[CTC37] Celles qu'on a pas eues
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[CTC37] Celles qu'on a pas eues
. Collection « textes courts » du « forum de l’uchronie française « :
. Sujet : la succession au trône de France :
. Dictionnaire, chronologique et non exhaustif, des souveraines manquées de l’histoire de France.
. « Celles qu’on a pas eues « - d’après le titre du film de Pascal Thomas – 1981 -
. Dans les hypothèses ci-dessous, la suppression de la loi salique est envisagée, distinctement, à chaque évènement de notre « continuum ». Comme si les précédents n’avaient pas existé.
. Hypothèse 1 : Jeanne 1ère, dite « la bienvenue ».
. Jeanne de France : Jeanne 1ère (1311-1349), fille de Louis X le hutin et de Marguerite de Bourgogne. En supposant l’affaire dite « de la tour de Nesle » absente, sa légitimité n’était pas contestable. Le problème de la « loi salique » ne se posait donc pas. Elle règne de 1329 à sa mort ; après une « régence » de sa mère Marguerite de Bourgogne, à partir de 1315. Elle épouse le « comte du Dauphiné », Guigues VIII de Viennois, - redoutable chef de guerre - réunissant le « Dauphiné » à la France, à la mort de ce dernier, de la peste, en 1348.
. Devant les velléités d’autonomie des « grands du royaume », dont les frères de Louis X, la régente Marguerite réunit des « états généraux », chargés de fixer les règles « constitutionnelles », - expression moderne -, de fonctionnement du trône de France. Cette « carta franca » est considérée comme l’acte fondateur des institutions françaises.
. Différences avec notre continuum : Réunissant la France et la Navarre, elle y ajoute, en outre, cf. supra, le Dauphiné. Sa fille Jeanne II, (1328-1387), dite « l’ecclésiaste » lui succède en 1349.
. Les conditions ayant entraîné la guerre de cent ans ne sont pas réunies. Des escarmouches ont bien lieu, notamment en Guyenne, au début des années 1340. Mais le génie tactique de « Guigues VIII de Viennois « incite rapidement les parties à la paix ; donc, point de guerre de cent ans. Mais, sacrebleu, elle fait rater Jeanne d’Arc à l’Histoire de France.
. Hypothèse 2 : Anne 1ère, dite « la très sage »
. Anne de Beaujeu : Anne 1ere ; (1461-1522) Fille ainée de Louis XI, qui, la considérant comme « la moins folle fille de France », écarte la loi salique. Elle règne de 1483 à sa mort, en 1522. N’ayant pas de descendance survivante, sa « successeuse » de Claude de France, fille de Louis XII, ne règne que deux ans, sans descendance viable. François, duc d’Angoulême, - François 1er de notre continuum -, accède alors au trône.
. Différences avec notre continuum : Comme son père, elle choisit de ne rien entreprendre au-delà des Alpes. Les guerres d’Italie ne commencent donc pas. Et ses successeurs préfèrent s’abstenir. Mais les « guerres de réunion de la Bretagne à la France », dites « guerres des deux Anne » éprouvent les armées françaises. Après tout, il n’y a pas de raison que les guerres soient exclusivement une affaire d’hommes.
. Hypothèse 3 : Claude 1ère, dite « l’Amazone » et Marguerite 1ère « la soutile ».
. Claude de France : Claude 1ère ; (1547-1575) ; fille d’Henri II et de Catherine de Médicis. Les raisons ayant poussé Henri II à écarter la loi salique restent obscures. Peut-être, face à la montée du protestantisme, a-t-il souhaité apparaître comme un « roi réformateur », et détourner l’attention. Ainsi, après le renoncement d’Elisabeth de France (1545-1568), déjà reine d’Espagne, de Naples et de Sicile par l’effet du mariage, elle accède au trône au décès de son frère François II, en 1560. Après une période de « Régence » exercée par sa mère Catherine, elle accède à la plénitude des pouvoirs royaux en 1565.
