Liste alternative de Président de la République
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Re: Liste alternative de Président de la République
Maraud a écrit:Où la boulette que j'ai fais^^ C'était jusqu'au 5 mai en fait que je finissais^^.
Je corrige vite ça et j'accuse Jolou a ma place.
Par contre les troupes qui rentrent sont en fait plutôt fidèle a l'Empereur et à la République en théorie vu que ce sont des conscrit. (Irl elles ont été récupéré par Thiers qui a accusé les Communards de se battre contre la République pour les tromper).
Par contre les troupes issus de coins religieux comme celle de Bretagne, peuvent éventuellement suivre les conservateurs et donc le Roi.
trop tard ^^ Moi pour une seule phrase qu'on a mal compris on a provoqué une guerre civile et about a une france dirigé par barons de la drogue qui font du tour de france. Donc hop
Jolou- Messages : 636
Date d'inscription : 17/10/2015
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Re: Liste alternative de Président de la République
Comité Central de la Commune de Paris 19 Mars 1871 au 5 Mai 1871[1]
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
Dernière édition par Lunarc le Lun 24 Oct - 18:45, édité 1 fois
Lunarc- Messages : 231
Date d'inscription : 25/10/2015
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Re: Liste alternative de Président de la République
Nope, ça marche pas pour Henri V, j'ai clairement dit qu'il prenait le controle de l'Algérie. Donc qu'il mettait les révoltes qui apparaissait
Jolou- Messages : 636
Date d'inscription : 17/10/2015
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Re: Liste alternative de Président de la République
Le Chnord de l'Algérie. Pas le Sud^^
Et effectivement, avec l'Armée française en déroute sur le continent, l'Algérie Française est pas prêt de faire long feu face a une coalition d'Algérien.
Fallait le Garder en France pour le faire durer plus longtemps
PS: Moi, je suis innocent pour ta tl qui est partit en cacahuète.
Ca a commencé avec un Abbé Pierre Président il me semble^^
Et effectivement, avec l'Armée française en déroute sur le continent, l'Algérie Française est pas prêt de faire long feu face a une coalition d'Algérien.
Fallait le Garder en France pour le faire durer plus longtemps
PS: Moi, je suis innocent pour ta tl qui est partit en cacahuète.
Ca a commencé avec un Abbé Pierre Président il me semble^^
Maraud- Messages : 561
Date d'inscription : 01/11/2015
Re: Liste alternative de Président de la République
Avec quelles troupes?
Parce que si mes souvenirs sont bons, l'Armée d'Afrique est en France pendant la guerre de 70, donc Henri n'a pas de soldats sur lesquels s’appuyer afin de consolider son emprise sur l'Algérie.
Et sans soutien de la métropole...
Parce que si mes souvenirs sont bons, l'Armée d'Afrique est en France pendant la guerre de 70, donc Henri n'a pas de soldats sur lesquels s’appuyer afin de consolider son emprise sur l'Algérie.
Et sans soutien de la métropole...
Lunarc- Messages : 231
Date d'inscription : 25/10/2015
Age : 25
Localisation : Poitiers, ou dans sa région
Re: Liste alternative de Président de la République
Lunarc a écrit:Avec quelles troupes?
Parce que si mes souvenirs sont bons, l'Armée d'Afrique est en France pendant la guerre de 70, donc Henri n'a pas de soldats sur lesquels s’appuyer afin de consolider son emprise sur l'Algérie.
Et sans soutien de la métropole...
Lis ce que j'ai marqué, la marine et une partie de l'armée accompagné de notables/nobles se sont enfuie en Algérie.
Jolou- Messages : 636
Date d'inscription : 17/10/2015
Age : 27
Localisation : Proche de Montpellier
Re: Liste alternative de Président de la République
Oups, j'avais pas vu.
Bon, je vais modifier ça.
Bon, je vais modifier ça.
Lunarc- Messages : 231
Date d'inscription : 25/10/2015
Age : 25
Localisation : Poitiers, ou dans sa région
Re: Liste alternative de Président de la République
Comité Central de la Commune de Paris 19 Mars 1871 au 5 Mai 1871[1]
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
[color=#FF0000]Auguste Blanqui 5 Janvier 1873 au 10 Mars 1874
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
[4] Blanqui a les pleins pouvoir qu'il n'hésite pas a utiliser contre tout ceux qui s'opposent a son pouvoir. Il forme un comité de personnes qui doivent mettre en place l'ordre nouveau , la dictateur n'est que provisoire.
Les biens sont pris par l'Etat qui se charge de les distribuer tandis qu'un système éducatif est mis en place pour tous le monde. Mais alors qu'il s'estime être en bon chemin, Blanqui a un accident vasculaire cérébrale qui le tue rapidement.
En Algérie, la mort de Abd el Kadher face aux troupes royales marquent la fin de la révolte algérienne et le régime se stabilise. Un afflux de ceux qui sont déçus de la dictature blanquiste arrivent en Algérie au même titres que des Italiens, Allemands... Le régime s’industrialise petit a petit et il n'a aucune menace immédiate.
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
[color=#FF0000]Auguste Blanqui 5 Janvier 1873 au 10 Mars 1874
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
[4] Blanqui a les pleins pouvoir qu'il n'hésite pas a utiliser contre tout ceux qui s'opposent a son pouvoir. Il forme un comité de personnes qui doivent mettre en place l'ordre nouveau , la dictateur n'est que provisoire.
Les biens sont pris par l'Etat qui se charge de les distribuer tandis qu'un système éducatif est mis en place pour tous le monde. Mais alors qu'il s'estime être en bon chemin, Blanqui a un accident vasculaire cérébrale qui le tue rapidement.
En Algérie, la mort de Abd el Kadher face aux troupes royales marquent la fin de la révolte algérienne et le régime se stabilise. Un afflux de ceux qui sont déçus de la dictature blanquiste arrivent en Algérie au même titres que des Italiens, Allemands... Le régime s’industrialise petit a petit et il n'a aucune menace immédiate.
Jolou- Messages : 636
Date d'inscription : 17/10/2015
Age : 27
Localisation : Proche de Montpellier
Re: Liste alternative de Président de la République
Bon, je n'y connais quasiment rien a la commune, je vais passer le tour a d'autres. Juste un truc, j'aimerais faire quelque chose a la Kaisereich avec une france royaliste de l'autre coté de la Med, donc svp ne la détruisait pas
Jolou- Messages : 636
Date d'inscription : 17/10/2015
Age : 27
Localisation : Proche de Montpellier
Re: Liste alternative de Président de la République
Théoriquement, vu les ressources de l'époque, même l'Ottoman peut bouffer le bout d'algérie Française^^
Maraud- Messages : 561
Date d'inscription : 01/11/2015
Re: Liste alternative de Président de la République
Peut etre, mais c'est pas intéressant. La y'a une chance d'avoir possiblement une france royaliste contre les communiste
Jolou- Messages : 636
Date d'inscription : 17/10/2015
Age : 27
Localisation : Proche de Montpellier
Re: Liste alternative de Président de la République
Je serais intéressé par les suggestions de chacun quant aux présidents de la République et présidents du Conseil dans WIAF (voir ce fil). Pour rappel: De Gaulle meurt à Verdun et, en 1940, c'est Mandel qui devient le chef de la France libre. Il démissionne pour raisons de santé environ un an après la mise en place d'un gouvernement provisoire en 1944. A ceci près, les grandes figures de la IVème République restent à peu près les mêmes, mais elles vont sans doute se succéder aux affaires dans un ordre différent (et Jean Moulin, qui échappe à la Gestapo, en fait partie).
Sans guerre d'Indochine, la IVème République parvient plus ou moins à gérer la crise algérienne sans s'effondrer, mais il s'en faut de peu, et elle en sort encore plus instable politiquement.
Sans guerre d'Indochine, la IVème République parvient plus ou moins à gérer la crise algérienne sans s'effondrer, mais il s'en faut de peu, et elle en sort encore plus instable politiquement.
hendryk- Messages : 67
Date d'inscription : 21/10/2015
Re: Liste alternative de Président de la République
Sans un DeGaulle fédérateur de la résistance, les USA tenteront d'imposer le Régime de Vichy comme Gouvernement légitime.
Et les maquis sont alors pas prêt de s'arrêter. Républicains en tous genre continuerons a se battre, seul des factions de droite conservatrice(qui était avouons le quasi inexistante au seins de la Résistance) se rallieront au nouveau gouvernement.
Donc déjà t'es bon pour un scénario à la grecque et une guerre civile qui va durer trèèèès longtemps.
Et les maquis sont alors pas prêt de s'arrêter. Républicains en tous genre continuerons a se battre, seul des factions de droite conservatrice(qui était avouons le quasi inexistante au seins de la Résistance) se rallieront au nouveau gouvernement.
Donc déjà t'es bon pour un scénario à la grecque et une guerre civile qui va durer trèèèès longtemps.
Maraud- Messages : 561
Date d'inscription : 01/11/2015
Re: Liste alternative de Président de la République
Comité Central de la Commune de Paris 19 Mars 1871 au 5 Mai 1871[1]
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
Auguste Blanqui 5 Janvier 1873 au 10 Mars 1874 [4]
Conseil Général de la République Française 10 Mars 1874 au 30 Mai 1877 [5]
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
[4] Blanqui a les pleins pouvoir qu'il n'hésite pas a utiliser contre tout ceux qui s'opposent a son pouvoir. Il forme un comité de personnes qui doivent mettre en place l'ordre nouveau , la dictateur n'est que provisoire.
Les biens sont pris par l'Etat qui se charge de les distribuer tandis qu'un système éducatif est mis en place pour tous le monde. Mais alors qu'il s'estime être en bon chemin, Blanqui a un accident vasculaire cérébrale qui le tue rapidement.
