L’enfer nordique des SS :
Le temps est grisâtre au-delà du cercle arctique en cette fin janvier 1950. L’aviation japonaise s’est déployée afin de couvrir la flotte de débarquement nippone du général Shizuichi Tanaka qui vogue vers Kirkenes. Des poseurs de mines, des canonnières, des dragueurs de mines et de petits cargos caboteurs sont improvisés en transports de troupes. Cette force d’invasion hétéroclite est épaulée par 4 barges de débarquement de type SB, anciennement soviétiques. L’opération amphibie, qui prend en compte 15 000 hommes ainsi que des chars Ho-Ni, des automitrailleuses Sumida et des chars To-Ku et ho-Ha amphibies, vise par une action “coup de poing“ à déstabiliser la défense ennemie d’un front secondaire en y fixant des éléments qui faute d’être engagés dans la région pourraient être redistribué sur des fronts plus tendus. Depuis la Mer de Barents, les navires de guerre japonais sous les ordres de l’amiral Shibasaka se déploient au large de l’île de Skogerova. Certains bâtiments dépassent l’île de Kjelmoya et pénètrent dans le fjord qui mène jusqu’à la cité norvégienne. De vieux destroyers de la classe Yuburi, escortent la flotte d’invasion et vont servir de couverture d’artillerie contre les défenses allemandes.
Les japonais n’espèrent alors qu’une chose : Que les allemands fassent sortir : “l’Amiral Scheer“ et son escorte de destroyers et de dragueurs de mines de leur cache depuis les fjords d’où ils sécurisent l’Océan Arctique du Reich, et qu’ils attaquent afin de se découvrir. De son côté l’escadre japonaise se portera à la rencontre du Scheer pour le couler. Les canonnières et autres navires de débarquement servant d’appât pour les allemands.Face aux nippons : La division SS de montagne “Nord“ du SS brigadeführer Karl-Maria Dernelhuber. Le 6ème régiment est stationné à Kirkenes et le 7ème à Vardo. Des compagnies éparses à Vadsø, Kiberg et Tana font la jonction dans le golfe entre les deux villes norvégiennes. Les SS ont à leur disposition des éléments de Flak motorisée du 688ème bataillon, deux compagnies de vieux Panzer II et 38t de réserve et quelques canons de 88. A Kirkenes, le général Dernelhuber à stationné le 6ème régiment SS de la “Nord“ soutenu par la 2/40 de Panzer comportant des Pz II qui sont garés en dehors de la ville, prêts du dépôt de munitions. Les vieux Pz 38t de cette compagnie sont à Bjornevatan encore plus au Sud, à surveiller une possible invasion russe via la Finlande depuis Mourmansk. Près de l’église de Kirkenes le brigadeführer a positionné des canons anti-aériens du 688ème bataillon. Les précieux 88 sont logés dans les collines voisines où des nids de mitrailleuses foisonnent en composant un réseau de défense qui couvrent la baie et l’espace maritime.
A Vardo, le 7ème régiment SS de la division Nord peut compter sur la 1/40 et ses 17Pz 38t et le restant des unités du 688ème bataillon AA, ainsi que la DCA du reste des 88 disséminés sur le pourtour de la ville. La cité a été soumise à plusieurs mitraillages. Dans le ciel nordique, les engagements aériens se sont succédés : Les allemands des I. /JG/77 et 3/JG 5 et leurs Me 263 Komet du Fliegerführer Norvège ont répondu aux provocations nippones avec leurs Shusui et Kayaba des Forces Aériennes du Grand Nord. Avec Vardo clairement visée, la Flak mobile est venue renforcée les 88 en poste dans le secteur, et depuis l’important aérodrome de Bardufoss près d’Andselv les avions de la Luftwaffe viennent ravitailler et se succèdent pour retourner engager l’ennemi. A trop vouloir tromper son monde sur l’objectif visé, le haut commandement de Tokyo se demande s’il n’a pas fait une bêtise en attirant trop de chasseur adverses dans la région. Kirkenes n’est pas si loin. Ainsi, les asiatiques projettent leur action aérienne plus en avant sur Bastfjord, qui est à son tour bombardé en y créant une zone d’interdiction saturée par leurs appareils. De fait, les 1Stf.3/JKG5 et le JagdStaffel 14/JG77 sont-ils mis à contribution pour contrer l’aviation adverse. Des compagnies de la 2ème division de montagne, aux ordres du général-major Ernst Schlemmer depuis Narvik, sont casernées à Alta, Karasjok, Honningsvag, Tromso, Finnsnes et Hammerfest où elles montent la garde de territoires enneigés et désolés s’attendent à être soumises à un bombardement maritime. Mises en alerte par l’interdiction aérienne que leurs impose l’ennemi depuis une semaine, les autorités allemandes présument d’une action navale au large du Cap Nord, peut-être sur Hammerfest.
Berold- Messages : 136
Date d'inscription : 28/08/2018
Age : 56
Localisation : Le Village
Re: Le Triomphe d'une Volonté....
La piste aérienne de Vardo a été systématiquement bombardée depuis sept jours et c’est celle de Bardufoss qui est maintenant visée. Le commandement de la 2ème division de montagne décide d’envoyer des éléments motorisés à la frontière finlandaise au Sud de Kirkenes pour parer à une invasion terrestre via les terres septentrionales. Décollant de l’aérodrome de Kirkenes, que le commandement japonais a délibérément évité afin de ne pas éveiller de soupçon, pour une mission de reconnaissance au petit matin, un Heinkel H 46 à peine en l’air survole l’île de Reinoya : Quelle n’est pas la surprise du pilote qui découvre l’armada nipponne qui se dirige en droite ligne sur Kirkenes. Couverts par moult destroyers, les chalands de débarquement et autres navires de transport de troupes filent à toute allure vers leur objectif nordique. L’infanterie de la 7ème brigade de marine est prête à être engagée sans retenue par le chef de la 14ème armée japonaise. L’armada japonaise est repérée par les allemands. Mis en alerte les SS du 6ème régiment d’infanterie de montagne se retranchent dans la ville. Les sirènes hurlent de partout. Plusieurs pelotons de SS accourent sur les quais épaulés par des MG-34 qui sont misent en batterie et ouvrent le feu sur les transports nippons. Dans un capharnaüm indescriptible les allemands tirent à la volée sur les barges de débarquement qui foncent sur le port. Les destroyers japonais répliquent sans délai et balaient le front de mer : SS et bâtiments sont pulvérisés par les obus qui plombent les abords du port. Les transports nippons débarquent leurs troupes en une rotation finement planifiée et investissent la ville déjà en ruines par les quais. Les chars asiatiques ouvrent, en faisant feu de tout bois, la route aux fusiliers de Tanaka. Les destroyers continuent à pilonner avec méthode la cité, dans une sorte de feu roulant qui couvre l’avance des troupes au sol. La batterie de DCA de 88 a été mise en poste dans les collines à l’Est de Kirkenes. Elle est protégée par des éléments de l’infanterie de montagne SS. Les tubes du 688ème bataillon sont mis en place autour de l’église située au Nord-ouest de la cité. Une batterie d’artillerie de campagne SS se positionne en urgence dans la campagne environnante, à l’Est de la ville, pour couvrir la petite péninsule attenante à la baie. Les nids de mitrailleuses lourdes sont activés dans les collines surplombant l’Ouest de Kirkenes et l’état major allemand appelle sa hiérarchie pour obtenir un soutien aérien. Les blindés japonais débarqués, foncent à l’Ouest du port se répandent entre Kirkenes et les collines basses attenantes à la cité. Dans la précipitation d’un moyen d’arrêter les japonais, une compagnie d’infanterie SS est déployée en rase campagne pour stopper leur avance : Les soldats allemands sacrifiés inutilement sont tués par le tir des blindés.