. Dite « Claude l’Amazone » car, selon une vérité désormais établie, et n’ayant d’ailleurs guère échappé à ses contemporains, elle a, au cours d’une scène de ménage, transpercé d’un rude coup d’épée son conjoint violent, « Henri de Guise ». Officiellement, la mort de ce dernier fut liée à une « chute accidentelle d’une hallebarde » ; éclats de rires dans les cours d’Europe... Elle fit, ensuite, vœu de célibat ; ou plutôt de veuvage. Elle renonce, ainsi, à la maternité ; un peu comme Elisabeth d’Angleterre. En 1575, elle meurt d’une bien étrange façon : tuée nette par un boulet maladroitement tiré au cours d’un exercice militaire.
. L’Eglise la déclara, bien des siècles après, « sainte patronne des femmes battues ». « Elle avait déjà été canonisée de son vivant » ; railleront les chansonniers du XIX ème.
. Différences avec notre continuum : S’efforçant de concilier catholiques et protestants, elle empêche, notamment, la saint Barthélémy.
. Marguerite 1ere de Valois : dite « la soutile » - comprendre « la subtile « ; (1553-1615). Connue, dans notre continuum, sous le nom de « reine Margot », elle accède au trône en 1575, après la mort de sa sœur Claude 1ere.
. Différences avec notre continuum : Elle réussit à faire déclarer « nul » son mariage avec son cousin, le protestant Henri de Bourbon, roi de Navarre. Ce qui lui attire la sympathie du « clan » catholique. Marguerite 1ere finit par épouser un séduisant descendant de la dynastie Jagellon, de Pologne. Sur laquelle règne, désormais, son frère Henri.
. Confrontée au réveil des « guerres de religion », elle réussit à faire preuve d’une réelle habileté politique ; en « octroyant », par l’édit dit de « la Jumellière », en 1600, la liberté religieuse. Décédée sans descendance viable, lui succède, sur le trône de France, un fils cadet de son frère Henri III, ex-roi de Pologne ; inaugurant la lignée des « Valois-Cracovie ». Ainsi, la dynastie de Bourbon n’accède pas au trône de France.
. Hypothèse 4 : Adélaïde 1re, « la bien servie ».
. Adelaïde 1ère de Bourbon : (1732-1800), dite « la bien servie » : Devient « Dauphine de France » à la mort de son frère ainé Louis, en 1765. Dans ce cas précis, l’abolition formelle de la loi dite « salique » fait suite à une démarche de son père, Louis XV, craignant qu’une épidémie de décès dans sa descendance, - à l’image de celle de Louis XIV -, ne prive le trône de France d’une titulature viable. Ce choix, en 1766, est validé par la Parlement de Paris, voyant en Adelaïde une princesse « dévote et conservatrice », conforme à ses visions.
. Différences avec notre continuum : Son règne est un vrai roman, ayant inspiré, par la suite, de nombreux scénaristes. Selon un historien « elle a réussi à triompher de son époque en faisant systématiquement de mauvais choix ».
. Conservatrice obstinée, elle finit, devant l’ampleur des crises, par convoquer, en 1775, les Etats généraux. C’est là que, devant l’assemblée des trois ordres, elle a ce mot fameux « Messieurs, mélangez-vous » ; le passage au vote par tête signifiant, nécessairement, la majorité pour les thèses du tiers-état. Il a, par la suite, été établi qu’elle avait voulu dire « Messieurs, vous mélangez tout ». Un « coup d’Etat sémantique » écrira, plus tard, l’historien de la « transition «, Maximilien de Robespierre.
. L’Assemblée a tôt fait de se transformer en Constituante. Devant le risque, à ses yeux vertigineux, de mise en place d’une Constitution, elle tente de détourner les débats en proposant le vote d’un « recueil global des lois et usages de Paris » ; sorte de « code civil ». En agissant ainsi, « elle libère toutes grandes les vannes de la réforme ». Le « coup de 1780 » donne le signal de la « transition royale ».
. Ce qui, sur le coup, la fit, quasi-unanimement, passer pour une maîtresse du jeu politique, grande anticipatrice, en France comme en Europe. Paradoxe suprême, cela apparut, à la lumière des travaux des historiens, comme le produit d’une succession de malentendus.