En Algérie, la mort de Abd el Kadher face aux troupes royales marquent la fin de la révolte algérienne et le régime se stabilise. Un afflux de ceux qui sont déçus de la dictature blanquiste arrivent en Algérie au même titres que des Italiens, Allemands... Le régime s’industrialise petit a petit et il n'a aucune menace immédiate.
[5]Site a la mort soudaine et inexpliqué de Blanqui(certain ont évoqué un assassinat), les dictateurs conduisant la France établissent en petit comité une nouvelle constitution.
Les grandes lignes sont dans la droite ligne de la Révolution Française et des Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 et 1793,
avec le Droit à l'Existence comme seul présupposé a la liberté.
Dans ce cadre, des enquêtes sont menées sur tout le territoire afin de déterminer les besoins. Les résultats définissent ce droit.
Un systéme de retraite est donc créé, avec obligation de ne plus travailler avant 15 ans et après 55 ans pour les ouvriers des usines et des manufactures, des aides pour les chômeurs afin de les aider a retrouver du travail, la réouverture du projet des ateliers publics(notamment pour l'armement) et un salaire minimum.
La liberté totale d'entreprendre est néanmoins laissé.
Les droit démocratique sont garantis(liberté de presse, de réunion, droit de vote universel, celui des femmes sera intégrés, sur pression de Louise Michel et du Comité central des femmes de Paris, armes sous contrôle des gardes nationaux, etc.)
Les décisions économiques vont être l'objet de débats intenses, alors que l'industrie se développe à grande vitesse grâce aux ateliers nationaux devant faire face a l'afflux de paysans attirés par les avantages données aux ouvriers. Le problème de l'inflation et du "mur de l'argent" sont également ardemment débattu, la critique la plus radicale se trouvant dans les deux faction des internationalistes, les Bakouninistes et les Marxistes(surtout divisé par des querelles de personnes et la réflexion sur les méthodes d'action révolutionnaire).
Le conseil décide de la date des premières élections parlementaires et présidentielle de la nouvelle république, durant le mois de Mai 1877.
Le président de la République a pour seul but de représenter le pays à l'étranger, il a si peu de pouvoir qu'il n'a pas de limite de mandat et est réélu tout les ans, l'Assemblée, émanation du peuple, dispose seule du pouvoir, et est elle convoquée pour cinq années. Les simples gens peuvent déposer pétitions auprès de leur députés et monter a la tribune sur simple demande. La presse étrangère la surnommera rapidement "le bordel", pour son ambiance très agitée, en diffusant par la même des récits "d'orgies dans les tribunes", et autres joyeusetés.
le Conseil s'auto-dissout le 30 Mai 1877, pour laisser la place a l'Assemblée nouvellement élu.
En Afrique, Henri V rallie a sa cause les établissements que Napoléon III avaient lancé, lance des expéditions dans le reste du continent et commence une guerre d'invasion contre le Maroc.
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
Auguste Blanqui 5 Janvier 1873 au 10 Mars 1874 [4]
Conseil Général de la République Française 10 Mars 1874 au 30 Mai 1877 [5]
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
[4] Blanqui a les pleins pouvoir qu'il n'hésite pas a utiliser contre tout ceux qui s'opposent a son pouvoir. Il forme un comité de personnes qui doivent mettre en place l'ordre nouveau , la dictateur n'est que provisoire.
Les biens sont pris par l'Etat qui se charge de les distribuer tandis qu'un système éducatif est mis en place pour tous le monde. Mais alors qu'il s'estime être en bon chemin, Blanqui a un accident vasculaire cérébrale qui le tue rapidement.
En Algérie, la mort de Abd el Kadher face aux troupes royales marquent la fin de la révolte algérienne et le régime se stabilise. Un afflux de ceux qui sont déçus de la dictature blanquiste arrivent en Algérie au même titres que des Italiens, Allemands... Le régime s’industrialise petit a petit et il n'a aucune menace immédiate.
[5]Site a la mort soudaine et inexpliqué de Blanqui(certain ont évoqué un assassinat), les dictateurs conduisant la France établissent en petit comité une nouvelle constitution.
Les grandes lignes sont dans la droite ligne de la Révolution Française et des Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 et 1793,
avec le Droit à l'Existence comme seul présupposé a la liberté.
Dans ce cadre, des enquêtes sont menées sur tout le territoire afin de déterminer les besoins. Les résultats définissent ce droit.
Un systéme de retraite est donc créé, avec obligation de ne plus travailler avant 15 ans et après 55 ans pour les ouvriers des usines et des manufactures, des aides pour les chômeurs afin de les aider a retrouver du travail, la réouverture du projet des ateliers publics(notamment pour l'armement) et un salaire minimum.
La liberté totale d'entreprendre est néanmoins laissé.
Les droit démocratique sont garantis(liberté de presse, de réunion, droit de vote universel, celui des femmes sera intégrés, sur pression de Louise Michel et du Comité central des femmes de Paris, armes sous contrôle des gardes nationaux, etc.)
Les décisions économiques vont être l'objet de débats intenses, alors que l'industrie se développe à grande vitesse grâce aux ateliers nationaux devant faire face a l'afflux de paysans attirés par les avantages données aux ouvriers. Le problème de l'inflation et du "mur de l'argent" sont également ardemment débattu, la critique la plus radicale se trouvant dans les deux faction des internationalistes, les Bakouninistes et les Marxistes(surtout divisé par des querelles de personnes et la réflexion sur les méthodes d'action révolutionnaire).
Le conseil décide de la date des premières élections parlementaires et présidentielle de la nouvelle république, durant le mois de Mai 1877.
Le président de la République a pour seul but de représenter le pays à l'étranger, il a si peu de pouvoir qu'il n'a pas de limite de mandat et est réélu tout les ans, l'Assemblée, émanation du peuple, dispose seule du pouvoir, et est elle convoquée pour cinq années. Les simples gens peuvent déposer pétitions auprès de leur députés et monter a la tribune sur simple demande. La presse étrangère la surnommera rapidement "le bordel", pour son ambiance très agitée, en diffusant par la même des récits "d'orgies dans les tribunes", et autres joyeusetés.
le Conseil s'auto-dissout le 30 Mai 1877, pour laisser la place a l'Assemblée nouvellement élu.
En Afrique, Henri V rallie a sa cause les établissements que Napoléon III avaient lancé, lance des expéditions dans le reste du continent et commence une guerre d'invasion contre le Maroc.
Lunarc- Messages : 231
Date d'inscription : 25/10/2015
Age : 25
Localisation : Poitiers, ou dans sa région
Re: Liste alternative de Président de la République
Comité Central de la Commune de Paris 19 Mars 1871 au 5 Mai 1871[1]
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
Auguste Blanqui 5 Janvier 1873 au 10 Mars 1874 [4]
Conseil Général de la République Française 10 Mars 1874 au 30 Mai 1877 [5]
Premier Ministre du Peuple Français
Edouard Vaillant 30 Mai 1877 au 12 Juin 1879 [6]
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
[4] Blanqui a les pleins pouvoir qu'il n'hésite pas a utiliser contre tout ceux qui s'opposent a son pouvoir. Il forme un comité de personnes qui doivent mettre en place l'ordre nouveau , la dictateur n'est que provisoire.
Les biens sont pris par l'Etat qui se charge de les distribuer tandis qu'un système éducatif est mis en place pour tous le monde. Mais alors qu'il s'estime être en bon chemin, Blanqui a un accident vasculaire cérébrale qui le tue rapidement.
En Algérie, la mort de Abd el Kadher face aux troupes royales marquent la fin de la révolte algérienne et le régime se stabilise. Un afflux de ceux qui sont déçus de la dictature blanquiste arrivent en Algérie au même titres que des Italiens, Allemands... Le régime s’industrialise petit a petit et il n'a aucune menace immédiate.
[5]Site a la mort soudaine et inexpliqué de Blanqui(certain ont évoqué un assassinat), les dictateurs conduisant la France établissent en petit comité une nouvelle constitution.
Les grandes lignes sont dans la droite ligne de la Révolution Française et des Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 et 1793,
avec le Droit à l'Existence comme seul présupposé a la liberté.
Dans ce cadre, des enquêtes sont menées sur tout le territoire afin de déterminer les besoins. Les résultats définissent ce droit.
Un systéme de retraite est donc créé, avec obligation de ne plus travailler avant 15 ans et après 55 ans pour les ouvriers des usines et des manufactures, des aides pour les chômeurs afin de les aider a retrouver du travail, la réouverture du projet des ateliers publics(notamment pour l'armement) et un salaire minimum.
La liberté totale d'entreprendre est néanmoins laissé.
Les droit démocratique sont garantis(liberté de presse, de réunion, droit de vote universel, celui des femmes sera intégrés, sur pression de Louise Michel et du Comité central des femmes de Paris, armes sous contrôle des gardes nationaux, etc.)
Les décisions économiques vont être l'objet de débats intenses, alors que l'industrie se développe à grande vitesse grâce aux ateliers nationaux devant faire face a l'afflux de paysans attirés par les avantages données aux ouvriers. Le problème de l'inflation et du "mur de l'argent" sont également ardemment débattu, la critique la plus radicale se trouvant dans les deux faction des internationalistes, les Bakouninistes et les Marxistes(surtout divisé par des querelles de personnes et la réflexion sur les méthodes d'action révolutionnaire).
Le conseil décide de la date des premières élections parlementaires et présidentielle de la nouvelle république, durant le mois de Mai 1877.
Le président de la République a pour seul but de représenter le pays à l'étranger, il a si peu de pouvoir qu'il n'a pas de limite de mandat et est réélu tout les ans, l'Assemblée, émanation du peuple, dispose seule du pouvoir, et est elle convoquée pour cinq années. Les simples gens peuvent déposer pétitions auprès de leur députés et monter a la tribune sur simple demande. La presse étrangère la surnommera rapidement "le bordel", pour son ambiance très agitée, en diffusant par la même des récits "d'orgies dans les tribunes", et autres joyeusetés.
le Conseil s'auto-dissout le 30 Mai 1877, pour laisser la place a l'Assemblée nouvellement élu.
