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Chroniques d'Orient

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Message par Aetius Dim 22 Mai - 22:35

Bonjour,

Je vais explorer ici les conséquences d'un succès relatif de la Septième Croisade (1249-1254). Le récit de la campagne d’Égypte est basé sur les mémoires de Jean de Joinville. Du côté arabe, ma source est le récit de l'historien égyptien du XIVème siècle Ahmad al-Maqrîzî. La prise d'Alexandrie est calquée sur le déroulement de la Croisade d'Alexandrie de 1365. Je reprends de nombreux événements historiques, même après le point de divergence.

Vous remarquez que je n'emploie jamais le terme d'Empire Byzantin. Ce terme a été inventé tardivement par un historien. J’emploie le terme de Romain ou de Roméen.

Prologue


En décembre 1244, le roi Louis IX, que nous connaîtrons plus tard sous le nom de Saint Louis, après sa victoire contre Henri III d'Angleterre à Taillebourg, tombe gravement malade, au point qu'on le croit mort. Guérit par miracle, il prend la décision de se croiser pour libérer la Terre Sainte. Quelques mois plus tôt, Jérusalem, reprise par l'Empereur germanique Frédéric II lors de la Sixième Croisade en 1229, est tombée aux mains du sultan d'Egypte Al-Sâlih Aiyûb. Il est immédiatement suivi par ses trois frères, le bouillant Robert d'Artois, l'ambitieux Charles d'Anjou (qui deviendra plus tard roi de Sicile) et le sage Alphonse de Poitiers, le préféré de Saint Louis. Prennent également la croix le duc Hugues de Bourgogne, le comte Guillaume de Flandre, le comte Hugues de Saint Pol, le comte de la Marche ainsi qu'un jeune chevalier, proche du roi, Jean de Joinville. Pierre de Bretagne, vaincu par Louis IX après s'être révolté, participera également à la croisade. La mère du roi, Blanche de Castille, tente en vain de le faire changer d'avis.

En Orient, les Latins ne conservent que la principauté d'Antioche, le comté de Tripoli, la région de Saint-Jean d'Acre et l'île Chypre, prise aux Romains d'Orient. Suite à la quatrième croisade, en 1204, Constantinople a été conquise par les Croisés et l'Empire Romain d'Orient a été divisé entre trois États qui revendiquent son héritage, le despotat d’Épire, l'Empire de Nicée et l'Empire de Trébizonde. Sur les territoires pris aux Romains, les Francs et Latins ont fondé plusieurs États : la principauté d'Achaïe, le duché d’Athènes et le duché de Naxos.


Acte I : La campagne d’Égypte


Louis, par la grâce de Dieu, roi des Français, à ses chers et fidèles prélats, barons, chevaliers, citoyens, bourgeois et autres qui habitent le royaume de France, à qui les présentes lettres parviendront, salut. Pour l’honneur et pour la gloire du saint nom de Dieu, nous croyons devoir vous instruire de ce qui nous est arrivé.
(Récit officiel de l'expédition, par Louis IX)


Personnages :

Louis IX, roi de France
Alphonse de Poitiers, frère du roi
Robert d'Arthois, frère du roi
Charles d'Anjou, frère du roi
Marguerite de Provence, reine de France
Henri Ier de Lusignan, roi de Chypre
Jean de Joinville, chevalier
Pierre de Bretagne, chevalier de Braine
Philippe de Montfort-Castres, seigneur de Tyr
Guillaume II de Villehardouin, prince d'Achaïe
Al-Malik as-Sâlih Ayyûb, sultan d'Egypte et de Damas, petit neveu de Saladin
Fakhr al-Dîn, émir égyptien
Chajar ad-Durr, concubine de Al-Malik Ayyûb
Al-Malik Tûrân Châh, sultan d'Egypte, fils de Al-Malik as-Sâlih Ayyûb
Al-Malik Baybars al-Bunduqdari, officier Mamelouk, qui sera connu sous le nom de Baybars l'Arbalétrier.
Al-Nasir Yusuf, sultan de Damas
Athanasius III, patriarche copte d'Alexandrie


