[CTC21] Pridumat'
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Pridumat'
Tikhon Vinogradov, pilote de l’armée de l’air Socialiste et Souveraine (on ne disait plus soviétique depuis la réforme de l’Union en 1984) naviguait juste en dessous du plafond des 11 000 mètres, plafond opérationnel homologué du géant qu’il escortait avec son ailier. Derrière lui dans le cockpit, son officier d’armement, Yakov Mikhailov dormait. Il n’y avait rien d’autre à faire. L’avion était biplace, alors on volait à deux, peu importe que la mission ne nécessite pas d’officier d’armement. L’avion de son ailier Efim Kulikov devait probablement voir la même scène se dérouler. Les pilotes étaient contents de voler, leurs officiers d’armement n’étaient que des passagers inutiles payer à s’ennuyer dans des Mig-31 capables de voler jusqu’à 25 000 mètres.
Pour Tikhon ses missions actuelles étaient tout ce qu’il restait de sa carrière. Fils et petit-fils de pilote, son grand-père avait piloté son Šturmovik durant la Grande Guerre de libération antifasciste, héros de l’Union soviétique, il avait entre autres détruit 72 chars de combat. Quant à son père, il avait servi durant l’intervention soviétique contre l’Inde et ses pseudo-marxistes déviants qui avaient agressé la République Socialiste du Sinkiang en 1962 pour le contrôle de l’Aksai Chinn, un bout de terrain désolé et inutile. Bercé par les histoires d’aviation durant toute son enfance, inévitablement, Tikhon avait voulu devenir pilote pour servir l’Union. Puis, alors qu’il faisait ses classes, il avait été de plus en plus imprégné et inspiré par la grandeur de la conquête spatiale.
Toutefois, la conquête de l’espace restait une activité dangereuse, et entre temps Tikhon s’était marié. Sa jeune épouse, Yelena, fille du vice-commandant en chef de l’armée de l’air, avait joué contre son époux en demandant à son père de faire le nécessaire pour que la candidature de Tikhon pour intégrer Soyuzcosmos soit rejetée. Son geste était motivé par l’amour, après tout dix-huit cosmonautes avaient perdu la vie depuis la création du programme spatiale. Mais Tikhon avait fini par découvrir la vérité en 1989 et après deux ans de disputes incessantes, le couple avait divorcé. Cela avait achevé de ruiner la carrière de Tikhon puisque son ex-beau-père avait fait muter le pilote dans le 180ème escadron spécial de la Garde, héritier de l’anciennement prestigieux 180ème régiment de chasse de la Garde décoré de l’Ordre du Drapeau rouge, mais maintenant chargé d’escorter les avions servant de transporteur ou de plateforme de lancement aéroporté du programme spatial. Ainsi, même si Tikhon avait l’honneur de voler sur l’un des Mig-31 les mieux entretenus de l’Union, il était condamné à voir les autres aller dans l’espace et à ne jamais participer à une opération militaire. Mais au moins il volait… Au moins il volait…
Il regardait alors l’avion titanesque qui volait sur sa droite. Pridumat' (Avenir en Russe), l’Antonov An-450 issue du programme AKS. Exemplaire unique du plus gros avion en service dans le monde. Ce Titan fabriqué en Ukraine avait une envergure de près de 136 mètres, était propulsé par douze turboréacteurs à double flux Progress D-18T et était constitué de deux fuselages d’An-225 reliés par une aile centrale renforcée sous laquelle se trouvait, habituellement, un orbiteur. Appeler ça orbiteur, navette spatiale, avion spatial, peu importe. Aujourd’hui le Pridumat' volait « à vide » en direction d’Hostomel pour des opérations de maintenance en vue d’un prochain lancement. L’escadron de Tikhon était chargé d’escorter systématiquement et partout l’Antonov, ainsi que son « petit frère ainé » l’An-225 Mriya qui servait à trimballer les navettes spatiales du programme Buran. Lorsque les deux derniers appareils du programme, Tayfun et Groza, entreraient en service, le Pridumat' prendrait très probablement sa retraite. Sa capacité de lanceur aéroporté pour des fusées avait été testée à trois reprises, mais l’expérience était restée sans suite. L’avion géant servant uniquement de plateforme de lancement pour les navettes du programme MAKS dont Buran signait progressivement l’arrêt de mort.