En Afrique, Henri V rallie a sa cause les établissements que Napoléon III avaient lancé, lance des expéditions dans le reste du continent et commence une guerre d'invasion contre le Maroc.
[6] Edouard Vaillant profite de l'écrasante majorité Blanquiste obtenu a l'Assemblé pour devenir le Premier Premier Ministre du Peuple . Il réorganise complètement le système éducatif laissé un peu a l'abandon par les prêtes ayant fuit. Ainsi, il proclame l'école Gratuite pour Tous, Laïque, Mixtes et obligatoire jusqu’à 15 ans . Divisé en un système en trois étages : Ecole du Peuple (Jusqu'a 11 ans), Collège (jusqu'a 16 ans), Université (Divisé en différentes catégories (Ex : Mathématique/ Histoire...). Avec un accent sur l'enseignement professionnel. C'est une crise diplomatique qui va provoquer sa chute, deux ans a peine après son introduction au pouvoir. Un Navire Royaliste est attaqué par un Navire Communiste dont le capitaine est un peu "fanatique", rapidement, Henri V envoie une note diplomatique exigeant les survivants et des réparations. Refusant dans un premier temps, ce n'est qu'a l'arrivé d'un Message Allemand annonçant leur support a Henri V que Vaillant est obligé de céder, ne pensant pas gagner une guerre contre l'allemagne. Sa majorité s'effrite et pour éviter le déshonneur d'être destitué par l'assemblé il démission le 12 juin 1879.
En Afrique, Henri V gagne la guerre face aux Marocains et continue d'envoyer des expéditions dans le Sahara. Il profite de l'argent reçu de Vaillant pour financer la constructions d’infrastructure en Algérie. Il se rapproche aussi de l'Allemagne.
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
Auguste Blanqui 5 Janvier 1873 au 10 Mars 1874 [4]
Conseil Général de la République Française 10 Mars 1874 au 30 Mai 1877 [5]
Premier Ministre du Peuple Français
Edouard Vaillant 30 Mai 1877 au 12 Juin 1879 [6]
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
[4] Blanqui a les pleins pouvoir qu'il n'hésite pas a utiliser contre tout ceux qui s'opposent a son pouvoir. Il forme un comité de personnes qui doivent mettre en place l'ordre nouveau , la dictateur n'est que provisoire.
Les biens sont pris par l'Etat qui se charge de les distribuer tandis qu'un système éducatif est mis en place pour tous le monde. Mais alors qu'il s'estime être en bon chemin, Blanqui a un accident vasculaire cérébrale qui le tue rapidement.
En Algérie, la mort de Abd el Kadher face aux troupes royales marquent la fin de la révolte algérienne et le régime se stabilise. Un afflux de ceux qui sont déçus de la dictature blanquiste arrivent en Algérie au même titres que des Italiens, Allemands... Le régime s’industrialise petit a petit et il n'a aucune menace immédiate.
[5]Site a la mort soudaine et inexpliqué de Blanqui(certain ont évoqué un assassinat), les dictateurs conduisant la France établissent en petit comité une nouvelle constitution.
Les grandes lignes sont dans la droite ligne de la Révolution Française et des Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 et 1793,
avec le Droit à l'Existence comme seul présupposé a la liberté.
Dans ce cadre, des enquêtes sont menées sur tout le territoire afin de déterminer les besoins. Les résultats définissent ce droit.
Un systéme de retraite est donc créé, avec obligation de ne plus travailler avant 15 ans et après 55 ans pour les ouvriers des usines et des manufactures, des aides pour les chômeurs afin de les aider a retrouver du travail, la réouverture du projet des ateliers publics(notamment pour l'armement) et un salaire minimum.
La liberté totale d'entreprendre est néanmoins laissé.
Les droit démocratique sont garantis(liberté de presse, de réunion, droit de vote universel, celui des femmes sera intégrés, sur pression de Louise Michel et du Comité central des femmes de Paris, armes sous contrôle des gardes nationaux, etc.)
Les décisions économiques vont être l'objet de débats intenses, alors que l'industrie se développe à grande vitesse grâce aux ateliers nationaux devant faire face a l'afflux de paysans attirés par les avantages données aux ouvriers. Le problème de l'inflation et du "mur de l'argent" sont également ardemment débattu, la critique la plus radicale se trouvant dans les deux faction des internationalistes, les Bakouninistes et les Marxistes(surtout divisé par des querelles de personnes et la réflexion sur les méthodes d'action révolutionnaire).
Le conseil décide de la date des premières élections parlementaires et présidentielle de la nouvelle république, durant le mois de Mai 1877.
Le président de la République a pour seul but de représenter le pays à l'étranger, il a si peu de pouvoir qu'il n'a pas de limite de mandat et est réélu tout les ans, l'Assemblée, émanation du peuple, dispose seule du pouvoir, et est elle convoquée pour cinq années. Les simples gens peuvent déposer pétitions auprès de leur députés et monter a la tribune sur simple demande. La presse étrangère la surnommera rapidement "le bordel", pour son ambiance très agitée, en diffusant par la même des récits "d'orgies dans les tribunes", et autres joyeusetés.
le Conseil s'auto-dissout le 30 Mai 1877, pour laisser la place a l'Assemblée nouvellement élu.
En Afrique, Henri V rallie a sa cause les établissements que Napoléon III avaient lancé, lance des expéditions dans le reste du continent et commence une guerre d'invasion contre le Maroc.
[6] Edouard Vaillant profite de l'écrasante majorité Blanquiste obtenu a l'Assemblé pour devenir le Premier Premier Ministre du Peuple . Il réorganise complètement le système éducatif laissé un peu a l'abandon par les prêtes ayant fuit. Ainsi, il proclame l'école Gratuite pour Tous, Laïque, Mixtes et obligatoire jusqu’à 15 ans . Divisé en un système en trois étages : Ecole du Peuple (Jusqu'a 11 ans), Collège (jusqu'a 16 ans), Université (Divisé en différentes catégories (Ex : Mathématique/ Histoire...). Avec un accent sur l'enseignement professionnel. C'est une crise diplomatique qui va provoquer sa chute, deux ans a peine après son introduction au pouvoir. Un Navire Royaliste est attaqué par un Navire Communiste dont le capitaine est un peu "fanatique", rapidement, Henri V envoie une note diplomatique exigeant les survivants et des réparations. Refusant dans un premier temps, ce n'est qu'a l'arrivé d'un Message Allemand annonçant leur support a Henri V que Vaillant est obligé de céder, ne pensant pas gagner une guerre contre l'allemagne. Sa majorité s'effrite et pour éviter le déshonneur d'être destitué par l'assemblé il démission le 12 juin 1879.
En Afrique, Henri V gagne la guerre face aux Marocains et continue d'envoyer des expéditions dans le Sahara. Il profite de l'argent reçu de Vaillant pour financer la constructions d’infrastructure en Algérie. Il se rapproche aussi de l'Allemagne.
Jolou- Messages : 636
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Localisation : Proche de Montpellier
Re: Liste alternative de Président de la République
Vaillant qui donne du fric au Roi?
Maraud- Messages : 561
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Re: Liste alternative de Président de la République
Comité Central de la Commune de Paris 19 Mars 1871 au 5 Mai 1871[1]
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
Auguste Blanqui 5 Janvier 1873 au 10 Mars 1874 [4]
Conseil Général de la République Française 10 Mars 1874 au 30 Mai 1877 [5]
Premier Ministre du Peuple Français
Edouard Vaillant 30 Mai 1877 au 12 Juin 1879 [6]
Zéphirin Camélinat 20 Juin 1879 29 Mai 1884 [7]
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
[4] Blanqui a les pleins pouvoir qu'il n'hésite pas a utiliser contre tout ceux qui s'opposent a son pouvoir. Il forme un comité de personnes qui doivent mettre en place l'ordre nouveau , la dictateur n'est que provisoire.
Les biens sont pris par l'Etat qui se charge de les distribuer tandis qu'un système éducatif est mis en place pour tous le monde. Mais alors qu'il s'estime être en bon chemin, Blanqui a un accident vasculaire cérébrale qui le tue rapidement.
En Algérie, la mort de Abd el Kadher face aux troupes royales marquent la fin de la révolte algérienne et le régime se stabilise. Un afflux de ceux qui sont déçus de la dictature blanquiste arrivent en Algérie au même titres que des Italiens, Allemands... Le régime s’industrialise petit a petit et il n'a aucune menace immédiate.
[5]Site a la mort soudaine et inexpliqué de Blanqui(certain ont évoqué un assassinat), les dictateurs conduisant la France établissent en petit comité une nouvelle constitution.
Les grandes lignes sont dans la droite ligne de la Révolution Française et des Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 et 1793,
avec le Droit à l'Existence comme seul présupposé a la liberté.
Dans ce cadre, des enquêtes sont menées sur tout le territoire afin de déterminer les besoins. Les résultats définissent ce droit.
Un systéme de retraite est donc créé, avec obligation de ne plus travailler avant 15 ans et après 55 ans pour les ouvriers des usines et des manufactures, des aides pour les chômeurs afin de les aider a retrouver du travail, la réouverture du projet des ateliers publics(notamment pour l'armement) et un salaire minimum.
La liberté totale d'entreprendre est néanmoins laissé.
Les droit démocratique sont garantis(liberté de presse, de réunion, droit de vote universel, celui des femmes sera intégrés, sur pression de Louise Michel et du Comité central des femmes de Paris, armes sous contrôle des gardes nationaux, etc.)
Les décisions économiques vont être l'objet de débats intenses, alors que l'industrie se développe à grande vitesse grâce aux ateliers nationaux devant faire face a l'afflux de paysans attirés par les avantages données aux ouvriers. Le problème de l'inflation et du "mur de l'argent" sont également ardemment débattu, la critique la plus radicale se trouvant dans les deux faction des internationalistes, les Bakouninistes et les Marxistes(surtout divisé par des querelles de personnes et la réflexion sur les méthodes d'action révolutionnaire).