Scène I : Chypre


La croisade est soigneusement préparée. Pour financer la croisade, le roi reçoit un soutient financier et logistique de sa famille et de ses vassaux, y compris de ses anciens rivaux. Il ordonne la construction du port d'Aigues-Mortes et commande des centaines de navires aux Vénitiens pour transporter les croisés. La croisade est essentiellement une expédition française. Seuls quelques chevaliers anglais, dont William de Salisbury, se joignent à l'expédition. Le 17 septembre 1248, une armée forte de 25 000 hommes, dont 3000 chevaliers et 5000 arbalétriers débarque à Chypre. Passant l'hiver à Chypre, les croisés élaborent leur stratégie et décident d'attaquer l’Égypte, afin de s'emparer de villes côtières, Damiette ou Alexandrie pour les échanger contre les anciens territoires du royaume de Jérusalem. Le roi reçoit des messagers du grand roi de Tartarie, c'est-à-dire du Khan Mongol Güyük Khan, qui proposent une alliance contre les Arabes et suggèrent une attaque conjointe. Louis envoie le prêtre André de Longjumeau en mission diplomatique à la cours du Khan. Les Francs espèrent convertir les Mongols au christianisme. L'impératrice de Constantinople, l'épouse de Baudouin II de Courtenay, se rend à Chypre pour chercher du secours auprès du roi de France car l'Empire Latin, désormais réduit à la ville de Constantinople, est menacée par l'Empire de Nicée.


Scène II : La prise de Damiette

 
Au printemps 1249, la flotte croisée quitte Limasol mais est dispersée par une tempête. Le roi restera sans nouvelles de son frère Alphonse de Poitiers durant plusieurs mois. Sur les 3000 chevaliers qui accompagnent le roi, seuls 300 débarquent près de Damiette. Jean de Joinville en fait partie.
Sur la rive, une impressionnante armée sarrasine, conduite par l'émir Fakhr al-Dîn, attend les croisés. Lorsque les Francs débarquent, il subissent immédiatement les assauts des Sarrasins, mais ceux-ci fuient devant la détermination des croisés. Le sire de Joinville débarque, suivi par Jean d'Ibelin, comte de Jaffa. Le roi lui-même se jette à l'eau, le heaume sur la tête, le glaive au poing, prêt à pourchasser seul les Sarrasins. Ceux-ci fuient rapidement sous les tirs d'arc et d'arbalète des Francs.

L'émir Fakhr al-Dîn décide de battre en retraite. Les Francs s'emparent facilement de Damiette désertée par ses habitants, en juin 1249. Le sultan d’Égypte, Al-Sâlih Ayyûb, malade, est incapable d'intervenir. La ville est investie et pillée. C'est la consternation générale au Caire. Personne ne doute que l’Égypte tombera bientôt aux mains des Chrétiens.

Les Vénitiens craignant que la conquête des ports égyptiens par les croisés n'entraînent la rupture des contrats commerciaux envisagent de s'allier avec l’Égypte.

Scène III : La prise d'Alexandrie

Le sultan, furieux de la lâcheté de la garnison, fait exécuter cinquante officiers par étranglement et sermone Fakhr al-Dîn.

Les Musulmans harcèlent l'armée croisée. L'émir Fakhr al-Dîn une pièce d'or promet à chaque soldat qui lui ramènera une tête de chrétien. Les Sarrasins lancent des attaques sournoises, pénétrant de nuit dans le campement des Francs pour décapiter des sentinelles. Pour empêcher la cavalerie sarrasine de charger, le roi fait creuser des fossés autour du camp.