Le brigadeführer Dernelhuber n’a que faire de ces pertes et entend arrêter les troupes ennemies coûte que coûte. Les nids de mitrailleuses SS sont découverts par les japonais. Les chars To-Ku les attaquent sans tarder afin de couvrir le débarquement des fusiller-marins de la 7ème brigade du général Doihara. Un blindé ennemi est détruit par les tirs concentrés des mitrailleuses allemandes qui le percent de part en part. L’infanterie asiatique pénètre dans le cœur Kirkenes. D’entrée les combats au corps à corps sont de mise. La puissance de feu des pistolets-mitrailleurs japonais : type 100, se révèle très adaptée au combat urbain. Submergés par le nombre les SS se replient vers le Sud de la ville. Les nippons les abattent comme des bêtes qui s’égaillent dans les rues.
L’artillerie SS déployée à l’Est se repositionne et ouvre le feu sur l’agglomération. Les obus tirés à l’aveugle explosent dans les ruines fumantes, sans faire de victime. A l’Ouest de la ville, les mitrailleuses lourdes allemandes embusquées dans les collines détruisent un nouveau blindé aventuré dans la plaine. Des Ki-202 basés en Sibérie Orientale se projettent sur Kirkenes. La batterie de 88 a été repérée dès le début du débarquement. Les informations liées à leur emplacement ont été transmises par des espions. Les avions japonais ont ordre de les détruire et piquent directement sur leur objectif. Le combat s’engage. Les 88 ouvrent le feu. Aucun avion n’est touché. Les Ki-202 ciblent la DCA, la mitraille, la bombarde et la pulvérise. Survolant Kirkenes, les Shusui sont pris à parti par les tubes du 688ème bataillon mais n’essuient aucun dommage et rentrent à la base. Les allemands, sur décision de l’amiral Ciliax, décident de faire sortir le Scheer ainsi que les 6ème et 8ème flottilles pour aller contrer les nippons. Des éléments motorisés de la 2ème division de montagne de la Wehrmacht qui se dirigeaient vers Bjornevath via Hesseng prennent la direction de Kirkenes. Une batterie japonaise de mortiers lourds de 82 mm PM-37 est mise en place à l’Ouest de la ville. Elle prend pour cible les mitrailleuses embusquées et en détruit un nid. Dans la cité norvégienne les tirs redoublent d’intensité. Les combats sont emprunts d’une fureur guerrière qui ne laisse la place à aucune pitié. Les japonais annihilent les SS qui sont sacrifiés par leur hiérarchie dans le but de retarder au mieux l’avance ennemie. Laissés à eux-mêmes les soldats du 6ème régiment sont submergés par les asiatiques qui se déversent dans la ville. Fusils-mitrailleurs et fusils-anti-chars Type 97 décharnent et éclatent les corps des soldats allemands SS qui ont trouvés refuge dans les maisons norvégiennes. Nul n’est épargné et les civils sont tout autant massacrés. Les hommes de la 7ème brigade de fusiliers-marins japonais pressés par leurs officiers progressent rapidement vers l’église où stationne la DCA du 688ème bataillon. A son tour l’état-major de la “Nord“ retranché dans un bâtiment communal est pris sous le feu adverse. Le brigadeführer Dernelhuber est totalement surpris par l’avance ennemie. L’infanterie nippone se précipite dans les rue de Kirkenes. La furie des combats accompagne l’avance fulgurante des asiatiques. L’artillerie allemande est bombardée par les mortiers soviétiques. Plusieurs pièces de 7.5 LEL G18 sont détruites. Des mortiers de la 2ème Gebirgs-Division se déploient au Sud de l’agglomération. Le convoi constitué de Kübelwagen, de SdKfz 250 et 251, de camions Opel Blitz tractant une batterie de Nebelwerfer décharge ses fantassins qui sont rejoints par les Panzer II Ausf-C de la 2/40 qui stationnaient près du dépôt de munitions à l’extérieur de la ville. Les mortiers allemands détruisent un nouveau blindé ennemi qui explose en une longue gerbe de flammes qui dévore ses occupants.
La DCA du 688ème bataillon est mitraillée par les japonais qui atteignent l’église et ses servants tués sur place. Des éléments asiatiques infiltrés dans les forêts voisines s’en prennent aux mortiers de la 2ème Gebirgs-Division et les détruisent en criblant les servants d’un feu nourri. A son tour, l’artillerie allemande déployée à l’Est de Kirkenes est prise sous le feu des nippons. Les servants doivent fuir en toute hâte et abandonnent leurs pièces. Le brigadeführer Dernelhuber demande l’aide d’un soutien aérien intense. Le général oberst Hans-Jürgen Stumpf qui commande la Luftflotte 5 décide d’une intervention de masse dans le ciel Nord de la Norvège. L’état-major de la Division SS “Nord“ s’est laissé surprendre par la vitesse de progression japonaise. Pris sous le feu ennemi, il quitte précipitamment les locaux où il opérait en abandonnant tout. Dans leur fuite éperdue les allemands essuient moult coup de feu qui les obligent à détaler à pieds. Voyant des SS fuir la ville en courant à travers la lande un char japonais ouvre le feu sur l’état-major SS. Le brigadeführer Dernelhuber et ses aides de camp meurent sous les tirs du blindé. Les hommes de la 2ème Gebirgs-Division se répandent jusqu’aux abords de Kirkenes.
L’état-major de la 7ème MPB débarque des chalands et tente de reprendre en mains ses compagnies de fusiliers qui foncent plein Sud et qui ont perdu de leur cohésion. Les nippons tiennent entièrement Kirkenes. La dernière compagnie de SS qui s’y trouvait trouve refuge dans sa fuite éperdue dans les collines à l’Est de la ville. Les mortiers soviétiques guidés par des observateurs tirent sur la colonne de la 2ème Gebirgs-Division. Hasard des tirs, la batterie de Nebelwerfer est partiellement détruite. L’infanterie de montagne allemande, par des tirs nourris de mitrailleuses MG-42, stoppe l’avance des blindés adverses qui progressaient vers le Sud de la ville depuis l’Ouest. Les chars asiatiques se dirigent alors vers les collines pour y déloger les restants des mitrailleuses lourdes allemandes encore retranchées. Des éléments de Doihara attaquent le dépôt de munitions situé au Sud de Kirkenes. Ils sont tués sans état d’âme dans des combats d’homme à homme par les hommes de la 2ème Gebirgs-Division qui y montent désormais la garde. L’infanterie japonaise sort alors de Kirkenes en mitraillant tout ce qui bouge : civiles comme militaires. Elle progresse vers le Sud en ouvrant le feu sur les hommes de la 2ème Gebirgs-Division qui viennent à leur rencontre pour recueillir le peu de rescapés qui ont pu fuir l’enfer de Kirkenes. La ville toujours bombardée par les destroyers flambe de partout. Les Pz II de la 2/40 se joignent aux éléments de montagne dans la contre-attaque pour stopper l’avancée des hommes de Tanaka. Les SS qui ont trouvés refuge dans les collines se terrent et finissent par s’enfuir sans se retourner à travers la maigre forêt enneigée vers Hesseng. Les mortiers russes ajustent les mortiers de la 2ème Gebirgs-Division et détruisent ce qu’il en reste. Le Scheer et ses flottilles en approche de Kirkenes sont repérés par un hydravion adverse. Le pilote averti sa hiérarchie qui en informe illico presto les marins japonais de l’amiral Shibasaki qui traque le cuirassé allemand depuis des mois. Les nippons font décoller leurs avion pour intercepter la flotte allemande.
L’infanterie asiatique sans retenue fonce dans la lande enneigée en faisant feu de tout bois. Pz II, SdKfz et troupes alpines essuient les tirs des fusiliers-marins qui les chargent en hurlant. La réponse des allemands est immédiate : Un déluge d’acier s’abat sur leurs adversaires. “Il grêle du plomb“ dira l’un d’eux. Les blindés japonais engagent des duels avec leurs homologues germaniques. Les pertes humaines s’accumulent de part et d’autre. La batterie de Nebelwerfer bombarde les nippons qui chargent à découvert. C’est une soudaine hécatombe pour les troupes de Tanaka. L’attaque japonaise marque un temps d’arrêt.