Le conseil décide de la date des premières élections parlementaires et présidentielle de la nouvelle république, durant le mois de Mai 1877.
Le président de la République a pour seul but de représenter le pays à l'étranger, il a si peu de pouvoir qu'il n'a pas de limite de mandat et est réélu tout les ans, l'Assemblée, émanation du peuple, dispose seule du pouvoir, et est elle convoquée pour cinq années. Les simples gens peuvent déposer pétitions auprès de leur députés et monter a la tribune sur simple demande. La presse étrangère la surnommera rapidement "le bordel", pour son ambiance très agitée, en diffusant par la même des récits "d'orgies dans les tribunes", et autres joyeusetés.
le Conseil s'auto-dissout le 30 Mai 1877, pour laisser la place a l'Assemblée nouvellement élu.
En Afrique, Henri V rallie a sa cause les établissements que Napoléon III avaient lancé, lance des expéditions dans le reste du continent et commence une guerre d'invasion contre le Maroc.
[6] Edouard Vaillant profite de l'écrasante majorité Blanquiste obtenu a l'Assemblé pour devenir le Premier Premier Ministre du Peuple . Il réorganise complètement le système éducatif laissé un peu a l'abandon par les prêtes ayant fuit. Ainsi, il proclame l'école Gratuite pour Tous, Laïque, Mixtes et obligatoire jusqu’à 15 ans . Divisé en un système en trois étages : Ecole du Peuple (Jusqu'a 11 ans), Collège (jusqu'a 16 ans), Université (Divisé en différentes catégories (Ex : Mathématique/ Histoire...). Avec un accent sur l'enseignement professionnel. C'est une crise diplomatique qui va provoquer sa chute, deux ans a peine après son introduction au pouvoir. Un Navire Royaliste est attaqué par un Navire Communiste dont le capitaine est un peu "fanatique", rapidement, Henri V envoie une note diplomatique exigeant les survivants et des réparations. Refusant dans un premier temps, ce n'est qu'a l'arrivé d'un Message Allemand annonçant leur support a Henri V que Vaillant est obligé de céder, ne pensant pas gagner une guerre contre l'allemagne. Sa majorité s'effrite et pour éviter le déshonneur d'être destitué par l'assemblé il démission le 12 juin 1879.
En Afrique, Henri V gagne la guerre face aux Marocains et continue d'envoyer des expéditions dans le Sahara. Il profite de l'argent reçu de Vaillant pour financer la constructions d’infrastructure en Algérie. Il se rapproche aussi de l'Allemagne.
[7] Au grand étonnement des Proudhoniens qui pensaient en profiter, de nombreux anarchistes français ont commencé a intéresser bien plus au idées de Boukharine que celle du tenant de la collaboration de classe.
Et grâce finalement à un consensus entre les différentes factions de l'AIT (et le passage de nombreux anarchistes au fait de se représenter en total contradiction avec leur ancienne idéologie, préférant un entre deux), une campagne unique a été faites, réussissant a rafler la mise lors des élections. On notera que Garibaldi est une fois encore élu sans s'être représenté à Paris. Celui refuse une fois de plus, ayant de plus un mandat a Rome.
De nombreux autres étrangers sont eux aussi élu député comme Karl Marx et Engels.
De plus Zéphirin Camélinat, ancien proche de proudhon et ami de Karl Marx devient président.
Une des premières mesures strictes a été de changer la notion de liberté d'entreprendre. Il est toujours autorisé d'entreprendre mais désormais chaque personne au seins de l'entreprise le même statut, transformant de fait toutes les entreprises non étatiques en coopératives.
Les derniers Républicains Libéraux issus de la Haute Bourgeoisie crie au scandale mais ne sont pas assez nombreux, surtout que la plupart des petits patrons qui sont des artisans de l'Assemblée finissent par accepter suite a quelques débats.
Ensuite pour éviter les querelles entre anarchistes et Etatiste, des zones non étatiques sont créées. Tandis que l'ensemble de la France est dirigé par l'Etat, certaines zones seront géré par les différents anarchistes a 100% au seins de différentes expériences sociale. Les résultats devant influencer la politique de l'Etat par la suite.
Une autre grande Loi, qui tourna à l'émeute dans certaines régions et l'intervention de la garde pour calmer la population , fut l'expulsion du diplomate Papale et la séparation totale de l'Eglise et de l'Etat. Cela emmena a l'arrestation de quelques dirigeants de journaux pour avoir créer la panique.
De nombreux secteurs sont aussi nationalisé, dont l'armement et le ferroviaire.
Dans les Universités, toutes référence au religieux est enlevé et l'on booste les sciences sociales.
Au niveau diplomatique, l'Allemagne et l’Angleterre se rapprochent de peur que la "maladie" qui a emporté la France n'arrive jusque chez eux. Birsmarck est lui même limogé par l'Empereur en 1879 pour ne pas avoir soutenue Thiers et permit la Commune de survivre. Les ouvriers allemands seront très souvent réprimé dans les années qui suivirent, opprimant inutilement les basses classes. Mais les conflit au niveau de la l'Hégémonité sur le Nord de l'Europe, empêche la moindre alliance avant de se relancer dans une course à l'Afrique.
En Espagne, la France intervient en laissant passer des forces volontaires rejoindre les Républicains Espagnoles qui ont repris confiance avec la victoire de la Commune. En chemin, ils croiseront Garibaldi, partit défendre une dernière fois la Liberté face à la Monarchie. (il mourra en 1880, abattu en se battant a Madrid).
La Suisse quand a elle frôle la guerre civile et lance des réformes démocratiques pour éviter la catastrophe, tandis que dans le reste de l'Europe et en Amérique des soulèvements ouvriers ont lieu, la plupart réprimé dans le sang.
L'Italie quand a elle, ne bouge pas et tente de calmer sa population ouvrière au Nord de manière diplomatique, de peur de voir une partie du royaume rejoindre la Commune de France. Mais elle profite de la faiblesse de la France Royaliste pour récupérer le protectorat de Tunis, à la plus grande colère de l'Ottoman.
En France Royaliste, Henri V est bloqué dans sa vaine tentative de traverser le Sahara et de conquérir le reste de l'Algérie. Ses troupes sont mal équipés face au touaregs et autres experts des sables.
De plus une situation épineuse apparaît quand l'Allemagne exige que le protectorat du Maroc soit rétablit et rendue au Reich qui saura bien les protéger des Français incompétents.
Refusant de laisser partir ses terres d'importance (qui permettent aussi des transferts avec l'Espagne en guerre et la France Royaliste) et se rapproche de l'Angleterre qui approuve sa position face à un Reich trop gourmand.
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
Auguste Blanqui 5 Janvier 1873 au 10 Mars 1874 [4]
Conseil Général de la République Française 10 Mars 1874 au 30 Mai 1877 [5]
Premier Ministre du Peuple Français
Edouard Vaillant 30 Mai 1877 au 12 Juin 1879 [6]
Zéphirin Camélinat 20 Juin 1879 29 Mai 1884 [7]
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
[4] Blanqui a les pleins pouvoir qu'il n'hésite pas a utiliser contre tout ceux qui s'opposent a son pouvoir. Il forme un comité de personnes qui doivent mettre en place l'ordre nouveau , la dictateur n'est que provisoire.
Les biens sont pris par l'Etat qui se charge de les distribuer tandis qu'un système éducatif est mis en place pour tous le monde. Mais alors qu'il s'estime être en bon chemin, Blanqui a un accident vasculaire cérébrale qui le tue rapidement.
En Algérie, la mort de Abd el Kadher face aux troupes royales marquent la fin de la révolte algérienne et le régime se stabilise. Un afflux de ceux qui sont déçus de la dictature blanquiste arrivent en Algérie au même titres que des Italiens, Allemands... Le régime s’industrialise petit a petit et il n'a aucune menace immédiate.
[5]Site a la mort soudaine et inexpliqué de Blanqui(certain ont évoqué un assassinat), les dictateurs conduisant la France établissent en petit comité une nouvelle constitution.
Les grandes lignes sont dans la droite ligne de la Révolution Française et des Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 et 1793,
avec le Droit à l'Existence comme seul présupposé a la liberté.
Dans ce cadre, des enquêtes sont menées sur tout le territoire afin de déterminer les besoins. Les résultats définissent ce droit.
Un systéme de retraite est donc créé, avec obligation de ne plus travailler avant 15 ans et après 55 ans pour les ouvriers des usines et des manufactures, des aides pour les chômeurs afin de les aider a retrouver du travail, la réouverture du projet des ateliers publics(notamment pour l'armement) et un salaire minimum.
La liberté totale d'entreprendre est néanmoins laissé.
Les droit démocratique sont garantis(liberté de presse, de réunion, droit de vote universel, celui des femmes sera intégrés, sur pression de Louise Michel et du Comité central des femmes de Paris, armes sous contrôle des gardes nationaux, etc.)
Les décisions économiques vont être l'objet de débats intenses, alors que l'industrie se développe à grande vitesse grâce aux ateliers nationaux devant faire face a l'afflux de paysans attirés par les avantages données aux ouvriers. Le problème de l'inflation et du "mur de l'argent" sont également ardemment débattu, la critique la plus radicale se trouvant dans les deux faction des internationalistes, les Bakouninistes et les Marxistes(surtout divisé par des querelles de personnes et la réflexion sur les méthodes d'action révolutionnaire).
Le conseil décide de la date des premières élections parlementaires et présidentielle de la nouvelle république, durant le mois de Mai 1877.