Les six navettes du programme MAKS divisé en trois variantes dont seuls les deux derniers exemplaires (la variante TD) étaient encore en service servaient à ravitailler Mir-1 pendant que les Buran servaient à la construction de Mir-2. Mais l’année 1996, verrait le désorbitage de Mir-1 et la fin du programme MAKS. La semaine dernière, le 17 mars 1995, Tikhon Vinogradov avait donc assisté au lancement du MAKS-TD(B) (on n’avait même pas pris la peine de baptiser les appareils) au-dessus de la République Socialiste et Souveraine du Kazakhstan. Avec son ailier, il avait accompagné l’An-450 à 11 000 mètres d’altitude et, depuis la soute de l’appareil pesant 450 tonnes, l’équipe de contrôle avait coordonné le lancement. Le MAKS et son volumineux réservoir avaient été largués par l’avion porteur qui avait alors dégagé sur la gauche accompagnée par les Mig-31. Après quelques mètres de chute libre, l’orbiteur avait allumé ses deux RD-701 à pleine puissance, brulant le LOX et le LH2 (Oxygène liquide et hydrogène liquide) en quantité astronomique dans un immense panache de flamme et de fumée. Une fois le lancement engagé, le contrôle de vol était transmis aux équipes de Baïkonour pendant que le Pridumat' entamait sa procédure de retour à Baïkonour Krayniy. À chaque fois, Tikhon était subjugué par la puissance que dégageait le lancement ainsi que par la sensation de vertige qui l’envahissait à chaque fois qu’il s’imaginait parmi les deux membres d’équipages du MAKS.
Pourtant, il n’avait jamais vraiment eu le temps de profiter du lancement, n’apercevant que les premières secondes du vol de la navette alors qu’il décrochait avec l’An-450. Il nourrissait l’idée de profiter du dernier vol, l’an prochain, pour mettre à profit les capacités exceptionnelles de son Mig pour suivre ne serait-ce que quelques secondes le MAKS dans sa course à l’espace. Cela lui vaudrait des sanctions, voir briserait sa carrière, si tant est qu’il mette son plan à exécution, mais d’après son ex-beau-frère (et toujours très bon ami) Vasiliy, même les navettes spatiales, qu’elles soient Socialistes, Européennes, Américaines, ou Japonaises, n’en avaient pas pour longtemps. La maintenance de ces appareils coutait une fortune. L’avenir était aux lanceurs et capsules réutilisables. Déjà NPO Energia testait des versions réutilisables des boosters Zenit de la fusée Uragan. Une fois détaché du corps de la fusée, les Zenit étaient capables de redescendre en vol plané entièrement autonome et de se poser à Baïkonour Krayniy. L’étape suivante, d’ici quelques années, serait de faire la même chose avec les étages de fusée. Toutefois, Tikhon n’était pas convaincu puisque, d’après un article paru dans Pravda, en dehors de l’URSS même le secteur privé prévoyait de se doter d’orbiteurs ou de stations. C’était notamment le cas de Fujitsu Aerospace (branche de la mégacorporation Fujitsu) qui à coup de rachat d’entreprise tant au Japon (Shinmeiwa en 1992), qu’en Europe (Dornier en 1985) et aux USA (Sierra Nevada Corporation en 1981) s’était, depuis près de dix ans, dotés de moyens impressionnants. Si des civiles devaient aller dans l’espace, les navettes permettraient des retours autrement plus confortables que des capsules. Quoi qu’il en soit, une fois les MAKS remisés dans des hangars, Tikhon se retrouverait condamné à escorter les An-225 de Soyuzcosmos transportant les Buran et se retrouverait privé du majestueux (mais court) spectacle des lancements aéroportés.