La flotte allemande, repérée précédemment, s’engage dans un combat naval contre les navires de Shibasaki. Elle est rejointe et épaulée par le Fliegerführer Norvège. Ajusté par un observateur un Panser est détruit par des torpilles de mortiers des hommes de Doihara. De retour, les Shusui “Coup de Sabre“ s’abattent sur les Nebelwerfer. Il n’en reste rien de lance-roquettes allemands. Le commandement japonais se rend compte que la plupart de ses blindés se sont trop avancés dans les collines à l’Ouest de Kirkenes. Ils se sont fourvoyés sur les pentes neigeuses où ils ne progressent plus. De plus, il n’y a plus de mitrailleuses à y détruire. La tactique est mauvaise et les blindés manquent dans le combat qui doit ouvrir la route d’Hesseng. Les renforts allemands ne lâchent plus un mètre de terrain. L’état-major de la 7ème brigade de Doihara pousse ses hommes vers leur objectif. Les officiers haranguent les troupes pistolets au poing. L’attaque reprend plus furieuse que jamais. Les pertes japonaises deviennent conséquentes et insupportables pour poursuivre l’attaque. Les mortiers nippons crachent leurs derniers obus sur les hommes de la 2ème Gebirgs-Division.Infanterie de Montagne, SdKfz et les anciens Pz II disparaissent sous une pluie de feu. Un blindé asiatique filant sous le feu ennemi fait sauter le verrou allemand qui tenait encore la route vers Hesseng et Bjornevath. Les éléments survivants de la 2ème Division de Montagne prennent la fuite vers Hesseng où ils sont recueillis par les Pz 38t de la 2/40 qui remontent de Bjornevath.
Le brigadeführer Dernelhuber n’a que faire de ces pertes et entend arrêter les troupes ennemies coûte que coûte. Les nids de mitrailleuses SS sont découverts par les japonais. Les chars To-Ku les attaquent sans tarder afin de couvrir le débarquement des fusiller-marins de la 7ème brigade du général Doihara. Un blindé ennemi est détruit par les tirs concentrés des mitrailleuses allemandes qui le percent de part en part. L’infanterie asiatique pénètre dans le cœur Kirkenes. D’entrée les combats au corps à corps sont de mise. La puissance de feu des pistolets-mitrailleurs japonais : type 100, se révèle très adaptée au combat urbain. Submergés par le nombre les SS se replient vers le Sud de la ville. Les nippons les abattent comme des bêtes qui s’égaillent dans les rues.
L’artillerie SS déployée à l’Est se repositionne et ouvre le feu sur l’agglomération. Les obus tirés à l’aveugle explosent dans les ruines fumantes, sans faire de victime. A l’Ouest de la ville, les mitrailleuses lourdes allemandes embusquées dans les collines détruisent un nouveau blindé aventuré dans la plaine. Des Ki-202 basés en Sibérie Orientale se projettent sur Kirkenes. La batterie de 88 a été repérée dès le début du débarquement. Les informations liées à leur emplacement ont été transmises par des espions. Les avions japonais ont ordre de les détruire et piquent directement sur leur objectif. Le combat s’engage. Les 88 ouvrent le feu. Aucun avion n’est touché. Les Ki-202 ciblent la DCA, la mitraille, la bombarde et la pulvérise. Survolant Kirkenes, les Shusui sont pris à parti par les tubes du 688ème bataillon mais n’essuient aucun dommage et rentrent à la base. Les allemands, sur décision de l’amiral Ciliax, décident de faire sortir le Scheer ainsi que les 6ème et 8ème flottilles pour aller contrer les nippons. Des éléments motorisés de la 2ème division de montagne de la Wehrmacht qui se dirigeaient vers Bjornevath via Hesseng prennent la direction de Kirkenes. Une batterie japonaise de mortiers lourds de 82 mm PM-37 est mise en place à l’Ouest de la ville. Elle prend pour cible les mitrailleuses embusquées et en détruit un nid. Dans la cité norvégienne les tirs redoublent d’intensité. Les combats sont emprunts d’une fureur guerrière qui ne laisse la place à aucune pitié. Les japonais annihilent les SS qui sont sacrifiés par leur hiérarchie dans le but de retarder au mieux l’avance ennemie. Laissés à eux-mêmes les soldats du 6ème régiment sont submergés par les asiatiques qui se déversent dans la ville. Fusils-mitrailleurs et fusils-anti-chars Type 97 décharnent et éclatent les corps des soldats allemands SS qui ont trouvés refuge dans les maisons norvégiennes. Nul n’est épargné et les civils sont tout autant massacrés. Les hommes de la 7ème brigade de fusiliers-marins japonais pressés par leurs officiers progressent rapidement vers l’église où stationne la DCA du 688ème bataillon. A son tour l’état-major de la “Nord“ retranché dans un bâtiment communal est pris sous le feu adverse. Le brigadeführer Dernelhuber est totalement surpris par l’avance ennemie. L’infanterie nippone se précipite dans les rue de Kirkenes. La furie des combats accompagne l’avance fulgurante des asiatiques. L’artillerie allemande est bombardée par les mortiers soviétiques. Plusieurs pièces de 7.5 LEL G18 sont détruites. Des mortiers de la 2ème Gebirgs-Division se déploient au Sud de l’agglomération. Le convoi constitué de Kübelwagen, de SdKfz 250 et 251, de camions Opel Blitz tractant une batterie de Nebelwerfer décharge ses fantassins qui sont rejoints par les Panzer II Ausf-C de la 2/40 qui stationnaient près du dépôt de munitions à l’extérieur de la ville. Les mortiers allemands détruisent un nouveau blindé ennemi qui explose en une longue gerbe de flammes qui dévore ses occupants.
La DCA du 688ème bataillon est mitraillée par les japonais qui atteignent l’église et ses servants tués sur place. Des éléments asiatiques infiltrés dans les forêts voisines s’en prennent aux mortiers de la 2ème Gebirgs-Division et les détruisent en criblant les servants d’un feu nourri. A son tour, l’artillerie allemande déployée à l’Est de Kirkenes est prise sous le feu des nippons. Les servants doivent fuir en toute hâte et abandonnent leurs pièces. Le brigadeführer Dernelhuber demande l’aide d’un soutien aérien intense. Le général oberst Hans-Jürgen Stumpf qui commande la Luftflotte 5 décide d’une intervention de masse dans le ciel Nord de la Norvège. L’état-major de la Division SS “Nord“ s’est laissé surprendre par la vitesse de progression japonaise. Pris sous le feu ennemi, il quitte précipitamment les locaux où il opérait en abandonnant tout. Dans leur fuite éperdue les allemands essuient moult coup de feu qui les obligent à détaler à pieds. Voyant des SS fuir la ville en courant à travers la lande un char japonais ouvre le feu sur l’état-major SS. Le brigadeführer Dernelhuber et ses aides de camp meurent sous les tirs du blindé. Les hommes de la 2ème Gebirgs-Division se répandent jusqu’aux abords de Kirkenes.
L’état-major de la 7ème MPB débarque des chalands et tente de reprendre en mains ses compagnies de fusiliers qui foncent plein Sud et qui ont perdu de leur cohésion. Les nippons tiennent entièrement Kirkenes. La dernière compagnie de SS qui s’y trouvait trouve refuge dans sa fuite éperdue dans les collines à l’Est de la ville. Les mortiers soviétiques guidés par des observateurs tirent sur la colonne de la 2ème Gebirgs-Division. Hasard des tirs, la batterie de Nebelwerfer est partiellement détruite. L’infanterie de montagne allemande, par des tirs nourris de mitrailleuses MG-42, stoppe l’avance des blindés adverses qui progressaient vers le Sud de la ville depuis l’Ouest. Les chars asiatiques se dirigent alors vers les collines pour y déloger les restants des mitrailleuses lourdes allemandes encore retranchées. Des éléments de Doihara attaquent le dépôt de munitions situé au Sud de Kirkenes. Ils sont tués sans état d’âme dans des combats d’homme à homme par les hommes de la 2ème Gebirgs-Division qui y montent désormais la garde. L’infanterie japonaise sort alors de Kirkenes en mitraillant tout ce qui bouge : civiles comme militaires. Elle progresse vers le Sud en ouvrant le feu sur les hommes de la 2ème Gebirgs-Division qui viennent à leur rencontre pour recueillir le peu de rescapés qui ont pu fuir l’enfer de Kirkenes. La ville toujours bombardée par les destroyers flambe de partout. Les Pz II de la 2/40 se joignent aux éléments de montagne dans la contre-attaque pour stopper l’avancée des hommes de Tanaka. Les SS qui ont trouvés refuge dans les collines se terrent et finissent par s’enfuir sans se retourner à travers la maigre forêt enneigée vers Hesseng. Les mortiers russes ajustent les mortiers de la 2ème Gebirgs-Division et détruisent ce qu’il en reste. Le Scheer et ses flottilles en approche de Kirkenes sont repérés par un hydravion adverse. Le pilote averti sa hiérarchie qui en informe illico presto les marins japonais de l’amiral Shibasaki qui traque le cuirassé allemand depuis des mois. Les nippons font décoller leurs avion pour intercepter la flotte allemande.