Le président de la République a pour seul but de représenter le pays à l'étranger, il a si peu de pouvoir qu'il n'a pas de limite de mandat et est réélu tout les ans, l'Assemblée, émanation du peuple, dispose seule du pouvoir, et est elle convoquée pour cinq années. Les simples gens peuvent déposer pétitions auprès de leur députés et monter a la tribune sur simple demande. La presse étrangère la surnommera rapidement "le bordel", pour son ambiance très agitée, en diffusant par la même des récits "d'orgies dans les tribunes", et autres joyeusetés.
le Conseil s'auto-dissout le 30 Mai 1877, pour laisser la place a l'Assemblée nouvellement élu.
En Afrique, Henri V rallie a sa cause les établissements que Napoléon III avaient lancé, lance des expéditions dans le reste du continent et commence une guerre d'invasion contre le Maroc.
[6] Edouard Vaillant profite de l'écrasante majorité Blanquiste obtenu a l'Assemblé pour devenir le Premier Premier Ministre du Peuple . Il réorganise complètement le système éducatif laissé un peu a l'abandon par les prêtes ayant fuit. Ainsi, il proclame l'école Gratuite pour Tous, Laïque, Mixtes et obligatoire jusqu’à 15 ans . Divisé en un système en trois étages : Ecole du Peuple (Jusqu'a 11 ans), Collège (jusqu'a 16 ans), Université (Divisé en différentes catégories (Ex : Mathématique/ Histoire...). Avec un accent sur l'enseignement professionnel. C'est une crise diplomatique qui va provoquer sa chute, deux ans a peine après son introduction au pouvoir. Un Navire Royaliste est attaqué par un Navire Communiste dont le capitaine est un peu "fanatique", rapidement, Henri V envoie une note diplomatique exigeant les survivants et des réparations. Refusant dans un premier temps, ce n'est qu'a l'arrivé d'un Message Allemand annonçant leur support a Henri V que Vaillant est obligé de céder, ne pensant pas gagner une guerre contre l'allemagne. Sa majorité s'effrite et pour éviter le déshonneur d'être destitué par l'assemblé il démission le 12 juin 1879.
En Afrique, Henri V gagne la guerre face aux Marocains et continue d'envoyer des expéditions dans le Sahara. Il profite de l'argent reçu de Vaillant pour financer la constructions d’infrastructure en Algérie. Il se rapproche aussi de l'Allemagne.
[7] Au grand étonnement des Proudhoniens qui pensaient en profiter, de nombreux anarchistes français ont commencé a intéresser bien plus au idées de Boukharine que celle du tenant de la collaboration de classe.
Et grâce finalement à un consensus entre les différentes factions de l'AIT (et le passage de nombreux anarchistes au fait de se représenter en total contradiction avec leur ancienne idéologie, préférant un entre deux), une campagne unique a été faites, réussissant a rafler la mise lors des élections. On notera que Garibaldi est une fois encore élu sans s'être représenté à Paris. Celui refuse une fois de plus, ayant de plus un mandat a Rome.
De nombreux autres étrangers sont eux aussi élu député comme Karl Marx et Engels.
De plus Zéphirin Camélinat, ancien proche de proudhon et ami de Karl Marx devient président.
Une des premières mesures strictes a été de changer la notion de liberté d'entreprendre. Il est toujours autorisé d'entreprendre mais désormais chaque personne au seins de l'entreprise le même statut, transformant de fait toutes les entreprises non étatiques en coopératives.
Les derniers Républicains Libéraux issus de la Haute Bourgeoisie crie au scandale mais ne sont pas assez nombreux, surtout que la plupart des petits patrons qui sont des artisans de l'Assemblée finissent par accepter suite a quelques débats.
Ensuite pour éviter les querelles entre anarchistes et Etatiste, des zones non étatiques sont créées. Tandis que l'ensemble de la France est dirigé par l'Etat, certaines zones seront géré par les différents anarchistes a 100% au seins de différentes expériences sociale. Les résultats devant influencer la politique de l'Etat par la suite.
Une autre grande Loi, qui tourna à l'émeute dans certaines régions et l'intervention de la garde pour calmer la population , fut l'expulsion du diplomate Papale et la séparation totale de l'Eglise et de l'Etat. Cela emmena a l'arrestation de quelques dirigeants de journaux pour avoir créer la panique.
De nombreux secteurs sont aussi nationalisé, dont l'armement et le ferroviaire.
Dans les Universités, toutes référence au religieux est enlevé et l'on booste les sciences sociales.
Au niveau diplomatique, l'Allemagne et l’Angleterre se rapprochent de peur que la "maladie" qui a emporté la France n'arrive jusque chez eux. Birsmarck est lui même limogé par l'Empereur en 1879 pour ne pas avoir soutenue Thiers et permit la Commune de survivre. Les ouvriers allemands seront très souvent réprimé dans les années qui suivirent, opprimant inutilement les basses classes. Mais les conflit au niveau de la l'Hégémonité sur le Nord de l'Europe, empêche la moindre alliance avant de se relancer dans une course à l'Afrique.
En Espagne, la France intervient en laissant passer des forces volontaires rejoindre les Républicains Espagnoles qui ont repris confiance avec la victoire de la Commune. En chemin, ils croiseront Garibaldi, partit défendre une dernière fois la Liberté face à la Monarchie. (il mourra en 1880, abattu en se battant a Madrid).
La Suisse quand a elle frôle la guerre civile et lance des réformes démocratiques pour éviter la catastrophe, tandis que dans le reste de l'Europe et en Amérique des soulèvements ouvriers ont lieu, la plupart réprimé dans le sang.
L'Italie quand a elle, ne bouge pas et tente de calmer sa population ouvrière au Nord de manière diplomatique, de peur de voir une partie du royaume rejoindre la Commune de France. Mais elle profite de la faiblesse de la France Royaliste pour récupérer le protectorat de Tunis, à la plus grande colère de l'Ottoman.
En France Royaliste, Henri V est bloqué dans sa vaine tentative de traverser le Sahara et de conquérir le reste de l'Algérie. Ses troupes sont mal équipés face au touaregs et autres experts des sables.
De plus une situation épineuse apparaît quand l'Allemagne exige que le protectorat du Maroc soit rétablit et rendue au Reich qui saura bien les protéger des Français incompétents.
Refusant de laisser partir ses terres d'importance (qui permettent aussi des transferts avec l'Espagne en guerre et la France Royaliste) et se rapproche de l'Angleterre qui approuve sa position face à un Reich trop gourmand.
Dernière édition par Maraud le Jeu 27 Oct - 0:35, édité 1 fois
Maraud- Messages : 561
Date d'inscription : 01/11/2015
Re: Liste alternative de Président de la République
bonjour
je peux participé à cette uchronies?
je peux participé à cette uchronies?
hannibale- Messages : 82
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Re: Liste alternative de Président de la République
Maraud a écrit:Vaillant qui donne du fric au Roi?
L'Incident Diplomatique. Il sait que la France ne peut pas gagner face a l'allemagne , il se couche donc.
Jolou- Messages : 636
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Re: Liste alternative de Président de la République
Garibaldi qui lance un insurrection en 1780 et meur.la date est belle
hannibale- Messages : 82
Date d'inscription : 19/08/2016
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Re: Liste alternative de Président de la République
Maraud, c'est toi l'admin de la liste tu veux que Hannibale participent?
Jolou- Messages : 636
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Re: Liste alternative de Président de la République
Ben il fait ce qu'il veut^^
Par contre techniquement, la France Communarde a autant de chance de gagner que la France IRL contre l'Allemagne. La majorité des troupes sont resté en France et même si le haut de la chaîne de commandement s'est barré ou fait jeté en prison, ils se feront vite remplacé.
Par contre techniquement, la France Communarde a autant de chance de gagner que la France IRL contre l'Allemagne. La majorité des troupes sont resté en France et même si le haut de la chaîne de commandement s'est barré ou fait jeté en prison, ils se feront vite remplacé.
Maraud- Messages : 561
Date d'inscription : 01/11/2015
Re: Liste alternative de Président de la République
La France seul, après seulement 9 ans de paix? Ici, il temporise.
Jolou- Messages : 636
Date d'inscription : 17/10/2015
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Re: Liste alternative de Président de la République
Comité Central de la Commune de Paris 19 Mars 1871 au 5 Mai 1871[1]
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
Auguste Blanqui 5 Janvier 1873 au 10 Mars 1874 [4]
Conseil Général de la République Française 10 Mars 1874 au 30 Mai 1877 [5]
Premier Ministre du Peuple Français
Edouard Vaillant 30 Mai 1877 au 12 Juin 1879 [6]
Zéphirin Camélinat 20 Juin 1879 au 29 Mai 1884 [7]
Paul Lafargue 2 Juin 1884 au 30 Mai 1887 [8]
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
[4] Blanqui a les pleins pouvoir qu'il n'hésite pas a utiliser contre tout ceux qui s'opposent a son pouvoir. Il forme un comité de personnes qui doivent mettre en place l'ordre nouveau , la dictateur n'est que provisoire.
Les biens sont pris par l'Etat qui se charge de les distribuer tandis qu'un système éducatif est mis en place pour tous le monde. Mais alors qu'il s'estime être en bon chemin, Blanqui a un accident vasculaire cérébrale qui le tue rapidement.
En Algérie, la mort de Abd el Kadher face aux troupes royales marquent la fin de la révolte algérienne et le régime se stabilise. Un afflux de ceux qui sont déçus de la dictature blanquiste arrivent en Algérie au même titres que des Italiens, Allemands... Le régime s’industrialise petit a petit et il n'a aucune menace immédiate.
[5]Site a la mort soudaine et inexpliqué de Blanqui(certain ont évoqué un assassinat), les dictateurs conduisant la France établissent en petit comité une nouvelle constitution.
Les grandes lignes sont dans la droite ligne de la Révolution Française et des Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 et 1793,
avec le Droit à l'Existence comme seul présupposé a la liberté.
Dans ce cadre, des enquêtes sont menées sur tout le territoire afin de déterminer les besoins. Les résultats définissent ce droit.