Toutes ces pensées, plus ou moins positives et pertinentes, avaient fait défiler le temps à toute vitesse durant ce vol de routine. Le Pridumat' venait d’être autorisé à entamer son approche par la tour de contrôle d’Hostomel, il était temps de réveiller le pauvre Yakov. Les deux Mig-31 allaient orbiter dans l’espace aérien de Kiev jusqu’à ce que l’Antonov se soit posé, puis viendrait leur tour. L’avantage d’être divorcé était que son rôle de « nounou » ne risquait pas de foutre sa vie de couple en l’air. En effet les anges gardiens des An-225 et 450 étaient condamnés à rester près de la base où l’appareil à escorter se trouvait. Si l’An-450 devait rester trois mois à Hostomel, Tikhon devait en faire autant. Au moins, Kiev et l’Ukraine étaient un peu plus animées que ses autres destinations de routines qu’étaient Baïkonour et Dombarovsky.
Tikhon Vinogradov, pilote de l’armée de l’air Socialiste et Souveraine (on ne disait plus soviétique depuis la réforme de l’Union en 1984) naviguait juste en dessous du plafond des 11 000 mètres, plafond opérationnel homologué du géant qu’il escortait avec son ailier. Derrière lui dans le cockpit, son officier d’armement, Yakov Mikhailov dormait. Il n’y avait rien d’autre à faire. L’avion était biplace, alors on volait à deux, peu importe que la mission ne nécessite pas d’officier d’armement. L’avion de son ailier Efim Kulikov devait probablement voir la même scène se dérouler. Les pilotes étaient contents de voler, leurs officiers d’armement n’étaient que des passagers inutiles payer à s’ennuyer dans des Mig-31 capables de voler jusqu’à 25 000 mètres.
Pour Tikhon ses missions actuelles étaient tout ce qu’il restait de sa carrière. Fils et petit-fils de pilote, son grand-père avait piloté son Šturmovik durant la Grande Guerre de libération antifasciste, héros de l’Union soviétique, il avait entre autres détruit 72 chars de combat. Quant à son père, il avait servi durant l’intervention soviétique contre l’Inde et ses pseudo-marxistes déviants qui avaient agressé la République Socialiste du Sinkiang en 1962 pour le contrôle de l’Aksai Chinn, un bout de terrain désolé et inutile. Bercé par les histoires d’aviation durant toute son enfance, inévitablement, Tikhon avait voulu devenir pilote pour servir l’Union. Puis, alors qu’il faisait ses classes, il avait été de plus en plus imprégné et inspiré par la grandeur de la conquête spatiale.
Toutefois, la conquête de l’espace restait une activité dangereuse, et entre temps Tikhon s’était marié. Sa jeune épouse, Yelena, fille du vice-commandant en chef de l’armée de l’air, avait joué contre son époux en demandant à son père de faire le nécessaire pour que la candidature de Tikhon pour intégrer Soyuzcosmos soit rejetée. Son geste était motivé par l’amour, après tout dix-huit cosmonautes avaient perdu la vie depuis la création du programme spatiale. Mais Tikhon avait fini par découvrir la vérité en 1989 et après deux ans de disputes incessantes, le couple avait divorcé. Cela avait achevé de ruiner la carrière de Tikhon puisque son ex-beau-père avait fait muter le pilote dans le 180ème escadron spécial de la Garde, héritier de l’anciennement prestigieux 180ème régiment de chasse de la Garde décoré de l’Ordre du Drapeau rouge, mais maintenant chargé d’escorter les avions servant de transporteur ou de plateforme de lancement aéroporté du programme spatial. Ainsi, même si Tikhon avait l’honneur de voler sur l’un des Mig-31 les mieux entretenus de l’Union, il était condamné à voir les autres aller dans l’espace et à ne jamais participer à une opération militaire. Mais au moins il volait… Au moins il volait…
Il regardait alors l’avion titanesque qui volait sur sa droite. Pridumat' (Avenir en Russe), l’Antonov An-450 issue du programme AKS. Exemplaire unique du plus gros avion en service dans le monde. Ce Titan fabriqué en Ukraine avait une envergure de près de 136 mètres, était propulsé par douze turboréacteurs à double flux Progress D-18T et était constitué de deux fuselages d’An-225 reliés par une aile centrale renforcée sous laquelle se trouvait, habituellement, un orbiteur. Appeler ça orbiteur, navette spatiale, avion spatial, peu importe. Aujourd’hui le Pridumat' volait « à vide » en direction d’Hostomel pour des opérations de maintenance en vue d’un prochain lancement. L’escadron de Tikhon était chargé d’escorter systématiquement et partout l’Antonov, ainsi que son « petit frère ainé » l’An-225 Mriya qui servait à trimballer les navettes spatiales du programme Buran. Lorsque les deux derniers appareils du programme, Tayfun et Groza, entreraient en service, le Pridumat' prendrait très probablement sa retraite. Sa capacité de lanceur aéroporté pour des fusées avait été testée à trois reprises, mais l’expérience était restée sans suite. L’avion géant servant uniquement de plateforme de lancement pour les navettes du programme MAKS dont Buran signait progressivement l’arrêt de mort.