L’infanterie asiatique sans retenue fonce dans la lande enneigée en faisant feu de tout bois. Pz II, SdKfz et troupes alpines essuient les tirs des fusiliers-marins qui les chargent en hurlant. La réponse des allemands est immédiate : Un déluge d’acier s’abat sur leurs adversaires. “Il grêle du plomb“ dira l’un d’eux. Les blindés japonais engagent des duels avec leurs homologues germaniques. Les pertes humaines s’accumulent de part et d’autre. La batterie de Nebelwerfer bombarde les nippons qui chargent à découvert. C’est une soudaine hécatombe pour les troupes de Tanaka. L’attaque japonaise marque un temps d’arrêt.
La flotte allemande, repérée précédemment, s’engage dans un combat naval contre les navires de Shibasaki. Elle est rejointe et épaulée par le Fliegerführer Norvège. Ajusté par un observateur un Panser est détruit par des torpilles de mortiers des hommes de Doihara. De retour, les Shusui “Coup de Sabre“ s’abattent sur les Nebelwerfer. Il n’en reste rien de lance-roquettes allemands. Le commandement japonais se rend compte que la plupart de ses blindés se sont trop avancés dans les collines à l’Ouest de Kirkenes. Ils se sont fourvoyés sur les pentes neigeuses où ils ne progressent plus. De plus, il n’y a plus de mitrailleuses à y détruire. La tactique est mauvaise et les blindés manquent dans le combat qui doit ouvrir la route d’Hesseng. Les renforts allemands ne lâchent plus un mètre de terrain. L’état-major de la 7ème brigade de Doihara pousse ses hommes vers leur objectif. Les officiers haranguent les troupes pistolets au poing. L’attaque reprend plus furieuse que jamais. Les pertes japonaises deviennent conséquentes et insupportables pour poursuivre l’attaque. Les mortiers nippons crachent leurs derniers obus sur les hommes de la 2ème Gebirgs-Division.Infanterie de Montagne, SdKfz et les anciens Pz II disparaissent sous une pluie de feu. Un blindé asiatique filant sous le feu ennemi fait sauter le verrou allemand qui tenait encore la route vers Hesseng et Bjornevath. Les éléments survivants de la 2ème Division de Montagne prennent la fuite vers Hesseng où ils sont recueillis par les Pz 38t de la 2/40 qui remontent de Bjornevath.
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Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Le Combat naval : Kirkenes, le Fjord de la Mort.
Bénéficiant de l’effet de surprise la flotte allemande ouvre le feu à vue sur les premiers destroyers japonais qu’elle aperçoit. L’état-major nippon a dépêché sur place une masse d’avions impressionnante. Tout ce qui peut voler est envoyé combattre dans le ciel de Kirkenes. Le Scheer est repéré d’entrée. Il est attaqué par une escadrille de Nakajima Kikka, qui est elle-même interceptée par des Me 263 Komet. La plupart des Kikka sont descendus. Komet et “Coup de Sabre“ s’affrontent dans le ciel norvégien. Les destroyers Z-14 et Z-15 de la 6ème flottille sont attaqués par des avions torpilleurs japonais Ki-202. Les navires allemands évitent 4 torpilles. Découverts, les destroyers nippons subissent l’attaque conjointe d’une escadrille de J87 et de J88. Touché, l’un d’eux repousse une nouvelle attaque de J88.
Quatre sombrent dans la mer baltique, pulvérisés par les bombes des Stuka. Un autre est pris à partie par des J87 et prend feu. Il gite sur bâbord. Un J88 repère un sous-marin adverse. Un grenadage bien lâché endommage le submersible. Un I-400 évite plusieurs mines qui lui étaient destinées. Un destroyer japonais échappe à un J88, qui finit par être pris en chasse par un Shusui. Un Kayaba détruit un J87. Un autre destroyer est touché par un Stuka. Le dragueur de mines M-156, qui accompagne l’Amiral Scheer, est touché par le tir d’un destroyer japonais. A nouveau touché par une torpille le M-156 coule corps et bien. Le Scheer ouvre le feu sur un navire adverse. Sa salle de munition est en feu. Le destroyer explose comme une bombe. Les destroyers allemands Z-4 et Z-5 de la 8ème flottille ouvrent le feu sur un destroyer japonais. Touché le bâtiment gite sur bâbord. Le Scheer l’achève et le nippon en proie à un terrible incendie coule à pic. Le destroyer Z-29 ajuste un destroyer ennemi. L’allemand ouvre le tir et le destroyer explose. Il disparaît englouti par les flots. Les deux seuls survivants de la division navale de Shibasaki qui gardait la passe de l’île de Skogerova, tirent sur le destroyer Z-29 qui touché et en feu gite dangereusement et finit par sombrer à son tour. Le M-155 évite une torpille du sous-marin japonais, mais il est touché par le tir du destroyer d’où opère Tanaka. Le Z-7 lui tire dessus mais le rate. Le sous-marin nippon lance une torpille sur le destroyer Z-7 qui encaisse la charge par tribord, s’éventre, prend feu et explose avant de sombrer. Le destroyer de Shibasaki lance une torpille sur le Z-5. Le destroyer allemand est éventré. Il encaisse ensuite le tir du navire de Tanaka, mais reste à flots. L’escadre japonaise a été repérée par la Luftwaffe.au large de Vardo. Le dragueur de mines M-155 est pris à partie par un hydravion ennemi. Touché à deux reprises le M-155, en flammes, prend la fuite vers le large. Trois Dornier Do-24 T bombardent les destroyers nippons de commandement qui touchés sont en feu. Le destroyer Z-4 ouvre le tir sur le bâtiment de Tanaka, déjà touché, qui explose et coule dans la foulée. L’Amiral Scheer ouvre le feu un Oyodo qui explose et sur un Sendai qui gite et coule à son tour. Seul reste le destroyer de Shibasaki de la première division navale. Le destroyer Z-15 est torpillé par le sous-marin de classe I-400. L’allemand prend l’eau et sombre par l’avant. Shibasaki repousse une nouvelle attaque de 2 J88 A-1 et se replie dans la baie de Kirkenes où il pourra bénéficier de la protection AA de vieilles cantonnières qui bombardent la ville. L’amirauté japonaise voit tous ses navires coulés les uns après les autres : « Mais que font nos officiers » rage l’amiral Sumiyoshi à Tokyo. Une escadrille de Shusui repousse les 2 escadrilles de J88 qui s’en prenaient au destroyer de Shibasaki. Un J88 détruit néanmoins une canonnière nippone. Un Dornier Do-24 T détruit une barge de débarquement. Deux Kikka foncent en piqué sur l’Amiral Scheer. Le cuirassé allemand est touché. Le destroyer Z-4 est lui aussi touché par un groupe de trois Ku-14 torpilleurs. Un J88 est détruit par un Shusui J8M1 qui l’a pris en chasse. Un kikka est détruit par un Me 262. Le M-154 évite une torpille du sous-marin japonais qui la pris pour cible.