Un systéme de retraite est donc créé, avec obligation de ne plus travailler avant 15 ans et après 55 ans pour les ouvriers des usines et des manufactures, des aides pour les chômeurs afin de les aider a retrouver du travail, la réouverture du projet des ateliers publics(notamment pour l'armement) et un salaire minimum.
La liberté totale d'entreprendre est néanmoins laissé.
Les droit démocratique sont garantis(liberté de presse, de réunion, droit de vote universel, celui des femmes sera intégrés, sur pression de Louise Michel et du Comité central des femmes de Paris, armes sous contrôle des gardes nationaux, etc.)
Les décisions économiques vont être l'objet de débats intenses, alors que l'industrie se développe à grande vitesse grâce aux ateliers nationaux devant faire face a l'afflux de paysans attirés par les avantages données aux ouvriers. Le problème de l'inflation et du "mur de l'argent" sont également ardemment débattu, la critique la plus radicale se trouvant dans les deux faction des internationalistes, les Bakouninistes et les Marxistes(surtout divisé par des querelles de personnes et la réflexion sur les méthodes d'action révolutionnaire).
Le conseil décide de la date des premières élections parlementaires et présidentielle de la nouvelle république, durant le mois de Mai 1877.
Le président de la République a pour seul but de représenter le pays à l'étranger, il a si peu de pouvoir qu'il n'a pas de limite de mandat et est réélu tout les ans, l'Assemblée, émanation du peuple, dispose seule du pouvoir, et est elle convoquée pour cinq années. Les simples gens peuvent déposer pétitions auprès de leur députés et monter a la tribune sur simple demande. La presse étrangère la surnommera rapidement "le bordel", pour son ambiance très agitée, en diffusant par la même des récits "d'orgies dans les tribunes", et autres joyeusetés.
le Conseil s'auto-dissout le 30 Mai 1877, pour laisser la place a l'Assemblée nouvellement élu.
En Afrique, Henri V rallie a sa cause les établissements que Napoléon III avaient lancé, lance des expéditions dans le reste du continent et commence une guerre d'invasion contre le Maroc.
[6] Edouard Vaillant profite de l'écrasante majorité Blanquiste obtenu a l'Assemblé pour devenir le Premier Premier Ministre du Peuple . Il réorganise complètement le système éducatif laissé un peu a l'abandon par les prêtes ayant fuit. Ainsi, il proclame l'école Gratuite pour Tous, Laïque, Mixtes et obligatoire jusqu’à 15 ans . Divisé en un système en trois étages : Ecole du Peuple (Jusqu'a 11 ans), Collège (jusqu'a 16 ans), Université (Divisé en différentes catégories (Ex : Mathématique/ Histoire...). Avec un accent sur l'enseignement professionnel. C'est une crise diplomatique qui va provoquer sa chute, deux ans a peine après son introduction au pouvoir. Un Navire Royaliste est attaqué par un Navire Communiste dont le capitaine est un peu "fanatique", rapidement, Henri V envoie une note diplomatique exigeant les survivants et des réparations. Refusant dans un premier temps, ce n'est qu'a l'arrivé d'un Message Allemand annonçant leur support a Henri V que Vaillant est obligé de céder, ne pensant pas gagner une guerre contre l'allemagne. Sa majorité s'effrite et pour éviter le déshonneur d'être destitué par l'assemblé il démission le 12 juin 1879.
En Afrique, Henri V gagne la guerre face aux Marocains et continue d'envoyer des expéditions dans le Sahara. Il profite de l'argent reçu de Vaillant pour financer la constructions d’infrastructure en Algérie. Il se rapproche aussi de l'Allemagne.
[7] Au grand étonnement des Proudhoniens qui pensaient en profiter, de nombreux anarchistes français ont commencé a intéresser bien plus au idées de Boukharine que celle du tenant de la collaboration de classe.
Et grâce finalement à un consensus entre les différentes factions de l'AIT (et le passage de nombreux anarchistes au fait de se représenter en total contradiction avec leur ancienne idéologie, préférant un entre deux), une campagne unique a été faites, réussissant a rafler la mise lors des élections. On notera que Garibaldi est une fois encore élu sans s'être représenté à Paris. Celui refuse une fois de plus, ayant de plus un mandat a Rome.
De nombreux autres étrangers sont eux aussi élu député comme Karl Marx et Engels.
De plus Zéphirin Camélinat, ancien proche de proudhon et ami de Karl Marx devient président.
Une des premières mesures strictes a été de changer la notion de liberté d'entreprendre. Il est toujours autorisé d'entreprendre mais désormais chaque personne au seins de l'entreprise le même statut, transformant de fait toutes les entreprises non étatiques en coopératives.
Les derniers Républicains Libéraux issus de la Haute Bourgeoisie crie au scandale mais ne sont pas assez nombreux, surtout que la plupart des petits patrons qui sont des artisans de l'Assemblée finissent par accepter suite a quelques débats.
Ensuite pour éviter les querelles entre anarchistes et Etatiste, des zones non étatiques sont créées. Tandis que l'ensemble de la France est dirigé par l'Etat, certaines zones seront géré par les différents anarchistes a 100% au seins de différentes expériences sociale. Les résultats devant influencer la politique de l'Etat par la suite.
Une autre grande Loi, qui tourna à l'émeute dans certaines régions et l'intervention de la garde pour calmer la population , fut l'expulsion du diplomate Papale et la séparation totale de l'Eglise et de l'Etat. Cela emmena a l'arrestation de quelques dirigeants de journaux pour avoir créer la panique.
De nombreux secteurs sont aussi nationalisé, dont l'armement et le ferroviaire.
Dans les Universités, toutes référence au religieux est enlevé et l'on booste les sciences sociales.
Au niveau diplomatique, l'Allemagne et l’Angleterre se rapprochent de peur que la "maladie" qui a emporté la France n'arrive jusque chez eux. Birsmarck est lui même limogé par l'Empereur en 1879 pour ne pas avoir soutenue Thiers et permit la Commune de survivre. Les ouvriers allemands seront très souvent réprimé dans les années qui suivirent, opprimant inutilement les basses classes. Mais les conflit au niveau de la l'Hégémonité sur le Nord de l'Europe, empêche la moindre alliance avant de se relancer dans une course à l'Afrique.
En Espagne, la France intervient en laissant passer des forces volontaires rejoindre les Républicains Espagnoles qui ont repris confiance avec la victoire de la Commune. En chemin, ils croiseront Garibaldi, partit défendre une dernière fois la Liberté face à la Monarchie. (il mourra en 1880, abattu en se battant a Madrid).
La Suisse quand a elle frôle la guerre civile et lance des réformes démocratiques pour éviter la catastrophe, tandis que dans le reste de l'Europe et en Amérique des soulèvements ouvriers ont lieu, la plupart réprimé dans le sang.
L'Italie quand a elle, ne bouge pas et tente de calmer sa population ouvrière au Nord de manière diplomatique, de peur de voir une partie du royaume rejoindre la Commune de France. Mais elle profite de la faiblesse de la France Royaliste pour récupérer le protectorat de Tunis, à la plus grande colère de l'Ottoman.
En France Royaliste, Henri V est bloqué dans sa vaine tentative de traverser le Sahara et de conquérir le reste de l'Algérie. Ses troupes sont mal équipés face au touaregs et autres experts des sables.
De plus une situation épineuse apparaît quand l'Allemagne exige que le protectorat du Maroc soit rétablit et rendue au Reich qui saura bien les protéger des Français incompétents.
Refusant de laisser partir ses terres d'importance (qui permettent aussi des transferts avec l'Espagne en guerre et la France Royaliste) et se rapproche de l'Angleterre qui approuve sa position face à un Reich trop gourmand.
[8] Le Beau Fils de Marx profite de ce lien pour devenir Premier Ministre après l'abandon de Camélinat . Son plus gros chantier de travail fut le travail. En effet, estimant que le travail affaiblit l'Homme, il va essayer de le réduire au maximum. Invention des congés obligatoire , retraite a partir de 55 ans pour tout les corps de métiers (Et mêmes les politiciens), interdiction de travailler avant 18 ans. Pour le reste, il adopte les idées Anarchiste et Marxiste dans tous les autres domaines. En affaires étrangères, il est le Premier Ministre du Peuple a rencontrer le Premier Ministre Anglais inquiet de la montée en puissance de l'Allemagne qui commence a se crée un empire Coloniale important. Ayant perdu les élections avec son parti, il se retire de la vie politique estimant qu'un politicien ayant perdu des élections ne devrait pas continuer
Pour la France Royaliste, le nouveau Roi Philippe VII est couronné en Juin 1883 suite a la mort de Henri V. Celui ci profite de son expérience de la Guerre de Sécession pour s'emparer du Sahara et descendre vers Dakar. Il établit aussi une Assemblé Royaliste élu au suffrage universel uniquement des hommes Français néanmoins tous ceux qui s'engagent dans l'armée reçoivent a la fin de leur carrière militaire (S'ils ont fait minimum 5 ans) la nationalité française. Il engagent de grands travaux pour crée un grand port moderne a Mers el Kebir visant a moderniser la flotte royaliste.
Comité Central de la Commune de France 5 Mai 1871 au 1 Juillet 1871 [2]
Constituante Générale de la République 1 Juillet 1871 au 5 Janvier 1873 [3]
Auguste Blanqui 5 Janvier 1873 au 10 Mars 1874 [4]
Conseil Général de la République Française 10 Mars 1874 au 30 Mai 1877 [5]
Premier Ministre du Peuple Français
Edouard Vaillant 30 Mai 1877 au 12 Juin 1879 [6]
Zéphirin Camélinat 20 Juin 1879 au 29 Mai 1884 [7]
Paul Lafargue 2 Juin 1884 au 30 Mai 1887 [8]
[1] (pour l'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=pWcl91b1Hpw&list=PLdcFTdVsCqU4TNH2BZ_i9tU3fj63zWdUW&index=1 )
Le 21 Mars, le Comité Central et la Garde Républicaine de Paris proclament la Commune de Paris suite à l'assaut raté de Paris du Général Vinoy contre Paris (les troupes s'étant rallié àla population), 3 jours avant. La spécificité c'est qu'au lieu de se proclamer une République, le Comité précise que c'est une révolte prolétaire suite à la défection des classes dirigeante.