Les six navettes du programme MAKS divisé en trois variantes dont seuls les deux derniers exemplaires (la variante TD) étaient encore en service servaient à ravitailler Mir-1 pendant que les Buran servaient à la construction de Mir-2. Mais l’année 1996, verrait le désorbitage de Mir-1 et la fin du programme MAKS. La semaine dernière, le 17 mars 1995, Tikhon Vinogradov avait donc assisté au lancement du MAKS-TD(B) (on n’avait même pas pris la peine de baptiser les appareils) au-dessus de la République Socialiste et Souveraine du Kazakhstan. Avec son ailier, il avait accompagné l’An-450 à 11 000 mètres d’altitude et, depuis la soute de l’appareil pesant 450 tonnes, l’équipe de contrôle avait coordonné le lancement. Le MAKS et son volumineux réservoir avaient été largués par l’avion porteur qui avait alors dégagé sur la gauche accompagnée par les Mig-31. Après quelques mètres de chute libre, l’orbiteur avait allumé ses deux RD-701 à pleine puissance, brulant le LOX et le LH2 (Oxygène liquide et hydrogène liquide) en quantité astronomique dans un immense panache de flamme et de fumée. Une fois le lancement engagé, le contrôle de vol était transmis aux équipes de Baïkonour pendant que le Pridumat' entamait sa procédure de retour à Baïkonour Krayniy. À chaque fois, Tikhon était subjugué par la puissance que dégageait le lancement ainsi que par la sensation de vertige qui l’envahissait à chaque fois qu’il s’imaginait parmi les deux membres d’équipages du MAKS.
Pourtant, il n’avait jamais vraiment eu le temps de profiter du lancement, n’apercevant que les premières secondes du vol de la navette alors qu’il décrochait avec l’An-450. Il nourrissait l’idée de profiter du dernier vol, l’an prochain, pour mettre à profit les capacités exceptionnelles de son Mig pour suivre ne serait-ce que quelques secondes le MAKS dans sa course à l’espace. Cela lui vaudrait des sanctions, voir briserait sa carrière, si tant est qu’il mette son plan à exécution, mais d’après son ex-beau-frère (et toujours très bon ami) Vasiliy, même les navettes spatiales, qu’elles soient Socialistes, Européennes, Américaines, ou Japonaises, n’en avaient pas pour longtemps. La maintenance de ces appareils coutait une fortune. L’avenir était aux lanceurs et capsules réutilisables. Déjà NPO Energia testait des versions réutilisables des boosters Zenit de la fusée Uragan. Une fois détaché du corps de la fusée, les Zenit étaient capables de redescendre en vol plané entièrement autonome et de se poser à Baïkonour Krayniy. L’étape suivante, d’ici quelques années, serait de faire la même chose avec les étages de fusée. Toutefois, Tikhon n’était pas convaincu puisque, d’après un article paru dans Pravda, en dehors de l’URSS même le secteur privé prévoyait de se doter d’orbiteurs ou de stations. C’était notamment le cas de Fujitsu Aerospace (branche de la mégacorporation Fujitsu) qui à coup de rachat d’entreprise tant au Japon (Shinmeiwa en 1992), qu’en Europe (Dornier en 1985) et aux USA (Sierra Nevada Corporation en 1981) s’était, depuis près de dix ans, dotés de moyens impressionnants. Si des civiles devaient aller dans l’espace, les navettes permettraient des retours autrement plus confortables que des capsules. Quoi qu’il en soit, une fois les MAKS remisés dans des hangars, Tikhon se retrouverait condamné à escorter les An-225 de Soyuzcosmos transportant les Buran et se retrouverait privé du majestueux (mais court) spectacle des lancements aéroportés.
