Le dilemne de Kongo

Inspiré par Kantai Collection!

Durant la seconde guerre mondiale, une légende disait que les navire de guerre possédaient une "Âme" féminine, quelque soit le modèle, où la nation où ils étaient construit, l’Âme du navire avait également les habitudes de sa nation d'origine et les caractéristique du modèle du navire, ainsi que son apparence, par exemple un destroyer était représenté par une personne de petite taille alors que un cuirassé avait une carrure plus forte, un porte avions était plus grand, les croiseur avaient une taille moyenne.

L'histoire suis donc l'aventure du croiseur cuirassé Kongo de la classe du même nom, un navire appartenant à la marine impérial japonaise mais dont le premier, Kongo en l’occurrence à été construit dans le chantier naval de Vickers Shipbuilding and Engineering, au Royaume unis, elle partage donc des habitudes anglaise comme boire le thé et à tendance à placer des mots anglais dans ses conversation, alors que ses sœurs, Hiei, Kirishima et Haruna, sont nées au japon et donc ne partagent pas les mêmes habitude que leur grande sœur.

Ainsi quand la seconde guerre mondiale éclate contre les forces américaines et anglaise, les navires de classe Kongo sont envoyés affronter les navires de l'US navy et ceux de la royale navy, mais au moment d'affronter les navires anglais, elle refuse de leur tirer dessus ou alors fait en sorte de manquer ses tirs, car partageant des origines anglaises, elle considère les navires anglais comme sa famille, l'équipage du Kongo constate le problème et le navire est envoyé au japon pour révision.

Une fois amarrée dans un port japonais et son équipage débarqué, Kongo fait face à un dilemme, doit elle continuer le combat avec ses sœurs contre sa famille, ou alors rejoindre la royale navy, sa famille d’origine quitte a devoir combattre ses sœurs?

C'est durant la nuit qu'elle prendra une décision....

Voila, ce n'est pas un récit très sérieux donc j’attends vos avis et proposition, la suite dans la semaine!

Perso ARP et Kancolle, ça me parle pas des masses.