. Sans enfants, elle se voit succéder, sur le trône de France, en 1800, son frère « Louis, duc de Berry, dit Louis XVI ». Après la mort de celui-ci, le 2 décembre 1804, la couronne passe à la fille de ce dernier et de son épouse Marie-Antoinette, Marie-Thérèse de France ; Marie-Thérèse 1ère.
. Hypothèse finale : persistance, dans le temps, d’une monarchie en France
. Marianne V « la persistante » : (1958-) De la synthèse des Valois, Bourbons, Orleans, Bonaparte et autres Beauharnais, la monarchie, en sa forme démocratique, a survécu sur le trône de France.
En est issue la souveraine actuelle, Marianne V, née en 1958, ayant accédé au trône en 1981, et annoncé son abdication pour mai prochain, à l’âge de 66 ans.
. Europa 1 : pas encore surnommée ; fille, aînée survivante, de Marianne V, née en 1993. Le choix du prénom, en son temps, fit polémique. Elle est promise au trône à l’abdication de sa mère, prenant effet en mai 2024.
. Sujet : la succession au trône de France :
. Dictionnaire, chronologique et non exhaustif, des souveraines manquées de l’histoire de France.
. « Celles qu’on a pas eues « - d’après le titre du film de Pascal Thomas – 1981 -
. Dans les hypothèses ci-dessous, la suppression de la loi salique est envisagée, distinctement, à chaque évènement de notre « continuum ». Comme si les précédents n’avaient pas existé.
. Hypothèse 1 : Jeanne 1ère, dite « la bienvenue ».
. Jeanne de France : Jeanne 1ère (1311-1349), fille de Louis X le hutin et de Marguerite de Bourgogne. En supposant l’affaire dite « de la tour de Nesle » absente, sa légitimité n’était pas contestable. Le problème de la « loi salique » ne se posait donc pas. Elle règne de 1329 à sa mort ; après une « régence » de sa mère Marguerite de Bourgogne, à partir de 1315. Elle épouse le « comte du Dauphiné », Guigues VIII de Viennois, - redoutable chef de guerre - réunissant le « Dauphiné » à la France, à la mort de ce dernier, de la peste, en 1348.
. Devant les velléités d’autonomie des « grands du royaume », dont les frères de Louis X, la régente Marguerite réunit des « états généraux », chargés de fixer les règles « constitutionnelles », - expression moderne -, de fonctionnement du trône de France. Cette « carta franca » est considérée comme l’acte fondateur des institutions françaises.
. Différences avec notre continuum : Réunissant la France et la Navarre, elle y ajoute, en outre, cf. supra, le Dauphiné. Sa fille Jeanne II, (1328-1387), dite « l’ecclésiaste » lui succède en 1349.
. Les conditions ayant entraîné la guerre de cent ans ne sont pas réunies. Des escarmouches ont bien lieu, notamment en Guyenne, au début des années 1340. Mais le génie tactique de « Guigues VIII de Viennois « incite rapidement les parties à la paix ; donc, point de guerre de cent ans. Mais, sacrebleu, elle fait rater Jeanne d’Arc à l’Histoire de France.
. Hypothèse 2 : Anne 1ère, dite « la très sage »
. Anne de Beaujeu : Anne 1ere ; (1461-1522) Fille ainée de Louis XI, qui, la considérant comme « la moins folle fille de France », écarte la loi salique. Elle règne de 1483 à sa mort, en 1522. N’ayant pas de descendance survivante, sa « successeuse » de Claude de France, fille de Louis XII, ne règne que deux ans, sans descendance viable. François, duc d’Angoulême, - François 1er de notre continuum -, accède alors au trône.
. Différences avec notre continuum : Comme son père, elle choisit de ne rien entreprendre au-delà des Alpes. Les guerres d’Italie ne commencent donc pas. Et ses successeurs préfèrent s’abstenir. Mais les « guerres de réunion de la Bretagne à la France », dites « guerres des deux Anne » éprouvent les armées françaises. Après tout, il n’y a pas de raison que les guerres soient exclusivement une affaire d’hommes.
. Hypothèse 3 : Claude 1ère, dite « l’Amazone » et Marguerite 1ère « la soutile ».