Le destroyer Erich Steinbrinck, Z-15, essuie les tirs simultanés de Ki-200 et du destroyer de Shibasaki. Le destroyer Z-5 : Paul Jakobi, explose littéralement par les coups reçus des avions torpilleurs Ku-14. L’escadre japonaise et ses bâtiments encore intacts entre dans le fjord norvégien sans être repérée et se mêle au combat. Un avion suicide Ohka tiré du destroyer de Shibasaki envoie le Z-15 par le fond. Ordre est donné à la flotte allemande de se replier. Enfin ce qu’il en reste. Le Scheer fonce vers la sortie du “fjord de la mort“ sans demander son reste, avant que les japonais ne referment la nasse. Protégé par l’île de Reinoya, le navire allemand file à toute vapeur, alors que les nippons arrivent de l’autre côté. Un Do-24 T envoie une canonnière par le fond. Le M-155 est torpillé par le navire de Shibasaki. Le dragueur de mine allemand coule par l’arrière. Le Scheer tire sur le destroyer de l’amiral japonais qui prend feu et explose. Sa soute de munition, sa salle des machines et ses réservoirs n’ont pas supportés les flammes qui le consumaient. Un cargo repousse l’attaque d’un J88. Une escadrille de “Coup de Sabre“ repousse une escadrille de J87. Un cargo est coulé suite à l’attaque d’une escadrille de Stuka en piqué. Mitraillé par une escadrille de Bf-109 une barge de débarquement gite et est envoyée par le fond. Une escadrille de J8M1 abat 10 Stuka. « C’est la merde. » crie le chef d’escadrille. Un pétrolier coule, touché par plusieurs bombes de J87 qui ont échappé aux intercepteurs japonais. un J88 coule une péniche de débarquement. Mitraillé par les Bf-109 du Fliegerführer Norvège, un navire de ravitaillement troué comme une passoire coule à son tour. Le destroyer Z-4 ravagé par le feu explose. Le Scheer et les Z-14 et M-154 disparaissent du fjord couvert par la chasse allemande. Ce qui reste de l’escadre japonaise protège le réembarquement des fusiliers de Doihara qui repartent pour la Sibérie Orientale.
Bénéficiant de l’effet de surprise la flotte allemande ouvre le feu à vue sur les premiers destroyers japonais qu’elle aperçoit. L’état-major nippon a dépêché sur place une masse d’avions impressionnante. Tout ce qui peut voler est envoyé combattre dans le ciel de Kirkenes. Le Scheer est repéré d’entrée. Il est attaqué par une escadrille de Nakajima Kikka, qui est elle-même interceptée par des Me 263 Komet. La plupart des Kikka sont descendus. Komet et “Coup de Sabre“ s’affrontent dans le ciel norvégien. Les destroyers Z-14 et Z-15 de la 6ème flottille sont attaqués par des avions torpilleurs japonais Ki-202. Les navires allemands évitent 4 torpilles. Découverts, les destroyers nippons subissent l’attaque conjointe d’une escadrille de J87 et de J88. Touché, l’un d’eux repousse une nouvelle attaque de J88.
Quatre sombrent dans la mer baltique, pulvérisés par les bombes des Stuka. Un autre est pris à partie par des J87 et prend feu. Il gite sur bâbord. Un J88 repère un sous-marin adverse. Un grenadage bien lâché endommage le submersible. Un I-400 évite plusieurs mines qui lui étaient destinées. Un destroyer japonais échappe à un J88, qui finit par être pris en chasse par un Shusui. Un Kayaba détruit un J87. Un autre destroyer est touché par un Stuka. Le dragueur de mines M-156, qui accompagne l’Amiral Scheer, est touché par le tir d’un destroyer japonais. A nouveau touché par une torpille le M-156 coule corps et bien. Le Scheer ouvre le feu sur un navire adverse. Sa salle de munition est en feu. Le destroyer explose comme une bombe. Les destroyers allemands Z-4 et Z-5 de la 8ème flottille ouvrent le feu sur un destroyer japonais. Touché le bâtiment gite sur bâbord. Le Scheer l’achève et le nippon en proie à un terrible incendie coule à pic. Le destroyer Z-29 ajuste un destroyer ennemi. L’allemand ouvre le tir et le destroyer explose. Il disparaît englouti par les flots. Les deux seuls survivants de la division navale de Shibasaki qui gardait la passe de l’île de Skogerova, tirent sur le destroyer Z-29 qui touché et en feu gite dangereusement et finit par sombrer à son tour. Le M-155 évite une torpille du sous-marin japonais, mais il est touché par le tir du destroyer d’où opère Tanaka. Le Z-7 lui tire dessus mais le rate. Le sous-marin nippon lance une torpille sur le destroyer Z-7 qui encaisse la charge par tribord, s’éventre, prend feu et explose avant de sombrer. Le destroyer de Shibasaki lance une torpille sur le Z-5. Le destroyer allemand est éventré. Il encaisse ensuite le tir du navire de Tanaka, mais reste à flots. L’escadre japonaise a été repérée par la Luftwaffe.au large de Vardo. Le dragueur de mines M-155 est pris à partie par un hydravion ennemi. Touché à deux reprises le M-155, en flammes, prend la fuite vers le large. Trois Dornier Do-24 T bombardent les destroyers nippons de commandement qui touchés sont en feu. Le destroyer Z-4 ouvre le tir sur le bâtiment de Tanaka, déjà touché, qui explose et coule dans la foulée. L’Amiral Scheer ouvre le feu un Oyodo qui explose et sur un Sendai qui gite et coule à son tour. Seul reste le destroyer de Shibasaki de la première division navale. Le destroyer Z-15 est torpillé par le sous-marin de classe I-400. L’allemand prend l’eau et sombre par l’avant. Shibasaki repousse une nouvelle attaque de 2 J88 A-1 et se replie dans la baie de Kirkenes où il pourra bénéficier de la protection AA de vieilles cantonnières qui bombardent la ville. L’amirauté japonaise voit tous ses navires coulés les uns après les autres : « Mais que font nos officiers » rage l’amiral Sumiyoshi à Tokyo. Une escadrille de Shusui repousse les 2 escadrilles de J88 qui s’en prenaient au destroyer de Shibasaki. Un J88 détruit néanmoins une canonnière nippone. Un Dornier Do-24 T détruit une barge de débarquement. Deux Kikka foncent en piqué sur l’Amiral Scheer. Le cuirassé allemand est touché. Le destroyer Z-4 est lui aussi touché par un groupe de trois Ku-14 torpilleurs. Un J88 est détruit par un Shusui J8M1 qui l’a pris en chasse. Un kikka est détruit par un Me 262. Le M-154 évite une torpille du sous-marin japonais qui la pris pour cible.
Le destroyer Erich Steinbrinck, Z-15, essuie les tirs simultanés de Ki-200 et du destroyer de Shibasaki. Le destroyer Z-5 : Paul Jakobi, explose littéralement par les coups reçus des avions torpilleurs Ku-14. L’escadre japonaise et ses bâtiments encore intacts entre dans le fjord norvégien sans être repérée et se mêle au combat. Un avion suicide Ohka tiré du destroyer de Shibasaki envoie le Z-15 par le fond. Ordre est donné à la flotte allemande de se replier. Enfin ce qu’il en reste. Le Scheer fonce vers la sortie du “fjord de la mort“ sans demander son reste, avant que les japonais ne referment la nasse. Protégé par l’île de Reinoya, le navire allemand file à toute vapeur, alors que les nippons arrivent de l’autre côté. Un Do-24 T envoie une canonnière par le fond. Le M-155 est torpillé par le navire de Shibasaki. Le dragueur de mine allemand coule par l’arrière. Le Scheer tire sur le destroyer de l’amiral japonais qui prend feu et explose. Sa soute de munition, sa salle des machines et ses réservoirs n’ont pas supportés les flammes qui le consumaient. Un cargo repousse l’attaque d’un J88. Une escadrille de “Coup de Sabre“ repousse une escadrille de J87. Un cargo est coulé suite à l’attaque d’une escadrille de Stuka en piqué. Mitraillé par une escadrille de Bf-109 une barge de débarquement gite et est envoyée par le fond. Une escadrille de J8M1 abat 10 Stuka. « C’est la merde. » crie le chef d’escadrille. Un pétrolier coule, touché par plusieurs bombes de J87 qui ont échappé aux intercepteurs japonais. un J88 coule une péniche de débarquement. Mitraillé par les Bf-109 du Fliegerführer Norvège, un navire de ravitaillement troué comme une passoire coule à son tour. Le destroyer Z-4 ravagé par le feu explose. Le Scheer et les Z-14 et M-154 disparaissent du fjord couvert par la chasse allemande. Ce qui reste de l’escadre japonaise protège le réembarquement des fusiliers de Doihara qui repartent pour la Sibérie Orientale.