Une autre particularité est que le Comité Central est tenu, non pas par des bourgeois ou des nobles mais principalement par de simples ouvriers, leaders syndicaux, écrivains publiques, scientifiques, ect...
Cette fois et pour la première fois dans son Histoire, la Révolution est dirigé par des classes inférieurs.
La Révolution s'étant faites sans effusion de sang et sans vraiment le vouloir, le Comité Central se retrouve maître de Paris sans savoir quoi faire. De nombreux débats ont lieu:
Faut il se rendre, continuer a se battre, légitimer la Révolte et déclarer la Commune? De plus de nombreux désaccord ont lieu entre les tenants des Francs Maçon (à majorité fan de Proudhon), les blanquistes et les affilé à l'AIT.
Mais durant la nuit du 18 au 19 Mars, alors que Lullier fêtait sa nomination au poste de commandant en Chef de la Garde Nationale (POD) celui-ci tombe dans coma éthylique.
Il est alors vite remplacé par Eugène Varlin, libertaire relié à l'AIT.
Une des ses premières décisions et de prendre le fort du Mont Valerien que Thiers avait fait évacuer et de se préparer à un assaut contre Versailles (les quelques gardes laissés en arrières se ralliant rapidement aux fédérés venu les voir), capturant fusils derniers cri, munition et surtout de nombreux canons.
Il fera fermer les portes de Paris et arrêter les gendarmes et soldats pro-Thiers qui tentait de rejoindre Versailles depuis le 18.
Suite a ces arrestations, on découvre que "Blanchet" membre du Comité Centrale, est en fait un commissaire de Police infiltré et est arrêté lui aussi.
Le Comité se rend compte alors que de nombreux ennemis sont présent dans Paris et que tenir des élections comme cela été suggéré est actuellement insensé.
Bien leurs en pris car dès le 22 Mars, "Les Amis de l'Ordres", mélange hétéroclite de bourgeois, nobles, militaires, se voulant les défenseurs de "L'Ordre Moral" contre la "lie" tentent de capturer le bâtiment où est logé le Comité Central. Composé de puissants ne voulant pas perdre leurs avantages et de leurs suivants, l'objectif est de rallié la populace de Paris et d'éliminer les "partageux".
Malheureusement pour eux, en arrivant devant la place Vendôme, la Garde Républicaine s'opposera a eux et les empêchera d'avancer.
Alors que les "Amis de l'Ordre" tentent de passer en force les gardes, Varlin finit par encercler la place et réussit à bloquer les insurgés.
Pris d'un mouvement de panique, un vieux noble tire sur un fédéré au lieu de se rendre.
Les tirs se font alors de toutes parts, mais les "Amis de l'Ordre" étant pris en tenailles, ceux ci sont vite massacré par des fédérés plus qu'énervé. Dans une dernières tentatives, ils tentent de percer les troupes de Varlin pour fuir, mais beaucoup y perdront la vie inutilement.
Finalement, la population de Paris apprenant que les habitant du II arrondissement et des autres quartiers riches ont brisé la trêve sociale suite au siège de Paris, accourent de toutes part pour se venger des puissants qui ont osé tirer sur les leurs. De plus des rumeurs comme quoi ceux ci cachait de la nourriture ne fit rien pour les calmer. C'est le début de ce qu'on appelle la "Semaine Sanglante" où de nombreux habitants moururent de la mains d'affamé (on notera des cas de cannibalismes) et de nombreux morts de noms célèbres eurent lieux.
De plus, un maire, Clemenceau, fuit lui aussi capturé en pendu sans jugement par la foule en colère.
Suite a ce mouvement de colère, le Comité Central sut qu'il n'avait plus le choix:
Thiers se servira de ce massacre pour rallier la population de France derrière lui. Il fallait donc le faire tomber avant qu'il ne soit trop tard. Les Proudhoniste se rendent compte alors qu'il ne sera pas possible d'appliquer leur collaboration de classe et se rangent en masse sous l'AIT et les idéaux de bakounine et de Blanqui.
Le 25, tandis que la population pillait les quartiers riches, le Comité demande à Varlin de prendre Versaille.
Les troupes se rassemble rapidement et vers midi plus de 200 000 Gardes, 400 canons (la foule étant alors ingérable et peu enclin a vouloir défendre des traîtres) s'avance sur Versailles.
A leurs plus grand étonnement, la majorité des troupes défendant Versailles levèrent le drapeau blanc à leurs arrivés, de plus une foule énorme de riches tentent de fuir par partout Versailles en apprenant la défaite de leurs troupes.
La seule difficulté fut la prise du Palais de Versailles où de nombreux soldats bretons ne comprenant pas ce qu'était le Commune (la plupart ne parlant pas français) défendirent âprement les restes du Gouvernement qui n'avait pas put fuir. Mais Varlin, n’hésita pas à demander a ses canons de détruire le Palais.
Le soir du 25, la Versailles était entièrement au mains des fédérés, la plupart des riches, policiers et soldats pro-Thiers capturé et enfermé (loin de Paris pour éviter un deuxième massacre).
Le temps de calmer la population de Paris et de lancer des jugement sous les ordres du Comité Central, les prussiens envoyèrent une délégation le 5 Avril 1871.
Bismarck à leur tête (l'Empereur refusant de parler à des gueux), leur offrit deux choses:
- Thiers et le reste de son gouvernement qui avait tenté de se rendre en Allemagne
- La reconnaissance par l'Empire, de la Commune comme gouvernement légitime de la France en échange du maintien des conditions de paix obtenus par le Gouvernement de Thiers.
En échange, il promet de rendre les soldats capturés (et encore fans de l'Empire) quand le gouvernement de la Commune, une fois celui stabilisé seulement.
Le Comité Central n'ayant pas de meilleurs choix sinon le risque de se battre contre des soldats allemands frais, accepta les conditions.
Et déclara pour le 1er Mai, la tenue d'élection dans Paris et pour toutes les Communes de France, ainsi que pour après le retour du calme dans tout le pays, les élections des députés pour l'Assemblé Française.
[2] Le Comité reste le même que le précédent hormis l'apparition de quelques républicains de province pour montrer que ça représente la France. L’événement marquant de ces deux mois est la fuite de la marine ainsi que ce qui reste de l'armée en Algérie où Henri d'Artois s'est proclamé Roi de France. Il n'Obtiendra aucun soutient en France dans l'immédiat mais le renfort des troupes énoncés plutôt lui permet de prendre le contrôle de l'Algérie.
[3] Les commissions(assemblée des habitants) réussissent a évincer les derniers préfets et maires réactionnaires.
Après palabres entre les délégués de Paris, Narbonne, Lyon et Marseille, la date de formation de l'Assemblée Constituante via de nouvelles élection est fixée au 20 Juillet. La propagande et l'éviction des candidats monarchistes va si bien marcher que l'on parlera de "Chambre Rouge". Si les candidats des campagnes sont des républicains classiques et quelques monarchistes que les commissions n'ont pas réussi a expulser, ceux des villes sont bien plus colorés. Les candidats de Paris, Marseille et Lyon surtout, marqué par le Proudhonisme, quelques blanquistes et quelques internationalistes(surtout a Lyon) sont présent. La constituante va être rapidement surnommé "l'Assemblée des escargots", pour ses discussions sans fin sur la place du mutuellisme, du patriotisme, de l'armée, et de la dimension sociale a apporter à l'économie dans la constitution. La moyenne est d'un projet de constitution déposée par mois.
Les monarchistes et les républicains ne voulant pas la Sociale en profite pour diffuser une propagande massive anti-constituante.
Les sentiments dans le camp socialiste(proudhonien, blanquistes et internationalistes((divisés désormais entre bakouniniste et marxistes)) ) tendent également vers l'exaspération. Comme ces idéologies touchent massivement les populations urbaines, celle-ci se radicalisent en devenant de plus en plus anti-parlementaristes.
Le 5 Janvier 1875, les blanquistes lancent l’insurrection générale dans toute les villes, et s'empare du pouvoir très rapidement, profitant du désenchantement devant le blocage de la Constituante.
Il fait afficher partout son manifeste de "Défense de la République par la dictature".
A la tête de chaque ville est placé un dictateur provisoire, et Blanqui devient dictateur général de la République.
Pendant ce temps, en Afrique, on peut noter les durs combats opposant les troupes royales aux révoltés indépendantistes algériens sous la direction d'Abd el-Kadher revenu de son exil.
[4] Blanqui a les pleins pouvoir qu'il n'hésite pas a utiliser contre tout ceux qui s'opposent a son pouvoir. Il forme un comité de personnes qui doivent mettre en place l'ordre nouveau , la dictateur n'est que provisoire.
Les biens sont pris par l'Etat qui se charge de les distribuer tandis qu'un système éducatif est mis en place pour tous le monde. Mais alors qu'il s'estime être en bon chemin, Blanqui a un accident vasculaire cérébrale qui le tue rapidement.
En Algérie, la mort de Abd el Kadher face aux troupes royales marquent la fin de la révolte algérienne et le régime se stabilise. Un afflux de ceux qui sont déçus de la dictature blanquiste arrivent en Algérie au même titres que des Italiens, Allemands... Le régime s’industrialise petit a petit et il n'a aucune menace immédiate.
[5]Site a la mort soudaine et inexpliqué de Blanqui(certain ont évoqué un assassinat), les dictateurs conduisant la France établissent en petit comité une nouvelle constitution.