Des renforts, emmenés par le frère du roi, Alphonse de Poitiers, arrivent en octobre. Les croisés doivent choisir entre Alexandrie et Le Caire comme objectif suivant. En effet, les Croisés ont bien compris l'intérêt stratégique du contrôle de l’Égypte. Le bouillant Robert d’Artois, veut convaincre les croisés de remonter le delta du Nil, tandis que Pierre de Bretagne, soutenu par la majorité des barons, est d'avis d'attaquer Alexandrie car cela permettra de disposer d'un port où pourront accoster les navires de la flotte. « Pour occire le serpent, il faut en premier lui écraser la tête », dira le comte d'Artois. Pourtant, après mûre réflexions le roi se range à l'avis du chevalier de Braine (point de divergence).

Le 3 décembre, la cavalerie sarrasine menée par Fakhr al-Dîn surprend l'avant-garde franque. Loin de s'enfuir, le téméraire mais imprudent Robert d'Artois, fond sur les Sarrasins entraînant ses chevaliers. Il désarçonne ses ennemis à coup de lance, puis les achève à terre. Mais bientôt, le bataillon se retrouve en mauvaise posture, entouré d'ennemis, retranché. Heureusement, les templiers menés par le Grand-Maître de l'Ordre, Guillaume de Sonnac viennent à son secours.

Le 21 novembre 1249, l'armée royale prend le chemin d'Alexandrie, la reine Marguerite demeurant à Damiette avec une petite garnison, organisant la défense de la ville contre les forces égyptiennes. Fakhr al-Dîn tente de freiner les croisés en multipliant les attaques. Le 7 décembre, 500 cavaliers sarrasins viennent à leur rencontre. Pour venger un de leur frère tué, les templiers s'élancent derrière leur maréchal. Pas un seul des sarrasins n'échappe à la mort, tous sont tués ou contraints de se jeter dans le Nil.

Al-Malik as-Sâlih Ayyûb meurt le 23 novembre. Pour éviter que l'anarchie ne s'installe en Égypte, sa favorite Chajar ad-Durr cache la mort du sultan au peuple. Mais les croisés ne tardent pas à l'apprendre et y voient un signe de Dieu.

Le 7 janvier 1250, jour de la prière hebdomadaire des Musulmans, les croisés investissent Alexandrie. Les Croisés lancent un premier assaut par la Vieux-Port puis un second par la Porte de la Douane et entrent dans la ville. Malgré une résistance acharnée des Musulmans, la ville tombe rapidement aux mains des Francs. En pillant la ville, les croisés s'emparent d'une grande quantité d'armes. Cet épisode sera célébré par le poète Guillaume de Machaut qui écrira une ode pour célébrer la prise d'Alexandrie.

Le découragement et le désespoir gagnent les Égyptiens tandis que le pays sombre dans l'anarchie. Fakhr al-Dîn écrit une lettre aux habitants du Caire, lue dans la Grande Mosquée, pour les inciter à se ressaisir et à résister aux Français, mais loin d'avoir l'effet escompté, elle accentue leur découragement. Les croisés s'emparent de Rosette peu après.

A Mansourah, l'officier Mamelouk Baybars rassemble les esclaves Baharites pour organiser la résistance. En février, Al-Malik Tûrân Châh, fils de Al-Malik as-Sâlih Ayyûb et héritier arrive à Mansourah.

Après des années de persécutions, les Coptes orthodoxes accueillent favorablement les croisés. Le trône apostolique est resté vacant pendant 7 ans car les persécutions contre les Coptes empêchaient l'élection d'un successeur à Cyril III. En juin 1250, Athanasius III est nommé Patriarche Copte d'Alexandrie (4 mois plus tôt que dans notre Histoire). Dans un premier temps peu favorable aux contacts avec les orthodoxes considérés comme hérétiques, Louis IX accepte de rencontrer  Athanasius III qui lui promet son soutien.