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2ème partie de la bataille terrestre de “l’Opération Vent du Nord“ :
Le général major Ernst Schlemmer, de la 2ème Division de Montagne de la Heer, pousse les Pz 38t de la 2/40 qui remontent de Bjornevath à attaquer à outrance les japonais qui reculent dans Kirkenes. C’est pas à pas que les fusiliers nippons abandonnent la cité norvégienne en ruines qui flambe comme une torche. Les cadavres SS sont partout à moitié carbonisés. Les asiatiques couverts par leur l’escadre sortent du fjord. L’amiral et l’état major nippon, qui ont perdu leur flotte, ont la dent dure contre les aviateurs : « S’ils étaient arrivés plus tôt… ».
La disparition ressente de Nagumo offre une opportunité de se désengager d’une impasse aux japonais. Choqué par la mort de son principal officier supérieur, l’Empereur impose, sur les conseils du général Joichiro Sanada son influant conseiller militaire personnel, l’arrêt des hostilités. Donitz, qui pressant un enlisement du conflit, l’épuisement des troupes et la remise en cause de l’influence d’un Reich affaibli sur ses satellites, lui a envoyé un message proposant l’arrêt des combats.
Hirohito, qui comme l’Amiral souhaite préserver le Monde d’une dégénérescence du conflit, a tout de suite accepté la demande et a convoqué son état-major pour lui faire part de sa volonté. Les généraux et amiraux impériaux n’ont pu que s’incliner, soulagés tout compte fait par la tournure des évènements. Au cours de la “Conférence de Rio“, où tous les protagonistes sont présents et souriants, diplomates allemands et japonais sous la férule bienveillante des militaires signent plusieurs traités qui entérinent l’arrêt des combats et le maintien des Zones d’Influence des deux Empires. Et la Paix est signée à la suite d’un repas de Gala où un bal de clôture met fin à la guerre. La face est sauve pour tous, et les acquis préservés. S’ouvre alors une période de paix mondiale où les populations soumises à un capitalisme d’état œuvrent à l’enrichissement de grands groupes industriels, où les matières premières puisées dans les différents continents mis sous coupe favorisent l’établissement d’une société de consommation, où finalement, parce que cela correspond à l’enrichissement de ces mêmes groupes qui font travailler les masses, les congés payés sont intégrés à la conduite dirigée de la vie citoyenne. Quelques différents mouvements indépendantistes armés ou non, désignés comme terroristes, sont écrasés là où ils apparaissent : Sous le coup de l’intérêt de tous les citoyens, de l’intérêt général des nations, des régions entières revendiquant des droits ou une indépendance réelle de circonstance servent de terrain d’entrainement aux armes nouvelles pour maintenir les troupes de conscrits en alerte et sont rasées servant d’exemples à tous ceux qui voudraient se soulever contre les vrais “Défenseurs de la Paix établie“ et remettre en cause les fondements de celle-ci. Le Monde s’endort ainsi, abreuvé de mièvres séries radiodiffusées ou télévisuelles, de publicités ciblées poussant à la consommation, d’une révolution musicale portée par une transformation contrôlée des œuvres dites Classiques vers le Jazz attrait de la jeunesse importé d’Amérique, et des airs plus hispaniques en accords complets avec des projets de vacances proposés par des “tour-operators“ vantant l’attrait de complexes touristiques sous le soleil pouvant accueillir les familles des valeureux travailleurs laborieux. Peu sont ceux qui oseront dire devant cette effervescence contrainte que “ Le Dormeur doit se réveiller…. “
Et si : Le 30 avril 1948, en pleine guerre contre les japonais, un énième attentat perpétré par les antinazis dans le bureau du Führer voit une bombe exploser en pleine séance de mouvements des troupes, et tue Hitler et son entourage, dont Donitz et plusieurs ministres d’état. Pour les allemands cela ne fait aucun doute : Les nippons qui sont responsables de l’attentat doivent payer, et le conflit doit assurément se conclure par la victoire du Reich. Aussitôt, Himmler bouclent Berlin et les SS s’emparent du pouvoir. Les derniers opposants, et surtout ceux du chef de l’Ordre Noir, sont arrêtés et déportés. Les dignitaires du Parti obséquieux s’appuient sur le Reichfürher de la SS pour conserver leurs acquis et autres privilèges. Les proches d’Hitler : Rudolph Hess, Martin Bormann, Albert Speer, Goebbels et Goering forment le cabinet rapproché d’un Himmler que rien, ni quoi ou qui ne peut arrêter dans sa mégalomanie. Le Feld-maréchal Sepp Dietrich devient le commandant en chef des Armées stationnées en Amérique du Nord, Félix Steiner Gruppenfuhrër de l’Armée de Moscovie, Hans Door de celle de Sibérie, Kurt Meyer est en charge du Golf Persique, et Paul Hausser devient commandant de l’Armee Afrika. Les généraux Model et Von Choltitz restructurent l’armée régulière en divisions de Volkssturm et Volksgrenadiers où sont intégrés tous les hommes valides qui doivent servir la cause et faire preuve d’abnégation envers le Reich. Les Panser-divisions restent sous les ordres de Guderian. Mais pour Himmler et Theodor Ecke la Waffen-SS doit être prépondérante sur les terrains d’opération. Ainsi, toutes les brigades SS sont renforcées et transformées en divisions, elles-mêmes regroupées en Armee. Pour les troupes étrangères, les effectifs sont gonflés par tous les volontaires se présentant dans les casernes. Léon Degrelle devient le Grand Ordonnateur de la Légion Occident regroupant les SS français, belges wallons, espagnols, italiens et portugais. La Légion Germania sous l’égide de Félix Steiner regroupe les ressortissants allemands, flamands et scandinaves. La Légion Osmark aux ordres d’Otto Gille fusionne toutes les unités baltes et slaves. La Légion Arabian que commande Von Armin fédère les troupes maghrébines et du Moyen-Orient. Les autres ethnies dites “asiatiques“ sont regroupées au sein de la Légion Taurus et directement gérées par le HQ SS. Les allemands en manquent de sens tactique et d’inspiration piétinent face à la détermination des japonais. Ils décident de faire céder leur adversaire en les soumettant à des bombardements dits atomiques.
Le général major Ernst Schlemmer, de la 2ème Division de Montagne de la Heer, pousse les Pz 38t de la 2/40 qui remontent de Bjornevath à attaquer à outrance les japonais qui reculent dans Kirkenes. C’est pas à pas que les fusiliers nippons abandonnent la cité norvégienne en ruines qui flambe comme une torche. Les cadavres SS sont partout à moitié carbonisés. Les asiatiques couverts par leur l’escadre sortent du fjord. L’amiral et l’état major nippon, qui ont perdu leur flotte, ont la dent dure contre les aviateurs : « S’ils étaient arrivés plus tôt… ».
La disparition ressente de Nagumo offre une opportunité de se désengager d’une impasse aux japonais. Choqué par la mort de son principal officier supérieur, l’Empereur impose, sur les conseils du général Joichiro Sanada son influant conseiller militaire personnel, l’arrêt des hostilités. Donitz, qui pressant un enlisement du conflit, l’épuisement des troupes et la remise en cause de l’influence d’un Reich affaibli sur ses satellites, lui a envoyé un message proposant l’arrêt des combats.