. Claude de France : Claude 1ère ; (1547-1575) ; fille d’Henri II et de Catherine de Médicis. Les raisons ayant poussé Henri II à écarter la loi salique restent obscures. Peut-être, face à la montée du protestantisme, a-t-il souhaité apparaître comme un « roi réformateur », et détourner l’attention. Ainsi, après le renoncement d’Elisabeth de France (1545-1568), déjà reine d’Espagne, de Naples et de Sicile par l’effet du mariage, elle accède au trône au décès de son frère François II, en 1560. Après une période de « Régence » exercée par sa mère Catherine, elle accède à la plénitude des pouvoirs royaux en 1565.
. Dite « Claude l’Amazone » car, selon une vérité désormais établie, et n’ayant d’ailleurs guère échappé à ses contemporains, elle a, au cours d’une scène de ménage, transpercé d’un rude coup d’épée son conjoint violent, « Henri de Guise ». Officiellement, la mort de ce dernier fut liée à une « chute accidentelle d’une hallebarde » ; éclats de rires dans les cours d’Europe... Elle fit, ensuite, vœu de célibat ; ou plutôt de veuvage. Elle renonce, ainsi, à la maternité ; un peu comme Elisabeth d’Angleterre. En 1575, elle meurt d’une bien étrange façon : tuée nette par un boulet maladroitement tiré au cours d’un exercice militaire.
. L’Eglise la déclara, bien des siècles après, « sainte patronne des femmes battues ». « Elle avait déjà été canonisée de son vivant » ; railleront les chansonniers du XIX ème.
. Différences avec notre continuum : S’efforçant de concilier catholiques et protestants, elle empêche, notamment, la saint Barthélémy.
. Marguerite 1ere de Valois : dite « la soutile » - comprendre « la subtile « ; (1553-1615). Connue, dans notre continuum, sous le nom de « reine Margot », elle accède au trône en 1575, après la mort de sa sœur Claude 1ere.
. Différences avec notre continuum : Elle réussit à faire déclarer « nul » son mariage avec son cousin, le protestant Henri de Bourbon, roi de Navarre. Ce qui lui attire la sympathie du « clan » catholique. Marguerite 1ere finit par épouser un séduisant descendant de la dynastie Jagellon, de Pologne. Sur laquelle règne, désormais, son frère Henri.
. Confrontée au réveil des « guerres de religion », elle réussit à faire preuve d’une réelle habileté politique ; en « octroyant », par l’édit dit de « la Jumellière », en 1600, la liberté religieuse. Décédée sans descendance viable, lui succède, sur le trône de France, un fils cadet de son frère Henri III, ex-roi de Pologne ; inaugurant la lignée des « Valois-Cracovie ». Ainsi, la dynastie de Bourbon n’accède pas au trône de France.
. Hypothèse 4 : Adélaïde 1re, « la bien servie ».
. Adelaïde 1ère de Bourbon : (1732-1800), dite « la bien servie » : Devient « Dauphine de France » à la mort de son frère ainé Louis, en 1765. Dans ce cas précis, l’abolition formelle de la loi dite « salique » fait suite à une démarche de son père, Louis XV, craignant qu’une épidémie de décès dans sa descendance, - à l’image de celle de Louis XIV -, ne prive le trône de France d’une titulature viable. Ce choix, en 1766, est validé par la Parlement de Paris, voyant en Adelaïde une princesse « dévote et conservatrice », conforme à ses visions.
. Différences avec notre continuum : Son règne est un vrai roman, ayant inspiré, par la suite, de nombreux scénaristes. Selon un historien « elle a réussi à triompher de son époque en faisant systématiquement de mauvais choix ».
. Conservatrice obstinée, elle finit, devant l’ampleur des crises, par convoquer, en 1775, les Etats généraux. C’est là que, devant l’assemblée des trois ordres, elle a ce mot fameux « Messieurs, mélangez-vous » ; le passage au vote par tête signifiant, nécessairement, la majorité pour les thèses du tiers-état. Il a, par la suite, été établi qu’elle avait voulu dire « Messieurs, vous mélangez tout ». Un « coup d’Etat sémantique » écrira, plus tard, l’historien de la « transition «, Maximilien de Robespierre.