Les grandes lignes sont dans la droite ligne de la Révolution Française et des Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 et 1793,
avec le Droit à l'Existence comme seul présupposé a la liberté.
Dans ce cadre, des enquêtes sont menées sur tout le territoire afin de déterminer les besoins. Les résultats définissent ce droit.
Un systéme de retraite est donc créé, avec obligation de ne plus travailler avant 15 ans et après 55 ans pour les ouvriers des usines et des manufactures, des aides pour les chômeurs afin de les aider a retrouver du travail, la réouverture du projet des ateliers publics(notamment pour l'armement) et un salaire minimum.
La liberté totale d'entreprendre est néanmoins laissé.
Les droit démocratique sont garantis(liberté de presse, de réunion, droit de vote universel, celui des femmes sera intégrés, sur pression de Louise Michel et du Comité central des femmes de Paris, armes sous contrôle des gardes nationaux, etc.)
Les décisions économiques vont être l'objet de débats intenses, alors que l'industrie se développe à grande vitesse grâce aux ateliers nationaux devant faire face a l'afflux de paysans attirés par les avantages données aux ouvriers. Le problème de l'inflation et du "mur de l'argent" sont également ardemment débattu, la critique la plus radicale se trouvant dans les deux faction des internationalistes, les Bakouninistes et les Marxistes(surtout divisé par des querelles de personnes et la réflexion sur les méthodes d'action révolutionnaire).
Le conseil décide de la date des premières élections parlementaires et présidentielle de la nouvelle république, durant le mois de Mai 1877.
Le président de la République a pour seul but de représenter le pays à l'étranger, il a si peu de pouvoir qu'il n'a pas de limite de mandat et est réélu tout les ans, l'Assemblée, émanation du peuple, dispose seule du pouvoir, et est elle convoquée pour cinq années. Les simples gens peuvent déposer pétitions auprès de leur députés et monter a la tribune sur simple demande. La presse étrangère la surnommera rapidement "le bordel", pour son ambiance très agitée, en diffusant par la même des récits "d'orgies dans les tribunes", et autres joyeusetés.
le Conseil s'auto-dissout le 30 Mai 1877, pour laisser la place a l'Assemblée nouvellement élu.
En Afrique, Henri V rallie a sa cause les établissements que Napoléon III avaient lancé, lance des expéditions dans le reste du continent et commence une guerre d'invasion contre le Maroc.
[6] Edouard Vaillant profite de l'écrasante majorité Blanquiste obtenu a l'Assemblé pour devenir le Premier Premier Ministre du Peuple . Il réorganise complètement le système éducatif laissé un peu a l'abandon par les prêtes ayant fuit. Ainsi, il proclame l'école Gratuite pour Tous, Laïque, Mixtes et obligatoire jusqu’à 15 ans . Divisé en un système en trois étages : Ecole du Peuple (Jusqu'a 11 ans), Collège (jusqu'a 16 ans), Université (Divisé en différentes catégories (Ex : Mathématique/ Histoire...). Avec un accent sur l'enseignement professionnel. C'est une crise diplomatique qui va provoquer sa chute, deux ans a peine après son introduction au pouvoir. Un Navire Royaliste est attaqué par un Navire Communiste dont le capitaine est un peu "fanatique", rapidement, Henri V envoie une note diplomatique exigeant les survivants et des réparations. Refusant dans un premier temps, ce n'est qu'a l'arrivé d'un Message Allemand annonçant leur support a Henri V que Vaillant est obligé de céder, ne pensant pas gagner une guerre contre l'allemagne. Sa majorité s'effrite et pour éviter le déshonneur d'être destitué par l'assemblé il démission le 12 juin 1879.
En Afrique, Henri V gagne la guerre face aux Marocains et continue d'envoyer des expéditions dans le Sahara. Il profite de l'argent reçu de Vaillant pour financer la constructions d’infrastructure en Algérie. Il se rapproche aussi de l'Allemagne.
[7] Au grand étonnement des Proudhoniens qui pensaient en profiter, de nombreux anarchistes français ont commencé a intéresser bien plus au idées de Boukharine que celle du tenant de la collaboration de classe.
Et grâce finalement à un consensus entre les différentes factions de l'AIT (et le passage de nombreux anarchistes au fait de se représenter en total contradiction avec leur ancienne idéologie, préférant un entre deux), une campagne unique a été faites, réussissant a rafler la mise lors des élections. On notera que Garibaldi est une fois encore élu sans s'être représenté à Paris. Celui refuse une fois de plus, ayant de plus un mandat a Rome.
De nombreux autres étrangers sont eux aussi élu député comme Karl Marx et Engels.
De plus Zéphirin Camélinat, ancien proche de proudhon et ami de Karl Marx devient président.
Une des premières mesures strictes a été de changer la notion de liberté d'entreprendre. Il est toujours autorisé d'entreprendre mais désormais chaque personne au seins de l'entreprise le même statut, transformant de fait toutes les entreprises non étatiques en coopératives.
Les derniers Républicains Libéraux issus de la Haute Bourgeoisie crie au scandale mais ne sont pas assez nombreux, surtout que la plupart des petits patrons qui sont des artisans de l'Assemblée finissent par accepter suite a quelques débats.
Ensuite pour éviter les querelles entre anarchistes et Etatiste, des zones non étatiques sont créées. Tandis que l'ensemble de la France est dirigé par l'Etat, certaines zones seront géré par les différents anarchistes a 100% au seins de différentes expériences sociale. Les résultats devant influencer la politique de l'Etat par la suite.
Une autre grande Loi, qui tourna à l'émeute dans certaines régions et l'intervention de la garde pour calmer la population , fut l'expulsion du diplomate Papale et la séparation totale de l'Eglise et de l'Etat. Cela emmena a l'arrestation de quelques dirigeants de journaux pour avoir créer la panique.
De nombreux secteurs sont aussi nationalisé, dont l'armement et le ferroviaire.
Dans les Universités, toutes référence au religieux est enlevé et l'on booste les sciences sociales.
Au niveau diplomatique, l'Allemagne et l’Angleterre se rapprochent de peur que la "maladie" qui a emporté la France n'arrive jusque chez eux. Birsmarck est lui même limogé par l'Empereur en 1879 pour ne pas avoir soutenue Thiers et permit la Commune de survivre. Les ouvriers allemands seront très souvent réprimé dans les années qui suivirent, opprimant inutilement les basses classes. Mais les conflit au niveau de la l'Hégémonité sur le Nord de l'Europe, empêche la moindre alliance avant de se relancer dans une course à l'Afrique.
En Espagne, la France intervient en laissant passer des forces volontaires rejoindre les Républicains Espagnoles qui ont repris confiance avec la victoire de la Commune. En chemin, ils croiseront Garibaldi, partit défendre une dernière fois la Liberté face à la Monarchie. (il mourra en 1880, abattu en se battant a Madrid).
La Suisse quand a elle frôle la guerre civile et lance des réformes démocratiques pour éviter la catastrophe, tandis que dans le reste de l'Europe et en Amérique des soulèvements ouvriers ont lieu, la plupart réprimé dans le sang.
L'Italie quand a elle, ne bouge pas et tente de calmer sa population ouvrière au Nord de manière diplomatique, de peur de voir une partie du royaume rejoindre la Commune de France. Mais elle profite de la faiblesse de la France Royaliste pour récupérer le protectorat de Tunis, à la plus grande colère de l'Ottoman.
En France Royaliste, Henri V est bloqué dans sa vaine tentative de traverser le Sahara et de conquérir le reste de l'Algérie. Ses troupes sont mal équipés face au touaregs et autres experts des sables.
De plus une situation épineuse apparaît quand l'Allemagne exige que le protectorat du Maroc soit rétablit et rendue au Reich qui saura bien les protéger des Français incompétents.
Refusant de laisser partir ses terres d'importance (qui permettent aussi des transferts avec l'Espagne en guerre et la France Royaliste) et se rapproche de l'Angleterre qui approuve sa position face à un Reich trop gourmand.
[8] Le Beau Fils de Marx profite de ce lien pour devenir Premier Ministre après l'abandon de Camélinat . Son plus gros chantier de travail fut le travail. En effet, estimant que le travail affaiblit l'Homme, il va essayer de le réduire au maximum. Invention des congés obligatoire , retraite a partir de 55 ans pour tout les corps de métiers (Et mêmes les politiciens), interdiction de travailler avant 18 ans. Pour le reste, il adopte les idées Anarchiste et Marxiste dans tous les autres domaines. En affaires étrangères, il est le Premier Ministre du Peuple a rencontrer le Premier Ministre Anglais inquiet de la montée en puissance de l'Allemagne qui commence a se crée un empire Coloniale important. Ayant perdu les élections avec son parti, il se retire de la vie politique estimant qu'un politicien ayant perdu des élections ne devrait pas continuer
Pour la France Royaliste, le nouveau Roi Philippe VII est couronné en Juin 1883 suite a la mort de Henri V. Celui ci profite de son expérience de la Guerre de Sécession pour s'emparer du Sahara et descendre vers Dakar. Il établit aussi une Assemblé Royaliste élu au suffrage universel uniquement des hommes Français néanmoins tous ceux qui s'engagent dans l'armée reçoivent a la fin de leur carrière militaire (S'ils ont fait minimum 5 ans) la nationalité française. Il engagent de grands travaux pour crée un grand port moderne a Mers el Kebir visant a moderniser la flotte royaliste.
Dernière édition par Jolou le Sam 29 Oct - 23:55, édité 1 fois
Jolou- Messages : 636
Date d'inscription : 17/10/2015
Age : 27
Localisation : Proche de Montpellier
Re: Liste alternative de Président de la République
MARAUD!
Tu a encore confondu Bakounine et Bouhkarine!
Tu a encore confondu Bakounine et Bouhkarine!
Lunarc- Messages : 231
Date d'inscription : 25/10/2015
Age : 25
Localisation : Poitiers, ou dans sa région
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