Toutes ces pensées, plus ou moins positives et pertinentes, avaient fait défiler le temps à toute vitesse durant ce vol de routine. Le Pridumat' venait d’être autorisé à entamer son approche par la tour de contrôle d’Hostomel, il était temps de réveiller le pauvre Yakov. Les deux Mig-31 allaient orbiter dans l’espace aérien de Kiev jusqu’à ce que l’Antonov se soit posé, puis viendrait leur tour. L’avantage d’être divorcé était que son rôle de « nounou » ne risquait pas de foutre sa vie de couple en l’air. En effet les anges gardiens des An-225 et 450 étaient condamnés à rester près de la base où l’appareil à escorter se trouvait. Si l’An-450 devait rester trois mois à Hostomel, Tikhon devait en faire autant. Au moins, Kiev et l’Ukraine étaient un peu plus animées que ses autres destinations de routines qu’étaient Baïkonour et Dombarovsky.
Note de l’auteur : encore une exploration (express) de l’univers de Daikita. Qui match « Alternate History Design » sur lequel j’avais envie de travailler depuis quelques jours. Dans cette TL, la course à l’espace ne s’est jamais interrompue et compte plus de « joueurs ». Le programme Buran compte cinq orbiteurs : Buran, Burya, Uragan, Tayfun et Groza. Le projet AKS a réellement été envisagé, mais dans une version moins plausible qu’ici et devait servir de plateforme de lancement à l’avion spatial Tupolev OOS. Ici j’ai opté pour une version plus plausible façon Stratolaunch. Le projet MAKS a lui aussi réellement été envisagé, mais n’a jamais abouti. La version proposée ici est fictive, mais plausible. De même pour la version réutilisable de la fusée Uragan.
http://www.astronautix.com/m/maks.html
https://www.secretprojects.co.uk/threads/tupolev-oos-antonov-aks.23216/
https://youtu.be/ywbfCBxZ2uA
https://youtu.be/b6GG8KHDjZk
Dernière édition par Thomas le Ven 8 Avr - 20:45, édité 1 fois
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« Ce n’est que devant l’épreuve, la vraie, celle qui met en jeu l’existence même, que les hommes cessent de se mentir et révèlent vraiment ce qu’ils sont. »
Alexandre Lang.
Au Bord de l'Abîme et au-delà
LFC/Emile Ollivier et Collectionneur aiment ce message
Re: [CTC21] Pridumat'
Je connaissait pas ce projet d'avion jumbo
J'ai indiqué le texte sur la vidéo suivante :
J'ai indiqué le texte sur la vidéo suivante :
Thomas aime ce message
Re: [CTC21] Pridumat'
Un mot oublié dans la première phrase :
Tikhon Vinogradov, pilote ... l’armée de l’air Socialiste et Souveraine
J'ai placé l'histoire dans le fil Avions Antonov du forum Air Defense.
Tikhon Vinogradov, pilote ... l’armée de l’air Socialiste et Souveraine
J'ai placé l'histoire dans le fil Avions Antonov du forum Air Defense.
Thomas aime ce message
Re: [CTC21] Pridumat'
Merci et merci.
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« Ce n’est que devant l’épreuve, la vraie, celle qui met en jeu l’existence même, que les hommes cessent de se mentir et révèlent vraiment ce qu’ils sont. »
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