Hirohito, qui comme l’Amiral souhaite préserver le Monde d’une dégénérescence du conflit, a tout de suite accepté la demande et a convoqué son état-major pour lui faire part de sa volonté. Les généraux et amiraux impériaux n’ont pu que s’incliner, soulagés tout compte fait par la tournure des évènements. Au cours de la “Conférence de Rio“, où tous les protagonistes sont présents et souriants, diplomates allemands et japonais sous la férule bienveillante des militaires signent plusieurs traités qui entérinent l’arrêt des combats et le maintien des Zones d’Influence des deux Empires. Et la Paix est signée à la suite d’un repas de Gala où un bal de clôture met fin à la guerre. La face est sauve pour tous, et les acquis préservés. S’ouvre alors une période de paix mondiale où les populations soumises à un capitalisme d’état œuvrent à l’enrichissement de grands groupes industriels, où les matières premières puisées dans les différents continents mis sous coupe favorisent l’établissement d’une société de consommation, où finalement, parce que cela correspond à l’enrichissement de ces mêmes groupes qui font travailler les masses, les congés payés sont intégrés à la conduite dirigée de la vie citoyenne. Quelques différents mouvements indépendantistes armés ou non, désignés comme terroristes, sont écrasés là où ils apparaissent : Sous le coup de l’intérêt de tous les citoyens, de l’intérêt général des nations, des régions entières revendiquant des droits ou une indépendance réelle de circonstance servent de terrain d’entrainement aux armes nouvelles pour maintenir les troupes de conscrits en alerte et sont rasées servant d’exemples à tous ceux qui voudraient se soulever contre les vrais “Défenseurs de la Paix établie“ et remettre en cause les fondements de celle-ci. Le Monde s’endort ainsi, abreuvé de mièvres séries radiodiffusées ou télévisuelles, de publicités ciblées poussant à la consommation, d’une révolution musicale portée par une transformation contrôlée des œuvres dites Classiques vers le Jazz attrait de la jeunesse importé d’Amérique, et des airs plus hispaniques en accords complets avec des projets de vacances proposés par des “tour-operators“ vantant l’attrait de complexes touristiques sous le soleil pouvant accueillir les familles des valeureux travailleurs laborieux. Peu sont ceux qui oseront dire devant cette effervescence contrainte que “ Le Dormeur doit se réveiller…. “
Et si : Le 30 avril 1948, en pleine guerre contre les japonais, un énième attentat perpétré par les antinazis dans le bureau du Führer voit une bombe exploser en pleine séance de mouvements des troupes, et tue Hitler et son entourage, dont Donitz et plusieurs ministres d’état. Pour les allemands cela ne fait aucun doute : Les nippons qui sont responsables de l’attentat doivent payer, et le conflit doit assurément se conclure par la victoire du Reich. Aussitôt, Himmler bouclent Berlin et les SS s’emparent du pouvoir. Les derniers opposants, et surtout ceux du chef de l’Ordre Noir, sont arrêtés et déportés. Les dignitaires du Parti obséquieux s’appuient sur le Reichfürher de la SS pour conserver leurs acquis et autres privilèges. Les proches d’Hitler : Rudolph Hess, Martin Bormann, Albert Speer, Goebbels et Goering forment le cabinet rapproché d’un Himmler que rien, ni quoi ou qui ne peut arrêter dans sa mégalomanie. Le Feld-maréchal Sepp Dietrich devient le commandant en chef des Armées stationnées en Amérique du Nord, Félix Steiner Gruppenfuhrër de l’Armée de Moscovie, Hans Door de celle de Sibérie, Kurt Meyer est en charge du Golf Persique, et Paul Hausser devient commandant de l’Armee Afrika. Les généraux Model et Von Choltitz restructurent l’armée régulière en divisions de Volkssturm et Volksgrenadiers où sont intégrés tous les hommes valides qui doivent servir la cause et faire preuve d’abnégation envers le Reich. Les Panser-divisions restent sous les ordres de Guderian. Mais pour Himmler et Theodor Ecke la Waffen-SS doit être prépondérante sur les terrains d’opération. Ainsi, toutes les brigades SS sont renforcées et transformées en divisions, elles-mêmes regroupées en Armee. Pour les troupes étrangères, les effectifs sont gonflés par tous les volontaires se présentant dans les casernes. Léon Degrelle devient le Grand Ordonnateur de la Légion Occident regroupant les SS français, belges wallons, espagnols, italiens et portugais. La Légion Germania sous l’égide de Félix Steiner regroupe les ressortissants allemands, flamands et scandinaves. La Légion Osmark aux ordres d’Otto Gille fusionne toutes les unités baltes et slaves. La Légion Arabian que commande Von Armin fédère les troupes maghrébines et du Moyen-Orient. Les autres ethnies dites “asiatiques“ sont regroupées au sein de la Légion Taurus et directement gérées par le HQ SS. Les allemands en manquent de sens tactique et d’inspiration piétinent face à la détermination des japonais. Ils décident de faire céder leur adversaire en les soumettant à des bombardements dits atomiques.
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Lors de la réunion de Wien d’octobre 1948, le “Comité des Objectifs“ choisit les cibles suivantes sur le territoire japonais :
- Kyoto
- Hiroshima
- Yokohama
- L'arsenal de Kokura
- Niigata
- Le Palais Impérial à Tokyo
En deux vagues, l’une le 9 août et l’autre le 15 août 1948, les allemands déclenchent depuis la Moscovie les bombardements des cibles établies.
La Luftsturm-SS et ses bombardiers stratosphériques est chargée des opérations. Pris au dépourvus les japonais subissent de plein fouet les attaques atomiques qui ravagent les îles durant lesquelles 600 000 personnes civiles et militaires sont tuées et disparaissent. Les dégâts sont considérables. Les villes bois et papiers brûlent comme des torches. A Berlin en fête, le Reichfürher SS laisse éclater sa joie. Himmler jubile et exulte. Cela conduit le général Tojo à décider du lancement de “l’Opération Vent Atomique“, mais doté de ressources limitées le Japon mise tout sur des objectifs déterminants. Le russe réfugié en Sibérie : Igor Kourtchatov, est nommé directeur du programme. Il s'entoure des savants Iouli Khariton, Iakov Zeldovitch et le concepteur de la bombe H japonaise : Andreï Sakharov. Le RDS-1 : Réacteur spécial N°1, est la première bombe atomique nippone digne de ce nom, et la première arme nucléaire d’'une puissance de 22 kilotonnes. Larguée depuis un bombardier stratojet, elle tombe le 29 août 1948 sur Moscou ouvrant la voie à la 1ère Armée Japonaise Blindée. Les nippons se répandent jusqu’aux portes du Reich et les combats meurtriers ravagent les terres jusqu’aux rives baltiques des Pays Baltes. Les Japonais ont Riga en point de mire. Le RDS-37 est une bombe fusée à étages d’hydrogène. Elle est tirée le 22 novembre 1948 depuis Gorki conquise par les nippons, et tombe sur Minsk au milieu des lignes de défenses allemandes. Le Reich réagit et les planificateurs allemands visent la Flotte Japonaise Nord-Pacifique stationnée à Fukushima par une fusée stratosphérique Sturmvogel. Les navires nippons sont peu impactés par l’explosion qui ravage la cité portuaire. De leur côté, les savants russes Glouchko et Korolev au service des japonais ont mis au point une fusée stratosphérique capable d’emporter une charge explosive de grande importance : L’Hirohito Bomba dite “ l’Impératrice des Bombes “. C’est l'arme la plus puissante jamais mise au point dans l'histoire de l'humanité. Cette bombe à hydrogène est larguée par un bombardier Nakajima le 30 octobre 1948, au-dessus de l’Ukraine et dégage une puissance de 57 mégatonnes. La ville de Tchernobyl qui est connue pour abriter l’état-major de l’Armée Centre du Reich sur le Front Oriental est rasée et l’explosion propage dans l'atmosphère l'équivalent radioactif de 400 fois la bombe tombée sur Hiroshima. Au total, plus de 4 000 explosions dites “atomiques“ ravagent le monde. La moitié des explosions ont lieu sur le sol américain enjeu de toutes les envies mégalomaniaques des uns et des autres, suivies par la Russie avec 715 explosions qui ouvrent la Route de la Conquête ou la referme pour les troupes japonaises. Le Grand Reich est le troisième objectif d’importance pour les nippons avec 210 explosions qui meurtrissent ses territoires de l’Est. Le Japon subit 45 explosions : 23 atmosphériques et 22 terrestres qui le réduisent en cendre. Le reste des pays atomisés incluent le Canada : 25 explosions japonaises et 20 allemandes, l'Inde prend 5 bombes du Reich et la Chine : 6. La Corée : 3.