Scène IV : La bataille de  Fariskur


L'armée franque arrive devant la ville de Fariskur. Tandis que l'armée installe son campement, l'avant-garde franque, menée par le frère du roi, l'intrépide Robert d'Artois, repousse un assaut des égyptiens avec l'aide des templiers menés par le Grand-Maître Guillaume de Sonnac. Fakhr al-Dîn trouve la mort, laissant les Musulmans désemparés.

Baybars prépare l'assaut contre Fariskur occupée par les Français. Mais ceux-ci sont prévenus par des espions et peuvent préparer leur défense. Baybars s'avère un stratège redoutable. Il dispose soigneusement ses troupes, encerclant le camp des Français de cavaliers et de fantassins. Les Mamelouks sont repoussés aux terme d'une bataille très difficile et très meurtrière, au cours de laquelle Robert d'Artois trouve la mort. Les Arabes utilisent le feu grégeois pour détruire les machines de guerres des croisés. Le duc d'Anjou se retrouve piégé par l'infanterie égyptienne qui lance le feu grégeois et ne sera sauvé que par l'intervention de son frère, le roi Louis.

Les Français sont désormais maîtres du delta du Nil mais, bloqués par les crues du Nil, ne peuvent marcher sur le Caire. Des négociations sont engagées avec les égyptiens et un accord, prévoyant un cesser-le feu et la libération des prisonniers chrétiens est conclu avec Tûrân Châh.

Scène V : Le coup d’État


Le 8 avril 1250, à Damiette, la reine accouche d'un garçon, Jean-Tristan de France.

Alphonse de Poitiers est couronné roi d’Égypte. Le patriarche orthodoxe Athanasius III le reconnaît comme souverain. Malgré les réticences du légat pontifical, Alphonse de Poitiers établit des relations avec les Coptes orthodoxes. Le pouvoir royal est en mesure d'imposer ses vues car c'est le roi et non le Pape qui a pris l'initiative de la croisade, et les premiers succès sont mis à son crédit. Alphonse de Poitiers ne manque pas de rappeler au légat les erreurs de son homologue Pélage lors de la cinquième croisade. Prenant modèle sur l'administration établie par Guillaume de Villehardouin en Morée, qui s'appuie sur les propriétaires grecs locaux pour gouverner, Alphonse de Poitiers organise l'administration de son nouveau royaume en s'appuyant sur la bourgeoisie copte. Les Assises d’Égypte, rédigées par le comte de Jaffa organisent les institutions du royaume.

Au Caire, le nouveau sultan Tûrân Châh accumule les erreurs et maladresses. Vouant une haine féroce contre les Mamelouks, il privilégie ses proches en leur confiant les charges de l’État et réclame à Chajar ad-Durr les richesses que lui avait données son père. Les Mamelouks décident de l'assassiner en l'attaquant au cours d'un banquet. Baybars lui porte le premier coup de sabre, lui tranchant les doigts. Tûrân Châh s'enfuit dans la ville mais sera finalement rattrapé et tué le soir. Avec lui s'éteint la dynastie des Ayoubides d’Égypte.

En Syrie, l'émir d'Alep Al-Nasir Yusuf, qui n'accepte pas la prise de pouvoir des Mamelouks en Égypte, s'empare de Damas, puis de Gaza. Izz ad-Dîn Aybak épouse Chajar ad-Durr et devient le premier sultan Mamelouk de Haute-Égypte. C'est Chajar ad-Durr qui excerce réellement le pouvoir. Les Mamelouks décident de reprendre à leur compte l'accord conclu avec les croisés. De nombreux prisonniers français sont libérés.