. L’Assemblée a tôt fait de se transformer en Constituante. Devant le risque, à ses yeux vertigineux, de mise en place d’une Constitution, elle tente de détourner les débats en proposant le vote d’un « recueil global des lois et usages de Paris » ; sorte de « code civil ». En agissant ainsi, « elle libère toutes grandes les vannes de la réforme ». Le « coup de 1780 » donne le signal de la « transition royale ».
. Ce qui, sur le coup, la fit, quasi-unanimement, passer pour une maîtresse du jeu politique, grande anticipatrice, en France comme en Europe. Paradoxe suprême, cela apparut, à la lumière des travaux des historiens, comme le produit d’une succession de malentendus.
. Sans enfants, elle se voit succéder, sur le trône de France, en 1800, son frère « Louis, duc de Berry, dit Louis XVI ». Après la mort de celui-ci, le 2 décembre 1804, la couronne passe à la fille de ce dernier et de son épouse Marie-Antoinette, Marie-Thérèse de France ; Marie-Thérèse 1ère.
. Hypothèse finale : persistance, dans le temps, d’une monarchie en France
. Marianne V « la persistante » : (1958-) De la synthèse des Valois, Bourbons, Orleans, Bonaparte et autres Beauharnais, la monarchie, en sa forme démocratique, a survécu sur le trône de France.
En est issue la souveraine actuelle, Marianne V, née en 1958, ayant accédé au trône en 1981, et annoncé son abdication pour mai prochain, à l’âge de 66 ans.
. Europa 1 : pas encore surnommée ; fille, aînée survivante, de Marianne V, née en 1993. Le choix du prénom, en son temps, fit polémique. Elle est promise au trône à l’abdication de sa mère, prenant effet en mai 2024.
vigilae- Messages : 158
Date d'inscription : 24/04/2023
Age : 66
Localisation : PAYS DE FRANCE
DemetriosPoliorcète, Collectionneur, Rayan du Griffoul et ezaski aiment ce message
Re: [CTC37] Celles qu'on a pas eues
Adélaïde 1ère, réformatrice à l'insu de son plein gré Les historiens vont être très perplexe sur son rôle dans l'Histoire.
Re: [CTC37] Celles qu'on a pas eues
J'aime beaucoup!
Un bémol cependant : apparaître comme un réformateur, dans le sens ou on l'entend aujourd'hui, n'a rien de positif pour un roi du XVIe siècle, et l'aurait au contraire desservi.
Un bémol cependant : apparaître comme un réformateur, dans le sens ou on l'entend aujourd'hui, n'a rien de positif pour un roi du XVIe siècle, et l'aurait au contraire desservi.
DemetriosPoliorcète- Messages : 1481
Date d'inscription : 05/03/2016
la légende des siècles
. Je comprends "pour une reine du XVIII ème siècle".
. Comme le dit la chanson d'Yves Duteil "ce n'est pas ce qu'on fait qui compte, c'est l'histoire" "qu'on découpe ou qu'on détaille selon l'auditoire".
. Il faut cependant reconnaître à "Adelaïde la bien servie" une constance : celle de ne jamais avoir engagé la France dans une guerre.
. La formule "il est rare que les guerres évoluent et finissent comme l'anticipait celui qui a fait le choix de les commencer" lui a été attribuée par un mémorialiste, méconnu, du XIX ème siècle; Victor Hugo.
. Comme le dit la chanson d'Yves Duteil "ce n'est pas ce qu'on fait qui compte, c'est l'histoire" "qu'on découpe ou qu'on détaille selon l'auditoire".
. Il faut cependant reconnaître à "Adelaïde la bien servie" une constance : celle de ne jamais avoir engagé la France dans une guerre.
. La formule "il est rare que les guerres évoluent et finissent comme l'anticipait celui qui a fait le choix de les commencer" lui a été attribuée par un mémorialiste, méconnu, du XIX ème siècle; Victor Hugo.
vigilae- Messages : 158
Date d'inscription : 24/04/2023
Age : 66
Localisation : PAYS DE FRANCE
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