Le Reich protégé par une Sturmwaffe en alerte permanente échappe aux bombardements directs, mais le monde subit alors un “Hiver Nucléaire“ dont les retombées ramènent l’humanité à l’âge des glaces dans les zones bombardées avec une chute des températures de plusieurs degrés , et paradoxalement les incendies des zones ciblées provoquent la formation de grandes quantités de particules opaques qui absorbent la lumière du soleil et entraînent un assombrissement du ciel suivi d’un refroidissement global de la terre.
D’autres effets se combinent à ceux de l’Hiver Nucléaire :
- Les radiations sont meurtrières pour tous les êtres vivants inclus dans toutes les zones de retombées pendant de nombreuses siècles.
- Les oxydes d’azote générés par les explosions et présentes dans la stratosphère dégradent la couche d’ozone qui ne filtre plus les radiations solaires. La forte élévation en rayonnements ultraviolets qui en résulte à un effet dégénérant sur la vie végétale et animale. Seul 1% de la population mondiale va survivre à cet état des choses.
- Après deux siècle de glaciation, la soudaine hausse de la température fait fondre les glaces, ce qui provoque la “montée“ des eaux et d’importantes quantités de territoires disparaissent englouties par des raz de marées : Amazonie, Bangladesh, îles du Pacifiques, des Caraïbes, îlots Grecs, la Louisiane, le Nord de l’Australie, la Gironde, la Vallée du Douro, l’Indonésie, les Philippines, le Delta du Mékong, etc.… deviennent d’immenses marécages inhabitables par toute vie, saturés de boue radioactives et soumis à des inondations sans fin.
- Suite à plusieurs mouvements des plaques terrestres : l’Inde, la Chine, la Californie et les Rocheuses, le Sud-est et le littoral Atlantique français, le Japon, le Sud-est asiatique, les pays de la Cordelière des Andes et l’Italie du Sud s’effondrent dans les mers et océans. Ces territoires ne sont que ruines et désolation où toute vie est impossible.
S’en est fini des rêves impérialistes allemands et japonais. Il ne reste rien. Les hommes régressent à l’âge de pierre et survivent comme ils peuvent sous forme de clans. L’Humanité cesse d’évoluer et se meure sans espoir de retrouver un jour l’embellissement d’une Renaissance salvatrice.
- Kyoto
- Hiroshima
- Yokohama
- L'arsenal de Kokura
- Niigata
- Le Palais Impérial à Tokyo
En deux vagues, l’une le 9 août et l’autre le 15 août 1948, les allemands déclenchent depuis la Moscovie les bombardements des cibles établies.
La Luftsturm-SS et ses bombardiers stratosphériques est chargée des opérations. Pris au dépourvus les japonais subissent de plein fouet les attaques atomiques qui ravagent les îles durant lesquelles 600 000 personnes civiles et militaires sont tuées et disparaissent. Les dégâts sont considérables. Les villes bois et papiers brûlent comme des torches. A Berlin en fête, le Reichfürher SS laisse éclater sa joie. Himmler jubile et exulte. Cela conduit le général Tojo à décider du lancement de “l’Opération Vent Atomique“, mais doté de ressources limitées le Japon mise tout sur des objectifs déterminants. Le russe réfugié en Sibérie : Igor Kourtchatov, est nommé directeur du programme. Il s'entoure des savants Iouli Khariton, Iakov Zeldovitch et le concepteur de la bombe H japonaise : Andreï Sakharov. Le RDS-1 : Réacteur spécial N°1, est la première bombe atomique nippone digne de ce nom, et la première arme nucléaire d’'une puissance de 22 kilotonnes. Larguée depuis un bombardier stratojet, elle tombe le 29 août 1948 sur Moscou ouvrant la voie à la 1ère Armée Japonaise Blindée. Les nippons se répandent jusqu’aux portes du Reich et les combats meurtriers ravagent les terres jusqu’aux rives baltiques des Pays Baltes. Les Japonais ont Riga en point de mire. Le RDS-37 est une bombe fusée à étages d’hydrogène. Elle est tirée le 22 novembre 1948 depuis Gorki conquise par les nippons, et tombe sur Minsk au milieu des lignes de défenses allemandes. Le Reich réagit et les planificateurs allemands visent la Flotte Japonaise Nord-Pacifique stationnée à Fukushima par une fusée stratosphérique Sturmvogel. Les navires nippons sont peu impactés par l’explosion qui ravage la cité portuaire. De leur côté, les savants russes Glouchko et Korolev au service des japonais ont mis au point une fusée stratosphérique capable d’emporter une charge explosive de grande importance : L’Hirohito Bomba dite “ l’Impératrice des Bombes “. C’est l'arme la plus puissante jamais mise au point dans l'histoire de l'humanité. Cette bombe à hydrogène est larguée par un bombardier Nakajima le 30 octobre 1948, au-dessus de l’Ukraine et dégage une puissance de 57 mégatonnes. La ville de Tchernobyl qui est connue pour abriter l’état-major de l’Armée Centre du Reich sur le Front Oriental est rasée et l’explosion propage dans l'atmosphère l'équivalent radioactif de 400 fois la bombe tombée sur Hiroshima. Au total, plus de 4 000 explosions dites “atomiques“ ravagent le monde. La moitié des explosions ont lieu sur le sol américain enjeu de toutes les envies mégalomaniaques des uns et des autres, suivies par la Russie avec 715 explosions qui ouvrent la Route de la Conquête ou la referme pour les troupes japonaises. Le Grand Reich est le troisième objectif d’importance pour les nippons avec 210 explosions qui meurtrissent ses territoires de l’Est. Le Japon subit 45 explosions : 23 atmosphériques et 22 terrestres qui le réduisent en cendre. Le reste des pays atomisés incluent le Canada : 25 explosions japonaises et 20 allemandes, l'Inde prend 5 bombes du Reich et la Chine : 6. La Corée : 3.
Le Reich protégé par une Sturmwaffe en alerte permanente échappe aux bombardements directs, mais le monde subit alors un “Hiver Nucléaire“ dont les retombées ramènent l’humanité à l’âge des glaces dans les zones bombardées avec une chute des températures de plusieurs degrés , et paradoxalement les incendies des zones ciblées provoquent la formation de grandes quantités de particules opaques qui absorbent la lumière du soleil et entraînent un assombrissement du ciel suivi d’un refroidissement global de la terre.
D’autres effets se combinent à ceux de l’Hiver Nucléaire :
- Les radiations sont meurtrières pour tous les êtres vivants inclus dans toutes les zones de retombées pendant de nombreuses siècles.
- Les oxydes d’azote générés par les explosions et présentes dans la stratosphère dégradent la couche d’ozone qui ne filtre plus les radiations solaires. La forte élévation en rayonnements ultraviolets qui en résulte à un effet dégénérant sur la vie végétale et animale. Seul 1% de la population mondiale va survivre à cet état des choses.
- Après deux siècle de glaciation, la soudaine hausse de la température fait fondre les glaces, ce qui provoque la “montée“ des eaux et d’importantes quantités de territoires disparaissent englouties par des raz de marées : Amazonie, Bangladesh, îles du Pacifiques, des Caraïbes, îlots Grecs, la Louisiane, le Nord de l’Australie, la Gironde, la Vallée du Douro, l’Indonésie, les Philippines, le Delta du Mékong, etc.… deviennent d’immenses marécages inhabitables par toute vie, saturés de boue radioactives et soumis à des inondations sans fin.
- Suite à plusieurs mouvements des plaques terrestres : l’Inde, la Chine, la Californie et les Rocheuses, le Sud-est et le littoral Atlantique français, le Japon, le Sud-est asiatique, les pays de la Cordelière des Andes et l’Italie du Sud s’effondrent dans les mers et océans. Ces territoires ne sont que ruines et désolation où toute vie est impossible.
S’en est fini des rêves impérialistes allemands et japonais. Il ne reste rien. Les hommes régressent à l’âge de pierre et survivent comme ils peuvent sous forme de clans. L’Humanité cesse d’évoluer et se meure sans espoir de retrouver un jour l’embellissement d’une Renaissance salvatrice.
Berold- Messages : 136
Date d'inscription : 28/08/2018
Age : 56
Localisation : Le Village
Re: Le Triomphe d'une Volonté....
Amen....
Berold- Messages : 136
Date d'inscription : 28/08/2018
Age : 56
Localisation : Le Village
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