Scène VI : La Terre Sainte


Fin mai 1250, Louis IX quitte l’Égypte pour Saint-Jean d'Acre. Il reçoit alors un envoyé du Vieux de la Montagne, le chef de la terrible secte des Assassins, qui exige le versement d'un tribut annuel, comme le font les autres dirigeants locaux. Nullement impressionné, Louis IX le reçoit une deuxième fois accompagné du Grand-Maître du Temple et de celui de l'Hôpital car ces ordres ne craignent rien des Assassins, et exige du Vieux de la Montagne des lettres d'amitié et des présents sous quinze jours. Cette fermeté impressionne le Vieux de la Montagne et scelle l'alliance entre Saint Louis et la secte des Assassins. Peu après il reçoit successivement des offres d'alliances du sultan de Damas Al-Nasir Yusuf puis du sultan d’Égypte, qui tous deux lui promettent de céder Jérusalem aux croisés. Le roi accepte rapidement l'offre de Al-Nasir Yusuf.

En revanche la tentative de rapprochement avec les Mongols n'aboutit pas car Louis IX refuse de leur verser un tribut.

Le Calife abbasside de Bagdad intervient alors pour imposer la paix entre les deux ennemis. Le sultan de Damas tient sa promesse et Louis IX obtient une trêve de dix ans en Égypte.

Fort de leurs succès en Orient, et la menace musulmane temporairement écartée, les croisés peuvent tenir la promesse faite à l'impératrice de Constantinople. 500 chevaliers, parmi lesquels Jean de Joinville se rendent à Constantinople pour défendre la ville.

En 1254, ayant appris la mort de sa mère, Blanche de Castille, Louis IX quitte la Terre Sainte, en ayant restauré le Royaume de Jérusalem et établi un nouvel État Latin en Basse-Égypte. Il a renforcé les défenses des places fortes chrétiennes et apporté la stabilité dans le royaume de Jérusalem, en proie à l'anarchie. Mais ces États sont fragiles face à la puissance des Mamelouks.

Acte II


Quand je conduirai mon armée contre Bagdad en colère, que vous vous cachiez au paradis ou sur la terre
Je vous ramènerai depuis les sphères tournantes,
Je vous retournerai en l'air comme un lion,
Je ne laisserai personne vivant dans votre royaume,
Je vais brûler votre ville, votre pays et vous aussi.
Si vous voulez vous sauver et votre famille vénérable, écoutez mon conseil avec l'oreille de l'intelligence. Si vous ne le faites pas vous verrez ce que Dieu a voulu.
(Message de Houlagou Khan adressé au Calife Abbasside de Bagdad)


Personnages

Héthoum I, roi de Cilicie Arménienne
Möngke, Grand Khan Mongol
Houlagou Khan, frère de Möngke
Théodore II Lascaris, Empereur des Roméens

Scène I : Le voyage d'Héthoum (historique)


En 1254, le roi de Petite Arménie Héthoum I se rend à la cour du grand Khan Möngke pour lui prêter allégeance. La suite royale traverse les États turcs de l'Est de l’Anatolie, le camp mongol Baïdju à Kars dans la Grande-Arménie, les Portes de Fer de Derbent à l’ouest de la mer Caspienne, et à partir de là, toute l'Asie jusqu’à Karakorum. Möngke charge son frère cadet Houlagou Khan, de conquérir la Perse, détruire le califat des Abbassides de Bagdad, de conquérir la Syrie et l’Égypte.


Scène II : La prise de Badgad

En 1258, après avoir assiégé Alamut, siège de la secte des Assassins, Houlagou Khan s'empare de Bagdad. La prise de la ville donne lieu à un massacre épouvantable : 250 000 habitants sont massacrées et la ville est définitivement ruinée. Houlagou Khan, dont l'épouse Doqouz Khatoun est chrétienne nestorienne, est particulièrement bien disposés vis-à-vis des chrétiens et ceux-ci sont épargnés. Le califat abbasside disparaît.

Aetius

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Message par Thomas Lun 23 Mai - 13:38

Je suis pas spécialiste de la période et ne jugerais donc pas de plausibilité du récit, toutefois il est très intéressant.
Vivement la suite.

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Message par Jolou Lun 23 Mai - 18:31

Super Job !
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Message par Collectionneur Mer 16 Mai - 9:24

Avec beaucoup de retard, merci pour le texte Smile
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